Multimedia
Audio
Video
Photo

Analyses (fr) | Analysis (en) | Análisis (es)


 

Grève générale ou cirque électoral

Anonyme, Jueves, Junio 7, 2012 - 08:41

Des participants aux manifestations de casseroles, les syndicats et les partis politiques font tout pour détourner la lutte des prolétaires et des étudiants vers le show électoral. Pour contrôler la lutte actuelle contre les mesures d'austérité et la répression policière et judiciaire et afin qu'elle prenne de l'expansion, il faut faire comme les prolétaires grecs et espagnols et envisager sérieusement une grève générale.



Les élections sont un piège pour la classe ouvrière

Anonyme, Jueves, Junio 7, 2012 - 04:01

Courant Communiste International

Anti-électoralisme !

www.internationalism.org


Les Nouveaux Maîtres du Monde et ceux qui leur résistent

hombredelatierra, Martes, Junio 5, 2012 - 19:25

Jean Ziegler sur l'économie néolibérale, prognose et alternatifs: vers un nouvel avenir?



La violence de l’État libéral

Anonyme, Lunes, Junio 4, 2012 - 10:05

Dominic Desroches

Ce texte veut comprendre le contexte dans lequel la grève étudiante est devenue une crise sociale.
Il montre que las raison derrière notre « tempête politique » découlant du Printemps québécois est à trouver, essentiellement, dans la violence de l’État libéral lui-même, lequel gouverne le Québec comme s’il s’agissait d’une entreprise privée ou un royaume.



Pourquoi la terreur au Pérou ? Le Sentier lumineux et la lutte de la classe ouvrière

Anonyme, Lunes, Junio 4, 2012 - 02:45

Courant Communiste International

Point sur la situation politique au Pérou...

www.internationalism.org


INDIGNATION à l’égard de la loi 78

Anonyme, Sábado, Junio 2, 2012 - 17:55

Mouvement pour une démocratie nouvelle

La Loi 78 est indécente non seulement en raison de son contenu, mais aussi en raison de l’absence de retenue dont le gouvernement fait preuve en l’adoptant sans aucune gêne face à son propre déficit de légitimité démocratique. Soulignons que près du tiers du caucus libéral (21) est composé de députées et de députés ayant obtenu leur siège par de minces majorités (moins de 10%) et que 10 d’entre eux ont obtenu des majorités se situant entre 316 et 1447 votes (soit des majorités de moins de 5% des voix). Si cette situation n’est pas spécifique au gouvernement actuel, l’on serait en droit d’espérer que le législateur fasse preuve de mesure dans sa façon de gouverner lorsqu’il ne dispose pas d’un fort appui populaire lors d’une élection générale.



Minorities and the student strike (Quebec)

Anonyme, Miércoles, Mayo 30, 2012 - 15:53

Will Prosper

My first thought when the student strike started was to look for the involvement of blacks and the different ethnic groups from Montreal in the strike. Because, of course, for me it was easy to see the need to not increase but rather to eradicate the tuition fees, in order to provide an equal chance for all in higher education.



