Antes del anochecer del octavo día de huelga general decretada por la alianza CTV-Fedecámaras en Venezuela, los rumores de golpe se sucedían de una a otra línea telefónica. Como tantas otras veces a lo largo de los últimos meses, los venezolanos esperaban -con alegría o tristeza, según el bando político de su preferencia- un desenlace de fuerza al largo conflicto político que vive el país. Sin embargo, esta vez la batalla no se libró a las afueras del Palacio de Gobierno sino a las puertas de los principales medios de comunicación.

A follow-up to What Really Happens at whatreallyhappened.com

Lorsqu'on vit directement des évènements relatés par les médias ou bien lorsqu'on approfondit ses connaissances sur un thème abordé par les médias, on est frappé par le fossé qu'il y a entre la réalité, et sa version journalistique. On est alors tenté par une interprétation manichéenne dans laquelle une censure directe s'exercerait de la part des institutions et des entreprises de presse sur la production de l'information. Or, les mécanismes de manipulation sont beaucoup plus subtils et les contraintes économiques y jouent un rôle central.

Lettre ouverte à Monsieur Ménard
sur l’action de Reporters Sans Frontières Venezuela:
the show must go on

" Le journalisme vénézuélien traverse une crise d'éthique très grave résultat de la polarisation et de la situation politique que nous vivons ", explique Luis (pseudonyme pour ne pas nuire à sa carrière journalistique déjà très compromise). Au lendemain du coup d'Etat d'avril 2002, il est un des rares journalistes à refuser le diktat du propriétaire de la chaîne TV où on lui promet une brillante carrière : plus d'images de Chavez et de ses partisans. Non pas que Luis soit chaviste, mais il souhaite faire son travail honnêtement ; il démissionne et porte l'affaire devant l'Assemblée nationale. C'est désormais un paria dans le milieu journalistique du Venezuela dominé par des groupes privés qui disposent de 95 % des fréquences radio et TV et d'un quasi-monopole de la presse écrite.

C'était une idée formidable quand le Centre de Media Indépendant ouvrit son premier site web pour les manifestations anti-OMC en Décembre 1999. Le premier site IMC est issu d'années de media activisme de base et alternatif. Par un étrange jeu du hasard, l'IMC de Seattle incluait également un "fil d'actualité ouvert", une expérience qui permettait à chaque lecteur d'être un reporter s'ils souhaitaient s'impliquer dans les médias DIY [ndt : Do It Yourself, A Faire Soi-même]. Le réseau Indymedia a fêté dernièrement son troisième anniversaire et son 100ème site a été mis en ligne, mais le projet IMC est en train de faire face à de sérieux problèmes qui, s'ils ne seront pas gérés par les bénévoles du réseau IMC, finiront éventuellement par détruire cette idée magnifique qu'est Indymedia.

S. Boyle claims that whatreallyhappens.com is not what it appears to be

Jean Guy Aubé, opérateur du site Internet du "calendrier militant", raconte la petite histoire du calendrier et du réseau "nothingness", un réseau d'information électronique (via le courrier électronique) qu'il maintient au service de nombreux groupes d'activistes du Québec.

Ses liens et la liste sont des sources d'informations alternatives qui permettent à ceux qui ont le temps de le faire de trouver des informations critiques et radicales sur les événements d'intérêts public et aussi d'avoir accès à des informations qui ne circulent pas dans les grands médias.

NEW YORK -- Colombian journalist Ignacio Gomez told a roomful of America's most influential journalists Tuesday how Washington-supported Colombian president Alvaro Uribe is connected to drug traffickers and how U.S. military trainers helped organize a massacre in his country.

Chaos en Galice (le nord de l'Espagne et du Portugal) après que la marée noire provenant du pétrolier le "Prestige" soit arrivée sur la côte. 600 km du littoral ont déjà été noircis par le pétrole. A cause du manque de prévision des autorités, les pêcheurs travaillent jours et nuits pour enlever le pétrole de la mer avec leurs mains, sans vêtements de protection appropriés à cet environnement toxique.