Du 1er au 19 mai ..

La société civile n'a jamais été aussi détachée du pouvoir gouvernemental, et surtout les jeunes d'aujourd'hui (16 à 30 ans). Il est temps que l'élite grise fasse place aux jeunes !

An analysis of American sentiment and radical posters from Social Nerve.

D'hier à aujourd'hui, la lutte continue!
Contingent Libertaire
Samedi Premier Mai, 12h00
Coin Jarry et Christophe-Colomb

Le Parti communiste révolutionnaire (comités d'organisation) souligne le 31e anniversaire du Front national démocratique et soutient la révolution philippine.

Mon article vise à aborder la question de l’essence de la politique afin de préciser les fins ainsi que la signification de la politique. On peut s’appuyer sur les activités politiques qui se produisent dans la société en regroupant les fondements de la politique autour de trois éléments : la relation du pouvoir, la fin de la politique et le lien social.

MONTREAL, le 23 avril - Réunis du 19 au 23 avril lors du congrès du Conseil central du Montréal métropolitain de la Confédération des syndicats nationaux (CSN), les délégués ont adopté un plan d'action contre le gouvernement de Jean Charest. Ainsi, le Conseil central du Montréal métropolitain poursuit son travail d'action politique. Les membres ont décidé à l'unanimité de combattre les mesures antisyndicales et antisociales de ce gouvernement par des gestes pouvant aller jusqu'à la désobéissance civile. De plus, un appui sans réserve a été donné à la recherche de mandats de grève de 24 heures lancé par la CSN. "Charest doit changer sa façon de faire car les membres des syndicats sont déterminés à lutter contre les mesures antisociales et antisyndicales de ce gouvernement", de déclarer le président du Conseil central du Montréal métropolitain, Arthur Sandborn.

C'est un printemps chaud pour le gouvernement libéral... Afin de marquer le premier anniversaire de l'arrivée au pouvoir de Jean Charest le collectif Web "J'ai jamais voté pour ça" a réalisé d'importants changements à son site. Alain Dubois de feu NonADQ.com s'est joint au collectif qui anime le site

Le Comité des sans-emploi Montréal-centre et la CLAC-Logement dénoncent l’écart grandissant entre les riches et les pauvres en perturbant l’élite financière du Centre de Commerce Mondial dans le cadre de la journée d’actions contre le gouvernement Charest

Jamais auparavant n’avaient coexisté, en Amérique du Sud, autant de gouvernements qui à un moment donné ont proclamé leur intention de prendre leurs distances ou de rompre directement avec le modèle néolibéral. Néanmoins, leurs pas dans cette direction, sauf exceptions, ne sont pas allés plus loin que leurs déclarations.

Les présidents actuels de l’Equateur, du Pérou, du Venezuela, du Paraguay, de l’Argentine, du Brésil et de la Bolivie ont été hissés à leurs fonctions par des mouvements populaires et élus parce qu’ils ont marqué clairement leurs distances - les uns de façon convaincante, d’autres avec la plus grande timidité - avec le modèle néolibéral qui sévit dans la région depuis au moins quinze ans. Parmi eux, seul le président vénézuélien Hugo Chávez a donné des preuves sans équivoque de son intention de rompre les amarres avec le modèle. L’Equatorien Lucio Gutiérrez est passé dans le camp néolibéral, le Péruvien Alejandro Toledo lui a emboîté le pas, tandis que le Bolivien Carlos Mesa se trouve paralysé par les pressions croisées des intérêts de l’empire et des élites locales, d’une part, et par la menace du mouvement populaire de reprendre les rues.