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Analyses (fr) | Analysis (en) | Análisis (es)


 

FRANTZ OMAR FANON : URGENT LESSONS FOR THE BOLIVARIAN REVOLUTION

franz, Lunes, Marzo 28, 2005 - 10:38

Franz J. T. Lee

 
(Revised, Corrected Version)

By Franz J. T. Lee

A while ago, in a VHeadline commentary we have dealt with the ideological concept "race", its global implications in such terms as "fascism", "racism" or "racial prejudice"; the historic roots of oligarchic racism in Venezuela; its meaning after the globalized bourgeois-democratic capitalist revolution, its colonial, psychological sublimation in mass media communication, morality, ethics, aesthetics, politics, ideology and religion in Venezuela, in Latin America and elsewhere.
See: http://www.vheadline.com/readnews.asp?id=22589



Argentine : Criminaliser c'est réprimer

Anonyme, Domingo, Marzo 27, 2005 - 17:21

fab

 
"La justice est comme une vipère, elle pique ceux qui marchent pieds nus".



Automobile et destruction de la planète

Anonyme, Domingo, Marzo 27, 2005 - 10:39

Marcel Robert

 
Après avoir connu une période de "guerre froide" entre 1945 et 1990 basée sur le spectre de la destruction de la planète par l'atome, nous sommes désormais entrés dans une période de "guerre chaude" caractérisée par la menace de la destruction de la planète par l'automobile.

Cette guerre chaude se fonde sur un développement massif de l'usage de l'automobile à l'échelle planétaire, sur un réchauffement climatique mondial désormais avéré, sur des tensions de plus en plus fortes sur les cours des matières premières (dont le pétrole), sur un pillage massif et un épuisement attendu de la ressource pétrolière, sur des guerres de conquête et de contrôle des réserves pétrolières.

antivoitures.free.fr/


Argentine : Au-delà du salaire

Anonyme, Domingo, Marzo 27, 2005 - 09:46

fab

AU-DELA DU SALAIRE

Réflexions à partir de la lutte des travailleurs du métro de Buenos Aires.



Ressources contre les médias (presse écrite, électronique, radiotélédiffuseurs) et la désinformation au Québec et au Cana

Sylvie_de_ZOMBIE, Sábado, Marzo 26, 2005 - 21:37

Sylvie Brunet

La grève étudiante des dernières semaines, m'a amenée à suivre de plus près les gros médias québécois et canadiens, puis, à les surveiller après avoir trouvé plusieurs cas de désinformation et de manipulation frauduleuse de l'information. De cette surveillance sont nés plusieurs articles sur ZOMBIE (Désinformation dans les médias à propos de la grève étudiante : Comment faire mentir les chiffres par David Côté et Sylvie Brunet, Très clair biais en faveur du gouvernement dans la couverture médiatique récente de la grève étudiante par David Côté, Le club des privilégiés - à propos du système français réponse à l'éditorial de Katia Gagnon, par Benoit Viaud) mais aussi plusieurs courriels qui ont été envoyés aux médias fautifs et aux autres médias corporatifs et indépendants. Un petit problème récurent cependant : les médias fautifs font fi de ces courriels de plainte. Non seulement ils ne rectifient pas leurs tirs, mais ils ne répondent tout simplement pas. De là est montée une grande frustration : Comment faisons-nous pour nous faire entendre en tant que simple citoyen, et, à tout le moins, comment réussir à faire respecter les normes de base de l'éthique journalistique : présenter des faits véridiques et ne mas manipuler frauduleusement l'information.

www.zombie.lautre.net


De la grève générale à la communisation généralisée

Anonyme, Sábado, Marzo 26, 2005 - 18:10

Calvaire

Un au-delà de la grève générale étudiante actuelle

« On arrête tout et on communise » pourrait être une affirmation communisatrice. Mais que voudrait dire On arrête tout et on communise ? L’arrêt serait de faire la grève contre tout ce qui nous détermine (identités et matérialisation de la condition d’hommes, de femmes, de travailleurs et de travailleuses, d’étudiants et d’étudiantes, de nos conditions nationales, raciales, sexuelles...). Ne plus être que des « singularités quelconques », des sans identités, des sans propriétés et des sans papiers, des singularités sans prédicats sociaux, des formes de vie qui se font et se défont, des affirmations communes-subjectives, des êtres qui ne travaillent pas mais qui vivent et par conséquent font des choses. Des lieux et rencontres d’affects, de circulation d’affects et des expressions de la vie entièrement communisée sans médiations (sans États, sans partis, sans corporations, sans entreprises, sans groupuscules...). Nous ne serions que sans propriétaires, sans patrons et sans propriétés.

meeting.senonevero.net


COMMENT FAIRE ?

