Quand des groupes sans moyens et sans accès à l'espace médiatique veulent attirer l'attention du public sur un enjeu, il arrive que des téméraires suspendent des bannières aux ponts, tours, édifices et autres espaces visibles. C'est spectaculaire, une petite équipe suffit et ça coûte pas cher. Popularisée par les écologistes, la tactique a été reprise par divers groupes anti-mondialisation, pacifistes, étudiants et autres. Signe des temps, voilà que la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) s'y met elle aussi! Après avoir "pavoisé" les accès de Québec le 30 janvier, elle remettait ça à Sherbrooke ce matin (lundi).

Dans les lignes qui suivent, nous relatons notre expérience de quelques heures dans un poste de police de Québec à attendre la libération de deux camarades. L’objectivité n’est pas humaine mais nous tentons toutefois de rendre le plus fidèlement possible les évènements tels que nous les avons vécus…

March 27-30, 2004: SOA Watch Spring Mobilization and Lobby Day Come to Washington, DC on March 30, 2004 and tell Congress to “Shut Down the SOA! – No More Murder in Our Name and with Our Tax Money!"

Las instalaciones del Teatro Municipal sirvieron de escenario ayer para que el Alcalde Freddy Bernal se reuniera con la dirigencia del Movimiento Quinta República del Municipio Libertador, con representantes de las comunidades, grupos sociales, Comités de Tierra y de Salud, que apoyan el proceso revolucionario, para advertirles sobre los planes desestabilizadores que la oposición tiene preparados para los próximos días.

El Alcalde manifestó que uno de los objetivos de la convocatoria es "reunir a todos los hombres y mujeres de Caracas que creen en la Revolución, en el presidente de la República, y que están dispuestos a defender el país de esa minoría que quiere destruir nuevamente todo lo que se ha construido con dedicación, paz y democracia", para darles a conocer "lo que hasta este momento la Coordinadora Golpista pretende hacer el próximo sábado 14 de febrero, para repetir el escenario del 11 de abril de 2002".

Le texte cité ici peut éventuellement être lu là:

http://www.ainfos.ca/fr/ainfos04352.html

Levée de boucliers de plus de 120 militants et intellectuels québécois contre les menaces que fait peser la 'ré-ingénierie' libérale sur le Conseil du statut de la femme et le Secrétariat à la condition féminine

À chaque année, pendant le mois de février, les communautés noires d’Amérique du Nord réfléchissent sur leur longue histoire de luttes pour la justice sociale. Pour l’occasion, nous vous présentons une histoire peu connue, celle du syndicat des porteurs noirs des chemins de fer.

Après l’abolition de l’esclavage dans les colonies britanniques en 1834, la population noire du Québec s’est graduellement concentrée près des gares, dans le quartier Saint-Antoine (aujourd’hui Petite-Bourgogne et Saint-Henri) à Montréal.

Lutter pour la paix sociale ? NON!
Pour en finir avec le capital ? OUI!

À la veille de Noël, le Parti libéral a mis la table pour une opération de déstructuration sociale sans précédent. Il a utilisé le bâillon pour adopter, à la sauvette, une série de lois controversées. Les néoconservateurs de Jean Charest ont fait exactement ce que nous les accusions de vouloir faire : désyndiquer, appauvrir et privatiser tout en ouvrant la voie à la sous-traitance, partout.

Samedi dernier 5000 citoyens ont déambulés dans les rues d'Arvida par solidarité pour les travailleurs d'Arvida d'ont on fermera l'usine dans les prochains jours.

Toute proportion gardée, 5000 personnes au Saguenay-Lac-St-Jean c'est l'équivalent de 25 000 à Montréal et des millions si on considère que ce n'est que les gens d'Arvida qui ont marché.

Note: a un moment dans le photo-reportage je mentionne la compagnie Nutrinor, il aurait fallu lire l'usine Agropur