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Hommes / Men / Hombres

La langue "macho"

Anonyme, Dimanche, Juillet 24, 2005 - 21:44

Hommes contre le patriarcat

Plus souvent qu'autrement, ce sont les hommes qui, même minoritaires, dominent les activités des groupes mixtes. On peut presque parler d'un "schéma masculin de comportement" ; non parce qu'il n'arrive jamais qu'une femme s'exprime de cette façon, mais parce que ce sont généralement les hommes qui ont le privilège d'agir impunément de la sorte. Et ces comportements ont pour effet d'entretenir ce privilège, en aliénant celles et ceux qui recherchent des échanges plus naturels, égalitaires et efficaces.
Certaines personnes ont déjà commencé à identifier leurs schémas de pouvoir et à assumer la responsabilité de s'en défaire. Voici une liste des comportements qu'ils cherchent à changer en elles et autour d'elles : les caractéristiques de la "langue macho"...



Le Baron EAS : noblesse oblige ...

laiguillon, Jeudi, Mai 5, 2005 - 11:50

Laiguillon
perfa.homedns.org


Briser le mmouvement de la rectitude politique et de la timidité de la gauche

Anonyme, Mardi, Mars 22, 2005 - 13:26

Simon Vallée

C’est une pseudo-idéologie qui, telle une maladie, affecte les mouvements de gauche, les discréditant pour plusieurs et les détournant de leurs principaux objectifs. Comme symptômes, l’on constate un alourdissement des textes, des opinions hésitantes de peur de contrarier et un empressement à accepter tout ce que désire les groupes représentants des minorités dans notre société. Quel est ce mal ?

Et oui, vous l’avez deviné (ou lu dans le titre) : la rectitude politique.

Le "politically correct", quoi.

Dans l’ensemble de la société, il y a un accord pour traiter celle-ci comme il se doit, en des termes péjoratifs. Accuser un politicien de rectitude politique est la même chose que de le traiter d’hésitant, de timide, d’ennuyant. Pourtant, il semblerait que plusieurs, autrement possédant de bonnes idées et une bonne volonté, succombent à cette envie dans leur quête d’égalité sociale.

Attention, il ne faut pas confondre rectitude politique et égalité sociale, le premier n’étant que le second poussé à ses extrêmes, au-delà des limites fixées par le bon sens. Bien que les deux soient motivées par de bonnes raisons, les deux sont radicalement différentes sur le plan de l’utilité. La rectitude politique est un exercice souvent futile, attaquant des perceptions d’injustice plutôt que des injustices elles-mêmes, et tachée de ridicule, alors que l’égalité sociale est nécessaire à une société humaniste.

Dans les milieux progressistes, ce mal est frappant, et il n’est pas surprenant de voir l’UFP en montrer quelques symptômes : invitation à "féminiser" tous les textes (l’épicène serait mauvais et injuste) et acceptation de demander dans son programme la majorité, sinon la totalité, des revendications des groupes de femmes ou de minorités ethniques. Je n’ai rien contre la lutte contre la discrimination, et évitez de me traiter de raciste ou de sexiste, mais il faut savoir s’arrêter dans la lutte à la discrimination, et ne pas passer à l’autre étape, la discrimination inversée.

Le problème majeur de cette discrimination inversée est qu’elle peut accomplir l’inverse de ce que l’on veut faire avec. En jugeant les gens d’abord sur leur sexe et leur race, ces mesures vont à l’encontre de leur but premier, c’est-à-dire l’intégration des groupes minoritaires dans la majorité et la lutte contre les préjugés sexuels ou raciaux. Comment considérer l’autre comme mon semblable et mon égal quand toutes les institutions de la société nous séparent afin de conserver un "équilibre" né de la proportion démographique du groupe de celui-ci ? En faisant ainsi, nous fragmentons la population, et au lieu de l’égalité et de la solidarité, nous obtenons la division et la discrimination.