Anonyme, Sábado, Marzo 26, 2005 - 17:59

TIQQUN

La grève humaine, aujourd’hui, c’est refuser de jouer le rôle de la victime. S’attaquer à lui. Se réapproprier la violence. S’arroger l’impunité. Faire comprendre aux citoyens médusés que s’il n’entrent pas en guerre ils y sont quand même. Que là où l’ON nous dit que c’est ça ou mourir, c’est toujours en réalité ça et mourir.

Ainsi, de grève humaine en grève humaine, propager l’insurrection, où il n’y a plus que, où nous sommes tous des singularités quelconques.

www.infokiosques.net


Dans la mire de Bush: la Syrie (puis l'Iran)

Anonyme, Sábado, Marzo 26, 2005 - 15:02

Jean-François Champagne Bélanger

 
Petite analyse sur la présentation que les médias ont faite du conflit entre la Syrie et le Liban. Questions soulevées par la pertinence d'un assassinat syrien sur Hariri.

www.monde-diplomatique.fr


Los Fraudes Cientificos en la Historia

Anonyme, Sábado, Marzo 26, 2005 - 07:53

Pablo C. Schulz e Ida Katime


Blog, Blaw, Blog, Blaw, Blog…Is Blogging Journalism?

Anonyme, Viernes, Marzo 25, 2005 - 19:01

Michael Hull

 
The latest question to that has concerned credibility in journalism is the “authenticity



Meme Warfare

Anonyme, Viernes, Marzo 25, 2005 - 09:15

SD

Free e-Book



Etats-Unis : une société malade

Anonyme, Jueves, Marzo 24, 2005 - 22:45

Radio-Havane

Le gouvernement des États-Unis essaiera d'avoir au moins un petit quelque chose contre Cuba à la Commission des Droits de l'Homme des Nations Unies qui siège en ce moment à Genève. Il s'est vu obligé de présenter lui-même la résolution anti-cubaine cette année car il n'a trouvé personne ni en Amérique Latine ni en Europe pour se prêter à son jeu. Son texte insipide lui permettra de maintenir la question à l'ordre du jour afin, en le faisant voter à coups de pressions, de justifier d'une certaine manière le blocus contre le peuple cubain.

www.radiohc.cu


Encore de la désinformation de la part de la Presse Canadienne en rapport avec l'offre Fournier

Sylvie_de_ZOMBIE, Jueves, Marzo 24, 2005 - 17:57

Sylvie Brunet et David Côté



On pourrait passer 24h/24 à surveiller les médias corporatifs et à se frustrer du contenu qu'ils présentent sans se soucier de leur véraciter...

S'il vous plait, quand vous voyez des cas comme cela, écrivez aux journaux de rectifier leurs tirs!!!

www.zombie.lautre.net


LA FORTUNE DE FIDEL

oscar, Jueves, Marzo 24, 2005 - 09:12

LA REVUE FORTUNE ATTRIBUE À FIDEL UNE FORTUNE DE PLUS DE 500 MILLIONS $. EN PLUS DU DÉMENTI DE CETTE AFFIRMATION QUI DOIT ÊTRE COMPRISE DANS LA STRATÉGIE DE L'ADMINISTRATION BUSH DE DISCRÉTITER PAR TOUS LES MOYENS FIDEL, GRANMA INTERNATIONAL MET EN ÉVIDENCE LA VÉRITABLE RICHESSE DE FIDEL...



GRÈVE ÉTUDIANTE - à la croisée des chemins

Alex V, Jueves, Marzo 24, 2005 - 07:51

C'est un affrontement de classe auquel on a droit actuellement dans le milieu étudiant. La grogne et la tension montent et c'est à juste titre. Ignorez les médias corporatistes, ignorez les sondages incorporés; vous avez le support d'une majeure partie de la population...



