It is part of the natural order of things that an act of imperialist aggression gives birth to its opposite: an antagonist shaped by the political and ideological forces in the history of the invaded nation. These in turn depend on the strength and cohesion of the indigenous bourgeoisie and the level of class struggle.

What can be truly said of the US antiwar movement, is it really, noteworthily that, or dangerously close to being sort of "puppets" of the war regime they're claiming to be against? Anti- or pro-war? They need to make up their minds and drop false labels.

Franc-Parler publie une nouvelle lettre de Jean Serge Turcot, journaliste, à la suite de notre réponse, voir ici. En conformité à sa politique éditoriale Franc-Parler rend accessible au public cet "échange". Nous republions également notre ligne éditoriale.

Franc-Parler publie une nouvelle lettre de Jean Serge Turcot, journaliste, à la suite de notre réponse, voir ici. En conformité à sa politique éditoriale Franc-Parler rend accessible au public cet "échange". Nous republions également notre ligne éditoriale.

Le Fardeau de l’Homme blanc – Rudyard Kipling

«Ô Blanc, reprends ton lourd fardeau :
Envoie au loin ta plus forte race,
Jette tes fils dans l'exilPour servir les besoins de tes captifs;
Pour - lourdement équipé - veiller
Sur les races sauvages et agitées,
Sur vos peuples récemment conquis,
Mi-diables, mi-enfants. »

The bad news just rolls on and on

Le 23 février dernier, Christian alias Sayyid, 35 ans, révélait dans les colonnes de la Tribune de Genève avoir été recruté en 2003 par le service d'analyse et de prévention (SAP, services secrets intérieur suisse) pour infiltrer le centre islamique de Genève, dirigé par Hani Ramadan. Ce qui a été confirmé depuis par les autorités helvétiques. L’espion affirme que l’objectif de l’opération du SAP, baptisée Memphis, était de fabriquer des preuves afin d’impliquer Hani Ramadan dans un réseau terroriste.

Plusieurs journalistes suisses alémaniques ont rencontré l’ex agent des services secrets. Nous traduisons ci-dessous la dernière interview qu’il a donnée alors qu’il se trouvait en Grèce.

Depuis, l’ex-agent n’est plus entré en contact avec les médias. Les enregistrements des réunions avec son officier traitant du SAP, qui prouvent ses accusations, sont parvenus à la commission d’enquête parlementaire chargée de contrôler les activités des services secrets en Suisse. Mais cette dernière a-t-elle vraiment l’intention de faire toute la lumière sur la réalité d’une opération qui nuirait gravement au département de justice et police, dirigé par le patron de l’UDC (extrême droite), Christophe Blocher ?