Mais au-delà des dangers inhérents à certaines mesures contraignantes, la rectitude politique impose aussi son tribut sur ce qui devrait être le but principal de l’UFP ou de tout autre parti se réclamant de la gauche, c’est-à-dire la remise en question du système capitaliste actuel. En s’attaquant à mille et une inégalités, issues souvent, non pas d’une quelconque discrimination répréhensible, mais de simples préférences personnelles, l’on perd une énergie et un temps précieux qui pourraient être consacrés à attaquer les véritables injustices du système : la pauvreté, la disparité des services, l’injustice économique si essentielle à la bonne marche de l’économie capitaliste, les dangers environnementaux et sociaux de l’action de certaines entreprises limitant leur objectif au profit, etc... C’est ça qu’il faut attaquer en priorité, et c’est ce qui risque de se retrouver à l’arrière-plan si on laisse la rectitude politique prendre trop de place.

Mais, vois-je sur vos visages une certaine stupeur ? Est-ce l’usage du terme "capitalisme" qui vous laisse ainsi ? Et voilà que j’aborde un autre point, le détachement du vocabulaire de la gauche. On parle de "progressisme", d’"économie sociale" et d’une panoplie d’autres termes pour expliquer une réalité toute simple : le socialisme, comme si ce mot avait été banni par l’Académie de la Langue Française. Pourtant, plutôt que d’éviter le sujet, pourquoi ne pas tout simplement l’expliquer ? C’est simple et facile, "le socialisme est un terme désignant une prise en charge de l’économie par la société grâce à ses représentants, soit l’État ou des coopératives et autres organisations collectives, afin de garantir une plus grande égalité économique en répartissant mieux la richesse." Et le communisme ? Mot honni s’il en est un, est simplement "la mise en commun de l’économie et de la distribution de la richesse pour répondre aux besoins de tous". C’est important de les définir et de les employer, car si vient un temps où l’UFP devient un parti d’une importance relative, elle se fera accuser d’en être, et si l’on n’a pas expliqué ou utilisé les termes sans s’en embarrasser, on risque de continuer la mentalité que ce sont des idéologies malsaines et mauvaises, et on y sera associé.

Et le capitalisme ? L’on en parle que rarement, lui préférant le terme "néolibéral" qui commence également à s’appliquer à tout et à n’importe qui se situerait le moindrement à droite de celui qui parle. Il serait pourtant si facile de le définir comme "système économique dans lequel le pouvoir appartient à ceux qui possèdent le capital, c’est-à-dire l’argent, en dehors de toutes considérations démocratiques, et fondé sur l’entreprise privée". Bien sûr, je comprends et j’appuis le désir des représentants de l’UFP de vouloir moderniser les discours de gauche, parler de "bourgeois" et de "prolétaires" n’est plus bien vu à présent, vaut mieux parler de "patrons" et de "travailleurs", mais il ne faut pas rompre avec nos racines. Il ne faut pas avoir peur non plus de se définir comme ce que nous sommes, c’est d’ailleurs une raison pour laquelle je m’intéressais au Parti de la Démocratie Socialiste, qui maintenant fait partie de l’UFP, le nom est une affirmation complète de l’idéologie, qui ne laisse aucun doute planer. On est loin ici de l’"Action démocratique" qui pourrait définir autant un parti de gauche que de droite.

Encore plus, la rectitude politique risque de discréditer l’UFP si elle se laisse avoir par ses charmes. Tout comme le "communisme gauchiste" que dénonçait Lénine avant son ascension au pouvoir en Russie, elle fait preuve d’un manque flagrant de patience et de modération dans ses revendications. Au lieu de combattre la discrimination vraiment dangereuse, puis de laisser l’évolution sociale, aidée quelques fois par des mesures indirectes, éliminer le reste pour en venir à une égalité sincère, elle impose un équilibre artificiel entre les couches de la société, équilibre qui risque d’oublier que l’on parle d’individus aux désirs et aux compétences divers, et non pas de simples chiffres. S’il n’y a aucune discrimination dans la sélection d’individus pour un certain programme scolaire, et qu’on en arrive à un déséquilibre proportionnel, alors il ne faut pas simplement arriver et déclarer "il faut prendre plus de ceux-ci et délaisser ceux-là". Ça crée du ressentiment et c’est sans compter l’individu. Il faut analyser les problèmes et les attaquer à leurs sources, puis laisser le temps faire son oeuvre, démontrons de la patience. Si le déséquilibre persiste, il y a deux possibilités : la première est un simple hasard et la deuxième étant une conséquence culturelle naturelle, dans les deux cas, inutile de s’énerver, il faut accepter ces déséquilibres.

