Des participants aux manifestations de casseroles, les syndicats et les partis politiques font tout pour détourner la lutte des prolétaires et des étudiants vers le show électoral. Pour contrôler la lutte actuelle contre les mesures d'austérité et la répression policière et judiciaire et afin qu'elle prenne de l'expansion, il faut faire comme les prolétaires grecs et espagnols et envisager sérieusement une grève générale.

We made these proposals for political work as we have been very much motivated by and strongly support the editorial content of the Revolutionary Perspectives #59 from the CWO, British section of your organization, the ICT.

Internationalist Communists - Klasbatalo
cim_...@yahoo.com

Bonjour,

Comme vous vous en doutez, les abuseurs et publicitaires automatisés sur Internet sont un fléaux pour un média libre ou ouvert comme le nôtre.  Pour filtrer les faux-comptes, des questions de sécurité sont posées.  Malgré plusieurs grosses notices en rouge quand les gens créent un compte, certaines personnes trouvent le tour de déclarer « Je suis un engin automatisé...».  Jadis, pendant environ une année, je tentais de remarquer ces erreurs et d'éviter la destruction de leur compte, mais ce dernier mois j'ai détruit une centaine de nouveaux comptes* qui ont déclaré être des «spammers», même si visiblement trois à cinq étaient de vraies personnes honnêtes.  Pour comprendre pourquoi j'ai été un peu radical cette fois, voici une image de ce que les gens voient lorsqu'ils/elles créent un compte sur le CMAQ.net...

* ce système de filtrage/destruction n'est pas appliqué contre les anciens comptes qui n'avaient pas à répondre à cette question.

[ Mic de CMAQ : c'était un commentaire sous la notice d'introduction de ce Indymedia-Québec. Ne voulant pas se débat énervant sous cette notice, je déplace son commentaire ici dans la section Analyses et j'ai sélectionné les rubriques.]

Si je comprends bien vous m'avez fait un procès à cause de mes prises de position! J'avoue que je suis un peu provocateur et excessif parfois, mais je trouve cette levée de boucliers contre moi assez loufoques. Vous n'aimez pas les débats musclés? J'imagine que vous allez répandre toutes sortes de choses sur mon compte comme faf, rouge-brun,antisémite, raciste et autres du même acabit!

Le 4 décembre dernier, lors d’une soirée des projectionnautes, j’ai entendu un universitaire rabaisser la théorie en public. Rien d’étonnant j’en conviens, les forces qui sapent le potentiel de l’institution opèrent aussi de l’intérieur. Mais imaginez-vous donc que le détracteur en question est un chargé de cours anarchiste! Derrière ce drame ordinaire de la critique, il y a aussi celui d’un milieu qui autrefois s’y enracinait, et qui fait dorénavant dans l’économie de la pensée. Les petites têtes qui le représentent, faute de parvenir à trouver une manière de se renouveler, basculent dans la haine de la théorie, et ce même quand il s’agit de l’objet de leur vie professionnelle. Quelle misère!

Carta de EDNA POZZI a Oscar Portela

Querido Oscar: De una profunda ternura y grandeza la carta de Abel Posse. La comparto casi totalmente y en especial cuando se refiere a tu obra. Reconforta como un acto de justicia.

No sé si opondría ese tremendo poema, con una cierta desvalorización de "la poesía intimista". Recuerdo un encuentro de poetas en Chile, donde un poeta mayor nos dijo:

"Ustedes escriben mirándose el ombligo". Se refería a los argentinos, mejor dicho a los porteños. Yo en absoluto me considero representante de algo que podría llamarse "poesía metropolitana". Pero me dío bronca, (ese afán de plegarme a las causas perdidas) y le dije:

"Es que nuestro ombligo sangra...". Porque a esta altura, querido Oscar, ya sabemos que la poesía está en las cosas mínimas y en las grandes cosas, en las palabras mayores y en la pequeñas, desvalidas, que apenas si respiran.

Y yo, que querés que te diga, muchas veces me he visto como "un tímido empleado de la vida".

Entonces, mi amigo, más allá de estos devaneos, quiero darte las gracias por tu poesía y en especial por este poema.

Traduce nuestra tremenda incomodidad, la vida de los márgenes, esa permanente sensación de asfixia, la seguridad de la derrota, la imposibilidad de alcanzar el bien.

Uno va dejando pedazos de piel en esta lucha. Porque escribimos con todo el cuerpo, con el higado, con la sangre, con el viejo y gastado corazón. Tu poema se pone de pié, dice nó!, es lamento y es apostrófe, pero por sobre todas las cosas, es la hermosura del grito, cuando nace una rebelión total, de una total exaltación de la palabra, de una entrega dolorida y valiente.

No cualquier grito conmueve, no cualquier poema se acerca peligrosamente a la verdad, no cualquier poema estalla, hace trizas las paredes del odio y la mentira.

Yo, mi talentoso amigo, estoy de tu lado. No lo dudes. A veces envidio como otros escriben, pero algo me salva, creo, de esa mezquindad.

Siento una profunda alegría cuando me topo con la poesía, con la verdadera poesía.Ya lo sabés, cuando voy más allá de la hojarasca de poemas chirles, invertebrados, amorfos, con que nos fatigan, nos entristecen. Así que este poema es también mío.

Por donde vayas, puedo y debo acompañarte.Recibe la calidez y la ternura de mi amistad.

Edna Pozzi.-

*/ Edna Pozzi es hoy una de las poetas
mas importantes de Iberoámerica.

"Tiempo de Noticias" consultó al escritor y poeta correntino Oscar Portela acerca de algunos intentos por suprimir la “memoria”, como lo acontecido en una clase de música de la ciudad de Mercedes, donde un directivo de establecimiento escolar mandó a sus alumnos arrancar la página de un libro que tenía inscripta una canción de León Giéco; o “la corrección” al prólogo de la edición 2006 del informe “Nunca más”, de Ernesto Sábato.
Horacio Torres

estoy muy viejo para ser feliz. oscar portela