Si rien ne s’oppose à l’ennui Sur l’infinie absurdité du monde actuel

Anonyme, Miércoles, Mayo 30, 2012 - 07:34

Si rien ne s’oppose à l’ennui
Sur l’infinie absurdité du monde actuel

Le capitalisme en roue libre

Si un spectre hante le capitalisme aujourd’hui, ce n’est pas la perspective de son renversement par un ennemi intraitable, c’est bien plutôt l’absence d’opposants réellement menaçants. Ou, pour le dire autrement, le capitalisme a bien un ennemi sur les bras et c’est lui-même.
La crise actuelle du capitalisme est moins celle d’un accident de parcours que d’un épuisement, celui du néolibéralisme, qui fait lui-même suite à la crise du capitalisme régulé de type keynésien au début des années 1970. Mais les dirigeants n’ont pas de modèle de rechange, un peu comme si le système avait fini de penser et de se penser et n’avait d’autre choix que de ratiociner et de dialoguer avec lui-même dans un soliloque au travers duquel on ne peut plus lire qu’un ressassement aussi dérisoire que démentiel. En ce sens, nous sommes bien dans l’univers unidimensionnel du discours clos déjà mis en évidence par Herbert Marcuse dans les années 1960 (1).
La folle rationalité dans laquelle s’est enfoncé le capitalisme, sans que nous puissions dire s’il en sortira sans grande catastrophe, est liée à ce que l’on appelle la financiarisation de l’économie, c’est-à-dire à l’idée qu’il est possible de faire de l’argent à partir de l’argent. Mais derrière cette folie, il y a une réalité : les difficultés à produire et capter la survaleur. Si les capitalistes spéculent frénétiquement, c’est parce que les investissements dans la production ne rapportent plus assez de profits. Mais plus que la baisse du taux de profit, c’est l’absence de débouchés du fait de la compression des salaires qui explique l’impasse actuelle. À ce titre, les politiques de rigueur qui se mettent en place un peu partout ne manqueront pas d’approfondir la crise qui sévit.
La financiarisation et la fuite en avant dans la spéculation, le développement d’une « économie pure » qui se détourne de la production, ne peuvent toutefois s’abstraire du réel sans de graves conséquences. Et de fait, le capitalisme ne réussit plus à satisfaire les besoins sociaux de base pour toute une partie des populations. Aussi le problème qui surgit maintenant pour lui est celui de sa propre légitimation. En fait, c’est le modèle capitaliste lui-même qui est en crise, comme mode de production mais aussi comme ensemble de significations sociales. Dans ces conditions, celles de la tyrannie des marchés et des thérapies de choc, l’autoritarisme le plus brutal pourrait bien devenir comme forme de gouvernement la norme plutôt que l’exception. Et comment parler en d’autres termes de ce qui se passe pour le peuple grec mais aussi, sans doute une moindre mesure pour le moment, des politiques d’austérité qui touchent l’Europe ? La crise actuelle oblige les dirigeants à dévoiler le vrai visage du régime européen : le règne d’une technocratie à la solde des marchés.

La gestion de la crise ou comment faire durer

Plusieurs scénarios pourraient être envisagés à l’avenir. Le moins probable est celui du développement d’un mouvement anti-systémique qui aboutirait au renversement du capitalisme lui-même et à l’émergence de nouvelles formes de vies et de sociétés. Un autre serait celui de mouvements de contestation suffisamment forts pour provoquer une réforme du capitalisme qui lui permettrait de connaître une nouvelle phase de développement. Mais rien ne laisse présager une telle chose, même si l’on ne peut pas l’exclure.

Nous n’assistons toutefois pas non plus à un effondrement rapide du système. Il y a bien crise, mais les dirigeants trouvent pour le moment la solution dans la mise en place d’une politique de gestion du capitalisme en crise qui a pour conséquence une situation étrange – une sorte de descente en apesanteur dans le gouffre d’un système qui n’a plus rien à offrir. Les dirigeants qui savent bien qu’ils n’ont pas de remède définitif ou même durable à la crise, n’ont d’autre choix que tenir et gagner du temps en mettant en œuvre des politiques de rationalisation économique, c’est-à-dire en tentant de gérer avec le plus d’efficacité possible la crise actuelle, autrement dit au moindre coût. Les moyens déployés n’ont en réalité qu’un but : faire durer.
L’absence de toute autre perspective s’affiche d’ailleurs au grand jour sans qu’on n’y trouve rien à redire. On nous dit maintenant d’aller voter pour « changer de destin ». Mais le destin c’est par définition ce qui nous est promis d’avance, ce vers quoi on tend sans échappatoire possible, le sort contre lequel on ne peut rien. Les politiciens aujourd’hui ne font que dire ce que les anarchistes ont toujours dit à juste titre : voter dans le cadre pseudo-démocratique de l’organisation capitaliste de la société ne relève en tant que tel que de l’impuissance. Nous n’avons ni perspective ni alternative, seulement une possibilité d’alternance qui n’est qu’une mascarade, le faux choix entre des politiques d’austérité de droite ou des politiques de rigueur de gauche. Et toujours l’univers unidimensionnel du discours clos de la rationalité économique, la déraison de la raison qui interdit tout écart avec la mer étale et sans surprise de la destinée.

Le capitalisme mondialisé est un fauve qui se déchaîne et dévore tout ce qui est à sa portée maintenant que son dompteur l’a libéré. Un dompteur qui a perdu la laisse et qui se demande maintenant s’il ne risque pas lui-même de finir par être dévoré tôt ou tard par le monstre insatiable.

