Au moment où des politiciens s'apprêtent à rendre un "hommage" compassé aux 14 victimes d'un militant masculiniste, ils maintiennent les conditions qui piègent femmes et enfants dans la violence sexiste du système patriarcal.
766 femmes et enfants tuéEs depuis le 6 décembre 1989; 15 ans après l'attentat terroriste de l'École polytechnique, la violence sexiste continue
(Québec, 19 novembre 2004) -- Des statistiques compilées par le Collectif masculin contre le sexisme indiquent que pas moins de 593 femmes et 172 enfants ont été tués par des hommes (ou des inconnus) au Québec depuis l'attentat antiféministe du 6 décembre 1989. Et encore s'agit-il seulement des personnes dont le corps a été identifié et le nom rendu public, une reconnaissance souvent refusée aux enfants et aux victimes immigrantes, autochtones ou âgées.
Les données recueillies par le CMCS indiquent une hausse régulière des meurtres de femmes commis par un conjoint, ex-conjoint ou partenaire sexuel dans le décompte total des décès féminins. Cette proportion est passée de 37% en 1989 à 73% en 2004.
Le CMCS note que les hommes en instance de séparation sont fortement surreprésentés parmi les coupables. Dans bon nombre de cas, les femmes visées avaient appelé à l'aide, des policiers s'étaient présentés sur les lieux, la violence conjugale ou paternelle avait été identifiée et des magistrats avertis des menaces proférées; ils se sont montrés inefficaces ou désinvoltes face au meurtrier. Les conjointes d'hommes contrôlants, mais aussi les femmes prostituées, immigrantes, âgées et malades, semblent particulièrement ciblées par les hommes qui tuent.
Les 38 victimes identifiées à ce jour au Québec depuis novembre 2003 sont :
Jessica Sylvain, 14 ans; Tamara Shaikh, 35 ans; Elizabeth Fuller, 52 ans; John Feurer Pellerin, 6 ans; Leila Arbaoui, 30 ans; Nadia Panarello, 37 ans; Lai Josephine Wah, 51 ans; Ai Ny Cai, 32 ans; Zacharie Hallé, 3 semaines; Johanne Bonhomme, 34 ans; Audrey-Ève Charron, 23 ans; Nathalie Boutin, 34 ans; Monique Gravel, 49 ans; Chantale Gervais, 25 ans; Annie Lapointe, 47 ans; Marie Clermont-Bazzarelli, 44 ans; Anastasia Siméon, 4 ans; Kathy Rioux, 33 ans; Tommy Saint-Germain, 2 ans; Shade Durand, 2 ans et demie; Josée Olsen, 34 ans; Dominique Papineau, 31 ans; Rose Kaitak, 15 mois; Nazia Chahen, 29 ans; Tsao Chih Pan, 40 ans; Nancy Ouellette, 35 ans; Jeannine Gagnon, 51 ans; Angel et Melina Laskaris, 4 et 2 ans; Ève St-Onge, 1 an; Barbara et Hilary Erdhardt, 52 et 17 ans; Kelly Ann Drummond, 24 ans; Alicia Moses, 20 ans; Ana Maria Solinas Norbaak, 25 ans; Lise Phaneuf, 64 ans; Carole Lirette, 45 ans et Andrée Gagné, 42 ans.*
Le Collectif s'inquiète des dénis de justice et de protection qui referment sur tant de femmes et d'enfants le piège de la violence masculine. Comme le réseau des maisons d'hébergement et le mouvement des femmes en général, il appelle à un vaste chantier social où seraient présentés, discutés et adoptés collectivement les projets d'éducation, les ressources et les réformes structurelles qui pourront mettre fin à aux privilèges et aux violences sexistes.
Martin Dufresne, secrétaire
Collectif masculin contre le sexisme
mar...@laurentides.net
Voila que notre bouffon nationale, Martin Dufresne, remet ca cette année. À chaque année, il publie une liste de femmes qui auraient été tous tué par des hommes pour prouver que les hommes du Québec seraient "violent". Si on fait la moyenne des femmes tuées par année par des hommes selon les fausses statistiques de Dufresne(766/15), on arrive à une moyenne de 51 femmes tuées par année alors qu'il y a environ 15 femmes tuées par un homme par année!
Pour arriver à un chiffre de 766, notre Martin nationale inclue dans sa liste des femmes qui sont mortent d'accident ou tout autre causes qui n'ont rien à voir avec un homme. Malhonnête vous dites? Le mot est faible. Heureusement, les statistiques de Dufresne n'ont aucune crédibilité. La dernière journaliste qui a osé utilisé ses statistiques s'est fait suspendre par son journal(The Gazette) pour avoir publié un information mensongère sans avoir vérifier la crédibilité de la source.
Comment le CMAQ peut-t-il publié une pareille merde alors qu'il sait très bien que les statistiques de Dufresne sont de la bouillie pour les chats? Est-ce que le CMAQ s'identifie à l'idéologie néoféministe anti-homme de de Dufresne et son collectif dont il est le seul membre encore actif? Toutlemonde sait que Dufresne est ridiculisé dans à peu près tout les milieux communautaire et même féministe(sauf quelques groupuscules radicales). Si le CMAQ est pour l'égalité des sexes comme il le dit, alors pourquoi laisse-t-il Dufresne faire la promotion de antipatriarcat.org qui est un site anti-père? Sortir de la pensée unique? Mon oeil.
Dufresne a voix au chapître, au CMAQ, parce qu'il n'a pas recours au discours haineux dans ses contributions. Contrairement à vos petits amis et à vous même.
Vous dites qu'il est anti-père, je crois que ça relève plutôt de votre problème personnel avec l'individu et sa croisade que d'une observation objective de la réalité.
Vous dites que le CMAQ "sait très bien" que ses statistiques sont mauvaises, ben non, le CMAQ ne sait pas très bien que ses statistiques sont mauvaises, parce que le CMAQ a d'autre chats à fouetter que de s'interroger sur l'exactitude absolue des stats incluses dans les contributions soumises sur le site.