Très clair biais en faveur du gouvernement dans la couverture médiatique récente de la grève étudiante

Sylvie_de_ZOMBIE, Miércoles, Marzo 23, 2005 - 21:58

David Côté

La coupure de 103 millions par année dans le programme des prêts et bourses du gouvernement Charest et l'opposition à cette coupe des étudiants et de plusieurs autres groupes fait les manchettes depuis maintenant près d'un an. À défaut d'une analyse complète de la couverture médiatique de ce dossier, l'analyse de certains articles récents parus dans les principaux médias québécois montre un parti-pris très clair en faveur du gouvernement.

www.zombie.lautre.net


La fortune de Fidel

Anonyme, Miércoles, Marzo 23, 2005 - 20:57

Hector Arturo

QUELQUES-UNS des pamphlets made in USA qui pullulent dans tous les kiosques du monde et décrivent celui-ci à leur image et convenance s’acharnent une fois de plus contre Fidel Castro et publient des chiffres fabuleux sur «sa fortune personnelle», sûrs qu’ils sont de pouvoir tromper tout le monde tout le temps.

www.granma.cu


Désinformation dans les médias à propos de la grève étudiante : Comment faire mentir les chiffres

Sylvie_de_ZOMBIE, Miércoles, Marzo 23, 2005 - 20:09

Sylvie Brunet et David Côté

Désinformation dans les médias à propos de la grève étudiante : Comment faire mentir les chiffres

www.zombie.lautre.net


Notre lutte : Ensemble citoyens

Le Shaman, Miércoles, Marzo 23, 2005 - 11:16

Le Shaman

Un étudiant qui se sent isolé

www.asse-solidarite.qc.ca


ENFIN !

christianb, Miércoles, Marzo 23, 2005 - 10:08

Christian Brouillard, enseignant en Science politique au CÉGEP de Drummondville

Brève réaction face à la couverture de presse des actions étudiantes de la CASSÉ du 23 mars.



Jeff FilliOZ

pythagore, Miércoles, Marzo 23, 2005 - 07:39

Parlons de "téléréalité". C'est à une version "réalité" du Magicien d'Oz que le Québec a eu droit dans l'affaire Fillion vs Chiasson.



M. Fournier : Cela a assez duré! (Lettre à Fournier sur le véritable contenu de son offre et la nécessité d'un règlement r

Sylvie_de_ZOMBIE, Martes, Marzo 22, 2005 - 21:11

Sylvie Brunet et David Côté

Monsieur Fournier,

La situation devient de plus en plus déplorable. Les étudiants du Québec sont en train de compromettre sérieusement leur session pour vous prouver qu’ils sont toujours en désaccord avec votre supposée offre généreuse. Il est temps d’agir et de mettre fin à tout cela. Le temps est précieux, la réussite des étudiants également. Mais surtout, le dénouement de cette histoire aura des conséquences directes sur l’accessibilité à l’éducation des Québécois et Québécoises pour le présent et le futur. Cette lutte n’est pas que la lutte des étudiants, c’est celle des tous les citoyens du Québec.

www.zombie.lautre.net


Biochemistry and Corruption in Argentina

Eduardo R. Saguier, Martes, Marzo 22, 2005 - 18:43

Eduardo R. Saguier

Scholars who use public funds, specially university
professors who do research together with young university students should exhibit elementary ethic standards. There are a lot of researchers who work with a very low salary or without any economic benefit whatsoever. And these bad
examples defraud their expectations

www.er-saguier.org


Six students arrested, one injured after protest at Port of Montreal

dotwo, Martes, Marzo 22, 2005 - 17:33

Dave Weatherall

Montreal riot police arrested six protesters on Tuesday, after students erected roadblocks barring truckers access to the Port of Montreal’s two entrances.

asse-solidarité.qc.ca


Briser le mmouvement de la rectitude politique et de la timidité de la gauche

Anonyme, Martes, Marzo 22, 2005 - 13:26

Simon Vallée

C’est une pseudo-idéologie qui, telle une maladie, affecte les mouvements de gauche, les discréditant pour plusieurs et les détournant de leurs principaux objectifs. Comme symptômes, l’on constate un alourdissement des textes, des opinions hésitantes de peur de contrarier et un empressement à accepter tout ce que désire les groupes représentants des minorités dans notre société. Quel est ce mal ?

