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Hommes / Men / Hombres766 femmes et enfants tuéEs par des hommes (ou des inconnus) au Québec depuis le 6 décembre 1989martin dufresne, Dimanche, Novembre 21, 2004 - 01:05 (Communiqués | Droits / Rights / Derecho | Family | Femmes / Women / Mujeres | Gender (fem.; sex.) | Hommes / Men / Hombres)
Collectif masculin contre le sexisme
Au moment où des politiciens s'apprêtent à rendre un "hommage" compassé aux 14 victimes d'un militant masculiniste, ils maintiennent les conditions qui piègent femmes et enfants dans la violence sexiste du système patriarcal. La parole dérobéeAnonyme, Dimanche, Septembre 12, 2004 - 15:36
Bobino
Tous les hommes sont mortels. C'est, on s'en souvient, le titre d'un roman que publiait Simone en 1946. Pourquoi alors, dans presque tous les contextes sociaux, le meurtre est-il considéré comme un crime? Mourir maintenant à la pointe d'une arme ou le jour de sa belle mort par arrêt d'un oncologue, le résultat n'est-il pas le même? Pas tout à fait. La société québécoise est maladeCasanova, Samedi, Septembre 11, 2004 - 20:00
Serge Fortin
Autrefois, le Québec était pauvre, les familles étaient nombreuses (souvent plus de 12 individus) et les gens semblaient heureux malgré tout. Ils avaient l'impression d'être des acteurs importants dans la construction de leurs pays. Les gens imaginatifs, tels Armand Bombardier, René Lévesque, Pierre Trudeau, Jean Drapeau..., qui étaient nombreux, ont succédé et ont contribué à l'essor de l'industrialisation. La société moderne québécoise était née ! Réaction à l'étude de Roch Chouinard sur la non-mixité.Casanova, Samedi, Septembre 11, 2004 - 19:46
Alain Thomas
Ceci pour vous faire part de ma surprise quand j'ai pris connaissance de l'étude mentionnée par le journal la Presse et Radio Canada. Vous demandant d'en transmettre copie à votre direction et aux personnes concernées. Finissant au cégep, j'avais l'intention de déposer une demande à la fac de médecine chez vous, mais je m'absteindrai. Quand je vois un professeur défendre son étude sur la non mixité et qui déclare sans rire qu'il a effectué son étude en suivant 200 filles, je me pose des questions sur la qualité de l'enseignement qui est dispensé à votre institution. Comment, dans une problématique qui concerne les deux genres, un enseignant du "haut savoir" peut-il ignorer les garçons alors qu'on se pose des questions sur leur décrochage ? Partie pris, négligence, incompétence ? Sans rire monsieur Chouinard nous dit que "l'ensemble des études" démontrent qu'il n'y a que peut d'effet sur les garçons, çà lui évitait de les inclure dans son études. Nous n'avons sûrement pas lu le même "ensemble d'études monsieur le professeur". Peut-être veut-il faire concurence aux chaire d'études féministes pour en obtenir les crédits ? Cela dit, s'il n'y a que si peu d'effet, monsieur le professeur, pourquoi tant d'oppostion ? Pourquoi ne pas laisser le choix aux enfants et aux parents ? Porquoi cette paranoïa ? Dommage que plusieurs universités perdent de la crédibilité avec ce genre "d'études". Que vous ayiez des étudiants ou des étudiantes devant vous qu'est-ce que çà peut bien faire ? La qualité de l'enseignement a beaucoup plus à voir et c'est ce qu'en conclut le dernier rapport de L'ONU sur la question de l'éducation. En effet, pour être sur les bancs d'école je m'apperçois qu'il est de moins en moins rare de voir des professeurs trop occupés à leur nombril, leur prestige ou leur position de syndiqués et qui se foutent de la réussite de leur élèves. Des cours soporiphiques avec un enseignant qui ne fera aucun effort pour le rendre interressant, pas plus qu'il ne s'intéressera à l'élève qui a des problèmes. Des tonnes de devoirs qui ne sont jamais corrigés, aucun retour en arrière pour vérifier l'assimilation de la matière et des échecs qui vous suivent de façon permanente. Commencez svp par ces problèmes ensuite vous vous inquiéterez de la mixité et de ces autres pseudos problèmes. Bien sûr, faudrait d'abord un solide et honnête examen de conscience du corps professoral. En espérant que l'U de M. mettra plus d'énergie ailleurs où il est plus urgent d'agir. Alain Thomas Bravo à Normand Lester!Anonyme, Dimanche, Septembre 5, 2004 - 02:08
Jonathan Lapointe
