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Femmes / Women / Mujeres

Ateliers d'auto-défence gratuits au CEAF

Anonyme, Mardi, Septembre 28, 2004 - 12:15

Julie Raby

GRATUIT : ATELIERS D’AUTO-DÉFENSE au Centre d’éducation et d’action des femmes ..



tampons à la dioxine...

Anonyme, Lundi, Septembre 27, 2004 - 10:38

l'industrie de l'hygiène féminine expose les femmes à des produits toxiques



Bravo à Normand Lester!

Anonyme, Dimanche, Septembre 5, 2004 - 02:08

Jonathan Lapointe

Félicitation à Normand Lester pour sa réplique à Anne-Marie D’Aoust dans l'édition du Mardi 31 Août 2004. Rappellons les faits, Anne-Marie D’Aoust, qui se présente comme candidate à la maîtrise en science politique à l’Université du Québec à Montréal (UQAM), a écit un texte dans le devoir accusant Normand lester d'avoir écrit un article dans la revue Summun sur les femmes militaires qui entretiendrait des préjugés envers les femmes et les dénigreraient. Dans son texte, Anne-Marie D'Aoust crie aux propros innacceptables et demande carrément que l'on censure Normand Lester.

Non mais pour qui se prend-t-elle? Faut être culloté pour demander que l'on censure les propos de quelqun qui ne sont pas conforme à notre pensée. Faudrait lui expliquer que le temps de stalline est révolue. Dans sa réplique, Normand Lester ne se laisse pas intimider et persiste dans ses propos. Il dit qui a seulement constaté la simple évidence que les femmes sont physiquement moins fortes que les hommes et que la guerre étant essentiellement une épreuve de force, elles y sont moins aptes que les hommes. De plus, il ajoute que dans son expérience de journaliste, il a eu l'occasion de frayé avec des soldats et généraux de dizaine d'armée différente, il a entendu l'opinion des hommes militaires sur la question des femmes dans les unités de combats.

Vraiment, Anne-Marie D'Aoust n'a aucune raison valable de demander que l'on censure Normand Lester. Elle fait preuve d'une fermeté intellectuel déplorable. Normand Lester est un expert des questions militaires alors il est beaucoup plus qualifié que Anne-Marie D'Aoust sur la question de la présence des femmes dans les unités de combat. Encore bravo à Normand Lester de ne s'être laissé intimidé.



Retour sur le colloque international lesbien de Toulouse.

Anonyme, Mardi, Août 24, 2004 - 15:22

Carole

Il y a peu j'ai assisté au colloque international lesbien de Toulouse. Avant tout je tiens à dire que dans l'ensemble c'était une belle réussite : plein de monde de plein de coins du globe, plein d'interventions intéressantes, plein de débats sympas, un temps magnifique, une organisation compétente... bref, un grand bravo au Bagdam Espace Lesbien de Toulouse qui a organisé un bel événement. Mais.

Mais comme de plus en plus souvent dans ce genre de manifestations lesbiennes militantes, j'ai vu et entendu des choses qui me laissent comme un arrière-goût amer. Des propos réducteurs sur les hommes, tenus parfois par les intervenantes elles-mêmes, des regards pas toujours très amènes aux butches très butch ou aux fems très fem. Et, cerise sur le gâteau, des propos carrément racistes tenus à Frédérique et à moi par une femme du public, qui n'avait même pas l'air d'avoir honte de ce qu'elle nous disait... Et comme à chaque fois, ma joie de me retrouver au milieu de mes soeurs pour me battre contre l'homophobie, contre le sexisme et autres discriminations est ternie par un sentiment de honte.

Oui, parfois j'ai honte d'appartenir à ce milieu.

Lesbiennes de France et d'ailleurs, mes amantes, mes soeurs, parfois vous me faites honte.

J'ai honte quand j'entends certaines d'entre vous tenir des propos racistes alors que vous devriez être les premières à être capables de démonter une discrimination envers des gens différents basée sur des préjugés, de la peur et des mensonges.

J'ai honte quand je vous entends mettre tous les hommes dans le même sac et dire sans rougir qu'ils sont tous sans exception des violeurs potentiels, des oppresseurs patentés, des gros machos pervers et que c'est quasiment génétique. Ou quand je vous entends dire que les femmes hétéros sont forcément des pauvres victimes du patriarcat, des pauvres cruches enfermées dans leurs stéréotypes et leur oppression, incapables de réfléchir et de s'en sortir car attachées à leurs oppresseurs.

J'ai honte quand je vous entends dire que les bisexuelles ne sont pas stables ou sont des lesbiennes qui ne s'assument pas encore, que ce n'est qu'une phase et que ça viendra, oubliant l'époque où, jeunes lesbiennes, on vous sortait les mêmes conneries sur votre propre orientation sexuelle, et comme cela vous mettait hors de vous parce que vous saviez que c'était intolérant et faux, que c'était une négation de votre identité.

