Je ne suis pas toujours fier de moi. J’ai beau faire le pitre, écrire des chroniques légères et donner dans la dérision, il reste qu’à la base, je suis ce que je suis : un homme. Et comme l’avenir de l’homme moderne n’est pas vraiment rose...
Les sociologues le constatent depuis quelques années, l’image de l’homme n’a jamais été aussi mauvaise. Au cinéma, à la télé, dans les bouquins, la publicité, et même dans cette chronique, l’Homme est devenu une caricature.
Je ne suis certes pas le premier à la dire, mais l’homme se meurt. À quand remonte le dernier film qui montrait un homme comme un modèle? Même à la télé, la plupart des séries montrent nos pires travers. Le cas masculin est d’actualité. Dans sa lettre à un quotidien montréalais, le journaliste Mathieu-Robert Sauvé commentait la semaine dernière la tendance du cinéma québécois à exploiter la détresse des hommes. Selon lui, les personnages mâles actuels ont toujours une image de losers. Dans le même ordre d’idée, la Société Radio-Canada présentait récemment « La planète des hommes », une série consacrée à l’inconfort masculin dans la société actuelle.
Les statistiques parlent d’elles-mêmes : les gars ont de la difficulté à l’école, boudent les universités, ne parlent pas beaucoup, n’intéressent pas les publicitaires, se suicident à un taux alarmant et partent avec un lourd handicap en cour lorsque survient un différent conjugal.
Il existe bien quelques regroupements de masculinistes purs et durs, prêts à se battre becs et ongles pour organiser la résistance. Mais, pour avoir reçu leurs insultes personnelles, j’estime que la hargne avec laquelle ils veulent faire avancer les droits des hommes ne sert pas toujours la bonne cause.
Avez-vous remarqué que même les châteaux forts masculins ont perdu beaucoup de lustre dans les dernières années? La politique, longtemps une affaire de gars, n’a jamais été si mal vue. Le sport professionnel? Un secteur rempli de riches paresseux et de violents illettrés. Le monde des affaires n’est pas mieux, avec ses scandales financiers organisés par des comptables véreux.
Alors en 2004, je pense que la question se pose : un homme qui se tient debout, un modèle masculin, un gars ordinaire, mais dévoué, efficace et équilibré, est-ce que ça existe encore? Rassurez-moi, quelqu’un.
Sommes-nous tous des amoureux indélicats, de mauvais pères, des éternels indécis, des lâches, des manipulateurs et des possessifs comme nous le montre la plupart des téléromans des dernières années? Oui, nous avons des travers (que j’ai moi-même caricaturés dans les derniers mois), mais avons-nous aussi de quoi être fiers? Aussi bien ne pas attendre après le cinéma et la télé pour nous éclairer là-dessus, ce serait un peu décourageant.
En fait vous devriez être humoriste, étant donné que c'est sur cette question spécifique de relation homme-femmes et sur les pseudos-différences entre les deux que vivent les humoristes généralement. Sauf que vous n'en faites pas une question humoriste, vous en faites une question politique digne des plus idiots réactionnaires.
Deux réactions qui prouvent que mes propos vous dérangent.
Vous réagissez un peu comme l'Église réagissait quand on contredisait leurs dogmes.
L'égalité de fait entre humain est totalement utopique, il y a des pauvres qui sont content de pas avoir trop de travail et de responsabilité, il y a des femmes qui veulent resté à la maison et être dépendante de leur homme etc etc.
Personne à les même capacités et les même intérêts. Luttez pour rendre tout uniforme c'est vouloir tuer la plus belle richesse de notre monde, la variété. Cette manie d'égalité se rapproche beaucoup de l'idée que véhicule les pro-mondialisations qui veulent une langue, un gouvernement, une religion, un systeme économique pour le monde entier. Les humains ne sont pas égaux, certain sont plus cons, certains sont plus violents, certains sont plus stupides, certains sont plus lent.........
Le départ de votre raisonnement est faux, je ne vous ai pas approuvé. Je ne considère pas que la différence qu'il existe entre les être humains est synonyme d'inégalité. L'inégalité est un produit de la société, la différence entre les être humain est un produit de la "nature".