Mais cette patience manquante dans la rectitude politique la rend effrayante et repoussante pour une grande majorité du monde. Personne n’a le goût de voir se faufiler une de ces "utopies cauchemardesques" des années 40 et 50 où l’égalité entre les gens est poussée au-delà de toutes limites issues du bon sens. Ainsi, il faut s’en distancer afin d’éviter de devenir l’Union de la Rectitude Politique des Citoyens et Citoyennes de Toutes Origines Ethniques Sans Différence Aucune, Oh et N’Oublions pas le Progressisme (URPCCTOESDAONOP).

Ceci dit, pourquoi cet article ? Non, ce n’est pas pour insulter l’UFP ou quelconque de ses composantes, mais pour critiquer afin de mener à une réflexion sur les actes que l’on pose. Car accepter tout ce que propose l’UFP sans critiquer est une attitude destructrice et néfaste pour son but profond, tout comme refuser tout compromis dans une telle alliance de gauche. Avant qu’on me le demande, non, je n’ai pas encore eu la chance d’assister à des rencontres de l’UFP, j’attends la réponse à ma demande d’adhésion bientôt. Toutefois, c’est un avertissement lancé ainsi de manière théorique afin que, si elle trouve des raisons d’exister dans la réalité, l’on puisse commencer à réfléchir à ce problème potentiel.



Grève mondiale des femmes - Appel aux hommes

Anonyme, Samedi, Mars 5, 2005 - 15:27

Payday

Appel aux hommes à participer à la Grève mondiale des femmes dans le cadre de la journée internationale des femmes le 8 mars 2005

www.globalwomenstrike.net


Nous ne laisserons pas détruire un homme

Anonyme, Lundi, Février 28, 2005 - 17:34

Gilles Lestrade

Le site est victime d'une désinformation totale concernant l'affaire "Dieudonné". Il a fait un démenti d'urgence sur les faits dont il est accusé. Les lobbies français veulent sa peau et s'organisent pour l'accabler. Dieudonné n'a jamais été et ne sera jamais antisémite et négationniste. C'est un humaniste qui ose dire des vérités et on veut l'en empêcher.



Où donc était Dieu

oscar, Mercredi, Janvier 5, 2005 - 18:49

Oscar Fortin

Les catastrophes naturelles qui engendrent des milliers de morts interpellent Dieu, auteur de cette nature et soi-disant toujours sensible aux réalités humaines.



Le cardinal Oueillet monte aux barricades

Anonyme, Mercredi, Décembre 15, 2004 - 08:36

Le projet de loi sur le mariage de personnes de même sexe soulève une opposition assez musclée de la part du Cardinal Oueillet et d'un certain nombre de chrétiens. Cette mobilisation, plutôt discrète lorsqu'il s'agit de s'opposer à la guerre et au bouclier antimissile, n'est pas sans soulever quelques questions.



Carte postale d'Arriéristan

Anonyme, Vendredi, Décembre 3, 2004 - 03:56

Le grand voyageur

Il existe une société tellement arriérée que quand parle de lutter contre la violence domestique, on prend le soin de qu'on ne fait référence qu`à celle dont ce sont des femmes qui sont les victimes. Quand on y parle d'égalité, on prend bien soin de dire qu'on parle de l'égalité pour les femmes. Je connais bien cette société. Là-bas, ce sont des Ayatollahs qui dirigent l'Oligarchie d'arriérés qui dirigent le pays.

