More than 1000 people, including 920 elected delegates, attended the inaugural congress of Power of the Masses Party (PLM) on January 30.

Le lockout du Journal de Montréal a ceci de bon qu’il permet de considérer le contenu de ce journal nuisible et les tristes personnages qui l’écrivent.

In terms of organisation, wildcat strikes are a way forward. Strikes that really do go beyond union control and which instead are run by mass meetings who elect coordinating committees that can be recalled are a model for workers elsewhere. But it will take more than a fight in one sector to hold back the tide of attacks

Immigré, hobo, songwriter, simple militant de base fusillé par l’Etat de l’Utah en 1915, Joe Hill symbolise le syndicalisme révolutionnaire des Industrial Workers of the World. Voici, enfin en français, une biographie militante qui détaille chaque aspect de la figure du "barde wobbly" et des IWW qu'il finit par incarner pour des milliers de travailleurs et travailleuses.

le réformisme c'est la gangrène: on le combat ou on en crève

Le 24 janvier 2009, Pierre Karl Péladeau, le grand patron de l'empire Quebecor, refusait une fois de plus de négocier avec les travailleurs-euses du Journal de Montréal et leur donnait comme seul réponse, témoignant de tout son son arrogance, un lockout.

Les journaleux de Québécor ne sont pas seuls dans ce syndicat, d’autres qui n’écrivent pas les merdes de Québécor sont pris dans ce lockout (secrétaire, préposé aux petites annonces etc.), à eux et à elles vont notre solidarité.

As a strike wave sweeps the country, the Maoist leadership agrees to banning strikes.

Since the Maoists emerged in the April 2008 Nepal elections as the largest party (though without an absolute majority) to lead the new coalition government, they have failed to heal existing divisions - in their own party, within the parliamentary political system and its ruling class - or within the intermingled social, caste and ethnic tensions across the wider society. In fact, all these divides have widened. And since November a strike wave has spread across the country.

S'il est un dirigeant d'entreprise qui est en train de se faire une solide réputation d'antisyndicaliste au Québec de nos jours, c'est bien le détestable Pierre Karl Péladeau. Cet ancien maoïste (c'est drôle de le rappeler...) converti en dirigeant d'un empire médiatique aime bien que les choses se passent à sa façon, et il n'hésite pas à mettre ses employé-e-s à la rue quand ils ne se montrent pas assez dociles. La preuve en est la belle liste des lock-out décrétés dans les différentes entreprises propriétés de Quebecor Média depuis le début du règne de cet enfoiré il y a de ça un peu plus de 13 ans.