Vous demandez si le CMAQ s'identifie avec "l'idéologie néoféministe anti-homme de de Dufresne", ben non, on ne s'identifie pas avec l'obsession personnelle d'un seul homme (soit-elle antihomme, ce qui à mon sens est une substantielle déformation de la réalité), mais on ne s'identifie définitivement pas, et vous êtes bien placé pour le savoir, M. Casanova, avec votre discours réactionnaire et révisioniste, définitivement anti-féministe et souvent misogyne.
Ce que nous savons "très bien", c'est qui vous êtes et à quel courant de "pensée" vous faite partie , M. Casanova, et ne croyez pas que le CMAQ est dupe de vos sporadiques appartitions surprise.
Et sortir de la pensée unique, ça ne veut pas dire être tolérant de toutes les pensées, soient-elles réactionnaires et régressives. Vous et vos congénères avez fait maintes fois la preuve, par vos propos misogynes et votre attitude aliénante, que vous ne cadrez pas dans la la position progressiste du CMAQ, et ce malgré tous vos pleurnichages puérils.
Le boycott dont vous et vos idées nauséabondes faites l'objet au CMAQ a été décidé démocratiquement par tous les membres du CMAQ en 2003. Nous continuerons à mettre en vigueur une politique de tolérance zéro à votre égard.
Quand à Martin Dufresne, il n'est pas particulièrement bienvenu au CMAQ non plus (les raisons qui le poussent à publier ici, alors qu'il sait parfaitement la malsaine réaction qu'entraînera sa seule apparition, et alors qu'il a mené au cours de la dernière année une campagne de salissage du CMAQ un peu partout, me dépassent complètement!!), mais nous n'avons aucune raison de l'empêcher d'y publier le résultat de ses minutieuses enquêtes.
"Dufresne a voix au chapître, au CMAQ, parce qu'il n'a pas recours au discours haineux dans ses contributions. Contrairement à vos petits amis et à vous même."
Peux-tu me dire cela sans rire? Dufresne n'est pas haineux dans ses contributions. C'est le boute du boute. Comment expliques-tu alors que à quelques reprises les administrateurs du CMAQ ont censuré des commentaires que Dufresne avait écrit? Tu oublies vite.
C'est reconnu par énormément de gens que Dufresne est un militant anti-père et anti-homme, même dans les milieux dit progressiste. Toutlemonde sait que son agression sexuel étant plus jeune par un homme est la source de sa haine envers le genre masculin.
"Vous dites que le CMAQ "sait très bien" que ses statistiques sont mauvaises, ben non, le CMAQ ne sait pas très bien que ses statistiques sont mauvaises, parce que le CMAQ a d'autre chats à fouetter que de s'interroger sur l'exactitude absolue des stats incluses dans les contributions soumises sur le site."
J'ai sursauter sur ma chaise en lisant ce passage car il mine la crédibilité du CMAQ. Un site qui se dit sérieux a le devoir de vérifier l'exactitude des stats et des textes qu'on lui soumet sinon il n'a aucune crédibilité. Pourtant, je me souviens très bien que des articles traitant de condition masculine ont été rejeté pour cause de désinformation. Ca doit être donc que le CMAQ a vérifier les stats ou les affirmations de l'article? Alors pourquoi ne le fait-t-il pas dans le cas de Dufresne et en plus vous dites que vous n'avez que faire de la vérité de ses stats? Double standard. Le pire, c'est que vous avez déja rejeté un article traitant de condition masculine pour cause de désinformation alors que les sources provenaient de...l'institut de la statistique du Québec!! Le CMAQ est surement mieux informé qu'eux.
Que le CMAQ continue d'ignorer la condition masculine qui est un phénomène de société qui grandit à vitesse grand V est son choix mais en tant que site web qui se dit sérieux il se doit de vérifier les sources des article qu'on lui soumet.
Vos facéties et ceux de votre ennemi juré porteraient plutôt à pleurer.
Vous êtes, et je pèse mes mots, la plus belle gang d'emmerdeurs que j'ai personnellement eu le déplaisir de connaître.
Les exemples auxquels vous faites allusion de propos questionnables par Martin Dufresne ne sont que négligeables bilevesées si on les compare aux montagnes d'injures, d'insultes personnelles, d'anathèmes et de diffamations en tous genres dont vous et vos petits amis avez arrosé Dufresne depuis que vous avez décidé de mener votre petite guerre puérile en nos pages.
J'ai moi même joué dans ces échanges à celui qui gueule le plus fort. C'est le dérapage irrationnel inévitable qui incombe aux dialogue de sourd dont vous avez le fin secret.
Si Dufresne est reconnu comme anti-père et anti-homme par "énormément de gens", selon vos dires, c'est sans doute que vous êtes entouré "d'énormément" de types dans votre genre qui pensent exactement comme vous.
Les gens du "milieu progressiste", si j'en crois mon expérience, sont plutôt exaspéré par son obstination que gagné à votre cause réactionnaire. Par ailleurs, personne d'autre que vous-même, et peut-être une demie douzaine de comiques de votre farine, ne connaît l'existance saugrenue des néologismes "anti-père" et "anti-homme". C'est du délire achevé.
Le reste du monde se fout éperdument de Martin Dufresne, de Yves Pageau et, au reste, de vos chicanes stériles.
Quant aux vérifications des statistiques soumises sur le site, vous devriez savoir, depuis le temps que vous le fréquentez pour y pisser votre vinaigre, que les contributeurs-trices, et seulement les contributeurs-trices, sont responsables du matériel qu'ils ou elles soumettent.
C'est écrit noir sur gris dans la politique éditoriale et ça a toujours été comme ça.
C'est d'ailleurs le propre des tribunes Indymedia que de faire confiance aux collaborateurs-trices quant au respect de la politique éditoriale.
Il existe bien un article concernant l'authenticité des informations soumises, mais en aucune façon les bénévoles du CMAQ s'engagent-ils à vérifier l'exactitude de l'ensemble des infos. La nature libre et ouverte de la tribune rendrait un tel exercice virtuellement impossible pour une poignée de bénévoles.
