Faire reculer les exploiteurs ne suffira pas. Il faut leur enlever l'exercice du pouvoir et détruire leur état. C'est la responsabilité historique du prolétariat. La crise et la faillite générale du capitalisme replace celle-ci au centre de la situation historique, au centre du devenir de l'humanité.

"Je m'en fous que nous fassions faillite, on est déjà en faillite !" , c'est ce que pense aujourd'hui un prolétaire grec en lutte et que partage nombre de ses frères de classe. Et tous de marteler en choeur : "Non au chômage, non aux licenciements, non à la misère ! , slogan auquel fait écho celui de leurs enfants étudiants (dont l'avenir est totalement bouché) : "Nous voulons des livres, des professeurs, des écoles."

Pero hacer retroceder a los explotadores no será suficiente. Hay que quitarles el ejercicio del poder y destruir su Estado. Tal es la responsabilidad histórica del proletariado. La crisis y la quiebra general del capitalismo vuelve a poner ésta en el centro de la situación histórica, en el centro del destino de la humanidad.

¡Sigamos el camino que nos muestra el proletariado en Grecia!

“¡Qué me importa si nos vamos a la quiebra: ya estamos en quiebra!” , es lo que piensa hoy un proletario griego en lucha, al igual que muchos de sus hermanos de clase. Y todos recalcan en coro:

¡No al desempleo, no a los despidos!, no a la miseria!, consigna a la cual hacen eco sus hijos estudiantes -cuyo futuro está totalmente bloqueado-: “¡Queremos libros, maestros, escuelas!” .

Suite à la violente répression du mouvement de contestation mené par les ouvriers colombiens de la pétrolière canadienne Pacific Rubiales Energy et devant le refus de cette compagnie de négocier de bonne foi et de permettre la syndicalisation de ses travailleurs en Colombie, un Convoi humanitaire s'organise pour visiter les ouvriers mobilisés et offrir un appui international à ceux-ci.

L’Alliance des professeures et professeurs est Montréal est « fâchée » parce que la CSDM ne l’a pas prévue des coupures de poste. Elle aurait voulu être prévenu parce qu’avec de meilleures prévisions, on aurait pu respecter la priorité d’emploi selon Roxanne Messier, vice-présidente. C’est ça qui est important pour le syndicat et non la lutte contre les coupures de postes et la privation de cours de francisation.

C’est l’histoire de 300 étudiants étrangers venus aux États-Unis dans le cadre d’un programme de travail-études et qui se voient engagés dans ce qu’ils décrivent comme du travail forcé à l’usine d’emballage Hersey de Palmyra, en Pennsylvanie.

Si on cherchait un document qui nous donne un portrait du rôle socioéconomique du Fonds de solidarité de la Fédération des travailleurs et des travailleuses du Québec (FTQ), celui-ci existe maintenant. Le document, intitulé Un cas exemplaire de nouvelle gouvernance, a été rendu public lors d'un colloque tenu à l'Université du Québec à Montréal au printemps 2001. Il a été réalisé par une équipe sous la direction de Benoît Lévesque, professeur de sociologie et responsable du Centre de recherche sur les innovations sociales dans l'économie sociale, les entreprises et les syndicats, le CRISES.

En Mai 2011, s’est créé entre plusieurs syndicats CNT de la région parisienne (à ce jour, les syndicats du Nettoyage, Communication-Culture, Education 91, Interco 91, Métallurgie) une Union technique syndicale pour le développement de l’anarchosyndicalisme et du syndicalisme révolutionnaire, dite "CNT Autre Futur".

Telecom giant Verizon has threatened to suspend benefits to 45,000 striking workers if they do not return to work at the end of the month. The strike was called after negotiations after Verizon sought to cut health and pension benefits and obtain more leeway to fire workers. The strike is "the most important labor battle going on today," says Democracy Now! co-host and New York Daily News columnist Juan Gonzalez. "We’re not talking here about a General Motors or a company that’s in financial trouble. But Verizon is literally swimming in cash. [...] And yet, even with such a profitable company, you have a situation where it is demanding unprecedented givebacks from its workers. If Verizon, such a profitable company, can insist that its workforce has to do all of these cuts in their living standards, what does it mean about any other company in America? [...] The workers are vowing to keep this up as long as possible, because a company that is so profitable right now should not be insisting that its workers give up even more of the hard-fought gains they’ve had over the years." [includes rush transcript]

Source: http://www.democracynow.org/2011/8/18/juan_gonzalez_verizon_workers_stri...

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http://sitt.wordpress.com/2011/08/19/boston-iww-joins-verizon-workers-st...

Les trente-quatre nettoyeurs et nettoyeuses du Guildhall n’ont pas tardé à s’organiser et à répondre par l’action directe à l’arrogance de la direction. Les mardi 14 et mercredi 15 Juin, ces travailleur-euse-s ont exercé une pression directe sur la direction en demeurant dans le hall d’entrée dès le début de leur quart de travail, jusqu’à ce qu’ils et elles obtiennent l’assurance d’être payé-e-s pour leur travail!

San Francisco – Le vendredi 29 juillet, des membres des Industrial Workers of the World ont investi le quartier des affaires dans le cadre de la campagne d’action mondiale contre l’intimidation anti-syndicale de la compagnie Starbucks, suivant ainsi l’exemple inspirant des travailleurs syndiqués de Starbucks en grève au Chili.

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