Quant à savoir si j'enrage ou pas, voilà la vérité. Quand je vais sur des forums néo-nazis et que je réussis à faire rager l'un d'eux, je ris. Mais voyez-vous, ce sont des choses que je prend à coeur et votre mépris est repoussant.
Alors il est normal que la société accepte ces inégalités, c'est en les acceptant qu'on peu les amoindrir, si on les nie, rien ne va s'améliorer. On peut aussi se servir de nos forces pour palier à nos faiblesses. En aucun cas la discrimination positive au travail et à l'école va corriger ces inégalités.
Vous seuls prétendez que les différences physiques entre les hommes et les femmes sont des inégalités. Les inégalités sont un phénomène social, pas naturel. Et non, il n'est pas normal que la société construise des inégalités autour de différences. Car là est la question. Et oui, dans ce cas, la discrimination positivie va pouvoir y palier partiellement (car tant que subsistera le capitalisme, existeront des inégalités).
Certains caractères, certains intérêts et certaines aptitudes sont parfois inéquitablement partagé entre les groupes.
C'est ça être différent, c'est ca qui fait que tu dépend d'un agriculteur, d'un policier, d'une compagnie de pétrole, d'un patron.....
C'est à cause que toi t'aimes faire un chose en particulier et tu est bon dans ce domaine, c'est ce que tu veux faire. T'es différent de ton voisin, t'as pas les mêmes goûts, intérêts et aptitudes que lui.
T'es différent, t'es pas compétent dans tout......
Comment expliquez-vous ces différences? C'est un phénomène de la nature, ou le résultat d'un apprentissage? Le fait d'avoir des goûts distinct n'est aucunement le signe d'une inégalité. Je n'ai rien contre la variété. J'en ai contre le fait de dire qu'une femme a systématiquement un goût différent de celui d'un homme parce qu'elle est une femme; et j'en ai contre le fait qu'on a utilisé les différences entre les sexes (qui sont somme toute minimes) pour créer une inégalité, que ces différences soient physiques ou non.
Les caractères divers entre chaque groupe, pourquoi je dois trancher entre un phénomène de la nature et le résultat d'un apprentissage?
Je me refuse de le faire comme je me refuse de trancher homme femme, bien que statistiquement certains(Groupes, individus) sont plus avantagés que d'autre pour effectuer certaines tâches......
La nature influe sur le comportement et le l'aprentisage aussi, tout est fabrication à partir d'un moi qui est la nature.
Je suis tombé en bas de ma chaise quand j'ai lu que Franky dit que Martin Dufresne n'a pas un discour extrémiste. Si Martin Dufresne est un féministe modéré alors Marc Lépine était un hommes pri-féministe. Si y'en a un qui est extrémiste dans son combat contre la condition masculine et les hommes, c'est bien Martin Dufresne. Natalie Collard, une journaliste féministe, a dit des groupuscules d'hommes pro-féministes( il en existe deux) qu'ils sont des radicales bornés, campés sur leur position avec qui on ne peut discuter. Elle ne visait pas seulement Martin Dufresne, les autres membres de ces deux groupes(ils sont environ 10) aussi. Plusieurs militantes féministes m'ont dit qu'elle détestait Martin Dufresne et qu'il nuisait beaucoup plus au féminisme qui le fait avancer. Monsieur Franky, cesser dont d'être malhonnête.
Bien que vous basiez tout votre argumentaire sur le témoignage ou plutôt sur les (mé)dires de Nathalie Collard, je vais vous demander de me démontrer où dans sa critique Martin rejoint les féministes radicales. Pas besoin de faire référence à un des seuls êtres humains que je ne voudrai jamais nommer pour prouver votre point de vue.
Il ne faudrait tout de même pas me faire porter TOUTE la responsabilité de l'image peu reluisante des masculinistes et des hommes qu'ils défendent...
Même Montréal-Campus - qui n'a pas la réputation d'être un bastion de radicalisme - écrit aujourd'hui en parlant du Centre pour hommes de l'UQAM, un haut lieu d'organisation masculiniste:
"Ses ambitieux objectifs ont été assombris lorsque l'emprisonnement de l'un de ses fondateurs pour agression sexuelle sur des garçons mineurs a été révélé au grand jour."
