Texte pour servir à une réflexion prêt à dépasser les anti entre autres l'anti-zléa pour aborder une véritable critique en actes et armée du capitalisme...

Nous ne sommes pas « anti » c’est à dire que nous ne sommes pas contre les formes extrêmes de l’exploitation, de l’oppression, de la guerre ou autres horreurs. Etre anti c’est choisir un point particulièrement insupportable et tenter de constituer une alliance contre cet aspect du réel capitaliste.

* From El Libertario, # 44 September-October 2005, voice of the Comision de Relaciones Anarquistas, exposing the show of international mega-ceremonies the Chavez regime uses to try and acquire revolutionary legitimacy by means of petro-dollars and verbosity.

Ma pratique m’a aussi montré qu’il est possible de résister à l’offensive croissante des patrons contre nos conditions de vie et de travail en dehors de la logique et des structures syndicales. Ces luttes ne doivent pas être menées par des bureaucrates mais par des travailleuses et des travailleurs, élues et révocables en tout temps, membres de comité de grève ou de mobilisation, et devant rendre des comptes à nos assemblées.

En el allanamiento de nuestras dependencias el día jueves 8 de septiembre, fuimos 58 estudiantes Mapuche detenidos y ultrajados en las mazmorras del Estado Chileno. Hoy han sido seis los que cayeron producto del desprecio estatal a nuestra dignidad y a nuestro pueblo, dignidad que se encadenó en las oficinas de la Dirección Nacional de CONADI, en un enérgico grito que exclama que aún estamos en pie y seguimos exigiendo nuestros justos derechos.

"Road to Freedom" show seeks law enforcement or medical personnel, or citizens who "know something" about vigilante stalking for anonymous interviews.

Depuis début septembre, un site de soutien au village palestinien de Bil'in est en ligne. Ce site a pour objectif de soutenir ce village dans la résistance pacifiste qu'il mène maintenant depuis le mois de février 2005 contre l'annexion de près de 60% de ses terres pour la construction du mur de séparation et l'établissement de nouvelles colonies.

On le sait que c'est de la merde. C'est pas la première fois ni la dernière fois qu'on le dit. Pourquoi on continue à vivre dedans, hein, d'abord ? Parce qu'on s'y plaît bien malgré tout, on s'y plaît bien avec nos belles manifestations, avec nos belles jobs coopératives et nos écoles "alternatives", parce que c'est confortable de se laisser intégrer.