Malgré la censure imposée par l’administration de HEC et le sabotage organisé par Mr le Secrétaire Géneral de HEC, Mr Pierre Lesage, les activités de l’AlternAgora se maintiennent.

La Coalition Interdépartementale des EtudiantES Libres(CIEL) vous informe de la décision du secrétaire général des HEC, Pierre Lesage, d’imposer une motion de censure à l'endroit d’AlternAgora, une simulation de forum social organisée par le CIEL qui devait se dérouler du 5 au 10 février 2003 sur le campus de l’Université de Montréal, et notamment dans le pavillon des Hautes Études Commerciales.

Le mini forum social, Altern Agora, qui devait avoir lieu dès ce jeudi dans l’enceinte de l’École des Hautes Études Commerciales (HEC) est perturbé par une relocalisation de dernière minute. Alors qu’une simulation de l’OMC se déroule dans le même immeuble, l’administration des HEC invoque des "raisons de sécurité". Les groupes étudiants impliqués dans l’organisation de l’événement crient plutôt à la censure.

« Les procès-verbaux témoignent que, contrairement à ce qui a été affirmé par la FAÉCUM, la négociation de l’entente suscitait beaucoup de questions de la part des délégués étudiants. Des questions relatives à l’éthique et au détail du contenu de l’entente. Ces questions sont restées sans réponse. »

Que changer dans la gestion des nouvelles technologies de l'information et de la communication pour leur faire jouer un rôle social majeur? Telle a éte la problématique abordée lors d'un panel du FSM, samedi 24 janvier.

Lutte contre l'apartheid numérique, expérience d'inclusion des NTIC, bataille du logiciel libre... autant de sujets débattus pour promouvoir un "autre internet possible, mais sans Microsoft!"

Nous invitons aussi toute la communauté uqamienne et autres camarades à venir participer à notre riposte artistique jeudi prochain le 23 janvier à 21h encore une fois sur un mur du 2è étage du pavillon Hubert-Aquin. Un bed-in est prévu si les conditions sécuritaires le permettent…

Les muralistes de l’UQAM

L'éducation est-elle vraiment en passe d'être soumise aux lois du marché ? « Non, disent les gouvernements des Quinze et la Commission Européenne. Nous l'avons protégée. » Pour rester poli, je me contenterai de répondre qu'ils affirment la chose qui n'est pas. Point n'est besoin d'invoquer, comme le fait M. Huwart, d'hypothétiques malentendus. Les textes parlent d'eux-mêmes. Et si les mots ont encore un sens, ils ne souffrent pas d'interprétations divergentes. La libéralisation de l'éducation est programmée.

L'éducation est-elle vraiment en passe d'être soumise aux lois du marché ? « Non, disent les gouvernements des Quinze et la Commission Européenne. Nous l'avons protégée. » Pour rester poli, je me contenterai de répondre qu'ils affirment la chose qui n'est pas. Point n'est besoin d'invoquer, comme le fait M. Huwart, d'hypothétiques malentendus. Les textes parlent d'eux-mêmes. Et si les mots ont encore un sens, ils ne souffrent pas d'interprétations divergentes. La libéralisation de l'éducation est programmée.

The 21st century has had a significant impact on the way national and local governments, high-finance institutions, policymakers and especially multinationals should face economic development. The gravity of social and environmental problems has gotten to the point that the amoral leading elite of the planet cannot ignore them anymore. Problems such as food security, biodiversity losses, agricultural land degradation, water scarcity, and cultural losses have just started to be treated a little more carefully by the media. In other words, neo-liberal globalization is bringing many controversies regarding the traditional view of economic development. The big issue is how to manage well forces such as technological innovation and transfer, the spread of knowledge, the world’s growing population vis-à-vis the aging population, and the increasing pressure for political and human rights, accordingly to the challenges cited above.

Among these new trends, there is one that has been particularly affected over the last decades, the environment. Driven by their profits and motivated by the lack of laws and regulations by governments, transnational corporations have been playing around with the environment in the way it serves them best.

This paper will show how multinational corporations are acting towards mother nature by making a link with management practices and the consequences for the environment which directly and indirectly impacts on our lives.

Quelques images de la Manif de Montréal du 31 Octobre 2002 pour protester contre l'inclusion de secteurs publics, tel que l'édcuation, dans l'accord de libre échange des Amériques (ZLEA)