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Résistance mexicaineMexique : l'écologie zapatiste, colibris, pelles et pioches...Anonyme, Wednesday, September 1, 2010 - 16:13
Jean-Pierre Petit-Gras
Retour à la réserve écologique zapatiste de Huitepec, au Chiapas... Mexique : Ostula, le droit de vivreAnonyme, Tuesday, August 24, 2010 - 12:15
Jean-Pierre Petit-Gras
A Santa María Ostula, sur la côte pacifique du Mexique, les comuneros nahua ont formé une garde communale pour défendre les terres récupérées depuis juin 2009. « Ils sont entrés chez moi, mais j'ai eu le temps de détaler, par derrière ». Valentín esquisse un sourire. Il y a trois mois environ, 150 individus, armés jusqu'aux dents et se présentant comme membres de la Familia, le cartel le plus important du Michoacan, ont envahi le village de Coire. Ils n'ont pas caché leurs intentions : ils venaient pour tuer Valentín. Car le jeune homme, après s'être activement opposé il y a quelques années au programme gouvernemental PROCEDE, destiné à privatiser les terres collectives des populations indigènes, avait été l'un des plus fervents partisans du soutien aux habitants de la communauté voisine d'Ostula, lorsque ceux-ci ont décidé, en juin 2009, de récupérer le millier d'hectares de terres volées dans les années 1960 par les « petits propriétaires » du bourg de La Tacita. Mexique : voyage au pays des pueblos mágicosAnonyme, Saturday, August 21, 2010 - 19:32 (Analyses | Aboriginal Nations | Agriculture | Politiques & classes sociales | Résistance mexicaine)
Jean-Pierre Petit-Gras
Derrière les slogans alléchants sur les pueblos magicos, le pouvoir mexicain organise brutalement l'expulsion et l'expropriation de nombreuses communautés indigènes et paysannes. Pour offrir aux touristes, notamment ceux du nord, quelques nouveaux disneylands... Mexique : le long calvaire des triqui de San Juan CopalaAnonyme, Thursday, August 19, 2010 - 19:42 Oaxaca, 15 août 2010. Sur le Zócalo, une douzaine de femmes triquis ont installé un plantón. Un campement précaire, qu'elles occupent en permanence avec quelques enfants, dont certains en bas âge. Des banderoles appellent à soutenir le municipio autonome de San Juan Copala, assiégé depuis bientôt un an par les paramilitaires de l'UBISORT. La répression continue a OaxacaAnonyme, Monday, June 28, 2010 - 06:44
Pedro Gonzalez
Dans cette période électorale a Oaxaca ou les politiciens font leurs promesses aux peuples d’un bord et se compromettent avec les multinationales de l’autre. Le train de la modernité fait beaucoup de victime qui se justifie par les apologistes du néo libéralisme. Dans le banc des accusés de nombreuses compagnie minière canadienne ont gagné la palme (ou le napalm orange…) d’or du non respect des droits humains. Il est de notre devoir une fois encore de lever notre voie pour dénoncer la répression contre les communautés de San José del Progreso qui résistent a une entreprise minière canadienne depuis plus d’un an maintenant. (Voir répression 6 mai 2009) [Oaxaca] Échec de la Caravane de solidarité «Beatriz Cariño y Jyri Jaakkola»CDHAL- Solidared, Thursday, June 17, 2010 - 16:11
Comité pour les Droits Humains en Amérique Latine (CDHAL)
A seulement 10 kilomètres de San Juan Copala, la Caravane fut obligée de faire demi-tour à cause des paramilitaires
(17 juin 2010) - Selon les informations obtenues par le Comité Mexican police storm miner's strike (Cananea copper mine)CMAQ via Mic, Thursday, June 10, 2010 - 14:55 (Reportage ind. / Ind. news report | Video | Droits / Rights / Derecho | Repression | Résistance mexicaine | Syndicats/Unions - Travail/Labor)
TheREALnews Network (TRNN)
On Sunday, June 6 at 10 p.m., hundreds of state and federal police stormed the gates of the Mexican Cananea copper mine and forced an end to a more than 1,000-day strike. Tear gas and batons were used to drive the striking miners out of the entrances of the mine. Miners resisted with sticks and by throwing stones, but they were no match for the heavily armed police, who used helicopters and large amounts of tear gas. More than 400 people were also attacked with tear gas in the union hall, including women and children. According to an eyewitness, the police had attempted to trap the people in the building, but they were able to escape from fire exits at the rear of the hall. The mine is located in Cananea, Mexico, near the Arizona border. More than 1,000 members of the National Union of Mine & Metal Workers have been on strike since July 30, 2007. The strike was primarily about health and safety issues. The following interview with one of the leaders of the union was conducted while he was visiting Detroit on April 25. Jacinto Martinez Serna in a heavy machine operator, a member of the executive board of the Miners Union in Cananea and the Secretary of Democratic Tire Workers Cooperative, Mexico. La democracia en MexicoAnonyme, Thursday, June 3, 2010 - 11:24
josefa ortiz
La dictadura con cara de democracia Lo que falta en MexicoAnonyme, Thursday, June 3, 2010 - 09:09 [Oaxaca] Le 20 mai 2010, malgré les appels internationaux, d'autres personnes furent assassinées à San Juan CopalaCMAQ via Mic, Thursday, May 27, 2010 - 19:52
Coalition de groupes mexicains, dont VOCAL (Oaxaca)
Contexte - rappel : Déjà le 27 avril, un convoi humanitaire de militants et d’observateurs internationaux des droits humains a été assiégé et pris dans une embuscade par un groupe de paramilitaires sur le chemin de la communauté de San Juan Copala. L’attentat a tué Jyri Jaakkola (33 ans), militant finlandais des droits humains, et Bety Cariño (37 ans), militante mexicaine en soutien aux groupes de femmes communautaires et aux radios libres. Assassinat du leader de la Municipalité autonome de San Juan Copala, Timoteo Alejandro Ramírez et de sa conjointe Cleriberta CastroNous, Municipalité autonome de San Juan Copala, dénonçons énergiquement l’ASSASSINAT du principal dirigeant de cette commune, le compañero Timoteo Alejandro Ramírez (âgé de 44 ans) et de son épouse Cleriberta Castro (âgée de 35 ans). Ces faits déplorables sont survenus dans la communauté de Yosoyuxi, appartenant à notre Municipalité autonome. Selon les déclarations de quelques témoins, un camion de trois tonnes, sans aucune marque d’identification, qui apparemment livrait de la marchandise, s’est arrêté devant la boutique que les compañeros assassinés avaient à leur domicile. De ce camion est descendu un commando armé qui a exécuté les victimes. Ce commando était composé de quatre personnes NON TRIQUI. La Municipalité autonome rend responsable de ce crime le Mouvement d’unification et de lutte Triqui (MULT). |
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