Félicitation à Normand Lester pour sa réplique à Anne-Marie D’Aoust dans l'édition du Mardi 31 Août 2004. Rappellons les faits, Anne-Marie D’Aoust, qui se présente comme candidate à la maîtrise en science politique à l’Université du Québec à Montréal (UQAM), a écit un texte dans le devoir accusant Normand lester d'avoir écrit un article dans la revue Summun sur les femmes militaires qui entretiendrait des préjugés envers les femmes et les dénigreraient. Dans son texte, Anne-Marie D'Aoust crie aux propros innacceptables et demande carrément que l'on censure Normand Lester. Non mais pour qui se prend-t-elle? Faut être culloté pour demander que l'on censure les propos de quelqun qui ne sont pas conforme à notre pensée. Faudrait lui expliquer que le temps de stalline est révolue. Dans sa réplique, Normand Lester ne se laisse pas intimider et persiste dans ses propos. Il dit qui a seulement constaté la simple évidence que les femmes sont physiquement moins fortes que les hommes et que la guerre étant essentiellement une épreuve de force, elles y sont moins aptes que les hommes. De plus, il ajoute que dans son expérience de journaliste, il a eu l'occasion de frayé avec des soldats et généraux de dizaine d'armée différente, il a entendu l'opinion des hommes militaires sur la question des femmes dans les unités de combats. Vraiment, Anne-Marie D'Aoust n'a aucune raison valable de demander que l'on censure Normand Lester. Elle fait preuve d'une fermeté intellectuel déplorable. Normand Lester est un expert des questions militaires alors il est beaucoup plus qualifié que Anne-Marie D'Aoust sur la question de la présence des femmes dans les unités de combat. Encore bravo à Normand Lester de ne s'être laissé intimidé. Le Saint-LaurentAnonyme, Dimanche, Août 29, 2004 - 22:36
Félix Le Gascon
Texte poétique sur le Québec. Retour sur le colloque international lesbien de Toulouse.Anonyme, Mardi, Août 24, 2004 - 15:22
Carole
Il y a peu j'ai assisté au colloque international lesbien de Toulouse. Avant tout je tiens à dire que dans l'ensemble c'était une belle réussite : plein de monde de plein de coins du globe, plein d'interventions intéressantes, plein de débats sympas, un temps magnifique, une organisation compétente... bref, un grand bravo au Bagdam Espace Lesbien de Toulouse qui a organisé un bel événement. Mais. Mais comme de plus en plus souvent dans ce genre de manifestations lesbiennes militantes, j'ai vu et entendu des choses qui me laissent comme un arrière-goût amer. Des propos réducteurs sur les hommes, tenus parfois par les intervenantes elles-mêmes, des regards pas toujours très amènes aux butches très butch ou aux fems très fem. Et, cerise sur le gâteau, des propos carrément racistes tenus à Frédérique et à moi par une femme du public, qui n'avait même pas l'air d'avoir honte de ce qu'elle nous disait... Et comme à chaque fois, ma joie de me retrouver au milieu de mes soeurs pour me battre contre l'homophobie, contre le sexisme et autres discriminations est ternie par un sentiment de honte. Oui, parfois j'ai honte d'appartenir à ce milieu. Lesbiennes de France et d'ailleurs, mes amantes, mes soeurs, parfois vous me faites honte. J'ai honte quand j'entends certaines d'entre vous tenir des propos racistes alors que vous devriez être les premières à être capables de démonter une discrimination envers des gens différents basée sur des préjugés, de la peur et des mensonges. J'ai honte quand je vous entends mettre tous les hommes dans le même sac et dire sans rougir qu'ils sont tous sans exception des violeurs potentiels, des oppresseurs patentés, des gros machos pervers et que c'est quasiment génétique. Ou quand je vous entends dire que les femmes hétéros sont forcément des pauvres victimes du patriarcat, des pauvres cruches enfermées dans leurs stéréotypes et leur oppression, incapables de réfléchir et de s'en sortir car attachées à leurs oppresseurs. J'ai honte quand je vous entends dire que les bisexuelles ne sont pas stables ou sont des lesbiennes qui ne s'assument pas encore, que ce n'est qu'une phase et que ça viendra, oubliant l'époque où, jeunes lesbiennes, on vous sortait les mêmes conneries sur votre propre orientation sexuelle, et comme cela vous mettait hors de vous parce que vous saviez que c'était intolérant et faux, que c'était une négation de votre identité. J'ai honte quand je vous entends dire que les femmes transexuelles ne peuvent pas être des femmes car elles ont été élevées comme des hommes et puis que de toute façon c'est pas la nature et puis c'est tout, quand je vous vois vous arroger le droit de fixer l'identité d'une individue comme si vous étiez Dieu en personne, oubliant l'époque où, jeunes lesbiennes, on vous sortait que vous étiez des dégénérées, des malades mentales, que vous étiez contre-nature, et comme cela vous mettait hors de vous parce que vous saviez que c'était intolérant et faux. J'ai honte quand je vous entends employer les mots "camionneuse", "hommasse", pour des filles qui vous paraissent "trop" butch, ou "pétasse", "enfermée dans les stéréotypes hétéros", "placard" pour des