Article fort intéressant du journaliste israélien Gideon Levy sur la violence et le fanatisme extrême des colons juifs d'Hébron et sur la complicité de l'État israélien qui ne fait absolument rien pour les arrêter.

Selon le quotidien Le Soleil, paraîtrait que les 25-35 ans de la région de Qc sont plus conservateurs et en ont plus marre du modèle québécois que les mêmes jeunes d'autres régions de la province. En outre, ils seraient "(...) 46 % à penser que le gouvernement fait plus de tort que de bien et appuient l'ADQ à 40 % — alors que dans le reste de la province ce parti récolte 29 % des intentions de vote auprès des 25-35 ans (...)".

Le concept de « contre-pouvoir » a une place prépondérante dans la
stratégie révolutionnaire anarchiste.

Une nouvelle gauche émerge libérée de l'emprise de la social-démocratie et du stalinisme et qui veut construire une alternative au néolibéralisme et à l'impérialisme. Le plus important est de rassembler ceux et celles qui résistent et de mettre sur pied un parti qui participe aux luttes quotidiennes contre le capitalisme et qui est ouvert aux différentes tendances politiques de la gauche.

La catastrophe du bayou n'est pas un désastre naturel. Bien des catastrophes pourraient être évitées si les médias de masse portaient une plus grande attention aux véritables enjeux politiques.

An organization capable of overthrowing the system of imperialist rule cannot be built on a foundation of sand. Only principled, transparent and long-term collaboration between serious activists can:

(1) organize a decisive break from the
confinement of liberal-imperialist politics,
(2) mobilize the masses in their millions and
(3) chart the couse forward to a world without
imperialist war or capitalist exploitation

Les résultats positifs de la coalition progressiste Respect en Grande-Bretagne sont un signe d'espoir pour les nouveaux partis de gauche qui surgissent tels que l'UFP au Québec. Par contre sans implication concrète dans les luttes quotidiennes contre le système capitaliste ces partis risquent de connaître le même sort que les partis sociaux-démocrates. D'où la nécessité pour les nouveaux partis de gauche d'être à la fois des partis de la rue et des urnes.