En Arriéristan, tout marche à l'envers. Quand on avance, on dit qu'on est rétrograde Quand on se dit progressiste, c'est qu'on est réactionnaire et quand on est accusé de réaction, c'est un compliment. Quand on dit qu'on lutte contre le sexisme, c'est qu'on pratique le sexisme et quand on parle d'égalité des sexes, on fait la promotion de la suprématie féminine. L'Arriéristan est une société intégriste. Les dissidents sont pointés, accusés et souvent emprisonnés. Quand il est question d'obtenir des faveurs, on a intérêt à obéir aux Ayatollahs. La dissidence y est sévèrement réprimée. Sur simple déclaration d'un Ayatollah, quand quelqu'un est accusé d'hérésie, ses droits civiques sont suspendus et la démocratie cesse aussitôt de l'inclure. La tolérance n'est pas une qualité très prisée en Arriéristan.

Les Arriérés, l'ethnie dominante, sont des descendants de tribus barbares qui, depuis aussi longtemps qu'on se souvienne, pratiquent la contradiction et le paradoxe. Certains des ancêtres des Arriérés ont marqué l'histoire envahissant des pays dont les richesses ne laissent personne indifférent sous prétexte de les libérer. Les empires des Arriérés ont toujours été de courte durée. Leurs adversaires ont compris qu'il ne suffit, pour s'en débarrasser, que de leur conseiller de faire le contraire de ce qu'on voudrait bien qu'ils fassent. Les arriérés sont des imbéciles tellement prévisibles qu'ils ne représentent de danger que pour eux-mêmes.



L'image du père sur CMAQ

RiouxYves/Bleuler, Mercredi, Décembre 1, 2004 - 13:08

Bleuler


Manifeste pour la justice en droit familiale

Casanova, Jeudi, Novembre 25, 2004 - 17:40

Père pour la justice

FATHERS 4 JUSTICE est une organisation dédiée à la défense des droits civiques et qui agit pour le respect de la vérité, de la justice et de l’équité dans le domaine du Droit familial. Elle défend les intérêts des enfants, de leurs parents et ceux de leurs grands-parents.

Nous défendons le droit qu’ont les enfants de continuer d’avoir deux parents après la rupture du couple et protestons contre la révocation systématique d’un des deux parents par le Tribunal de la famille.

Nous réclamons le droit de maintenir une relation affective et significative avec nos enfants et nos petits-enfants et nous endossons les recommandations du COMITÉ MIXTE SPÉCIAL SUR LA GARDE ET LE DROIT DE VISITE DES ENFANTS au sujet du partage des responsabilités parentales.

Nous préconisons l’abolition de chacun des éléments qui constituent l’industrie du Droit familial, un système onéreux, cruel, injuste et qui n’a à rendre de comptes à personne. Nous demandons la destitution de tous les membres de la magistrature affectée au Tribunal de la famille et leur remplacement par un système juste et transparent qui respecte le principe du partage des responsabilités parentales. Nous demandons que le droit de tous à une vie familiale soit inscrit dans la Charte Canadienne des droits humains.

FATHERS 4 JUSTICE entend révéler au grand public toutes les injustices commises secrètement par le Tribunal de la famille et ce, même quand il faut contrevenir à un ordre de non-divulgation.

Nous nous engageons à dénoncer le sexisme inhérent au Droit familial qu’il soit dirigé envers les mères ou envers les pères.

Nous appuyons les recherches visant à déterminer l’ampleur des coûts sociaux pour les générations montantes de la séparation des enfants de l’un de leur deux parents et de sa famille étendue. Nous entendons démonter ses conséquences en terme de délinquance, d’effritement social et de suicide et des conséquences à la fois pour les enfants et pour leurs parents d’avoir été séparés l’un de l’autre.

Nous nous engageons engagés envers l’adoption, par le gouvernement Fédéral, d’une déclaration des droits des enfants et de leurs parent qui consacre le droit de chacun, les enfants et leurs parents, d’entretenir, l’un envers l’autre, une relation affective et significative et qui établisse une répartition équitable des actifs et des revenus des anciens conjoints.

Compte tenu de ce qui précède, compte tenu de l’intransigeance des institutions judiciaires qui obligent les parents séparés à mener entre eux une guérilla dévastatrice, compte tenu de l’insensibilité des institutions politiques envers les besoins des enfants du divorce, FATHERS 4 JUSTICE s’engage à mener une campagne de désobéissance civile non violente dirigée envers chacun des éléments participants au système du Droit familial afin de dévoiler et corriger les injustices qui touchent le Droit familial.



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