Si vous n'êtes pas satisfait de notre rigueur journalistique, je vous invite pour une centième fois à aller vous faire voir ailleurs. Ça ne sera pas plus mal pour nous. Et emmenez vos petits camarades avec vous. Et Dufresne aussi, pour la peine.
Finalement, sachez que si vos soumissions antérieures ont été refusée de publication, ça n'est pas pour l'inexactitude de vos soumissions autant que parce que vous manipulez des informations, soient-elles vraies ou fausses, dans le but de discréditer systématiquement le courant féministe et /ou certains éléments de ce courant que nous considérons progressiste et, partant, allié du CMAQ dans la mouvance pour la justice globale.
À l'inverse, le concept alambiqué que vous appelez "la condition masculine", votre cheval de bataille, n'est autre que le véhicule d'un discours réactionnaire qui dissimule mal sa violence inhérente.
Un tel disours n'a pas sa place au CMAQ. Un point c'est tout.
Je poste mon texte ici parce que je ne sais pas où le poster. Et je m'adresse à vous parce que je ne sais pas où discuter avec Clément. Ce monsieur (Clément) a refusé l'un de mes articles portant sur l'avis du CSF et j'en suis navré.
Pour un militant, bien des chevaux de bataille méritent d'être enfourchés. Comme militant de gauche, j'ai choisi d'enfourcher le plus difficile de tous. J'ai choisi de critiquer les dérives de la gauche. Je le fais par rapport aux dérives écologistes. Je le fais par rapport aux dérives en santé. Je le fais par rapport aux dérives en matière d'éducation. Je le fais par rapport aux dérives relatives à la question de la femme. Les trois premiers terrains ne me sont jamais contestés. Ce n'est pas le cas du dernier.
La question de l'oppression de la femme est une question très polarisée, plus polarisée que les autres questions. Il est difficile d'adopter un point de vue critique face à une personne ou un groupe s'affichant comme féministe sans être immédiatement assimilé à une position radicalement opposée, voir à une idéologie masculiniste, homophobe, de droite. Je trouve cette polarisation fâcheuse. Toute critique est-elle devenue impossible? Faudrait-il tout avaler sans faire la grimace?
je trouve qu on associe feminisme a n importe quoi a l egalite,au droit souvent individualiste,et meme a la superiorite,et avec lincident lepine on fait une croisade politique et on specule sur le geste d un desiquilibre.dapres moi il ny a pas de debat a faire la dessus et justement ceux qui se pretende feministe ne tiennent pas un discours ouvert,mais tombe dans la victimisation.je trouve que les rapports homme femme ne vont pas tellement bien quand on est rendu a censurer des messages.je ne sais pas ou on sen va au quebec avec ce genre d evolution ou le monde se regarde le nombril et un peu plus bas est ce que lonu va nous envoyer des casques bleu feminin pour sauver ces pauvres femmes du quebec, ces joyaux de l humanite, ces pauvres femmes blanches
Ce n'est pas la censure qui m'irrite. Ce qui est irritant, c'est que l'application des règles change suivant les personnes qui l'exercent et surtout suivent les personnes qui en sont la cible.
Toute critique est automatiquement assimilée à de l'anti-féminisme et incidemment à de la misogynie. En contrepartie, n'importe qu'elle discourt se présentant comme un discours féministe est reçu. Certains de ces discours sont véritablement progressistes. D'autres sont superficiellement féministes, mais ils entretiennent des stéréotypes sexistes. D'autres encore sont carrément démagogiques. Jamais pourtant ils ne sont censurés.
Très justes et pertinents tes commentaires, Casanova.
En mentionnant que Dufresne n'a pas de discours haineux,
çà me rappelle le scandale des commandites oû tout le Canada
savait sauf celui qui faisait semblant de ne pas voir. Clairement
un jupon fluo qui dépasse.
Souvenez-vous aussi du fameux "copyright" qu'invoque le CMAQ
à outrance quand çà fait son affaire, alors que rien, mais rien n'interdit de reprendre des articles publiés ailleurs lorsque le but n'en pas un lucratif. J'ai même donné des références à cet égard, mais on continue de feindre l'ignorance!
Et comme tu le mentionnes si bien, des articles ont été rejetés pour
désinformation alors que c'était faux. Cette fois, il s'agit bel et bien de discours de désinformation, haineux et sexiste et on diffuse
en toute connaissance de cause! Qu'un site diffuse des informations
les sachant au préalable erronées entraîne leur responsabilité, voire
même la complicité tacite.
En passant, le site déviant de anti-patriarcat.eurk a été financé
à même des cotisations étudiantes provenant de leur association.
C'est scandaleux!
Le CMAQ devrait d'abord considérer que la merde propagée contre le CMAQ provient de 2 fémi-nazis radicaux hors circuit ,et non des "méchants masculinistes".
>>>Souvenez-vous aussi du fameux "copyright" qu'invoque le CMAQ
à outrance quand çà fait son affaire, alors que rien, mais rien n'interdit de reprendre des articles publiés ailleurs lorsque le but n'en pas un lucratif.
Mais c'est de la sience-fiction pure! Vous délirez monsieur.
Il n'y a pas de licence unique en ce qui a trait aux lois sur la protection des droits d'auteur. Et celle à laquelle vous faites allusion n'est défintivement pas la plus commune.
Certaines licences permettent l'utilisation de texte pour des fins non commerciales, mais la plupart des organes de presse mainstream ont des licences qui ne permettent pas qu'on y copie des articles ou des photos. Au mieux on peu en copier un court passage et référer la page en lien hypertexte.
C'est élémentaire.
Bref, il existe une panoplie de licences comportant plusieurs nuances plus ou moins restrictives.
Si vous avez des preuves que l'article que vous recopiez est sous une licence relative, c'est à vous de les démontrer lorsque vous soumettez votre article. PAs à nous de chercher pendant une demie heure sur le site original pour y étudier la licence.
En règle général, nous refusons la publication des textes qui sont sous copyright parce que nous encourageons la diffusion de matériel en copyleft, ou sous licence "commmune".
Voilà pour ça.
