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EducationBILAN DE LA GRÈVE ÉTUDIANTEAnonyme, Sunday, August 14, 2005 - 10:53 Toute stratégie de négociations avec la bourgeoisie mène automatiquement à un cul-de-sac, car nous devons accepter de nous soumettre aux règles du jeu et aux besoins des capitalistes et pour paraître « raisonnables et conciliants » nous sommes dans l’obligation de faire des concessions à l’ennemi de classe. Il en résulte une défaite, car les intérêts de la bourgeoisie prennent nécessairement le dessus sur ceux du prolétariat. Par exemple, l’entente à rabais qui a mis fin à la grève étudiante était basée exclusivement sur les ressources financières de l’État capitaliste québécois, sur la « capacité de payer » de ce dernier et non pas sur les besoins des étudiants et étudiantes. « Il a fait beaucoup d’argent…» (Landry)Anonyme, Friday, August 5, 2005 - 18:27 (Reportage ind. / Ind. news report | Economy | Education | Elections & partis | Politiques & classes sociales | Poverty | Syndicats/Unions - Travail/Labor)
Steve Tremblay
Le Bernard Landry dont nous nous rappelons est le Bernard Landry qui, à l’époque où il était Ministre des Finances en 1996, a piloté l’opération du fameux Déficit Zéro et son deux milliards de coupures dans les programmes sociaux. C’est le même social-démocrate qui de 1997 à l’an 2000, présida à une réduction totale de 20% des budgets de la Santé, de l’Éducation, de l’Aide Sociale et de l’Environnement. NOUS SOMMES RESPONSABLES DES VIOLENCES DES JEUNES.BRUNO LEROY., Monday, August 1, 2005 - 11:05
BRUNO LEROY.
La culture de victimisation dans laquelle nous vivons, nous fait craindre aveuglément les jeunes devenus violents. Bref retour sur la grève étudiante au secondaireAnonyme, Friday, July 29, 2005 - 20:11 Résumé des évènements de la grève étudiante au Vitrail et analyse de la situation CES ENFANTS MALTRAITÉS PAR NOTRE SILENCE.BRUNO LEROY., Friday, July 29, 2005 - 04:26
BRUNO LEROY.
Un dicton populaire dit que le silence est d'or. Et les citoyens bien pensants ont pris ce dicton de façon fondamentaliste. Quels sont les hommes ou femmes qui se lèvent de nos jours pour crier, dévoiler, hurler les injustices de nos sociétés engluées dans le confort. Lorsqu'il s'agit des enfants, la maltraitance passe aux oubliettes des consciences régies par la peur. Nous avons peur de tout et notamment des conséquences d'une parole engagée. Nous vivons dans une société totalement dégagée de ses obligations éducatives.L'éducation globale, c'est -à-dire, se préoccuper de l'éducation des autres enfants comme étant partie intégrante d'une pédagogie générale et citoyenne, a totalement disparue. Notre individualisme basé sur nos peurs intrinsèques, nous fait ignorer l'existence de l'autre. Nous passons notre temps à nous plaindre de manques de repères dont est victime notre Humanité. Nous vivons une philosophie de la victimisation. Nous justifions toutes formes d'injustices comme étant les résultantes de phénomènes extérieurs. Et pourtant, l'heure n'est plus de se plaindre mais d'agir. Notre silence fait trop de blessés et nous sommes tous et toutes responsables des souffrances d'autrui. Il serait temps de nous foutre ça dans le crâne, plutôt que nous lamenter sur notre propre sort. Puisse-t-il en être autrement dans les années qui viendront...Je l'espère ! L'encyclopédie alternative Ekopedia passe la barre des 500 articlesAnonyme, Thursday, July 28, 2005 - 22:41
ekopedia
Ekopedia, un projet d'encyclopédie pratique traitant des techniques alternatives de vie passe la barre des 500 articles. On voudrait nous apprendre à marcher en nous coupant les piedsAnonyme, Thursday, July 28, 2005 - 19:44 (Analyses | Culture | Education | Politiques & classes sociales | Repression | Resistance & Activism)
Anonyme
Ce monde, c’est de la merde. C’est pas la première ni la dernière fois qu’on le dira. A bas l’Etat, le travail, le citoyennisme, le spectacle, l’abrutissement de masse, la vigilisation des espaces et des esprits, l’uniformisation de tout, des comportements, des relations, les enfermements, la généralisation des moyens de contrôle, de surveillance, de répression (etc., etc.). Si on en est là, c’est qu’existe, parmi tant d’autres horreurs étatiques, l’ECOLE, l’éducation nationale, l’institution scolaire. L’école, avec la famille, le ciment de notre meilleur des mondes. Pour une réflexion fondamentale sur l'éducationcalvaire01, Thursday, July 28, 2005 - 10:50 (Communiqués | Education)
calvaire01
J'en viens à la conclusion que le système d'éducation est une des voies de restructuration du capitalisme et des autres formes de domination. LA PÉDAGOGIE DE LA LIBERTÉ.BRUNO LEROY., Wednesday, July 27, 2005 - 03:26
BRUNO LEROY.
Nous pensons être des hommes libres et c'est un euphémisme de dire que nous sommes aliénés sans le savoir. Chaque jour, nous cherchons ce que nous pensons être des repères mais, en fait nous échappons à la peur de la liberté. De plus, notre notion de l'homme libre est autant galvaudée que le mot " Amour " mis à toutes les sauces. Nous n'avons plus conscience de notre propre conscience. Alors, comment prétendre libérer une société de ses carcans si nous sommes emprisonnés ? En tant qu'éducateur et donc, pédagogue, j'ai tenté modestement d'analyser cette problématique. Les acteurs sociaux quelques soient leur appartenance doivent se libérer de leurs propres aliénations afin de prétendre à la libération d'autrui. Ce processus est un combat quotidien que nous devons mener tous ensemble. C'est le plus beau des combats pour une société meilleure. L'ÉDUCATEUR DOIT RESTER SUR LE TERRAIN !BRUNO LEROY., Tuesday, July 26, 2005 - 04:29
BRUNO LEROY.
Actuellement, trop d'éducateurs s'investissent d'un pouvoir vis à vis des plus meurtris, notamment les Jeunes. La notion de Respect semble avoir disparue pour donner place au forcing social. Ce ne sont nullement les éducateurs qui sont responsables de cette situation,les états poussent à donner des résultats tangibles. Cependant, ce qui est à regretter est que la profession d'éducateur de Rue tend à disparaître. Les travailleurs sociaux ont peurs des violences dans certains quartiers. Or, c'est dans le vécu de ces jeunes que, se trouvent les solutions. Le social est en panne faute de réels combattants. Et les Jeunes se retrouvent livrés à eux-mêmes se sachant délaissés. La plupart des violences commises par les ados sont les résultantes de nos démissions d'adultes.Les éducateurs sont devenus technocrates et c'est dangereux pour l'avenir de ces Jeunes. |
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