La guerre du temps

Les politiques d’ajustement structurel, les plans de stabilisation ou d’austérité, appelons-les comme on veut, sont des instruments de domination de classe visant à éviter la faillite du système. Devant l’obligation impérieuse de soutenir de diverses manières les marchés, les États n’ont d’autres choix que de remettre en cause les formes de régulation sociale héritées du keynésianisme. Mais elles peuvent être aussi appréhendées dans une perspective plus politique.
Elles sont en effet aussi une morale et une discipline dans lesquelles les classes dominantes nous enferment. Car la nécessité de rembourser la dette s’impose à tous et toutes les sociétés occidentales sont en train de se réorganiser sous nos yeux dans le but d’acquitter une dette qui semble ne pas avoir de fin (2). À entendre et suivre les médias, nous sommes tous coupables et responsables devant la crise. Et d’une certaine façon, nous le sommes effectivement : nous le sommes de ne pas nous soulever contre cet ordre des choses que l’on voudrait nous imposer et qui ressemble à une machine de mort lente.
Les politiques de la dette en place sont en fait aussi un ensemble de mesures disciplinaires rendant possible une surveillance sociale serrée. L’austérité correspond à une véritable remise en ordre du monde. Mais ce contrôle politique se donne surtout comme une dépossession de notre temps. En réduisant le futur au présent, au monde sans horizon ni perspective de la dette, on cherche à ramener le futur à un présent éternel parce que sous contrôle, autrement dit l’impensable au prévisible sinon au quantifiable. Les politiques de la dette auraient donc aussi comme but la neutralisation de l’histoire et de tout événement qui échapperait à la volonté de maîtrise des dirigeants. La dette n’est pas une anomalie, elle est plutôt un élément clé de l’univers du capitalisme global, de sa conservation et de sa reproduction. L’hégémonie passe ainsi par une véritable guerre contre l’histoire et pour le maintien d’une certaine réalité qui doit s’imposer à tous sans exception à travers le respect d’une certaine morale à laquelle on ne saurait échapper sans passer pour un inconscient : celle de la dette qu’il faut porter comme Sisyphe roulait sa pierre.
Nous nous comportons maintenant vis-à-vis du monde de l’économie comme les hommes primitifs face à des totems. Nous admettons sa réalité sans même savoir pourquoi, parce que c’est ainsi, comme s’il s’agissait d’une donnée naturelle et non d’une construction historique. Nous nous accrochons au principe de responsabilité, qui prend actuellement la forme du remboursement de la dette conçue comme nécessité, alors que c’est l’insouciance et l’audace qui sont libératrices. C’est la peur d’un avenir ouvert qui nous entraîne au fond du gouffre. Le respect des lois iniques nous empêche de découvrir les portes dérobées qui cachent des jours plus vivants et respirables et où ne rôde aucun geôlier.

Des sujets passifs : sur l’éclipse du projet d’émancipation

La théorie et la pratique révolutionnaire buttent sur une absence – celle du sujet historique. L’intégration de la classe ouvrière et sa décomposition durant la dernière séquence historique (1975 à aujourd’hui) rendent problématique la possibilité d’une rupture radicale sur le modèle hérité du mouvement révolutionnaire du passé. Mais peut-on parler pour autant de disparition ou d’éclipse du sujet ?
Franck Fischbach développe au contraire l’idée que notre époque serait celle d’une hyper subjectivation (3). Pour éviter que l’ennui et la monotonie de l’existence soumise aux exigences de la société industrielle ou post-industrielle ne débouchent sur des mouvements de révolte anti-systémiques, les managers sollicitent un sujet assiégé de toutes parts. La consommation consiste en une accumulation de camelotes déjà périmées alors qu’elles sont à peine sur le marché. En réalité, nous consommons moins des objets ou des services que des désirs de possession renouvelés presque immédiatement. Pour ce qui est de la production et du travail, l’individu « libéral » est conduit à se prendre en charge à chaque instant et à « s’auto-affirmer » en permanence pour répondre aux exigences de la rationalité économique. D’où la vogue de l’autoévaluation et des compétences, du culte de la performance qui finit par toucher des domaines d’activité autrefois épargnés, l’éducation par exemple. Coupés du monde et renvoyés en permanence à leur conscience mystifiée, les sujets sont soumis à des injonctions contradictoires qui sont la source de souffrances suffisamment insupportables pour conduire au suicide.

