The ban on ski masks and scarves in Quebec City during the Summit of the Americas provides a useful insight into the way anti-globalization movements are perceived by the powers-that-be. Much has already been said about excessive police powers and the violation of civil liberties. This is clearly an important issue. But there’s a deeper, more powerful symbolism involved.

On March 8, 2001 millions of women and men around the world celebrated International Women's Day. In addition to recognising recent gains and ongoing demands, the occasion marked the escalating presence of a new influence. Increasingly, the women's movement is challenging the impact of global neo-liberal policies on their lives. This new coalition speaks to a new brand of activism, which hopes to redefine the direction of globalisation to acknowledge women's realities.

Behind the mobilization against the Free Trade Area of the Americas (FTAA) in April is a growing popular awareness that free trade is not really about trade. It’s about expanding the rights of corporations and placing corporate profits before the interests of working people. That much is clear. It’s also clear that the only real freedom under free trade is the freedom of corporations, especially transnational corporations. If there was ever any doubt about this, then the experience of working people under the WTO and NAFTA over the past six to seven years has hammered the point home.

Vous vous souviendrez que la Régie régionale de la santé et des services sociaux de Montréal Centre adoptait en mai 1998 son plan d’amélioration des services de santé et des services sociaux 1998-2002 intitulé " Le défi de l’accès ". Dans ce plan, la Régie régionale faisait du dossier jeunesse une priorité. Elle reconnaissait l’importance des mesures et des actions à entreprendre pour les jeunes en difficulté et ceux risquant de le devenir.

Believe it or not, most of us would rather be doing other things than having our heads used as piñatas for frustrated policemen. It would be a real waste to do all this if we weren’t able to inform everyone exactly why we’re so upset about this globalization business, and that’s what this introductory booklet is for. Hopefully by the end you’ll be just as upset as we are, and can join us so we can stop this nonsense and start working for a sane and healthy globalization that benefits everyone.

Since Seattle, global financial and trade organizations have been honing up
their media image. To get us to bargain with them they have tried to look
sympathetic and concerned. The meeting in Prague was full of talk about
poverty. During the meeting in Prague a World Bank ad said "the purpose of
the World Bank has always been fighting poverty". Another mentions "justice
for all". The World Bank seems to have learned from the media master Bill
Clinton--how to create a compassionate image. In Seattle Clinton said, "I
sympathize with the protestors." Then Tony Blair (a man famous for copying
Clinton's tricks) made a similar statement during the oil price/tax road
blockades in September

Something is going on out there. Whenever it seems like the movement against corporate globalization which burst into public consciousness at Seattle might have already run its course, another successful protest or gathering takes place – as if to prove that rumours of the movement's imminent demise have been greatly exaggerated. The latest examples are the World Social Forum in Porto Alegre and the parallel protests in Switzerland against the World Economic Forum in Davos. Similarly, and closer to home, there has been an overwhelming response to those organizing protests against the Free Trade Area of the Americas (FTAA) at the April meeting of the Summit of the Americas in Quebec City.

Le ministre Serge Ménard prépare le Sommet des Amériques comme si s'était une guerre. Une clôture de 3,8 km encerclera le centre-ville de Québec, et des milliers de policiers (de la GRC, de la Sûreté du Québec, de la Police de Québec et de Ste-Foy et, qui sait, peut-être de l'armée canadienne) seront présents pour contrer toute manifestation durant la fin de semaine du 20 au 22 avril 2001. La prison de Québec et les hôpitaux de la région seront aussi vidés pour l'occasion.

C'est en tant que photographe et citoyen que je vous propose ces images. Que ce soit pour des affiches ou pour illustrer sites ou publications reliés au Sommet et à la ZLÉA, elles sont à votre disposition.
Vos commentaires et suggestions sont les bienvenues
PHIL

C'est en tant que photographe et citoyen que je vous propose ces images. Que ce soit pour des affiches ou pour illustrer sites ou publications reliés au Sommet et à la ZLÉA, elles sont à votre disposition.
Vos commentaires et suggestions sont les bienvenues
PHIL

Le Sommet des Amériques: Solutions face à l'absence de débats. Du 20 au 22 avril prochain, la ville de Québec recevra les 34 chefs d'États «démocratiquement élus» des Amériques afin de poursuivre, voire de conclure, les négociations en vue de la mise en place d'une zone de libre-échange des Amériques (ZLÉA). En effet, plusieurs sources nous indiquent que les fonctionnaires chargés de négocier en catimini les textes et accords nécessaires à la formation de cette ZLÉA ont terminé leur travail et que les chefs d'États n'auront à l'occasion du sommet qu'à y apposer leur signature.

