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Syndicats/Unions - Travail/LaborFermeture et négociations chez Air Liquide Chantage éhontéNicolas, Martes, Septiembre 9, 2003 - 15:13
FTQ
MONTREAL, le 8 sept. - Les négociations chez Air Liquide se déroulent dans un contexte de chantage éhonté avec notamment des fermetures, des transferts de production en Ontario et des reculs majeurs. En janvier, Air Liquide fermait la division ALPC. En juillet, en plein coeur des négociations, elle annonçait la fermeture de l'usine de Boucherville et le transfert de la production en Ontario. "Air Liquide détruit tout sur son passage. Nous nous étions entendus sur les demandes non monétaires. Une entente prise le 15 juin au matin ne tenait plus dans l'après-midi! Nos demandes monétaires sont raisonnables. La compagnie ne le conteste pas. Air Liquide veut transférer de la production en Ontario et en profite pour casser le syndicat. C'est certainement une des pires négociations que j'ai vécues en termes de mauvaise foi", a déclaré Bruno Lefebvre, coordonnateur du Syndicat des Métallos (FTQ) pour la région de Montréal. Fin de la grève à la Coop IGA de Ste-FoyNicolas, Martes, Septiembre 9, 2003 - 12:56
André Dumas, négociateur (TUAC-503)
Les salariés reprennent le travail le sourire aux lèvres. Après 19 semaines de grève, les parties en sont venues à une entente finale qui fut entérinée à 90% lors d'une assemblée générale des membres le 29 août 2003. Manifestation réussie pour le droit à la syndicalisation des services de garde en milieu familialNicolas, Martes, Septiembre 9, 2003 - 12:30 (Reportage ind. / Ind. news report | Droits / Rights / Derecho | Femmes / Women / Mujeres | Resistance & Activism | Syndicats/Unions - Travail/Labor)
CSN
Le lundi 8 septembre en soirée, une cinquantaine de responsables des services de garde du Syndicat des éducatrices et des éducateurs en milieu familial de la région de Québec (CSN) ont manifesté devant l’Assemblée nationale du Québec pour dénoncer la volonté du gouvernement de leur enlever le droit à la syndicalisation. L'Université de Montréal contre l'équité... au Tribunal de se prononcer!Nicolas, Lunes, Septiembre 8, 2003 - 10:29
SCFP
Le 12 juin, la Commission des droits de la personne et de la jeunesse recommandait à l’Université de Montréal (UdeM) de verser plus de 35 millions de dollars aux employées de soutien, victimes «de discrimination fondée sur le sexe dans le système d’évaluation et la structure salariale». Dans sa décision, elle demandait à l’UdeM de se verser les sommes au plus tard le vendredi 12 septembre à 15 heures. « Le coup de force de Bombardier contre ses employés de cafétérias ne passera pas comme lettre à la poste » - Henri MasséNicolas, Lunes, Septiembre 8, 2003 - 10:22
FTQ
Montréal, le 5 septembre 2003 – « La FTQ et ses syndicats affiliés se sont battus depuis des dizaines d’années pour que la sous-traitance ne soit pas synonyme de nivellement par le bas des conditions de travail, de dégradation de l’environnement de travail et des conditions de vie des travailleurs et des travailleuses. Lock-out contre 400 membres de la FTQ chez le fabricant de bottes de caoutchouc Acton International, à Acton Vale – Liste desNicolas, Lunes, Septiembre 8, 2003 - 10:17
FTQ
Montréal, le 4 septembre 2003 – Quelque 400 salariés du fabricant de bottes de caoutchouc Acton International, à Acton Vale en Montérégie, viennent de se faire imposer un lock-out. Ils avaient rejeté les dernières offres patronales dans une proportion de 86 %. Les principaux points en litige sont le recours à la sous-traitance, l’ancienneté, le régime d’assurances et les salaires. Les lock-outés sont membres de la section locale 480 du Syndicat des communications, de l’énergie et du papier (SCEP-FTQ). Un syndicat pour les employés-étudiants de l’UQAM – Liste des nouveaux syndicats FTQ par régionsNicolas, Lunes, Septiembre 8, 2003 - 10:13