Par ailleurs, l'utilisation du terme "fémi-nazi" dans votre commentaire trahi la violence de votre esprit, et on comprend à demi-mot de quel bois vous vous chaufez.
"Mais c'est de la sience-fiction pure! Vous délirez monsieur.
Il n'y a pas de licence unique en ce qui a trait aux lois sur la protection des droits d'auteur. Et celle à laquelle vous faites allusion n'est défintivement pas la plus commune.
Certaines licences permettent l'utilisation de texte pour des fins non commerciales, mais la plupart des organes de presse mainstream ont des licences qui ne permettent pas qu'on y copie des articles ou des photos. Au mieux on peu en copier un court passage et référer la page en lien hypertexte.
C'est élémentaire.
Bref, il existe une panoplie de licences comportant plusieurs nuances plus ou moins restrictives."
Vous devez sûrement être un grand connaisseur en cette matière et j'aimerais que vous m'éclairiez sur ce que vous qualifiez de "délire"!
La loi sur les droits d'auteur mentionne clairement ceci:
29.2 L'utilisation équitable d'une oeuvre ou de tout autre objet du droit d'auteur pour la communication des nouvelles ne constitue pas une violation du droit d'auteur à la condition que soient mentionnés :
a) d'une part, la source;
b) d'autre part, si ces renseignements figurent dans la source :
(i) dans le cas d'une oeuvre, le nom de l'auteur,
(ii) dans le cas d'une prestation, le nom de l'artiste-interprète,
(iii) dans le cas d'un enregistrement sonore, le nom du producteur,
(iv) dans le cas d'un signal de communication, le nom du radiodiffuseur.
Droit d'auteur, Loi sur le
PARTIE III VIOLATION DU DROIT D'AUTEUR ET DES DROITS MORAUX, ET CAS D'EXCEPTION
Exceptions
Actes à but non lucratif
Intention 29.3 (1) Les actes visés aux articles 29.4, 29.5, 30.2 et 30.21 ne doivent pas être accomplis dans l'intention de faire un gain.
Où voyez-vous des licences multiples dans cette loi et les distinctions que vous y faites en rapport avec le sujet?
Cà mentionne dans mon "délire" en tous points ce que j'ai résumé antérieurement, à savoir que j'ai le droit de reproduire un article
à des fins personnelles et/ou non-lucratives, point à la ligne.
Où dans la loi, est-il mentionné que je n'ai pas le droit de reproduire un article selon ce que vous qualifiez de licence de
mainstream?
S'il existe des "copyleft" et des autorisations selon vos prétendues
"licences multiples" même dans un but non-lucratif, veuillez m'en indiquer les sources, çà manque à ma culture et c'est la première fois que je lis un tel discours. Ne prétendant pas avoir toute la connaissance,j'espère donc que vous contribuerez à augmenter la mienne.
D'autre part, des jugements déjà consultés ne font aucune distinction
dans ce que vous avancez et sont conséquents de la loi ci-haut pré-citée.
Même en matière de confidentialité de emails, ceux-ci sont remis
en question dans plusieurs cas, selon le contexte et selon ce à quoi
on est est en droit de s'attendre en fonction de l'endroit où on
l'envoie.
"Par ailleurs, l'utilisation du terme "fémi-nazi" dans votre commentaire trahi la violence de votre esprit, et on comprend à demi-mot de quel bois vous vous chaufez."
Le terme "fémi-nazi(e)", désigne un groupuscule
de féministes radicaux(ales) qui alimentent la haine
des hommes par des discours haineux, faux ,mensongers ou remplis
de demi-vérités, sous le couvert du "féminisme".
(le texte du dufresne en est un éloquent)
Où est le rapport entre identifier des individus et porter un jugement gratuit sur celui qui dénonce?
Qualifiez-vous de guerrier celui qui dénonce la guerre?
Ou encore vous ne saviez pas où placer votre "punch"
de jupon qui dépasse?
J'aimerais bien que monsieur Dufresne réponde aux critiques virulentes qui lui sont adressées. J'aimerais bien qu'il explique les fondements de ses statistiques. Comment procède-t-il pour faire le compte? À partir de quels critères retient-il une morte et en rejette-t-il une autre? Qu'est-ce qui le conduit à croire que ces crimes sont de nature sexiste? Est-ce simplement parce que ce sont des femmes? Tout meurtre d'une femme est-il nécessairement un crime sexiste?
J'aimerais aussi qu'il explique ce qu'il propose pour mettre fin au carnage qu'il dénonce?
Je suis aller sur le site de Monsieur Dufresne. Je n'ai pas trouvé ses critères, mais j'ai trouvé une description des circonstances entourant le décès des femmes et des enfants. Malheureusement, l'auteur relate les affaires sans identifier ses sources. S'agit-il de rapports de police ou d'articles paru dans des tabloïdes?
Je remarque le premier cas:
""John Feurer Pellerin, 6 ans, trouvé pendu le 9 janvier à Drummondville, avec son père, Bruno Feurer, 32 ans, qui en avait obtenu la garde 4 ans plus tôt, au moment de sa séparation de la mère. L'assassin a laissé des lettres adressées à diverses personnes. Il avait un emploi, ne donnait aucun signe de dépression, envoyait son fils à l'école privée.""
Je ne comprend pas! En quoi est-ce un crime sexiste? Monsieur Dufresne rapporte que le père n'avait pas donné de signe de dépression. Bon! Mais pendre son fils de 6 ans pour ensuite se pendre lui-même, m'apparait être un indice significatif d'une grave dépression. Pas vous?
Où est le sexisme dans cette affaire? Comment prévenir de semblables drames?
Dufresne ne répondra pas aux critiques sur ses fausses statistiques. Il a déja refusé de prouver la validité de ses statistiques en 2003 devant un journaliste indépendant qui s'était appercu que sa liste contenait des victimes dont la mort n'avait aucun rapport avec un homme. Essayer de comprendre les raisons qui poussent notre bouffon nationale à publier ces fausses statistique est une perte de temps, sa malhonnêteté est sans limite.