Comme les rôles sont souvent trompeurs.....
Radio-Canada a passé un bon reportage intitulé "Ma mère,mon agresseur". Il y a eu aussi "Mon enseignante, mon agresseur",etc...
Je pense que dans ce débat-ci plus que dans un autre vous avez démontré que vous représentez l'extrème-droite. J'ai seulement hâte au jour où vous allez vous pointer en public, parce que ce jour-là vous allez voir que le sort que l'on a réservé à HLI, pis que l'on réserve à Campagne Québec Vie c'est de la petite bière.
Notre ami incompris, le camarade Pol Pot, s'était promis d'extirper, à tout prix, les racines de l'idéologie capitaliste, impérialiste bourgeoise de la tête des ouvriers et des paysans de son pays. Finalement, il a observé que cette idéologie était trop enracinée et qu'il valait mieux leur retirer la tête en entier de manière à ne pas prendre le risque que ne repousse les germes du mal. Une espèce de "solution finale". La violence est une approche radicale et ponctuellement efficace. Elle peut cependant conduire à des abus. Aussi, je crois que la violence ne devrait être utilisée que par des personnes comme vous qui avez raison, absolument raison et êtes même les seuls à avoir raison. De cette façon, la violence sera mise au service de la vérité et du bien ABSOLUES.
Vous seulement parlez de violence. La mobilisation de masse n'est pas nécessairement violente. Et Pol Pot n'a pas eu le monopole de l'usage de la violence. Si ce qu'il a fait était douteux, d'autres ont combattu pour la liberté, la justice et contre le capitalisme tout à la fois.
En effet, je suis le premier à avoir utilisé le mot. Mais faites relire votre texte pas une personne indépendante. Elle vous dira que votre texte transpire la violence.
Vous dite que Pol pot a fit des choses "douteuses"! Diable, vous voilà soudainement bien modéré dans votre terminologie.
C'est vraiment me faire dire ce que je n'ai pas dit. Pol Pot n'est en rien mon idole et je déteste profondément les types dans son genre. Mais d'un autre côté, je ne rejette pas du revers de la main toute action violente légitime. À ce que je sache, on peut aussi se mobiliser contre l'extrême-droite de manière radicale sans nécessairement utiliser la violence. Mais parfois, il faut savoir botter des culs et casser des gueules pour arriver à nos fins. Cependant, je n'appelle en rien à une action violente contre qui que ce soit, mais j'aimerais une vraie confrontation politique dans la rue. Nous sommes plus qu'eux et nous allons gagner, voilà tout.
Mais bien évidemment, vous êtes le premier à me critiquer quand je dis qu'il faut se battre contre le fascisme, mais vous êtes le dernier à dénoncer les propos sexistes et dégradants de Pourquoi, par exemple. Vous restez un personnage tout ce qu'il y a de plus douteux pour moi, voilà tout.
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Sujet:
Avoir des doutes est un signe d'éveil intellectuel!
J'ai aussi bien de la difficulté à vous situer. Parfois vous nous pondez des textes intelligents qui montrent que vous connaissez bien vos dossiers et que vous savez faire une analyse sensible et pointue. Le lendemain, vous tomber dans la caricature, la provocation gratuite ou l'incitation à la violence.
Si jamais un fasciste venait mettre le nez ici, je serais le premier à lui faire la guerre. Je l'ai fait sur un autre forum où un pseudo-voltairien était venu défendre le droit d'expression d'un négationniste néo-nazi notoire que la justice française avait condamné. Mais, je n'ai encore vu aucun fasciste ici. Je crois que vous êtes trop prompt à crier au "fascisme". S'avez-vous vraiment ce qu'est un fasciste? Si vous traitez tout le monde de fasciste, que ferez-vous lorsque de vrais fascistes se présenteront?
Pour moi le fascisme se reconnaît tout autant à son contenu qu'à sa forme. Pour le contenu, je n'ai vu personne ici tenir des propos racistes, antisémites ou xénophobes. Je n'ai vu personne mettre en doute le droit de vote, la liberté de presse ou un autre fondement de la démocratie. Pour ce qui est de la forme, je puis vous donner un peu raison. Il y a des personnes qui se sont montrées très démagogiques sur les pages de CMAQ. Mais, les démagogues que j'ai identifié ne semblent pas les mêmes que ceux que vous condamnez.
