Samedi 19 février, à Québec

• [Intro] Les inquiétudes nommées sont pertinentes pour bien des peuples.
• La révolte : un soulèvement populaire efficace
• La révolution : après le dictateur, il faut faire quitter la dictature
• Le « miracle tunisien » était peut-être une dictature économique
• Les puissances occidentales veulent-elles vraiment la démocratie ?
• Il y a un sentiment d'union, mais aussi une lutte contre le fatalisme

Le titre de la conférence Révolution en Tunisie, entre espoirs et inquiétudes représente avec justesse le sens des discussions tenues entre une centaine de personnes et trois conférenciers. L'événement à eu lieu le vendredi soir à l'université Laval, à l'invitation du Collectif de solidarité Québec-Tunisie. Tant les conférenciers —trois docteurs et professeurs universitaires*— que leur auditoire ont manifesté leur conviction qu'une révolution démocratique doit avoir lieu, mais qu'il y a des risques et des défis que le peuple devra surmonter pour y arriver.

Since the month of December, from Tunisia to Egypt, from Morocco to Algeria, even in Jordan and as far as Yemen, the Arab regimes, artificially installed by “90 years of western intrusion,” are suddenly threatened with being thrown out. The dictator Ben Ali, after a 23-year reign marked by corruption and injustice, fled Tunisia in shame. In Egypt, Hosni Mubarak, who has ruled as a dictator for 30 years and who appeared to be ready to pass the baton to his son, had to resign in front in face of pressure from the street.

Prof. John Kozy gave a live online interview Feb. 18 at 6pm EST on Wild Wild Left Radio. Previous guests include Prof. Noam Chomsky, Prof. Frances Fox Piven, and many others. 100% free for the people. Neither WWL Radio nor its guests earn any income whatsoever.

Around a hundred members of the PM, Akbayan and PLM joined officials of government agencies and non-government organizations (NGOs) in a press conference that called on President Benigno C. Aquino III to include the RH bill among government’s priority measures.

Le Collectif pour un Québec sans pauvreté vous invite, dans le cadre de la consultation prébudgétaire en ligne du ministre Bachand, à prendre quelques minutes pour remplir le questionnaire électronique du ministère des Finances d'ici le vendredi 25 février. 

Consultation prébudgétaire en ligne 2011-2012
Un petit guide pour vous aider à y répondre

La consultation comporte sept questions.  Le présent guide vous propose des réponses (en italiques) mettant de l'avant des revendications budgétaires portées par les mouvements sociaux.  Vous pouvez vous en inspirer ou rédiger les vôtres évidemment.

La consultation électronique est en cours depuis le 25 janvier 2011; nous vous invitons à remplir le questionnaire d'ici le vendredi 25 février.  Vous le trouverez à cette adresse : http://consultations.finances.gouv.qc.ca/fr/je-donne-mon-opinion

Voici, en très bref, les questions et nos suggestions...

La mode de la dictature , n ' est que la dictature de la mode ...

Luttes dans les pays arabes...

( Notice de Mic du CMAQ: quoiqu’hébergé sur LeMonde.fr, il s'agit d'un blogue assez indépendant animé par Armin Arefi. Les informations sur les actions en Iran étant rares, ce blogue offre une vitrine d'intérêt. Le point de vue est perceptible par ce vidéo. J'avoue que ce vidéo a touché mes cordes et m'a convaincu que le republier sur le CMAQ.net.

Les médias de masse tendent à dire, ces derniers jours, que les manifestations récentes en Iran sont les seules actions de masse de 2010-2011 ; permettez-moi d'en douter. On peut faire l'hypothèse plus juste que des actions, moins massives ou publicisées certes, ont eu lieu et ont été ignorées...)

Si, d’une façon visible, la junte militaire au pouvoir en Égypte était, et est encore pour le moment, la carte maîtresse de l’impérialisme américain dans ce pays ; les cows-boys ont une autre carte, cachée celle-ci, constituée par le mouvement des Frères musulmans. Washington n’hésitera pas une seconde à leur livrer le pouvoir si cela permet d’éviter une vraie révolution bien totale.

Suscitant la liesse des manifestants, Hosni Moubarak a donc annoncé qu'il démissionnait, en remettant ses pouvoirs à l'armée. Celui qui se voulait quelques heures encore à peine auparavant le défenseur de la constitution et le rempart ultime contre le «chaos», a ainsi entériné une sorte de coup d'Etat à froid (selon la constitution c'est le président du parlement qui aurait dû assurer la relève du pouvoir).