Et oui, vous l’avez deviné (ou lu dans le titre) : la rectitude politique.

Le "politically correct", quoi.

Dans l’ensemble de la société, il y a un accord pour traiter celle-ci comme il se doit, en des termes péjoratifs. Accuser un politicien de rectitude politique est la même chose que de le traiter d’hésitant, de timide, d’ennuyant. Pourtant, il semblerait que plusieurs, autrement possédant de bonnes idées et une bonne volonté, succombent à cette envie dans leur quête d’égalité sociale.

Attention, il ne faut pas confondre rectitude politique et égalité sociale, le premier n’étant que le second poussé à ses extrêmes, au-delà des limites fixées par le bon sens. Bien que les deux soient motivées par de bonnes raisons, les deux sont radicalement différentes sur le plan de l’utilité. La rectitude politique est un exercice souvent futile, attaquant des perceptions d’injustice plutôt que des injustices elles-mêmes, et tachée de ridicule, alors que l’égalité sociale est nécessaire à une société humaniste.

Dans les milieux progressistes, ce mal est frappant, et il n’est pas surprenant de voir l’UFP en montrer quelques symptômes : invitation à "féminiser" tous les textes (l’épicène serait mauvais et injuste) et acceptation de demander dans son programme la majorité, sinon la totalité, des revendications des groupes de femmes ou de minorités ethniques. Je n’ai rien contre la lutte contre la discrimination, et évitez de me traiter de raciste ou de sexiste, mais il faut savoir s’arrêter dans la lutte à la discrimination, et ne pas passer à l’autre étape, la discrimination inversée.

Le problème majeur de cette discrimination inversée est qu’elle peut accomplir l’inverse de ce que l’on veut faire avec. En jugeant les gens d’abord sur leur sexe et leur race, ces mesures vont à l’encontre de leur but premier, c’est-à-dire l’intégration des groupes minoritaires dans la majorité et la lutte contre les préjugés sexuels ou raciaux. Comment considérer l’autre comme mon semblable et mon égal quand toutes les institutions de la société nous séparent afin de conserver un "équilibre" né de la proportion démographique du groupe de celui-ci ? En faisant ainsi, nous fragmentons la population, et au lieu de l’égalité et de la solidarité, nous obtenons la division et la discrimination.

Mais au-delà des dangers inhérents à certaines mesures contraignantes, la rectitude politique impose aussi son tribut sur ce qui devrait être le but principal de l’UFP ou de tout autre parti se réclamant de la gauche, c’est-à-dire la remise en question du système capitaliste actuel. En s’attaquant à mille et une inégalités, issues souvent, non pas d’une quelconque discrimination répréhensible, mais de simples préférences personnelles, l’on perd une énergie et un temps précieux qui pourraient être consacrés à attaquer les véritables injustices du système : la pauvreté, la disparité des services, l’injustice économique si essentielle à la bonne marche de l’économie capitaliste, les dangers environnementaux et sociaux de l’action de certaines entreprises limitant leur objectif au profit, etc... C’est ça qu’il faut attaquer en priorité, et c’est ce qui risque de se retrouver à l’arrière-plan si on laisse la rectitude politique prendre trop de place.

Mais, vois-je sur vos visages une certaine stupeur ? Est-ce l’usage du terme "capitalisme" qui vous laisse ainsi ? Et voilà que j’aborde un autre point, le détachement du vocabulaire de la gauche. On parle de "progressisme", d’"économie sociale" et d’une panoplie d’autres termes pour expliquer une réalité toute simple : le socialisme, comme si ce mot avait été banni par l’Académie de la Langue Française. Pourtant, plutôt que d’éviter le sujet, pourquoi ne pas tout simplement l’expliquer ? C’est simple et facile, "le socialisme est un terme désignant une prise en charge de l’économie par la société grâce à ses représentants, soit l’État ou des coopératives et autres organisations collectives, afin de garantir une plus grande égalité économique en répartissant mieux la richesse." Et le communisme ? Mot honni s’il en est un, est simplement "la mise en commun de l’économie et de la distribution de la richesse pour répondre aux besoins de tous". C’est important de les définir et de les employer, car si vient un temps où l’UFP devient un parti d’une importance relative, elle se fera accuser d’en être, et si l’on n’a pas expliqué ou utilisé les termes sans s’en embarrasser, on risque de continuer la mentalité que ce sont des idéologies malsaines et mauvaises, et on y sera associé.