En revanche le sujet politique, conscient d’être en train de faire son histoire, tend bien quant à lui à s’effacer. Replié sur une fausse réalité qui est en fait la représentation politique du monde véhiculée par les grands médias, l’individu n’éprouve plus le besoin de penser puisque l’industrie culturelle le fait à sa place ; d’où la quasi disparition du bon sens et des cultures populaires. L’unification du temps et de l’espace sous l’effet de la mondialisation capitaliste rend de plus en plus difficile l’expérience de l’altérité et la possibilité d’une position d’extériorité. L’univers éco-techno-scientifique est un monde presque entièrement clos où la vie la plus prosaïque s’impose sans partage. Mais pendant combien de temps va-t-on continuer à se replier sur une réalité de plus en plus intenable ?

En même temps le monde apparaît morcelé, faute d’une critique capable de percer le fonctionnement actuel de la domination et d’en dévoiler son unité. Le sentiment de vivre dans un présent éternel, sans histoire et sans autre perspective d’avenir est une réalité. Mais cela ne signifie pas que nous vivons dans le même présent. Nous ne regardons pas tous dans la même direction :

Tous ne sont pas présents dans le même temps présent. Ils n’y sont qu’extérieurement, parce qu’on peut les voir aujourd’hui. Mais ce n’est pas pour cela qu’ils vivent en même temps que les autres. (4)
La « désubjectivation » et la repolitisation des consciences sur des bases radicales sont les conditions nécessaires à l’émergence d’une volonté commune de combat. Plus que d’une théorie ou d’un modèle bien arrêté, nous aurions besoin d’un mythe mobilisateur capable de nous arracher au présent et de rouvrir l’horizon en faisant converger les consciences vers un même point, d’un ensemble d’idées explosives et irréductibles à la raison glacée et calculatrice, contenant tout l’or du temps et tendues vers d’autres possibles.
Quel coup de feu détonant aurait été le communisme s’il avait pu se situer au carrefour du mythe de la grève générale révolutionnaire et de l’insurrection surréaliste qui faisait de la vie une rencontre multiple et renouvelée à l’infini avec le monde.

Organiser le pessimisme selon l’expression de Walter Benjamin, faire face au découragement et au désarroi, ce serait d’abord mettre les bons mots sur les maux de l’époque.

Les horizons perdus

Le vrai, mon Enfant, c’est ton rêve.

Apollinaire

La fin de la flânerie, forme évidente du refus de dépossession de son temps, montre à quel point de conformisme et d’intégration au système nous en sommes arrivés. Alors qu’il semble absent à lui-même, le flâneur affirme passionnément sa présence au monde.
La dérive était une autre manière de partir à la conquête de tout le royaume de ce monde. En découvrant le merveilleux au hasard des pas de côté, les surréalistes avaient su inventer l’inconnu en revisitant le connu.
Une rupture révolutionnaire avec le temps présent pourrait consister à inventer l’inconnu en réactualisant les promesses toujours brûlantes du passé. Mais réactualiser ne veut pas dire répéter une geste révolutionnaire qui ne fait plus sens dans l’imaginaire collectif. Être attentif à ce qui émerge et qui est potentiellement subversif pour donner une signification nouvelle aux rêves d’émancipation, cela reste l’acte révolutionnaire fondateur. Mais en temps de manque, la poésie est là pour nous signifier tout ce qui nous manque justement.

