Tres millones de personas, trabajadores, trabajadoras, jóvenes, trabajadores en precario, estudiantes, jubilados y emigrantes, han invadido Roma en la mayor manifestación de la historia republicana. Una manifestación inmensa, que ha superado incluso las previsiones de la CGIL, la principal organización sindical italiana, que fue quien tomó la iniciativa. La movilización había sido convocada, inicialmente, para pelear contra la decisión del Gobierno Berlusconi de "reformar" el Estatuto de los trabajadores, en particular el artículo 18, (el que prevé la obligación de readmitir al trabajador despedido injustamente) el corazón de la ofensiva antiobrera de la derecha. Pero en el contexto extremadamente efervescente de la situación social italiana, la manifestación se ha convertido en el punto de referencia para las diversas luchas sociales y las contestaciones
antigubernamentales, como los "girotodndi" o, aún más el movimiento de los Social Forum ("los de Génova", como se les
llama en la prensa).

Tres millones de personas, trabajadores, trabajadoras, jóvenes, trabajadores en precario, estudiantes, jubilados y emigrantes, han invadido Roma en la mayor manifestación de la historia republicana. Una manifestación inmensa, que ha superado incluso las previsiones de la CGIL, la principal organización sindical italiana, que fue quien tomó la iniciativa. La movilización había sido convocada, inicialmente, para pelear contra la decisión del Gobierno Berlusconi de "reformar" el Estatuto de los trabajadores, en particular el artículo 18, (el que prevé la obligación de readmitir al trabajador despedido injustamente) el corazón de la ofensiva antiobrera de la derecha. Pero en el contexto extremadamente efervescente de la situación social italiana, la manifestación se ha convertido en el punto de referencia para las diversas luchas sociales y las contestaciones
antigubernamentales, como los "girotodndi" o, aún más el movimiento de los Social Forum ("los de Génova", como se les
llama en la prensa).

C'est parti! Une grève générale a été lancée en front uni, ce mardi 16 avril, à travers toute l'Italie. Contrairement à la manifestation de la seule CGIL qui avait réuni 2 à 3 millions de travailleurs il y a 3 semaines, c'est un front commun des trois principales organisations syndicales Italiennes qui ont souscrit à une même plateforme.

Dita Sari a rejeté le prix Reebok. Son organisation perd $50,000. Nous nous engageons à remplacer l'argent. Rapidement.

Dita Sari a rejeté le prix Reebok. Son organisation perd $50,000. Nous nous engageons à remplacer l'argent. Rapidement.

Le 28 mars 2002, les Libéraux annonçaient leur intention d’imposer des intérêts sur les dettes encourues par des trop-payés versés par Développement des Ressources Humaines Canada (DRHC) à des prestataires. Le taux d’intérêt sera fixé au taux d’escompte moyen de la Banque du Canada plus 3% et l’intérêt sera calculé quotidiennement et composé mensuellement.
(..)
Fidèles à leurs habitudes, les Libéraux présentent leur projet comme étant le résultat du gros bon sens (qui s’opposerait à ce que des intérêts soient imposés sur une dette frauduleuse ?) mais omettent d’en exposer les véritables enjeux.

Le 28 mars 2002, les Libéraux annonçaient leur intention d’imposer des intérêts sur les dettes encourues par des trop-payés versés par Développement des Ressources Humaines Canada (DRHC) à des prestataires. Le taux d’intérêt sera fixé au taux d’escompte moyen de la Banque du Canada plus 3% et l’intérêt sera calculé quotidiennement et composé mensuellement.
(..)
Fidèles à leurs habitudes, les Libéraux présentent leur projet comme étant le résultat du gros bon sens (qui s’opposerait à ce que des intérêts soient imposés sur une dette frauduleuse ?) mais omettent d’en exposer les véritables enjeux.

An appeal: Solidarity with Indonesian workers!

The British anti-sweatshop campaign No Sweat is appealing for funds to help the Indonesian workers' movement.

We are raising money for the campaigning union organisation, the National Front for Indonesian Workers Struggle
(FNPBI), whose most prominent leader is Dita Sari.

Dita, on behalf of herself and the FNPBI, recently refused to take a "human rights award" of $50,000 from the
sportswear transnational, Reebok. Reebok gives this award, annually, to a number of activists, because it is
cheaper than paying the "Third World" workers who slave in its sweatshop factories a living wage. It makes
Reebok look good.

L’implication de la Banque Mondiale dans cette sordide affaire passe par son Agence de Garantie aux Investissements Multilatéraux (la MIGA). Lorsqu’en 1996 la Kahama Mining Corporation Limited (une compagnie minière filiale de la société canadienne Barrick Gold Corporation) se porte acquéreur de la mine d’or de Bulyanhulu, dans le nord de la Tanzanie, c’est en effet la MIGA qui va se porter caution contre les risques politiques. Une garantie, à hauteur de 115 millions de dollars, est ainsi accordée au groupement de banques qui prêtent les fonds d’investissement nécessaires à la Kahama Mining Corporation.

L’implication de la Banque Mondiale dans cette sordide affaire passe par son Agence de Garantie aux Investissements Multilatéraux (la MIGA). Lorsqu’en 1996 la Kahama Mining Corporation Limited (une compagnie minière filiale de la société canadienne Barrick Gold Corporation) se porte acquéreur de la mine d’or de Bulyanhulu, dans le nord de la Tanzanie, c’est en effet la MIGA qui va se porter caution contre les risques politiques. Une garantie, à hauteur de 115 millions de dollars, est ainsi accordée au groupement de banques qui prêtent les fonds d’investissement nécessaires à la Kahama Mining Corporation.