La semaine passée, un deuxième Wal-Mart québécois, celui de Saint-Hyacinthe, a reçu son accréditation syndicale aux Travailleurs unis de l'alimentation et du commerce (TUAC). Un premier Wal-Mart pourrait bien se retrouvé syndiqué dans la région de Québec puisque des travailleurs du magasin de Sainte-Foy ont déposé des plaintes contre leur employeur à la Commission des relations de travail.

Depuis le cinq janvier, les ouvriers de l’usine Böhler de Châtillon-le-Duc (dans les environs de Besançon) sont en lutte contre les licenciements. En effet, dans cette usine de douze salariés, huit travailleurs ont appris, peu avant les fêtes, qu’ils allaient être licenciés pour « raison économique ».

Sans travail depuis la fermeture, pour une durée indéterminée, de l'usine Port-Alfred d'Abitibi-Consolidated (ACI), à La Baie, survenue en décembre 2003, les ex-travailleurs de cette importante industrie du Saguenay, occupent l'usine depuis ce soir.

MONTREAL, le 19 janv. - Les quelque 200 travailleurs et travailleuses du magasin Wal-Mart de Saint-Hyacinthe pourront désormais compter sur un syndicat pour les représenter devant leur employeur, le géant du commerce de détail. En effet, la Commission des relations du travail du Québec vient d'accréditer la section locale 501 des Travailleurs et travailleuses unis de l'alimentation et du commerce (TUAC), affiliée à la FTQ, qui avait déposé une requête en accréditation pour le personnel de ce magasin en octobre dernier.

On a beaucoup parlé dans les journaux et à la télévision, c'est un euphémisme, de l'affiliation du Syndicat des employés de magasins et de bureaux de la SAQ à la CSN en fin de semaine. L'assemblée générale houleuse de dimanche soir a été racontée en long et en large, la nouvelle analysée sous toutes ses coutures. Pourtant, peu de commentateurs ont souligné l'ironie de l'histoire...

Une réaction aux affirmations contenues dans la lettre du président de la SAQ, parue le 29 décembre 2004 dans plusieurs quotidiens.

La CSN tient à dénoncer une étude rendue publique par l'Institut économique de Montréal qui laisse entendre que la loi anti-briseurs de grève nuit aux travailleuses et aux travailleurs du Québec. « Il s'agit d'une conclusion totalement biaisée », selon la présidente de la CSN, Claudette Carbonneau.

[Alternative Libertaire, nov. 2004]

For years it was already true on the ground. The General Labor Confederation (CGT, anarcho-syndicalist) could be considered as the third Spanish labor organisation, behind the two big union centrals, the Worker's Commissions (CC-OO) and the General Union of Labor (UGT). Now, at the end of the union election process in the private and public sector, it can truly be said, and the numbers prove it, that the CGT is consolidating its position as the third most "representative" of Spain's workers.