Où sommes-nous et où en sommes-nous avec le rêve d’émancipation ?
Il se pourrait que la forme supérieure de la radicalité politique consiste en un bouillonnement prodigieux de l’imagination sociale conçue comme une création collective au cours duquel se réinventerait le monde.
Deux événements politiques peuvent nous permettre de saisir ce que veut dire l’émergence imprévue de nouvelles significations sociales et politiques comme œuvres de création commune. Le symbole de rupture avec l’Ancien Régime au moment de la Révolution française est la prise de la Bastille. Mais en réalité, la vraie rupture dans l’imaginaire comme ensemble de significations sociales est le vote par tête et non plus par ordre aux états généraux. En juin 1789, le sujet critique affirme une activité politique autonome inédite en proclamant l’assemblée constituante. L’offensive d’une imagination sociale radicale balaya en peu de temps les cadres politiques de l’Ancien Régime et les catégories de pensées closes. Un autre exemple est la Commune de Paris. À la faveur de la déroute du Second empire, les classes populaires parisiennes développèrent une activité politique originale qui aboutit à la tentative d’édification d’un monde nouveau s’appuyant sur une imagination sociale radicale. K. Marx y a vu la préfiguration d’un pouvoir prolétarien. Et en effet, les communards réussirent, le temps d’un éclair, à ouvrir un espace politique oppositionnel qui fut aussi la découverte d’une nouvelle forme de la politique, l’expérience renouvelée de la tradition démocratique.

Peut-être nous apercevrons-nous un jour avec étonnement que la vie était depuis toujours un poème. ■

Extrait de Négatif, bulletin irrégulier de critique sociale, mai 2012, n° 16.

Contact :

geor...@gmail.com

Pour toute correspondance écrire à
Négatif c/o Échanges BP 241
75866 Paris CEDEX 18

_______________________

Notes

1 Voir Herbert Marcuse, L’Homme unidimensionnel, éd. de Minuit, 1968

2 C’est la thèse développée par Maurizio Lazzarato dans La Fabrique de l’homme endetté. Essai sur la condition néolibérale, Éditions Amsterdam, 124 p., 2011.

3 La Privation de monde. Temps, espace et capital, éd. J. Vrin, 2011.

4 Ernst Bloch, « La non-contemporanéité et le devoir de la rendre dialectique », Héritage de ce temps, p. 95, Payot, 1978.



Décès de Mario Hamel et Patrick Limoges : la CRAP exige une enquête publique

lacrap, Martes, Mayo 29, 2012 - 18:35

La Coalition contre la répression et les abus policiers a écrit à la coroner en chef du Québec pour demander la tenue d’une enquête publique pour faire toute la lumière sur les décès de Mario Hamel et Patrick Limoges, tous deux tombés sous les balles de la police de Montréal, le 7 juin 2011. D’une part, l’usage questionnable de l’arme à feu de la part de la police pour venir à bout d’hommes en crise mérite un examen public. D’autre part, il y a lieu de s’inquiéter du recours à l’arme à feu par les policiers montréalais quand on sait que le SPVM se dit incapable de dire combien de balles perdues sont tirées par ses propres policiers.



La guerre de l’agenda, des médias et du climat

Anonyme, Lunes, Mayo 28, 2012 - 20:41

Dominic Desroches

Notes sur le temps politique comme changement



La guerre de l’agenda, des médias et du climat

Anonyme, Lunes, Mayo 28, 2012 - 20:40

Dominic Desroches

Notes sur le temps politique comme changement



Assurance-chômage. Deux décennies de saccage.

Anonyme, Viernes, Mayo 25, 2012 - 10:47

Martin Richard

Nouveau coup d'hache dans le régime d'assurance-chômage.



Jeunes et vieux opprimés, principales victimes de la crise économique en Europe

Anonyme, Miércoles, Mayo 23, 2012 - 07:14

Courant Communiste International

Europe : Jeunes et vieux opprimés par la crise économique...

www.internationalism.org


L'état des lieux

Anonyme, Martes, Mayo 22, 2012 - 10:26

Martin Richard

Quelques observations nuancées concernant la loi 78



Revue Internationale Sur la Crise : Merde in France

Anonyme, Lunes, Mayo 21, 2012 - 12:44

RISC

Merde in France

http://crise.noblogs.org


Revue Internationale Sur la Crise : Pourquoi parler de crise ?

Anonyme, Lunes, Mayo 21, 2012 - 12:39

RISC

Pourquoi parler de crise ?

http://crise.noblogs.org


La CRAP dénonce la loi-matraque du gouvernement Charest

lacrap, Lunes, Mayo 21, 2012 - 01:21

La Coalition contre la répression et les abus policiers joint sa voix à ceux et celles qui dénoncent l’adoption de la loi 78 qui restreint dramatiquement le droit de manifester pacifiquement au Québec. Les circonstances entourant l’adoption de cette loi ne vont d’ailleurs pas sans rappeler celles de l’adoption du règlement anti-manifestation, l’ancêtre de l’actuel règlement P-6, par le conseil municipal de Montréal, il y a quelques décennies.



