La vague de demandes de concessions sur les salaires, les avantages sociaux, les conditions de travail et les pensions qui balaye le Canada est un enjeu électoral d'une importance vitale pour le peuple.

La centralisation, c’est presque toujours la récupération par une élite révolutionnaire, une avant-garde éclairée (ou plutôt aveuglée), des mouvements révolutionnaires de masses. La centralisation, c’est l’État, le Parti, le gouvernement, la gouvernance, la chefferie, l’élitisme, l’oligarchie (tous ensemble ou pas). C’est le royaume de tous les maîtres.

 
Did you notice anything different about the media coverage of this year’s election? If you’re a fan of the CBC you probably did. That’s because this year our public broadcaster did something that critics of voter preference polling have been asking them to do for years, they didn’t publish any.

Depuis quelques jours déjà nous entendons parler de la possibilité d’un gouvernement minoritaire. À quoi bon une coalition entre bourgeois ? À quoi bon des bourgeois qui en renversent d’autre ? Les travailleurs en paient toujours le prix de tout façon… Je constate simplement que les bourgeois sont au pouvoir grâce aux partis… Tout les partis sont de connivences, de près ou de loin, avec les capitalistes. En fait, nous n’avons pas la chance d’avoir un véritable parti ouvrier au Canada. Les travailleurs doivent s’unir et sortir le gouvernement car ceux-ci ont des intérêts opposés à ceux de leurs exploiteurs.

Le 23 juin, le Parti marxiste-léniniste du Canada (PMLC) a envoyé la lettre qui suit au directeur général des élections, Jean-Pierre Kingsley, demandant qu'Élections Canada enquête et agissent concernant l'intimidation d'électeurs autochtones dans Skeena-Bulkley Valley, en Colombie-Britannique, et la descente de la GRC chez un supporteur du PMLC.

But the real influence on Mssr. Charest is Ralph Klein, of whom Mssr. Charest when leader of the federal PC's said; "Alberta sets the agenda for the rest of Canada".

Le discours de Harper se révèle de plus en plus contradictoire, truffé d'invraisemblances, énormes pavés qu'il jette imprudemment ici et là dans la mare aux canards de la politique. Le chef qui semblait solide n'est plus qu'un géant aux pieds d'argile. Harper bafouille, s'empêtre, trébuche, tombe. Histoire d'une faille qui s'élargit, non pas entre le Canada anglais et le Canada francais, comme Harper l'espérait, mais entre l'avance des libéraux, du bloc et le recul du parti conservateur, aux sondages.

Evelyne Bertrand présente sa question du jour : "Le programme de commandites, créé pour augmenter la visibilité du gouvernement du Canada au Québec après l'expérience du référendum de 1995, servait à appuyer financièrement des événements. En échange, les organisateurs s'engageaient à placer le mot "Canada" ou l'unifolié en avant plan." Que sous-entend ce paragraphe en apparence insignifiant?

C'est le slogan qui vient d'apparaître à côté des affiches des libéraux partout au Québec. C'est une campagne menée par les syndicats FTQ, la CSN, la CSQ et la Coalition des sans-chemises pour dénoncer le vol de la caisse de l'assurance-emploi et réclamer un régime plus équitable.