Il y a sur les pages de CMAQ tout un éventail de personnes, très différentes, qui défendent le droit à l'égalité des femmes et tout un éventail de personnes qui critiquent bien autre chose. Vouloir séparer les interlocuteurs en deux camps relève d'un simplisme manichéen ridicule. Il n'y a pas d'un côté des bons féministes et de l'autre des méchants masculinistes. Il y a une réalité indépendante de notre conscience que nous nous efforçons de saisir. Il y a aussi des valeurs à partir desquelles nous exerçons notre jugement et qui déterminent nos actes et nos paroles. Les valeurs ne se discutent pas vraiment. Les faits et les analyses, oui!
Il y a trop d'interlocuteurs pour discuter avec tout le monde en même temps. Vous êtes bien injuste de me reprocher de ne pas répondre à Pourquuoi. Vous-même n'avez pas répondu à Frédérique Pageau. Êtes-vous pour autant le partisan de ses idées? Sur CMAQ, il m'est arrivé souvent de critiquer Tyrex et Antimysandrire, deux "masculinistes" qui véhiculent des croyances d'un autre âge et qui cultivent un antiféminisme primaire. Il y a aussi Frédérique Pageau à qui je n'adresse même plus la parole tellement sa stupidité le rend inaccessible à tout effort éducatif. Mais CMAQ n'est pas un média qui s'adresse à des personnes comme eux. Aussi, mes interventions à leur adresse ne sont que ponctuelles. J'ai plus à dire, à mes camarades.
J'ai de l'admiration pour Ivan Illich. J'essaie, comme lui, de ne jamais défoncer des portes ouvertes. Il n'y a pas grand mérite à prêcher l'évangile dans une église, et CMAQ est une sorte d'église puisqu'on y retrouve des personnes partageant certaines convictions communes. Je suis ici parmi mes camarades militants de gauche. Pourtant, je ne viens certainement pas ici pour me faire encenser en tenant le discours qui plairait à mes camarades. Si les administrateurs de CMAQ font des acrobaties dans le but de plaire à des mégalomanes du féminisme radical, à des "curés" du PC, c'est leur affaire. Je poursuis un autre but. Mon "agenda" n'est pas secret. Je l'ai exposé très tôt après mon arrivé sur CMAQ. Allez voir, notamment, les articles d'analyse que j'ai publiés. Je suis en train d'en préparer d'autres.
Depuis 20 ans, la gauche est en perte de vitesse à travers le monde. Ce sont les exploités et opprimés qui en font les frais. Je ne prétends pas connaître ou comprendre toutes les causes de ce recul. J'essaie de faire ma part. Je crois avoir identifié quelques erreurs dans lesquelles nous nous sommes engagés. Je tente de sensibiliser mes camarades à ces problèmes. En santé publique nous avons, sans réfléchir, défendu de mauvais dossiers et nous continuons à le faire. En ce qui regarde la condition féminine, nous cultivons des stéréotypes patriarcaux déguisés en analyse féministe. Il nous arrive aussi de confondre égalité et identité des sexes. Pour le reste, notre ennemi est notre paresse intellectuelle et notre besoin de nous confondre avec l'absolu. Arrêtons de faire les gamins. Devenons des militants intelligents.
D'abord, vous n'avez pas à avoir ce ton condescendant qui vous caractérise. Le fait que vous soyez quelque chose comme psychiatre ne vous donne pas le monopole de la raison.
Bleuler: "Le lendemain, vous tomber dans la caricature, la provocation gratuite ou l'incitation à la violence."
Franky: J'ai bien ri; qu'y a-t-il de plus caricatural que votre comparaison entre Pol Pot et ce que je disais par rapport aux masculinistes (et qui n'impliquait pas nécessairement l'usage de la violence)?