Salut aux nouvelles sections du CCI au Pérou et en Equateur !

Anonyme, Domingo, Mayo 20, 2012 - 02:16

Courant Communiste International

Internationalisme en Amérique latine...

www.internationalism.org


Déclaration pour une organisation révolutionnaire, Belgrade

Anonyme, Jueves, Mayo 17, 2012 - 03:08

Courant Communiste International

Internationalisme dans les Balkans...

www.internationalism.org


Massacres en Syrie, crise iranienne, .... La menace d'un cataclysme impérialiste 
au Moyen-Orient

Anonyme, Lunes, Mayo 14, 2012 - 02:33

Courant Communiste International

La menace d'un cataclysme impérialiste 
au Moyen-Orient...

www.internationalism.org


The Left, Labor and Occupy

Anonyme, Domingo, Mayo 13, 2012 - 08:24

Internationalist Group

From The Internationalist, May 2012

Trotskyism vs. Social Democracy and Anarcho-Liberalism
The Left, Labor and Occupy

Six months after Occupy Wall Street began - when a few hundred people sparked worldwide protest with a march and sit-in in lower Manhattan against political corruption and corporate greed - OWS was back. And four months after Occupy encampments were brutally evicted around the country, the police were there to greet them. Demonstrators chanted "this is what democracy looks like" as cops dragged scores out of Zuccotti Park in downtown Manhattan. More accurate would have been "this is what a police state looks like." At the same time, the sharpening internal contradictions within the Occupy movement were also on display.



Parlons-en...

Anonyme, Sábado, Mayo 12, 2012 - 16:13

lilopinpin

Car il y a trop de silence autour de l’hégémonie des médias

Car il y a trop de silence autour de la propagande patriarcale médiatique

J’ai décidé d’écrire ce texte dans l’intention de partager une part de mon vécu et pour essayer de briser un peu cette solitude qui entoure ceux et celles victimes d’hypersexualisation. Peut-être aussi pour essayer d’aider les jeunes a comprendre qu’ils sont en fait bombardés d’images d’une perfection subjective impossible à atteindre... Ce texte est né de mes expériences personnelles; ainsi c’est donc une vision particulièrement individuelle que j’exprime ici. Je crois qu’en partageant nos expériences et en faisant l’examen du discours public/ médiatique, nous créons un espace pour bâtir un avenir meilleur.



L'indicible éternité de la mort nucléaire

Anonyme, Sábado, Mayo 12, 2012 - 13:54

PMO

Comment signaler les déchets nucléaires à nos descendants ? Impossible.



Hollande vote Sarkozy, Résistons ensemble, mai 2012, n° 108

Anonyme, Viernes, Mayo 11, 2012 - 12:18

RE

bulletin A4 recto-verso en pd



No Ed Is A Good Ed

Anonyme, Jueves, Mayo 10, 2012 - 04:00

Sudhama Ranganathan

When times get hard and pressure builds one of the most difficult things for a person to do can be just keeping your head straight. Pressure can do strange things to people causing folks to get raw and overly sensitive about so many things. In such situations just being clear and seeing exactly what is in front of you can be the most important thing to do. Just staying calm, centered and focused on the task at hand, is often all that's necessary.

www.lawsuitagainstuconn.com


CMAQ: Vie associative


Collectif à Québec: n'existe plus.

Impliquez-vous !

 

Ceci est un média alternatif de publication ouverte. Le collectif CMAQ, qui gère la validation des contributions sur le Indymedia-Québec, n'endosse aucunement les propos et ne juge pas de la véracité des informations. Ce sont les commentaires des Internautes, comme vous, qui servent à évaluer la qualité de l'information. Nous avons néanmoins une Politique éditoriale , qui essentiellement demande que les contributions portent sur une question d'émancipation et ne proviennent pas de médias commerciaux.

This is an alternative media using open publishing. The CMAQ collective, who validates the posts submitted on the Indymedia-Quebec, does not endorse in any way the opinions and statements and does not judge if the information is correct or true. The quality of the information is evaluated by the comments from Internet surfers, like yourself. We nonetheless have an Editorial Policy , which essentially requires that posts be related to questions of emancipation and does not come from a commercial media.