J'ai honte quand je vous entends dire que les femmes transexuelles ne peuvent pas être des femmes car elles ont été élevées comme des hommes et puis que de toute façon c'est pas la nature et puis c'est tout, quand je vous vois vous arroger le droit de fixer l'identité d'une individue comme si vous étiez Dieu en personne, oubliant l'époque où, jeunes lesbiennes, on vous sortait que vous étiez des dégénérées, des malades mentales, que vous étiez contre-nature, et comme cela vous mettait hors de vous parce que vous saviez que c'était intolérant et faux.

J'ai honte quand je vous entends employer les mots "camionneuse", "hommasse", pour des filles qui vous paraissent "trop" butch, ou "pétasse", "enfermée dans les stéréotypes hétéros", "placard" pour des filles qui vous paraissent "trop" fem, oubliant l'époque où, jeunes lesbiennes, on vous sortait à peu près les mêmes choses parce que vous vouliez porter des pantalons ou vous couper les cheveux, et comme cela vous mettait hors de vous parce que vous saviez que c'était intolérant.

Lesbiennes de France et d'ailleurs, mes amantes, mes soeurs, j'ai honte chaque fois que je vous entends réclamer à cor et à cris la tolérance pour votre mode de vie, exiger l'ouverture d'esprit pour vos idées mais que vous n'êtes pas capables de l'appliquer vous-mêmes à des modes de vie ou des idées ou des gens si peu différents de vous.

J'ai honte quand je croise de jeunes lesbiennes toutes émerveillées d'arriver dans la grande sororité des lesbiennes militantes, enivrées de discours sur le grand soir qui viendra un jour, quand nous aurons réduit au silence ces salopards d'homophobes, de machos, de misogynes et à qui je me sens obligée de dire de se méfier, de ne pas s'imaginer que nous sommes toutes des anges, sous peine de tomber de haut comme je suis tombée. J'ai honte de devoir les approuver quand elles me disent qu'elles ont déjà bien compris qu'il valait mieux ne pas dire qu'elles étaient bisexuelles, ou qu'elles n'avaient rien contre les mecs en général, ou qu'elles ne s'étonnent plus qu'on s'imagine que les lesbiennes beurettes ont forcément des parents musulmans intégristes et qu'elles sont là en cachette, au péril de leur vie.

Oui, parfois j'ai honte et je vous en veux. Je vous en veux d'avoir cassé ma belle utopie d'une communauté victime de discriminations, d'humiliations, qui souffrirait et se battrait depuis des siècles, d'une communauté qui réfléchirait suffisamment sur les mécanismes et les racines de ces discriminations pour pouvoir les extrapoler aux autres discriminations, comme je l'ai moi-même fait. D'une communauté qui prêcherait la tolérance et l'ouverture d'esprit en étant capable de la pratiquer. Et surtout, surtout, je vous en veux de faire que parfois j'ai honte de faire partie de la communauté des lesbiennes militantes.

Alors, lesbiennes de France et d'ailleurs, mes amantes, mes soeurs, réveillez-vous ! Faites en sorte que nos réunions, nos prises de parole, ne soient plus entachées d'intolérance, soient exemptes de préjugés, ne soient plus des généralisations. Il en va de notre crédibilité et de notre dignité. Et de notre fierté.



JOUETS PERDUS AU PALAIS DE JUSTICE

Anonyme, Lundi, Août 23, 2004 - 18:24

Père pour la justice

Enfants, parents et grand-parents qui ont perdu contact avec un être cher suite à un divorce sont invités à déposer un jouet au Palais de Justice de leur quartier ce vendredi le 20 Août 2004. Participez avec nous en solidarité pour toutes les victimes du divorce!

Le groupe F4J - Fathers 4 Justice a décontaminé 4 Palais de Justice en 4 jours à travers le Québec et la ville d’Ottawa. Des pères de Montréal ont ressenti l’urgence de réagir et attirer l’attention de la population. Pendant que les parents sont en guerre, les enfants souffrent! Des lois inadéquates sur la famille et des avocats sans scrupules peuvent détruire

les relations familiales futures à jamais, pendant que les enfants, eux, ne peuvent presque rien dire pendant les procédures. Rappelez-vous l’alerte Amber il y a un mois, le kidnapping d’une petite fille par sa mère! Maintenant la récente remise en liberté de cette mère et la grand-mère qui l’ont kidnappée. Elles ont menacé de se suicider, en emportant la vie de cette innocente enfant. Une autre victime du divorce!

Notez que le père était en procédure pour la garde de sa fille! Maintenant, Amber est seule en famille d’accueil avec des étrangers… En solidarité pour toutes les victimes du divorce, venez exprimer votre support!

Apportez un jouet perdu au Palais de Justice près de chez vous demain, vendredi le 20 Août 2004. Tous les jouets seront remis à la banque de jouets de Noël des pompiers.