Vous prétendez que si jamais un fasciste se poitait sur le site, vous seriez le premier à le remettre à sa place. Soit, mais encore, il ne s'agit pas seulement de fascisme dans ces cas-là. J'admet que le terme "fasciste" a été employé un peu rapidement. Il y a des masculinistes qui sont fascistes, mais tous ne le sont pas. Cependant, le fascisme n'est qu'un des visages de l'extrême-droite. Les masculinisme, la doite religieuse et les groupes anti-avortement en sont une autre facette.
Quant aux reproches que je vous fait, je ne vous blâme pas pour ne pas avoir répondu à Pourquoi. Je vous reproche de ne jamais répondre quand ce style de textes sont envoyés, mais de toujour répliquer à des personnes comme Sysiphe, Martin Dufresne ou moi qui défendons le point de vue inverse (sans que ce point de vue soit commun).
De dire que je veux séparer les interlocuteurs en deux camps est vraiment ridicule. J'ai très bien compris qu'il y a une petite poignée d'enragées anti-féministe, quelques personnes qui ne veulent pas que ces gens puissent dire leur absurdités en toute impunité, et une grande majorité plutôt silencieuse. Comme je ne me considère pas dans le "camp" de Martin Dufresne (je n'approuve pas tout ce que son collectif dit et fait, bien que je soit généralement d'accord avec lui dans le débat sur les masculinistes), je considère que le même genre de distinction existe chez les réactionnaires qui publient sur ce site. Cela n'empêche pas ces gens de faire une attaque systématique.
Ainsi, même si je ne suis généralement pas en accord avec ce que vous dites, je peux approuver une partie de ce que vous avez publié dans ce commentaire. Ainsi, il est vrai que la paresse intellectuelle est un des obstacles à l'avancement de notre cause. Mais je me met à douter quand vous publiez certains propos du genre: "Il nous arrive aussi de confondre égalité et identité des sexes". Qu'est-ce que cela peut bien vouloir signifier? Êtes-vous en train de nous dire, comme le fait Pourquoi, que les différences de sexe justifient l'inégalité?
En aucun cas je tranche homme femme, les inégalités ne sont pas une affaire de sexe mais une affaire d'individu. Certains traits ressortent plus chez certains groupes, c'est ce que j'ai affirmé, rien de plus.
Voyez-vous, vous nous mentez à plein nez. Vous dites que les inégalités ne sont pas une affaire de sexe, mais vous exprimez le contraire dans vos interventions. Quels sont finalement ces groupes que vous pointez, sinon les hommes et les femmes? Mais de préférence, lisons ce que vous avez dit (et revenons-y par la suite):
Pourquoi: "Il y a des caractéristiques mentales et physiques qui sont plus présente dans un groupe que dans un autre. D'en faire mention n'est nullement sexiste, par contre le nier c'est de la désinformation."
Des groupes? Des femmes ou non?
Pourquoi: "Les femmes n'investiront pas certains domaines et c'est pas à cause d'une pseudo culture machiste qui hante ces domaines. Ces a causes d'un manque d'interêt de la femme ou bien à cause qu'en général elles n'ont pas les aptitudes requises pour ce travail."
Vous ne l'avez pas dit, hein?
Pourquoi: "Si les femmes sont minoritaires dans certain domaine c'est peut-être parce qu'elles portent moins d'interet à ses domaines? C'est peut-être aussi parce que les hommes sont meilleurs? "
Encore?
Pourquoi: "Les hommes sont plus compétent dans certains domaine à cause de leur force physique supérieure comme par exemple pompier et toute autres métier ou la force physique est importante"
On continue:
Pourquoi: "Si il n'y a pas de femmes en course automobile, c'est qu'elle n'on pas la capacité physique des hommes d'endurer la force d'inertie(force g) autant que les hommes."
Mais encore?
Pourquoi: "La course automobile demande des nerfs d'acier, de l'endurance physique, des reflexes et de la témérité. Désolé de te décevoir mais les hommes dominent les femmes dans ces quatres categorie"
Ouf, on s'en lasse, mais ça se poursuit:
Pourquoi "La témérité excesive chez certain hommes pourraient aussi expliquer le nombre d'accident de la route, surtout quand, par un malencontreux hasard, ils rencontrent une personne excesivement prudente sur la route qui est souvent tres nerveuse aussi, en général, une femme"
Et enfin (et ce n'est pas parce que je n'ai plus rien à mettre, mais parce qu'il faut bien conclure:
Pourquoi: "Tu vas me faire croire que dans une shop de bois ou de métal une femme est aussi performante qu'un homme?"
