le réformisme c'est la gangrène: on le combat ou on en crève

attendez attendez attendez et pendant ce temps le l'Ump et Sarkozy n'attendent pas ils matraquent, répriment le mouvement social et maintiennent le cap sur leur "réformes" anti sociales

L'intersidérante Intersyndicale:

Alors que nous avons été des millions a défiler le jeudi 29 janvier 2009 contre la politique anti sociale du gouvernement Ump Sarkozyste,alors que des centaines de boites ferment et licencient et continuent a "délocaliser" avec comme "excuses" la "Crise" , alors que les médias dominants au service du Sarkozysme, nous on une fois de plus trainé-es dans la boue en nous traitant a longueur d'éditos de " preneurs et preneuses d'otages", de "sociaux archaïques", alors que des camarades se sont fait tabasser et réprimer par les bleus Sarkozyste a Paris et a Saint Nazaire

-voila qu'a nouveau et en se foutant une fois de plus pas mal des adhérent-es des bases syndicales, que les directions syndicales nous demandent d'attendre avant de réagir que Sarkozy parle et nous revende son baratin toujours ultra libéral jeudi prochain 5 février sur les Tv et autres médias aux ordres, on marche carrément sur la tête la!!!!

Intersidérante Intersyndicale suite:

- la langue de bois dont on fait les tonfas Sarkozysytes témoins ce communiqué de cette "fameuse" Intersyndicale qui émane des grosses directions syndicales

------------------------------------------------------------

Communiqué commun des organisations syndicales
CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, FSU, Solidaires, UNSA

La mobilisation du 29 janvier 2009 a connu un succès incontestable danstoute la France : des millions de salariés du privé et du public, parmi lesquels de
nombreux jeunes, des demandeurs d'emplois, des retraités ont manifesté, fait grève, soutenu le mouvement.

L'ampleur de ces manifestations confirme leurs inquiétudes et leur exaspération face aux injustices sociales. Ils exigent d'autres réponses à une crise dont Ils ne sont pas responsables.

Il est urgent que le Gouvernement d'une part, le patronat et les employeurs d'autre part, assument leurs responsabilités, répondent aux demandes formulées
dans la déclaration intersyndicale du 5 janvier 2009 et reçoivent les organisations syndicales (ah oui, ça, ce serait vraiment dommage s'il y avait un jour dans l'année
où ils ne le faisaient pas).

Les organisations syndicales décident de maintenir leurs rencontres afin de prendre toutes les décisions et initiatives, notamment en matière d'actions et de
mobilisations (il n'y a aucune décision ni initiative, on vous rappellera).

Elles appellent les salariés et leurs organisations à rester mobilisés(démerdez-vous) et à s'appuyer sur la force de la journée du 29 janvier pour obtenir partout des négociations sur les revendications (à la soupe!).

La puissance du mouvement conduit le Président de la République à s'exprimer jeudi(tremblez bourgeois!). Les organisations syndicales en attendent des réponses aux revendications par l'annonce de mesures concrètes et immédiates et par l'ouverture de discussions avec elles (ter). Elles se réuniront le 9 février 2009 pour en apprécier la portée et en tirer les conséquences (la suite du prochain épisode au prochain épisode de la suite).

Paris, le 2 février 2009
__________________________________________________________

Le suspense est à son comble.

Sarkozy va-t-il céder aux non-exigences des appareils syndicaux et ne rien céder du tout (puisque de toutes façons on ne lui demande de céder sur rien)?

Ira-t-il jusqu'à faire ses excuses publiques, libérer les victimes de la répression,reprendre les 360 milliards aux banqueroutiers, exproprier lescapitalistes pour permettre l'édification d'une société socialiste, grâce
à la Terrible Pression du Dialogue Social?

Remanifesterons-nous à Pâques ou au Jour de l'An?

Combien sera-t-on cette fois-ci à leur faire savoir que ce n'est pas en notre nom qu'ils iront japper en cadence au coup de sifflet de Sarkozy, et même que nous exigeons qu'ils refusent de s'y rendre?

Et mon postérieur, se balade-t-il à ses heures perdues du côté de la basse-cour?

Vous saurez tout au prochain épisode de votre série habituelle: L'INTERSYNDICALE