Against imperialist war: social war!

Destruction of capitalism and the State!

Contre la guerre impérialiste : la guerre sociale !

Destruction du capitalisme et de l'État !

Comité montréalais de soutien au Mouvement du 20 février
pour la Dignité, justice et démocratie au Maroc

Le Comité montréalais de soutien au Mouvement du 20 février (CMSM) s'est réuni le samedi 16 avril 2011 à la Maison de Culture de Frontenac à Montréal afin de discuter de la situation politique actuelle au Maroc, des intimidations, des emprisonnements arbitraires et des jugements injustes dont sont victimes de nombreux activistes du Mouvement du 20 février au Maroc.

À la suite de cette rencontre, le CMSM s'adresse à l'opinion publique locale et internationale pour déclarer ce qui suit:

Interview with Kim Ives, editor with Haiti Liberte, conducted by Scott Harris

Haiti’s Nov. 28, 2010 presidential and legislative election, conducted in the impoverished nations still trying to recover from the devastating January 2010 earthquake that killed an estimated 300,000, were labeled by many as deeply flawed. The balloting was criticized for its very low voter turnout, violent demonstrations and accusations of widespread fraud as well as manipulation of the outcome by the United States. The two candidates who moved on to compete in the March 20 second round election were bawdy singer Michel "Sweet Mickey" Martelly and Mirlande Manigat, a former first lady and senator.

Story continues: http://www.btlonline.org/2011/seg/110422cf-btl-ives.html

Nous publions ce communiqué de nos camarades de la Fraction de la Gauche Communiste Internationale (FGCI). Les massacres de populations ouvrières, ce n’est pas nouveau sauf que maintenant c’est « démocratie » qui permet cela. La bourgeoisie sait toujours qui sont ses ennemis. En 1871, alors que les prolétaires contrôlaient la ville de Paris, l’armée allemande cessa ses attaques pour que l’armée de la bourgeoisie française se réorganise et envahisse Paris en tuant 30 000 parisiens.

Les communistes internationalistes-Klasbatalo
cim_...@yahoo.com
http://klasbatalo.blogspot.com/

Enseguida, publicamos dos testimonios sobre masacres contra poblaciones obreras en dos periodos históricos diferentes -el primero es una nota periodística publicada recientemente respecto a la situación en Libia; el otro es una aportación de nuestro camarada Marc Chirik(1) respecto al final de la segunda guerra mundial y la barbarie que prevaleció durante la retirada del ejército alemán.

Sept mois ont passé depuis le début de « l’affaire des incendies » en Belarus. Pendant tout ce temps, nos amis et nos camarades sont restés derrière les barreaux. Ayant commencé avec la détention de militants de tendances politiques radicalement différentes en septembre l’année dernière, l’affaire touche à sa fin ; c’est sur le point de passer devant les tribunaux.

Dans la plupart des pays capitalistes avancés une large portion des ouvriers et de leurs alliés ont fait une croix sur le processus électoral bourgeois. Pendant ce temps l’arrière-garde de la gauche s’échine à défendre la démocratie des riches, pour les riches et par les riches, à l’accréditer et à la promouvoir parmi les travailleurs. Dans la plupart des pays capitalistes avancés, les croyances religieuses sont en déclin et elles sont remplacées par les mystifications électorales, le nouvel opium du peuple que les sous-fifres de la « gauche plurielle » insufflent partout à la satisfaction de leur patron.

ATTAC Gabon suit avec stupéfaction l'évolution de l'actualité internationale, notamment les crises en Libye et en Cote d'Ivoire. La Cote d'Ivoire victime d'une énième agression impérialiste fomentée par le gouvernement français sous la coupole des Nations Unies. Ce même gouvernement qui faut-il le rappeler était impliqué à l'origine de cette crise en 2002, n'a pas hésité à œuvrer activement au cotés de l'ex rébellion des Forces Nouvelles devenue FRCI (Forces Républicaines de Cote d'Ivoire) au renversement dans une extrême violence du président "sortant" Laurent Gbagbo pour installer au pouvoir Alassane Ouattara, aussi démocratiquement fut il élu? En agissant ainsi, la France se rendait complice de tous les crimes de guerre et exactions sur les civils commis par ces forces tout au long de leur campagne, allant jusqu'à participer aux combats, pilonnant ainsi à plusieurs reprises des pôles stratégiques d'Abidjan y compris des camps militaires qui abritaient de nombreuses familles. Des milliers de kilomètres plus au nord, en Libye, une autre agression toujours fomentée par la France, qui a rapidement entrainé d’autres puissances impérialistes, le tout toujours sous la bienveillance des Nations Unies.

Lundi 4 avril les militaires français, déjà présents à Abidjan dans le cadre de l’opération «Licorne», ont commencé à attaquer les forces armées fidèles à Laurent Gbagbo, le président sortant. Comme en Libye l’ONU, cette caverne des brigands, a accordé son blanc-seing à l’attaque (et le contingent militaire onusien y a participé) sous le prétexte, encore une fois, de «protéger les populations civiles». Il est difficile dans ce cas de comprendre pourquoi les cibles des hélicoptères et canons onusiens et français ont été, outre des blindés et lance-roquettes, les installations de la télévision ou la résidence de l'ancien président Gbagbo; il est encore plus difficile de comprendre pourquoi les militaires et responsables français et onusiens ne se sont pas émus des massacres de civils par centaines commis par les partisans de Ouattara dans leur conquête du pays!