Bon, ce n'est que quelques citations de "Pourquoi", sans parler de toute l'argumentation qui se tient derrière. Une telle accumulation de préjugés est complètement abérrante.
Mais bon, il faut croire sa défense ponctuelle: " les inégalités ne sont pas une affaire de sexe mais une affaire d'individu.".
Franchement, peut-on lire sérieusement ce qui est écrit sans penser que c'est l'oeuvre d'un hyper-conservaseur?
NB: tout cela provient de ce que Pourquoi a publié sur le CMAQ (j'ose à peine imaginer ce qu'il publirait sur un site qui ne prône pas la justice sociale et qui s'oppose au sexime... Oups, finalement, quand je lis les documents du CMAQ, ça ne fait plus partie de leur nouvelle politique éditoriale, mais bien de leur ancienne, et que donc un article ne doit plus nécessairement faire la promotion de la justice sociale pour être publié).
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Sujet:
Vous mélanger Pourquoi et Roger a maintes reprises
"Les femmes n'investiront pas certains domaines et c'est pas à cause d'une pseudo culture machiste qui hante ces domaines. Ces a causes d'un manque d'interêt de la femme ou bien à cause qu'en général elles n'ont pas les aptitudes requises pour ce travail."
Ca c'est de pourquoi. et si tu veux pas voir que j'ai dit qu'en général ce qui fait que j'ai pas trancher.
"Si les femmes sont minoritaires dans certain domaine c'est peut-être parce qu'elles portent moins d'interet à ses domaines? C'est peut-être aussi parce que les hommes sont meilleurs? "
Est-ce des affirmations ou des questions?
"La course automobile demande des nerfs d'acier, de l'endurance physique, des reflexes et de la témérité. Désolé de te décevoir mais les hommes dominent les femmes dans ces quatres categorie"
Ici, je l'avoue, j'ai manqué de nuance
"La témérité excesive chez certain hommes pourraient aussi expliquer le nombre d'accident de la route, surtout quand, par un malencontreux hasard, ils rencontrent une personne excesivement prudente sur la route qui est souvent tres nerveuse aussi, en général, une femme"
J'ai encore péché, bien qu'en général un homme est plus téméraire qu'une femme, il y a aussi des femmes qui sont vraiment téméraire et il y a aussi des gars hyper prudent.
"Tu vas me faire croire que dans une shop de bois ou de métal une femme est aussi performante qu'un homme?"
Encore une fois j'ai manqué de nuance. C'est dû à mes expériences, j'ai travaillé dans trois shops, dans les trois il y avait des femmes et dans les trois elles faisaient le même salaire que moi pour un rendement deux fois moindre et je n'étais pas le plus travaillant de la shop. Il y a sûrement des femmes qui auraient puent me prouver le contraire, j'en ai pas renconté. J'aurais pas dû trancher comme ça.
Toutes les autre citations sont de Roger.
En nuançant un peu plus mes propos, çe n'est plus des préjugés comme tu oses l'affirmer. T'as délibérement évité cette citation ou quoi? : "Les femmes sont égales a l'homme physiquement? Alors explique moi pourquoi il y pas de combat de boxe entre un homme et une femme du meme poid, explique moi pourquoi on sépare les épreuves olympiques, d'un coté les hommes, de l'autre les femmes? C'est du sexisme?"
J'inclus beaucoup de chose dans ma notion de groupe, sexe, race, origine, génération........
Merci Francky de me mettre le nez dans mes niaiseries, c'est de cette façon qu'on s'améliore.
Peut-être êtes vous la même personne que Roger Caron? Voici d'où est sotie cette citation que vous attribuez à Roger Caron:
"Il y a des caractéristiques mentales et physiques qui sont plus présente dans un groupe que dans un autre. D'en faire mention n'est nullement sexiste, par contre le nier c'est de la désinformation."