Premiers éléments pour la discussion et l'analyse sur la Zone de Libre Echange des Amériques (ZLEA)La Zone de Libre Echange des Amériques (ZLEA) fut initiée par le président des Etats-Unis, George Bush (le père de l'actuel président), en juin 1990, en vue de la formation d' une "zone de libre commerce" ayant le nom de "initiative pour les Amériques". Les antécédents visant à imposer la stratégie des Etats-Unis de domination continentale sont déjà multiples. Le compromis issu du Sommet de Miami, en décembre 1994, prévoyait que les négociations sur la ZLEA soient conclues en décembre 2005. Depuis la fin de 1999, l'Argentine exerce la présidence avec la responsabilité de dessiner les premiers projets de l'accord qui seront premièrement discutés par les Ministres de l'Economie des 34 pays à Buenos Aires entre le 7 et le 8 avril. Les présidents essayeront ensuite de les approuver lors de la réunion à Québec, qui se déroulera à la fin de ce même mois.

The aim of these tactics and demands is simple. These points are put forward as means to develop a powerful, democratic, and internationalist working class coalition centred on unions, but also involving communities, tenants, students etc. Further, these points are also meant to help develop a libertarian and anti-capitalist consciousness of the international nature of the class struggle, the opposition between the working class, on the one hand, and the state and capital on the other, and a generalised confidence and belief in the desirability, necessity and possibility of self-managed stateless socialism (i.e. anarchy).

Articulo sobre la creacion de ACLA y de los effectos sobre el mercad laboral mexicano. El sector informal es la tematica pricipal.

Après la seconde guerre mondiale, éducation et santé publique ont fait leur apparition parmi les grandes missions des gouvernements. Les objectifs de santé, la protection sanitaire, le droit aux prestations et surtout l'égalité d'accès aux soins, ont été élaborés au cours des décennies de l'après guerre dans la presque totalité des pays occidentaux et dans un certain nombre de pays du Sud. Dans le même courant, l'Organisation mondiale de la santé avait pour mission d'universaliser ces objectifs et d'œuvrer pour l'accès au soins sur toute la planète. Mais depuis le début de la décennie, un changement s'est opéré, qui n'a fait que s'accentuer depuis. Pour l'ancien directeur de l'OMS, Hirochi Nakajima, il s'agit de faire entrer la santé de plein droit dans la sphère marchande, et devenir LE nouvel objet privilégié de consommation.

Flight into Baghdad challenges sanctions.

Petits articles rappelant les preccupations de milliers de travailleurs du secteur informel concernant le processus de la mondialisation/intégration continentale.

Disponible en francais et espagnol

L'article porte sur les effets négatifs de la mondialisation sur les femmes d'ici et d'ailleurs. Les conséquences de la mondialisation affectent tout le monde, mais les femmes encore davantage et ce, pour plusieurs raisons. Bien que les femmes soient déjà victimes d'injustices soit au niveau du travail, du partage des tâches, de l'éducation et de l'utilisation du corps, la mondialisation accentue et développe de nouvelles illégalités. Notre article vise à expliquer pourquoi et comment la mondialisation profite outrageusement de la femme en tant qu'outil de travail, de force de reproduction du travail et de marchandise. Quatre thèmes principaux sont abordés pour expliquer les effets de la mondialisation: la pauvreté et les conditions de travail, les moyens de vivre, la marchandisation du corps de la femme, ainsi que la violence faite aux femmes en temps de guerre. Ces thèmes permettent de démontrer concrètement comment la mondialisation affecte négativement la vie des femmes.

Cual es el ALCA, sus effectos y quien promueve el ALCA?

Explains what the FTAA is, who is behind it amd what its effects will be.

Effects of, and reactions to, neo-liberal policies in Latin America

L'Accord conclu, en novembre 2000 au sein d'Ecofin ( le conseil des quinze ministres de l'Economie et des Finances de l'Union européenne) est-il un pas " historique " vers une fiscalité plus équitable, où chacun(e) participerait, par ses impôts, au financement des besoins collectifs et sociaux, au prorata de ses revenus et de son patrimoine ?

Notes pour une allocution de Magnus Isacsson, cinéaste documentaire, lors du lancement du Centre des Médias Alternatifs (CMAQ) à Québec, jeudi le 25 Janvier 2001.

Ils continuent à le détruire. Un an après l'échec des discussions de Seattle sur le commerce mondial, des groupes entraînés et bien organisés ont, sans pitié, mis en lambeaux la crédibilité de l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC). Si des mesures fermes ne sont pas prises, il existe un danger réel qu'ils provoquent l'effondrement du système de commerce régulé et qu'ils détruisent les efforts pour réduire la pauvreté et l'inégalité globale..

Il peut sembler un peu risqué de dresser un bilan du dossier des contrats de performance alors que le débat ne s’est pas encore véritablement éteint. Néanmoins, on peut déjà voir dans l’annonce des 400 millions de coupures en éducation, ainsi que dans la réaction des fédérations étudiantes et de plusieurs recteurs, des leçons importantes se dessiner.