FTQ
Montréal, le 4 septembre 2003 – Les employés-étudiants de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) ont décidé de se donner un syndicat, annonce le secrétaire général de la FTQ, M. René Roy. Plus de 500 étudiants travaillent comme assistants d’enseignement et de recherche, ainsi que comme correcteurs et surveillants d’examens, dans tous les établissements de l’université. La requête en accréditation syndicale vient d’être déposée auprès de la Commission des relations du travail par l’Alliance de la fonction publique du Canada (AFPC), affiliée à la FTQ. Le syndicat, qui a recueilli un appui largement majoritaire, compte bien réaliser une première dans une université au Québec. L'assurance-emploi vole – aux travailleuses surtout. Les temps ont changé. Le travail a changé. L’assurance-emploi doit chNicolas, Miércoles, Septiembre 3, 2003 - 16:02
CTC-FTQ
Ottawa, le 3 septembre 2003 - Les femmes qui travaillent pour subvenir aux besoins de leur famille et qui cotisent pour obtenir la protection de l'assurance-emploi se font voler par le gouvernement fédéral. Un rapport publié aujourd'hui montre que le Régime d'assurance-emploi, mis en place en 1996 pour administrer l'assurance-chômage, procure des prestations à seulement un tiers des travailleuses qui perdent leur emploi. En lock-out - Les travailleuses et les travailleurs de Nova Bus s'inquiètent pour la sécurité du publicNicolas, Miércoles, Septiembre 3, 2003 - 15:58
CSD
MONTREAL, le 3 sept. - Les 330 travailleuses et travailleurs de l'usine Nova Bus de Saint-Eustache, en lock-out depuis le 23 juin dernier, sont inquiets. Ils doutent sérieusement que les derniers autobus de transport urbain terminés sans eux, par la compagnie, au cours des dernières semaines soient vraiment sécuritaires. Membres du Syndicat démocratique des salarié-es de Nova Bus, affilié à la Centrale des syndicats démocratiques (CSD), ces travailleuses et travailleurs ont décidé d'exprimer publiquement leurs doutes et leur inquiétude, craignant pour la sécurité des usagers du transport en commun comme pour celle du public. "Nous nous devions de réagir vite et publiquement, car c'est de la sécurité même des gens dont il est question, au-delà du conflit de travail que nous vivons actuellement", affirme le président du syndicat, Claude Alarie. Livrer à tout prix Depuis le début du lock-out, la compagnie Nova Bus, une division de Prévost Car, a décidé de poursuivre coûte que coûte les livraisons d'autobus, plutôt que de les retarder, les interrompre tant que dure le conflit de travail. C'est ainsi qu'elle a décidé de faire aligner les autobus à Boucherville et de les faire terminer dans une autre usine de Prévost Car, à Saint-François-du-Lac. "Les travailleurs de cette usine sont loin d'être spécialisés dans l'assemblage, ni dans la finition, ce sont des soudeurs, ils fabriquent la structure des autobus. L'usine ne dispose pas, non plus, des installations et de l'équipement requis pour effectuer des vérifications, encore moins des réparations", explique Claude Alarie. En outre, les travailleurs syndiqués de Saint-François-du-Lac ont tous été mis à pied, toute la production est arrêtée depuis le déclenchement du lock-out qui frappe l'usine de Saint-Eustache. La compagnie allègue que c'étaient des cadres de Saint-Eustache qui s'occupent de la finition des autobus à l'usine de Saint-François-du-Lac. "Il y en a peut-être eu, mais nous avons la preuve sur vidéo que des briseurs de grève (des scabs) ont bel et bien travaillé sur les moteurs ainsi que sur la boîte de contrôle électronique, qui est au coeur du fonctionnement des autobus", ajoute-t-il. Une vérification poussée Avant d'être acheminé aux clients, chaque autobus est soumis à des tests serrés de contrôle de qualité. Ces