[ ]
Sujet:
Le record de tous les temps appartient à une femme
Le chiffre ahurissant de six cents jeunes filles tuées par la comtesse Elizabeth Bathory et ses complices est sans conteste
le record de violence jamais enregistré par une seule personne.
"Les filles étaient frappées avec violence. Certaines avaient le cou percé selon la plus pure tradition vampirique. D'autres étaient liées avec des cordes qu'on tordait ensuite afin qu'elles puissent s'enfoncer dans les chairs, ce qui permettait de leur ouvrir les veines et de faire jaillir le sang sur la comtesse". http://sylphe.chez.tiscali.fr/elizabeth.html
Pas besoin d'inventer de victimes ici, elles ont bien toutes été
tuées et torturées par une seule femme.
Une journée devrait être commémorée pour dénoncer la violence des femmes.
....on peut publier "le résultat de nos recherches"?
Hommes et garçons tués par une femme depuis le 20 mai 1988
***** LÉGENDE
1. Le narrateur : texte SOULIGNÉ
2. Conférence de Françoise David; texte en GRAS
3. Répliques d'un de nos chercheurs masculinistes réactionnaires, régressifs, misogynes et pleurnichards ayant une attitude aliénante ! ;-))))))))(clin d'oeil à Pat) texte en ITALIQUE
En réalité, les répliques sont données par l'un des membres d'un organisme humanitaire sans but lucratif au Québec et ce, sans aucune subvention.
*****
Je suis un Homme et je crie au ‘’VIOL’’ et dénonce la propagande haineuse envers les hommes.
-Je suis fier d’être un homme tous les matins que le jour se lève.
J’admire une femme accomplie et libre de ses choix. J’ai honte que des femmes comme Françoise David, dans notre société, sous le couvert d’aider un groupe de personnes (femmes), nous dit subtilement, par toutes sortes de sous-entendus, que tout l’autre groupe (hommes) ne sont que des meurtriers, des êtres infâmes, qui sont les seuls agresseurs. Être sexiste, utiliser des stéréotypes, se valoriser et s’accomplir en méprisant un groupe au dépend d’un autre, n’est-ce pas ce que les féministes elles-mêmes dénoncent.
Avec tous ces millions de dollars donnés aux regroupements de femmes, avec un ministère ‘’femmes’’, des centaines de fonctionnaires à travers le Canada ne travaillant que pour démontrer un côté de la réalité, l’apparence de la « vérité » peut prendre bien des visages. Les hommes peuvent devenir l’ennemi à abattre sur cette terre. Et avec de l’hypocrisie, des mensonges, de la manipulation à grande échelle et surtout des moyens pour le faire, on pourrait faire croire à un mort qu’il est vivant….. !
Voici, attaché au discours de Françoise David ( en caractères gras ), mes *réponses (en italique), l’envers du féministe, sans aucun budget et avec aucun ministère travaillant à ma solde. Ensemble, faisons ressortir le vrai du mensonge, ou le faux qui résulte toujours d’un manque de conformité avec une information pleine et entière….
Lisez ce texte et imaginez si j’avais seulement le 1/100e des moyens que Françoise David possède…..jusqu’où le visage de la vérité pourrait s’éclaircir….!
Rapports égalitaires hommes/femmes : mythe ou réalité ?
CONFÉRENCE ( à la direction de la santé publique ), de Françoise David, ex-présidente de la Fédération des femmes du Québec, le 29 novembre 1999, à la Direction de la santé publique de Montréal-Centre :
Le tueur à la Polytechnique M. Lépine.
Françoise David :
D'abord je veux témoigner ma sympathie et ma solidarité aux parents et proches des 14 jeunes femmes victimes de la tuerie de la Polytechnique.
*Réponse : La tueuse à l’école élémentaire de H. Woods School Laurie W. Dann et le tueur à la Polytechnique M. Lépine
D’abord je veux témoigner de ma sympathie et de ma solidarité aux parents et proches des 7 victimes du massacre à l’école élémentaire de Hubbard Woods School où une femme armée d’un revolver 357 ( Laurie Dann), a tiré sur 6 enfants, principalement de jeunes garçons d’environs 8 ans, et tiré un homme au thorax, le 20 mai 1988 en Illinois. Si ce n’était de l’intervention d’un employé de l’établissement qui a empoigné la tueuse, le massacre aurait été probablement beaucoup plus grand, déclare le chef de police M. Herbert Timm. Lorsqu’un jeune garçon lui demande si c’est vrai, pendant la tuerie, elle répond : ‘’Yes and I’m going to show you’’. Au même moment, elle ouvre le feu, (Journal : New York Times National, samedi 21 mai 1988).
-( Il s’agit d’un événement de tuerie le plus rapproché de celui de la Polytechnique fait par une femme ( 20 mai 1988 / 6 décembre 1989). N’allez pas croire que c’est le seul….)
Je suis une femme, une féministe, mais aussi et beaucoup une mère de famille, mère d'un garçon. Sans avoir la prétention de pouvoir partager la douleur de ceux et celles qui ont perdu un enfant ou une sœur, je peux imaginer le sentiment d'arrachement, l'horreur, l'incrédulité, la peine, la colère. Car nos enfants sont certainement les êtres que nous aimons le plus inconditionnellement.
*Réponse : Je suis un homme, activiste contre la haine, mais aussi et beaucoup un ‘’père’’ d’une grande famille de plusieurs centaines d’enfants, je suis éducateur dans des ressources pour jeunes en difficulté, violentés. Sans avoir la prétention de pouvoir partager la douleur de ceux et celles qui ont perdu un enfant ou un frère, je peux imaginer le sentiment d’arrachement, l’horreur, l’incrédulité, la peine, la colère. Face à cette tueuse femme à l’école élémentaire. Car nos enfants sont certainement les êtres que nous aimons le plus inconditionnellement.
Je veux donc rendre hommage à la Fondation des victimes du 6 décembre qui, avec persévérance, nous demande tous les ans depuis dix ans de nous souvenir pour agir.
*Réponse : Je veux donc rendre hommage au maire Daley, au Gouverneur James R. Thompson, qui, suite à cette tuerie du 20 mai, au cours des années qui ont suivi, ont réformé le système scolaire, impliquant beaucoup plus de personnes pour la sécurité de nos enfants.
