Indymedia Quebec is biased and double-minded.

 
The American military is waging cyber warfare upon dissident websites. Please sign the petition calling for an investigation.

 
SURRÉALISTE éditions a le plaisir de publier un double communiqué. C’est que du bonheur, le dossier complet sur le biodiesel est enfin terminé et notre mouvement de grève prend fin pour laisser la place à la lutte active.

 
Montreal --- Friday November 19th, 2004 --- On the eve of the Quebec Liberal Party Convention, upwards of 100 people were encircled, arrested and ticketed while demonstrating to confront the neo-liberal economic agenda of the Charest government.

Organized by the Anti-Capitalist Convergence of Montreal (CLAC) to denounce the Charest government's ongoing attacks on all sectors of Quebec's society, the demonstration was met with unprovoked police and state repression.

See also:

• IMPORTANT: Legal Update on the mass arrest (organizing meeting for arrestees is on Dec. 2nd)

 
Montréal, le vendredi 19 novembre 2004 - La Convergence des luttes anti-capitalistes condamne l’arrestation de masse qui a mit fin à la manifestation contre le Congrès du Parti libéral du Québec. Vers 19h30 ce soir, une centaine de personnes ont été encerclées, arrêtéEs, menotéEs et ont reçu une contravention de 143$ pour attroupement illégal alors que la manifestation qui visait à confronter les politiques néolibérales du gouvernement Charest se déroulait de façon paisible. Plusieurs manifestantEs ont été brutaliséEs par des groupes de policiers anti-émeute qui se sont jetés sur eux pour les immobiliser, alors qu’ils ne faisaient que scander des slogans ou observer la situation.

Last month the web servers of alternative global news network Indymedia were seized in the UK. More than 20 sites were brought down as a result, but no official reason was given for the action. Journalism organisations around the world were outraged by the closure, and a group of UK MPs called the move 'an attack on the freedom of speech via the internet'.

Dans le cadre de la lutte contre le pouvoir exercé par et pour les plus riches, il ne faut pas se disperser et taper là où ça fait mal. C’est pourquoi, suite à son mouvement de grève, SURRÉALISTE éditions passe à la contre-offensive et défini son plan de bataille en quatre axes. Maintenant que le round d’observation est terminé, on va pouvoir passer aux choses sérieuses, l’adversaire a de grands trous dans sa garde.

Indymedia (http://www.indymedia.org) est un réseau de 140 sites d’information indépendante sur Internet qui diffuse des dépêches de journalistes volontaires de partout dans le monde, dont les thématiques tournent souvent autour du militantisme, de la solidarité internationale et de l’altermondialisation. Le 7 octobre 2004, vers 17h30, tout va bon train dans les quartiers généraux d’Indymedia de Grande-Bretagne. Comme d’habitude, on recueille l’information de collaborateurs externes, on la met en ligne, on peaufine la mise en page. Vers 18 heures, subitement, tout s’éteint.

Dans Le Devoir, on a pu lire le suivant du premier ministre néerlandais, Jan Peter Balkenende, à propos de l'affreux assassinat du cinéaste Theo Van Gogh: « C'est un jour triste pour la liberté d'opinion qui est la pierre angulaire de la démocratie et de l'État de droit. » Ces mots m'ont fait tout de suite penser à mon propre futile combat au Québec pour la liberté d'expression. Oui, on pourrait dire, pour ce qui le concerne, que la liberté d'annuler les opinions qui ne font pas partie de la pensée en rond est devenue la pierre angulaire de l'Etat du statu quo littéraire québécois. Oh, tristesse !  Mais pourquoi la tristesse? Ben, parce que moi j'aime beaucoup le Québec, y ayant voyagé un peu partout de Blanc-Sablon à Vieux-Fort, à Natashquan, aux îles de la Madeleine, à l’île verte, à Anticosti, au Gaspé, et à Normandin. Or, étant poète polémiste ardent, je ne peux que décrier la situation que j’ai pu découvrir chez les littérateurs québécois. Oh, tristesse !

Community-based media is alive and well in Barcelona, where activists have set up independent TV and radio stations on public airwaves discussing themes like immigration, gender and genetically modified food.