tests qui comprennent quelque 200 points sont exclusivement effectués par les salariés de Nova Bus à Saint-Eustache, la plupart sont des travailleurs hautement qualifiés et expérimentés qui affichent plus de 20 ans d'expérience. De plus, quand les tests de qualité sont terminés, le travailleur ayant effectué la vérification appose son numéro de matricule dans le livre de non-conformité. Ce même travailleur appose une étiquette d'identification sur le véhicule. Dans toute l'usine, huit personnes syndiquées seulement sont habilitées et autorisées à le faire. Les cadres pourraient théoriquement faire ces tests, mais le syndicat doute qu'ils aient l'habileté manuelle pour les exécuter. Des actions de sensibilisation Le comité exécutif s'est rendu à Québec la semaine dernière afin d'y rencontrer des représentants des mécaniciens et des chauffeurs du Réseau de transport de la Capitale (RTC). Par cette démarche, le comité exécutif voulait leur faire part de ses inquiétudes. En effet, Nova Bus doit fournir 19 autobus à la RTC, or, au moment du déclenchement du lock-out, les travailleurs de l'usine de Saint-Eustache n'avaient pas procédé aux derniers tests de qualité. Pourtant, quelques autobus ont déjà été livrés, certains même devraient être en service dès cette semaine à Québec. "Est-ce que les tests de vérification ont été effectués sur ces autobus? Et, si oui, qui les a faits? Il y a peu de gens à l'intérieur de l'usine qui sont capables de le faire, si bien que nous ne pouvons qu'avoir de sérieux doutes : les autobus livrés au RTC sont-ils vraiment sécuritaires?", s'interroge le président du syndicat. Il a d'ailleurs invité les travailleurs du RTC à être particulièrement attentifs, entre autres de surveiller de près le système de freinage comme le pare-brise qui peut parfois présenter pour le chauffeur une mauvaise définition de la vision. La moindre défectuosité pourrait avoir de graves conséquences pour la sécurité des usagers comme pour celle du grand public. "Ce sont les connaissances, l'expertise développée au fil des années par les travailleuses et les travailleurs qui constituent pour le public la meilleure garantie qui soit quant à la qualité des autobus fabriqués à Saint-Eustache. C'est aussi un gage de sécurité. La compagnie peut bien le nier, mais ce sont ces travailleuses et ces travailleurs qui font la différence entre un autobus sécuritaire de qualité et un autobus qui peut mettre la sécurité des gens en danger", souligne Denis Giguère, conseil syndical à la CSD. L'exécutif a également rencontré les travailleurs d'une autre usine de Prévost Car à Sainte-Claire afin de les sensibiliser à ce qu'ils vivent actuellement. Toujours déterminés Entamant leur 11e semaine de lock-out, les travailleuses et les travailleurs syndiqués de Nova Bus sont toujours aussi déterminés qu'au premier jour. Profondément solidaires, ils entendent se battre jusqu'au bout pour conserver et améliorer leurs acquis, notamment en ce qui trait à la protection de l'ancienneté et à la limitation de la sous-traitance. Sans contrat de travail depuis juillet 2002, les travailleuses et les travailleurs ont, quelques jours avant le lock-out, majoritairement rejeté les offres patronales, qui comprenaient un contrat de travail de cinq ans avec des Ça brasse dans les épiceries de QuébecNicolas, Miércoles, Septiembre 3, 2003 - 10:08
Collectif anarchiste La Nuit
Quand on parle de syndicalisme et de grèves, la plupart des gens n'ont pas vraiment en tête une épicerie (on aurait plutôt tendance à penser "usine", "industrie" ou à la limite "voirie"). Et pourtant les grèves se multiplient dans les supermarchés de la région de Québec. Les 140 syndiqué-e-s du IGA-COOP de Sainte-Foy, par exemple, sont en grève générale depuis le 18 avril dernier. |
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