Je veux rendre hommage aussi à Heidi Rathjen et à ses alliées pour leur courage et leur détermination dans la longue lutte pour l'obtention d'une loi sur le contrôle des armes.
*Réponse : Je note que Françoise David n’a pas rendu hommage à Bob Crampton et à ses alliés pour leur courage et leur détermination dans la longue lutte pour l'obtention d'une loi sur le contrôle des armes.
Je m'en voudrais enfin de ne pas mentionner le travail souvent invisible de toutes celles qui viennent en aide aux femmes victimes de violence. Je veux appuyer ceux et celles qui s'insurgent contre l'omniprésence de la violence dans certains médias et qui essaient de promouvoir un modèle de société où l'on règle les conflits par le dialogue plutôt que par la confrontation.
*Réponse : Je m’en voudrais enfin de ne pas mentionner le travail invisible de plus de 10 000 organismes au Canada et aux États-Unis, tenus par des hommes pour aider les pères et les hommes dans leur détresse et victimes de violence sous toutes ses formes. Pour la presque totalité, sans aucune aide gouvernementale et sans aucune subvention; tandis que les femmes en retirent des milliards chaque années. Pour ne nommer que quelques programmes parmi des centaines au Québec, une dizaine de millions pour commencer, voir à http://www.swc-cfc.gc.ca/. Et j’appui ceux qui s’insurgent contre la misandrie médiatique et ouvrent la réalité de la violence en incluant toutes les victimes et ‘‘toutes les agresseures’’.
Et j'en arrive au sujet de la conférence : L'égalité entre les hommes et les femmes, mythe ou réalité ?
Comment l'aborder ? Ce dont j'ai envie, ce midi, c'est de réfléchir avec vous, de dire devant vous ce que je pense et ressens, d'ouvrir un dialogue, où l'on dit vraiment ce qu'on pense , où l'on n'hésite pas à débattre. C'est là le grand plaisir d'un rendez-vous comme celui-ci. Alors, je plonge. Et retourne en décembre 89.
*Réponse : Comment aborder un sujet politiquement incorrect, la violence des femmes? Comment dire et dénoncer, au même titre que les regroupements de femmes, la violence des femmes? Réfléchir et dénoncer cette violence devraient être aussi applaudi que ce discours de Françoise David. Je m’en retourne donc en mai 1988.
Je me rappelle : La stupeur, l'incompréhension, la douleur comme un coup dans le ventre ou la poitrine, le cœur en miettes, la colère… le besoin d'amour et le besoin d'agir. C'est tout cela que j'ai ressenti.
*Réponse : Moi, je me rappelle bien, suite aux diffusions télévisées, la stupeur, l’incompréhension, la douleur, les cœurs brisés, la colère des membres de la famille des victimes et le désespoir. J’ai vu et me rappelle de ses émotions.
Je me rappelle : les femmes bouleversées, défaites qui tentaient de comprendre. Et qui n'en revenaient pas que dans les médias, plusieurs se refusent à parler d'un crime contre les femmes.
*Réponse : Moi, je me rappelle avoir vu des hommes bouleversés, des regroupements d’hommes, pour la plupart des pères désespérés de ne pouvoir voir leurs enfants. Ayant été accusé par toutes sortes de sous-entendus qu’ils étaient des mauvais pères, qui observaient les médias passer rapidement à autres choses…. on a vite oublié cet événement, n’est-ce pas ? On s’est empressé de dire que c’est une femme ‘‘folle’’, et aucun lien n’a été fait de la signification de ce crime visant principalement de jeunes garçons.
Je me rappelle : de la peine des hommes, de leur malaise, d'un sentiment diffus de culpabilité, qui débouchait parfois sur la colère. Personne n'aime se sentir coupable et la tentation vient de chercher des boucs émissaires. Pour plusieurs, ce furent les féministes.
*Réponse : Moi, je me rappelle avoir ouvert la discussion sur cette violence au féminin, à l’école, auprès de militantes féministes, qui courbaient l’échine, confuses, car le discours du seul agresseur (homme) et la seule victime (femme) ne tient plus face à ce genre d’événements. Les justifications s’alignaient l'une par derrière l’autre : C’était une folle, c’est rare qu’on voit que c’est une femme, déculpabilisation,…elle était sûrement dépressive… . Au bout de la ligne, pour les féministes, c’était un geste d’homme. Pareil pour l’évènement du 6 décembre, face à la colère des féministes, les boucs émissaires, comme vous le lisez présentement, ce n’est pas M. Lépine, mais pratiquement tous les hommes.
Ce souvenir-là m'habite : la difficulté de nous rejoindre, d'être ensemble dans une période extrêmement traumatisante. Je ne généralise pas, il y a eu aussi de belles solidarités. Mais Dieu que nous marchions sur des œufs !
*Réponse : Oui, moi aussi ce souvenir m’habite, la difficulté de nous rejoindre sur une base égalitaire, d’être ensemble sans se pointer du doigt, les féministes ont beaucoup de chemin à faire dans le domaine d’évoluer sans blâmer l’autre. Give peace a chance…….
Il fallait entendre aux nouvelles " Il y a eu 14 morts ". Les victimes étaient toutes des femmes. Lire qu'il ne s'agissait que d'un geste individuel sans aucun lien avec la réalité sociale. Aurions-nous dit la même chose si les victimes avaient été des noirs, des juifs ou des homosexuels ?
*Réponse : Il y a eu 7 victimes, principalement de jeunes garçons, (sans doute beaucoup plus si elle n’avait pas été arrêtée pendant la tuerie), bien que deux fillettes ont été blessées également. Il aurait été un sacrilège de faire un lien qu’on a ciblé des garçons. Pourtant, est-ce un sacrilège de le faire lorsqu’il s’agit de victimes femmes ? Vous avez déjà votre réponse avec la Polytechnique.
Nous faire jeter au visage que les féministes tentaient de récupérer l'événement alors qu'elles étaient si peu présentes dans les médias si l'on compare aux experts et psys de toutes sortes, souvent des hommes…..