Et le capitalisme ? L’on en parle que rarement, lui préférant le terme "néolibéral" qui commence également à s’appliquer à tout et à n’importe qui se situerait le moindrement à droite de celui qui parle. Il serait pourtant si facile de le définir comme "système économique dans lequel le pouvoir appartient à ceux qui possèdent le capital, c’est-à-dire l’argent, en dehors de toutes considérations démocratiques, et fondé sur l’entreprise privée". Bien sûr, je comprends et j’appuis le désir des représentants de l’UFP de vouloir moderniser les discours de gauche, parler de "bourgeois" et de "prolétaires" n’est plus bien vu à présent, vaut mieux parler de "patrons" et de "travailleurs", mais il ne faut pas rompre avec nos racines. Il ne faut pas avoir peur non plus de se définir comme ce que nous sommes, c’est d’ailleurs une raison pour laquelle je m’intéressais au Parti de la Démocratie Socialiste, qui maintenant fait partie de l’UFP, le nom est une affirmation complète de l’idéologie, qui ne laisse aucun doute planer. On est loin ici de l’"Action démocratique" qui pourrait définir autant un parti de gauche que de droite.

Encore plus, la rectitude politique risque de discréditer l’UFP si elle se laisse avoir par ses charmes. Tout comme le "communisme gauchiste" que dénonçait Lénine avant son ascension au pouvoir en Russie, elle fait preuve d’un manque flagrant de patience et de modération dans ses revendications. Au lieu de combattre la discrimination vraiment dangereuse, puis de laisser l’évolution sociale, aidée quelques fois par des mesures indirectes, éliminer le reste pour en venir à une égalité sincère, elle impose un équilibre artificiel entre les couches de la société, équilibre qui risque d’oublier que l’on parle d’individus aux désirs et aux compétences divers, et non pas de simples chiffres. S’il n’y a aucune discrimination dans la sélection d’individus pour un certain programme scolaire, et qu’on en arrive à un déséquilibre proportionnel, alors il ne faut pas simplement arriver et déclarer "il faut prendre plus de ceux-ci et délaisser ceux-là". Ça crée du ressentiment et c’est sans compter l’individu. Il faut analyser les problèmes et les attaquer à leurs sources, puis laisser le temps faire son oeuvre, démontrons de la patience. Si le déséquilibre persiste, il y a deux possibilités : la première est un simple hasard et la deuxième étant une conséquence culturelle naturelle, dans les deux cas, inutile de s’énerver, il faut accepter ces déséquilibres.

Mais cette patience manquante dans la rectitude politique la rend effrayante et repoussante pour une grande majorité du monde. Personne n’a le goût de voir se faufiler une de ces "utopies cauchemardesques" des années 40 et 50 où l’égalité entre les gens est poussée au-delà de toutes limites issues du bon sens. Ainsi, il faut s’en distancer afin d’éviter de devenir l’Union de la Rectitude Politique des Citoyens et Citoyennes de Toutes Origines Ethniques Sans Différence Aucune, Oh et N’Oublions pas le Progressisme (URPCCTOESDAONOP).

Ceci dit, pourquoi cet article ? Non, ce n’est pas pour insulter l’UFP ou quelconque de ses composantes, mais pour critiquer afin de mener à une réflexion sur les actes que l’on pose. Car accepter tout ce que propose l’UFP sans critiquer est une attitude destructrice et néfaste pour son but profond, tout comme refuser tout compromis dans une telle alliance de gauche. Avant qu’on me le demande, non, je n’ai pas encore eu la chance d’assister à des rencontres de l’UFP, j’attends la réponse à ma demande d’adhésion bientôt. Toutefois, c’est un avertissement lancé ainsi de manière théorique afin que, si elle trouve des raisons d’exister dans la réalité, l’on puisse commencer à réfléchir à ce problème potentiel.



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