filles qui vous paraissent "trop" fem, oubliant l'époque où, jeunes lesbiennes, on vous sortait à peu près les mêmes choses parce que vous vouliez porter des pantalons ou vous couper les cheveux, et comme cela vous mettait hors de vous parce que vous saviez que c'était intolérant. Lesbiennes de France et d'ailleurs, mes amantes, mes soeurs, j'ai honte chaque fois que je vous entends réclamer à cor et à cris la tolérance pour votre mode de vie, exiger l'ouverture d'esprit pour vos idées mais que vous n'êtes pas capables de l'appliquer vous-mêmes à des modes de vie ou des idées ou des gens si peu différents de vous. J'ai honte quand je croise de jeunes lesbiennes toutes émerveillées d'arriver dans la grande sororité des lesbiennes militantes, enivrées de discours sur le grand soir qui viendra un jour, quand nous aurons réduit au silence ces salopards d'homophobes, de machos, de misogynes et à qui je me sens obligée de dire de se méfier, de ne pas s'imaginer que nous sommes toutes des anges, sous peine de tomber de haut comme je suis tombée. J'ai honte de devoir les approuver quand elles me disent qu'elles ont déjà bien compris qu'il valait mieux ne pas dire qu'elles étaient bisexuelles, ou qu'elles n'avaient rien contre les mecs en général, ou qu'elles ne s'étonnent plus qu'on s'imagine que les lesbiennes beurettes ont forcément des parents musulmans intégristes et qu'elles sont là en cachette, au péril de leur vie. Oui, parfois j'ai honte et je vous en veux. Je vous en veux d'avoir cassé ma belle utopie d'une communauté victime de discriminations, d'humiliations, qui souffrirait et se battrait depuis des siècles, d'une communauté qui réfléchirait suffisamment sur les mécanismes et les racines de ces discriminations pour pouvoir les extrapoler aux autres discriminations, comme je l'ai moi-même fait. D'une communauté qui prêcherait la tolérance et l'ouverture d'esprit en étant capable de la pratiquer. Et surtout, surtout, je vous en veux de faire que parfois j'ai honte de faire partie de la communauté des lesbiennes militantes. Alors, lesbiennes de France et d'ailleurs, mes amantes, mes soeurs, réveillez-vous ! Faites en sorte que nos réunions, nos prises de parole, ne soient plus entachées d'intolérance, soient exemptes de préjugés, ne soient plus des généralisations. Il en va de notre crédibilité et de notre dignité. Et de notre fierté. JOUETS PERDUS AU PALAIS DE JUSTICEAnonyme, Lundi, Août 23, 2004 - 18:24
Père pour la justice
Enfants, parents et grand-parents qui ont perdu contact avec un être cher suite à un divorce sont invités à déposer un jouet au Palais de Justice de leur quartier ce vendredi le 20 Août 2004. Participez avec nous en solidarité pour toutes les victimes du divorce! Le groupe F4J - Fathers 4 Justice a décontaminé 4 Palais de Justice en 4 jours à travers le Québec et la ville d’Ottawa. Des pères de Montréal ont ressenti l’urgence de réagir et attirer l’attention de la population. Pendant que les parents sont en guerre, les enfants souffrent! Des lois inadéquates sur la famille et des avocats sans scrupules peuvent détruire les relations familiales futures à jamais, pendant que les enfants, eux, ne peuvent presque rien dire pendant les procédures. Rappelez-vous l’alerte Amber il y a un mois, le kidnapping d’une petite fille par sa mère! Maintenant la récente remise en liberté de cette mère et la grand-mère qui l’ont kidnappée. Elles ont menacé de se suicider, en emportant la vie de cette innocente enfant. Une autre victime du divorce! Notez que le père était en procédure pour la garde de sa fille! Maintenant, Amber est seule en famille d’accueil avec des étrangers… En solidarité pour toutes les victimes du divorce, venez exprimer votre support! Apportez un jouet perdu au Palais de Justice près de chez vous demain, vendredi le 20 Août 2004. Tous les jouets seront remis à la banque de jouets de Noël des pompiers. LES PARENTS DIVORCENT, PAS LES ENFANTS!!! Légende urbaine feministeAnonyme, Mardi, Août 3, 2004 - 15:32
Wendy McElroy
La véritable censure: celle des infos qui nuisent a l'EmpireAnonyme, Vendredi, Juillet 23, 2004 - 13:28
Martin Dufresne
Un columnist de Vancouver, Stephen Hume, s'inquiete du silence des médias nord-américains au sujet de révélations récentes du célebre journaliste d'enquete Seymour Hersh (du New Yorker) au sujet d'un vidéo montrant des garcons Irakiens sodomisés par des soldats américains a la prison d'Abu Ghraib et de lettres adressees a leur mari par des prisonnieres irakiennes violées qui demandent a etre tuees plutot que de vivre dans le déshonneur, documents que possede l'administration americaine, dit Hersh. |
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