*Réponse : MENSONGE. Un homme, Roch Côté, du milieu journalistique, lui-même journaliste, donc au cœur de l’information médiatique, en a eu tellement assez de se faire accuser de meurtrier, en rapport à cet événement, qu’il en a écrit un livre : Manifeste d’un salaud. Et je le cite en page couverture : ÇA VA FAIRE ! J’en ai assez entendu. Après la tuerie de l’École Polytechnique, le 6 décembre 1989, les grandes orgues du féministe m’ont déversé sur la tête leurs tombereaux d’insanités. J’ai lu partout que je suis un salaud. Que j’ai tiré à la Polytechnique. Qu’en plus du cochon, il y a en moi un Marc Lépine qui dort d’un œil seulement. Que je porte sur moi 25 siècles de haine contre les femmes.
C'était dur, très dur… les militantes féministes et bien d'autres femmes se sentaient comme des parias dans une société qui refusait de se regarder en face. Qui avait peine à accepter que l'un de ses enfants terriblement malheureux, exaspéré par des échecs répétés, s'estimant rejeté, discriminé, tue des jeunes filles qu'il rendait responsables de son malheur.
*Réponse : Bien moi je trouve la force de regarder notre société en face, avec tous ses visages de violence. Même si on a peine à accepter qu’un de ses enfants, une femme, terriblement malheureuse, exaspérée par des échecs répétés, s’estimant rejetée, discriminée, tire avec un revolver sur des jeunes enfants, qu’elle rendait responsables de son malheur.
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Laurie W. Dann
Il est à noter que Laurie W. Dann est la dame de droite.
Depuis ce jour, au Québec : Seulement, 446 femmes et 104 enfants ont été tués par des conjoints, ex-conjoints et pères.
Dirons-nous encore qu'il n'y a pas de violence envers les femmes, au Québec ? On peut continuer de penser que Marc Lépine était dépressif, anxieux, qu'il a tué dans un moment de folie. Mais alors que dire de ces hommes qui ont tué 446 femmes et 104 enfants? Que dire de ceux qui continuent de battre, harceler, violer, contraindre des femmes envers qui ils n'ont que du mépris ? Tous anxieux et fous ?
*Réponse : STOP…erreur…. !? Entre 1990 et 1999, selon les statistiques officielles du gouvernement du Québec, sur tous les meurtres répertoriés : 473 femmes ont été tuées et 1073 hommes ont été tués au Québec. ( tél : Statistique Québec 1-800 463-4090 ):
Pour les enfants tués par le père ou la mère au Québec, les statistiques ne différencient pas le père ou la mère. Le total de 104 enfants trouvé par Françoise David… !?
Nous pouvons donc dire avec ces stats mentionnées dans ce texte, ainsi qu'avec d'autres stats dont nous n'avons pas parlé, mais que nous pouvons vous fournir, qu'il y a eu:
Personnellement, j'aurais tendeance à croire que des mâles comme Hitler, Staline ou peut-être George Bush s'il se force on réussit à battre mademoiselle la comptesse.
Vous faites pitié à lire, je suis bien content de... (d'être un gars ça m'est égal) lire cette section du CMAQ seulement lorsque ma souris s'égare.
C'est indigeste et une insulte à internet que de passer du temps à taper des textes aussi stupides que diffamatoires.
Zingaro, un anti-homme, anti-père, fémi-nazi (ça c'est le meilleur, fémi-nazi, hahaha)
Pourquoi ne pas avoir réagi au texte de Dufresne?
N'est-il pas plus indigeste et insultant que de se
faire présenter un texte mensonger, diffamatoire, sexiste
et haineux?
J'aimerais par curiosité avoir ton avis sur ce texte....
C'est un plaisir de vous voir revenir sur CMAQ. J'ai eu peur un moment que vos récriminations contre CMAQ vous conduisent à abandonner définitivement notre site.
Je constate aussi que vous persistez dans vos efforts de comptabilisation des homicides prémédités ou involontaires survenus sur le territoire québécois. En lisant les descriptions que vous faites des évènements entourant ces meurtres, je constate qu'en 2004, il y a encore bien des personnes en proie à de violentes dépressions. Il est fâcheux que ces personnes n'aient pas consulté une ressource médicale avant de faire un passage à l'acte aux conséquences tragiques. Vos statistiques m'invitent encore cette année à revendiquer une plus grande accessibilité aux ressources en santé mentale et de meilleurs programmes de dépistage préventif.
Je me sens un peu coupable de cet état de choses. Dans ma carrière, j'ai souvent participé aux développements de programmes de dépistage de la dépression chez les mères (Échelle d'Édimbourg), mais très peu au dépistage de la dépression chez les pères. Il faut croire que j'ai été trop sensibilisé à la détresse des femmes et pas assez à la détresse des hommes. Je m'engage solennellement à corriger le tir. Vous pouvez vous féliciter d'y être pour quelque chose.
Dans un autre ordre d'idée, je profite de votre visite pour vous adresser un petit reproche. En visitant votre site, j'ai constaté que vous recommandiez à vos visiteurs de lire un pamphlet écrit par Léo Thiers-Vidal: http://sisyphe.org/article.php3?id_article=1364
Je trouve odieux que des personnes se prêtent à des attaques personnelles calomnieuses et c'est malheureusement ce que fait monsieur Vidal à l'endroit du très respecté Hubert Van Gijseghem.
Il se trouve que j'ai lu les publications du Dr Gijseghem, que j'ai suivi plusieurs de ses conférences! Je crois connaître l'état de ses connaissances et de sa pensée. Je vous recommande particulièrement son livre : "La personnalité de l'abuseur sexuel" aux éditions Méridien (1988). Bien qu'un peu ancien, l'ouvrage constitue une excellente synthèse des hypothèses psychanalytiques relatives à la pédophilie et aux formes de déviances sexuelles qui y sont associées. Si vous cherchez dans ce livre une thèse justifiant la pédophilie, vous serez amèrement déçu. L'auteur y décrit 8 types d'agresseurs sexuels dont les profils psychiatriques sont tous plus pathologiques les uns que les autres.
