Journal Alternatives
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Dans la parution du journal Alternatives de décembre 2008, un article signé Suzy Vézina, sous le titre « Cuba, la poursuite de la résilience » m’incite à émettre quelques réflexions.

Michael Walsh

La position du Groupe Internationaliste Ouvrier sur les élections prochaines

Démontons la propagande médiatique des medias officiels et mainstreams français

L'épisode quasi clownesque d'un prétendu « réseau ultra-gauche de la mouvance anarcho-autonome » (sic ? ?) auquel on assiste en France au début du mois de novembre, ne doit pas nous faire oublier que ce type de manoeuvre prend un tour beaucoup plus dur dans certains pays où, par exemple au Mexique, une soi-disant lutte contre le narco-trafic et ses pratiques terroristes aboutit au mitraillage de manifestations ouvrières à partir d'hélicoptères.

Affiche de solidarité avec les 6 sans-papiers incarcérés en france, accusés de l'incendie du centre de rétention de Vincennes

La France fut le pays des droits de l'homme, elle est désormais le pays des droits féodaux de Blaireau Ier, de ses magistrates rachidatisées et leurs groupies ninjas terroristes.

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Robert Camoin répond brillamment à la compromission d'Henri Simon et ses amis dans une campagne très "nationale" où s'affrontent les deux lobbies: le nucléaire et l'anti-nucléaire. Qui va l'emporter à votre avis?

la france de la honte la france des sarkozy hortefeux

Dans le but de situer économiquement l'intervention du GIO lors du débat publique du 29 novembre au Comité Social, nous soumettons d'avance notre traduction d'un texte en italien de notre courant sur la crise actuelle. Ce texte, écrit il y a plus d'un an est d'une très grande actualité. Nous le soumettons en tant que mise en situation des enjeux. Pour en savoir plus sur ce débat, voir la colonne des activités à venir du CMAQ . Bonne lecture!

“Criminalizar” la lucha de clase es también utilizar el menor pretexto de “desbordamiento”, el menor intento de salir del encierro sindical por parte de obreros combativos para hacer caer sobre nuestra clase la represión policíaca y estatal.

voila comment on traite les profs en lutte dans la france de Sarkozy

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President Hugo Chavez insists that we bury capitalism immediately. However, according to history in the White House, always after the "democratic" ballot, in the name of "freedom", comes the "republican "bullet". This already Simon Bolivar knew. Quantitatively we won, but qualitatively and strategically we have to be extremely careful, Antonio Ledezma is "going to Miraflores" again.

Après six années et demie de bataille judiciaire, l'incroyable saga des procès des manifestants du 15 mars 2002 vient de connaître son dénouement avec l'acquittement des derniers groupes d'accusés par un jugement de la Cour supérieure du Québec qui n'a pas été porté en appel. Retour sur une saga judiciaire de longue haleine dont qui ne manque pas de rebondissements à couper le souffle.

El Presidente Hugo Chávez insiste en que enterremos el capitalismo de inmediato. Sin embargo, de acuerdo a la historia en la Casa Blanca, siempre después del voto "democrático", en nombre de la "libertad", viene la bala "republicana". Esto ya lo sabía Simón Bolívar. Cuantitativamente hemos ganado, pero cualitativamente y estratégicamente tenemos que ser extremadamente cuidadosos, Antonio Ledezma "va a Miraflores" de nuevo.

- Pour signer l'appel : http://www.objecteursdecroissance.fr

Il y a 90 ans, la révolution allemande : 1918-19, la formation du parti, l'absence de l'Internationale...

Le 25 novembre 2006 ne s’oublie pas!
Aujourd’hui en cette fin d’automne par un soleil radieux sont sortie les masses laborieuses de Oaxaca à commémorer le 25 novembre 2006 dans les rues de Oaxaca. Une marche massive clamant la liberté des prisonniers politiques, le châtiment des crimes commis par le gouvernement criminels de Ulises Ruiz Ortiz de Oaxaca et Félipe Calderon du Mexique avec l’entré de la PFP (Police Fédérale Préventive) à Oaxaca pour mettre une fin brutale à l’occupation de 6 mois de l’APPO de la ville de Oaxaca.

Le Mexique tente par tous les moyens de donner au monde une image d’un pays démocratique. La vérité est tout autre : le gouvernement de Felipe Calderón, au pouvoir depuis 2006 à la suite d’un scrutin marqué par de nombreuses irrégularités, impose sa politique néolibérale « con mano dura ». selon son slogan de campagne. Militarisation, contrôle de la population, barrages militaires, création de forces militaro policières, répression féroce des luttes sociales, arrestations arbitraires, emprisonnements sans jugement, tortures systématiques, enlèvements, menaces de toutes sortes, ajoutés à la corruption généralisée du système sont la réalité dans laquelle tente de survivre la majorité de la population mexicaine dans une situation de pauvreté côtoyant d’immenses fortunes souvent liées au trafic de drogue.

Correcting our political perspective

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Réunion de contacts du CCI à Paris : l'expression du besoin du débat politique ouvert...

Forum social au Pérou : des internationalistes dénoncent le "socialisme bourgeois"...