Montréal, 5 novembre 2010

Le Regroupement des arrêtéEs du G20 tient à réagir aux faits troublants révélés par le Chef de Police de Toronto, Bill Blair, à la dernière rencontre du Comité parlementaire de la sécurité publique. L’intrusion de la police dans le gymnase de l’Université de Toronto le dimanche 27 octobre, où toutes les 95 personnes présentes ont été arrêtées, était bel et bien illégale. Bill Blair a finalement admis que cette arrestation massive avait été effectuée sans mandat d’arrestation.

Washington, le 25 octobre 2010 – Ce matin, des déléguées du Regroupement des arrêtés du G20 (RAG20) ont assisté à une audience de la Commission interaméricaine des droits de l’homme, traitant des nombreuses violations des droits civils ayant eu lieu lors du G20 à Toronto. Sur la base d’une trentaine de témoignage d’arrêtés, trois organisations de défense des droits civils ont dénoncé l’illégalité des arrestations, les conditions de détention inhumaines et le non-respect des garanties judiciaires prévues par la Charte canadienne des droits et libertés.

Alex Hundert, une des 20 personnes accusées de complot dans la foulée des mobilisations contre le G20, est forcé d'accepter un nouvel assortiment de conditions, dont celle de « ne pas exprimer ses opinions politiques en public, y compris aux médias ».

Site suggéré : www.clac2010.net

Analyse de l'assemblée du RAGE.

Alex Hundert's G20 nightmare began on June 26th when Toronto Police raided his home at 4am, arresting he and his partner Leah Henderson at gunpoint. [...] A judge ruled in September that speaking to the media was protected and didn't break the condition. Four days later Hundert was arrested again immediately after participating as an invited speaker on a university panel. This time, after spending an additional four weeks in prison, a judge sided with the police that Hundert did break the 'no demonstration' condition. Hundert's bail was amended to include a total ban on voicing any political view, specifically mentioning that he not speak with the media. [...]

This also includes a sit-down interview with Hundert that was filmed in September, before the new conditions were added.

The Crown’s Crackdown Can’t Stand Up to the Facts

Montreal, October 14th, 2010 -- The Anti-Capitalist Convergence (CLAC) is overjoyed at the Crown’s decision to drop its charges against the almost one hundred demonstrators who were arrested this past June during the people’s protests against the G20 Summit in Toronto.

L'acharnement de la Couronne ne résiste pas à l'épreuve des faits.

Montréal, le 14 octobre 2010 -- La Convergence des luttes anticapitalistes (CLAC) se réjouit de l'abandon par la Couronne des accusations portées contre près d’une centaine manifestants et manifestantes arrêtéEs en juin dernier dans la foulée des mobilisations populaires contre le Sommet du G20 à Toronto.

Ce vidéo fut produit en réponse au Sommet du G20 à Toronto qui a eu lieu en juin 2010.

Le vidéo parle pour lui-même.

Il nous a été envoyé par une personne amoureuse de la musique qui souhaite rester anonyme.

Nous sommes très fiers de vous partager ce mashup.

- Broken Social Scene

Svp partagez ce vidéo.

[trad. libre de Mic du CMAQ] — Déf. Wikipédia de Mashup

This video was made as a response to the G20 Summit in Toronto June, 2010.

The rest speaks for itself.

It was sent to us by a lover of our music who wants to remain anonymous.

We are very proud to share this mash-up with you.

- Broken Social Scene

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(Montréal, le 10 octobre 2010) Suite au retrait des accusations de complot envers les personnes arrêtés au gymnase lors des événements entourant le G20, le Regroupement des Arrêtés du G20 applaudit cette victoire et rappelle que ces accusations ont étés vivement contestés pendant plus d’une centaine de jours.

Cette victoire prouve que les arrestations ont été faites sans preuves quelconque envers les personnes dormant au gymnase le 26 juin dernier à l’Université de Toronto et qu’il en est de même pour les accusations qui leurs ont étés portées. Le RAG20 déplore grandement la répression ainsi exercée par le Gouvernement sur les individus et sur leur liberté d’assemblée et d’expression pendant les événements du G20 et au cours des mois qui suivirent. Cette répression s’exerce toujours sur une majorité des accusés et le RAG20 continue de la dénoncer et encourage encore aujourd’hui le Gouvernement à laisser tomber les charges pour l’ensemble de ses accusés, ainsi que la tenue d’une commission d’enquête publique.

- Le Regroupement des Arrêtés du G20
http://rag20.wordpress.com/