LES PARENTS DIVORCENT, PAS LES ENFANTS!!!



Légende urbaine feministe

Anonyme, Mardi, Août 3, 2004 - 15:32

Wendy McElroy

 
La recherche complaisante fait référence aux études et aux rapports produits par des gens ayant un intérêt particulier à atteindre une conclusion prévue d’avance. Le féminisme politiquement correct est tristement notoire pour sa recherche complaisante et pour sa méthodologie médiocre qui accompagne si souvent un parti pris politique. La théorie est présentée comme un fait, les comptes-rendus anecdotiques comme des données solides. Ceux qui apportent des preuves contradictoires sont calomniés à travers des attaques ad hominem (contre la personne).



Témoignage d'une combattante de l'Armée populaire de libération du Népal

Eric Smith, Samedi, Juillet 24, 2004 - 23:29

Eric Smith

"Le viol dont j'ai été victime et l'assassinat de mon père ne pourront être vengés que par le renversement du vieil État."

cpnm.org


Lettre ouverte au ministre de la justice

Anonyme, Mardi, Juillet 20, 2004 - 15:50

Jean-Pierre Gagnon

Monsieur le Ministre de la Justice,

J'ai lu, avec beaucoup d'intérêt, le bilan de la Conférence québécoise sur la violence conjugale qui avait pour thème "Vivement la sécurité". Les conclusions de cette conférence m'ont laissé très sceptique. Subtilement, on laisse entendre, sans jamais le dire directement, que seuls les hommes peuvent être violents. De plus, il est fort regrettable, encore une fois, que certains organismes d'aide aux femmes utilisent les enfants pour propager des demi-vérités. La violence familiale, contrairement à ce qui est habilement véhiculé par ces organismes, est aussi l'affaire des femmes, des mères en particulier. J'ai oeuvré pendant de nombreuses années, comme éducateur, auprès de jeunes enfants. Il m'est arrivé aussi, dans une moindre mesure, d'assumer la responsabilité de direction d'école. Comme auteur de romans jeunesse j'ai eu souvent l'occasion d'échanger avec des jeunes. Vous seriez étonné des conséquences dramatiques que subissent beaucoup d'enfants dominés par des mères agressives, harceleuses et parfois incestueuses. Violence sournoise rarement dénoncée. C'est un sujet tabou que notre société n'a pas encore eu le courage d'affronter. J'ai connu des mères irresponsables, très habiles dans l'art de se déguiser en pauvres victimes, qui allaient se réfugier dans des centres d'hébergement où l'on gobe leurs mensonges. Comme écrivain, j'ai aussi mené ma petite enquête personnelle. J'ai discuté avec des intervenantes de centres d'hébergement, j'ai rencontré des pères faussement accusés par leur conjointe. Des millions sont investis dans des organismes féminins sans que jamais, il me semble, l'État ne se questionne sur l'utilisation de cet argent. Qu'en est-il de la compétence des intervenantes? Pourquoi les organismes qui viennent en aide à des pères en difficulté ont-ils tant de misère à trouver du financement? J'en suis arrivé à la conclusion qu'une enquête publique serait souhaitable pour éclaicir une situation qui ne peut plus durer. Mais, ça demanderait un sérieux courage politique pour entreprendre une telle enquête. Avant de vous lancer dans l'élaboration d'une politique d'éradication de la violence conjugale, je vous demande de considérer les deux côtés de la médaille. La sagesse politique commande que l'on tienne compte aussi de l'état souvent lamentable dans laquelle se trouvent de nombreux hommes, de nombreux pères tassés par une probagante subtile qui, à mon humble avis, fait beaucoup de ravages psychologiques. L'homme québécois se suicide plus qu'ailleurs, ne l'oubions jamais... Comme éducateur, croyez-moi, j'affirme que ce sont, malheureusement, trop souvent les enfants qui payent le prix de politiques, de lois, de règlements élaborés à partir de pressions de lobbys puissants. Je ne crois pas avoir besoin de vous faire un dessin pour que vous saisissiez de quels groupes de pression il s'agit ...

Bien à vous
Jean-Pierre Gagnon
Beloeil
Enseignant retraité et écrivain



Une pub de bière...

Anonyme, Mercredi, Juillet 14, 2004 - 19:07

Alain Thomas

 
Voilà la saison estivale, l'alcool brouille les sens, le jugement et des fois l'intelligence. Coors brewery nous en fait la démonstration par une pub.



L'homme devrait-il avoir le droit de refuser sa paternité ?

Anonyme, Mercredi, Juillet 14, 2004 - 18:51

Jésus

@propos de l’avortement, de la maternité et de la paternité
La femmes ont gagné le droit sur leur corps et sur « le fruit de leur corps » i.e. fœtus



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Très beau dessin: des oiseaux s'unissent pour couper une cloture de métal, sur fonds bleauté de la ville de Toronto.
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