En fait, jamais je n'ai vu Gijseghem soutenir une thèse justifiant ou excusant un agresseur sexuel d'enfant. Mon estomac s'en serait trouvé tout retourné. Un esprit tordu pourra toujours déformer les propos de Gijseghem. C'est ce que fait Vidal. Remarquez dès le départ comment Vidal documente sa critique. Jamais il ne donne de référence précise sur des propos que Gijseghem aurait tenus. Difficile de remettre dans son contexte des extraits dont on ne connaît pas le contexte.
Vidal puise ses arguments principaux dans des textes écrits par des auteurs qui n'aiment pas Gijseghem et qui sont prêts à dire n'importe quoi pour le discréditer. Par exemple, il est vrai que le psychologue dénonce certaines mauvaises techniques d'évaluation des enfants que l'on soupçonne d'avoir été victimes d'abus sexuel. Gijseghem a commencé sa carrière, à une époque où n'importe quel TS et n'importe quel policier s'improvisaient "expert". Dans ce contexte, les pires abus ont été commis contre des personnes qui n'avaient finalement rien à se reprocher et aussi à l'endroit d'enfants que l'on traumatisait en les inscrivant dans une fable de victimisation qui ne leur apportait rien de bon. Avec les techniques actuelles comme celles que cherche à généraliser la PJ, les faux positifs sont plus rares. Il y a, bien sûr, de vrais agresseurs qui échappent encore aux enquêtes. Il reste à savoir si la sensibilité des instruments doit être augmentée au risque de condamner des personnes innocentes. Le choix est difficile. Je crois que la décision doit être mûrement réfléchie par des personnes qui connaissent bien la question. La décision ne doit pas être prise par des démagogues qui cherchent des agresseurs même où il n'y en a pas dans le but d'alimenter leur croisade névrotique personnelle. Il y a, en effet, bien des personnes qui cherchent à résoudre leur contentieux personnel en endossant des batailles en apparence légitimes.
Autre exemple: Il est vrai que Gijseghem dit qu'il faut considérer la mémoire avec prudence. Il n'invite pas à se méfier des souvenirs d'abus qu'une personne conserverait de sa période d'enfance, comme le laisse entendre Vidal. Ce genre de souvenir est généralement fiable et Gijseghem le sait bien. Ce contre quoi Gijseghem met en garde, c'est contre les souvenirs "induit" par hypnose ou par suggestion insistante. La recherche a depuis longtemps démontré que ces derniers étaient généralement de purs fantasmes et elle montre aussi que les enfants y sont particulièrement sensibles. Il y a eu un important débat, sur la question aux U.S.A. et toutes les corporations professionnelles se sont rangées à l'avis dont Gijseghem fait état. Un psychologue qui ne respecterait pas ces standards commettrait une faute déontologique.
Vidal déforme encore les propos de Gijseghem sur des sujets comme: les activités préventives; les thérapies posttraumatiques, le syndrome d'aliénation parental.
Vidal se protège en introduisant chaque paragraphe par le mot "Apparement". Cela ne l'empêche pas de reprendre à son compte les procès d'intention que lui font des lignes de chasseurs de têtes.
Il faut protéger les enfants contre les agresseurs par des mesures préventives intelligentes et ciblées. Il faut aussi condamner les agresseurs que nous attrapons avec plus de sévérité que nous le faisons actuellement. Par contre, il ne faut pas se lancer dans des croisades aveugles aux vrais besoins des enfants ni persécuter des pères et des mères qui n'ont rien à se reprocher. Certains militants et militantes sont si engagés dans leur lutte légitime pour la protection des enfants, qu'ils n'y voient plus clair. Encore ici il faut faire l'effort de garder sa tête sur les épaules.
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Faux souvenirs
Le débat sur la question de souvenirs "retrouvés" en thérapie fait l'objet de nombreuses publications. La plupart sont de la main de militants de deux groupes opposés dans ce débat. Ces publications doivent être considérées avec prudence parce que les auteurs sont si profondément engagés dans leur bataille qu'ils perdent une bonne partie de leur jugement critique.
Dans l'ensemble quelques publications sont plus crédibles parce qu'elles ont été rédigées par des groupes mixtes d'experts mandatés par des ordres professionnels ou parce qu'elles rapportent des résultats de recherches sérieuses conduites par des personnes non impliquées dans le débat.
« Les données recueillies par le CMCS indiquent une hausse régulière des meurtres de femmes commis par un conjoint, ex-conjoint ou partenaire sexuel dans le décompte total des décès féminins. Cette proportion est passée de 37% en 1989 à 73% en 2004. »
Si le lecteur s'arrête un moment à se demander ce que cette phrase veut dire, il constatera son absurdité. On dit ici que 73% des décès féminins survenus pendant l'année 2004 sont le fait de meurtres par des conjoints, ex-conjoints, ou partenaire. C'est absolument impossible pour la raison suivante: les 10 premières causes de mortalité au Canada, hommes et femmes confondues, représentent 83% des décès; or les 10 premières causes de décès, pour les femmes, n'incluent pas le meurtre (source: Statistique Canada, www.statcan.ca/francais/freepub/82-003-XIF/art4_f.pdf , données du recensement de 1996).
Il est possible qu'il s'agisse d'une erreur dans le texte, que le Collectif aurait tout intérêt à corriger rapidement, vu les critiques dont l'article est l'objet...
Vous avez bien relevé un autre des mensonges Dufresne,
au nom d'un collectif qui n'est encore que lui-même et
un autre de ses semblables.Certains n'ont pas encore compris
ou ne veulent pas comprendre que ce genre d'écrit en est un
mensonger, haineux et sexiste.
Étonnant que les ciseaux du CMAQ laissent paraître le jupon de Dufresne!
Sur sa liste d'épicerie, il a oublié d'inclure le ketchup...
En réalité, Dufresne aurait besoin d'une thérapie. Malheureusement, les services destinés aux hommes sont inexistants, même aux perroquets à jupon rose!
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Dossier G20
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