Publiée le 03/25 à 13h49 sous le pseudo de Pourquoi
Quant à ces deux autres citations:
"Les hommes sont plus compétent dans certains domaine à cause de leur force physique supérieure comme par exemple pompier et toute autres métier ou la force physique est importante"
"Si il n'y a pas de femmes en course automobile, c'est qu'elle n'on pas la capacité physique des hommes d'endurer la force d'inertie(force g) autant que les hommes"
Elles sont effectivement de Roger Caron. Je note cependant l'immense similarité des propos. Et on en est pas à deux phrases près, j'aurais pu en ressortir d'autres.
Quant à l'explication sur la question sportive, tu la veux vraiment? Plusieurs femmes habiles dans les sports se plaignent justement qu'elles n'ont pas accès au haut niveau du sport professionnel. Cependant, il existe des compétitions mixtes, notament dans certains sports de combat (peut-être pas à la boxe). Quand aux Jeux Olympiques, est-il besoin de dire qu'ils ont été mis sur pied par un réactionnaire qui a volontairement exclu les femmes des compétitions? Est avec l'ancien directeur du Comité International Olympique, Juan Antonio Samaranch, notoire supporter de Franco et du fascisme espagnol, sommes-nous vraiment surpris que les choses n'aient pas changé? Tu vois, c'est exactement ce que je dis: il est toujours simple de justifier la discrimination par des facteurs "naturels" et par une pseudo inégalité. C'est ainsi plus facile d'oublier tout ce qui se trame de politique derrière, et tout ce que certains hommes font pour ne pas perdre un certain stautu.
Aux Olympiques, compare les temps entre homme et femme, compare les distance etc etc etc.
"Il y a des caractéristiques mentales et physiques qui sont plus présente dans un groupe que dans un autre. D'en faire mention n'est nullement sexiste, par contre le nier c'est de la désinformation."
J'ai peut-être été un peu sévère. Vous tombez assez rarement dans la caricaturale. Je dirais même que vous êtes généralement de ceux qui cherchent à être les plus juste justes dans leur appréciation de la réalité. C'est simplement que votre invitation adressée aux masculinistes à aller vous rencontrer dans la rue me rappelait les "gros bras" de mon adolescence avec qui je n'avais pas d'affinité.
Vous n'êtes pas le premier à me dire que j'ai un ton condescendant. Il doit y avoir du vrai dans cette critique. Je me suis expliqué sur cette question à madame Sisyphe qui me faisait le même reproche il y a quelques jours. De plus, elle aussi me soupçonnent d'avoir un agenda caché ou je ne sais quelle autre intention malveillante. Je ne reprendrais pas ici l'explication que je lui ai donnée.
Je ne crois pas avoir le monopole de la raison. Mais vous admettrez que l'on a pas nécessairement besoin d'être "psychiatre" pour observer que certaines personnes déraillent joliment, se croient investie d'une "mission" et se comportent comme si elles étaient dans la vérité "absolue", à l'abri de l'erreur et capable de dicter à chacun sa conduite.
Il est facile d'observer que ce n'est pas votre cas. Par exemple, dans votre présent texte, vous admettez avoir utilisé un peu vite le terme "fasciste". Cet aveu vous honore, mais surtout il révèle un certain niveau de maturité psychologique. Vous êtes capable de faire retour sur vos paroles et votre estime de vous est suffisamment solide pour que vous admettiez une erreur. Sur CMAQ, il y a bien du monde incapable de faire cette petite chose qui vous parait peut-être si simple.
Franky:"Je vous reproche de ne jamais répondre quand ce style de textes sont envoyés, mais de toujour répliquer à des personnes comme Sysiphe, Martin Dufresne ou moi "
Cette phrase est fausse de deux façons. D'une part, je vous ai donné des exemples de critiques que j'ai adressées à Tyrex et Antimisandrie. D'autre part, à l'exception de votre texte ("À tous les masculinistes") je ne me souviens que de vous avoir critiqué positivement. Avant hier, par exemple, je partageais tout à fait les arguments que vous m'avez adressés à propos des stéréotypes dans le partage des soins parentaux.
Il est vrai que je réponds plus souvent à Sysiphe et à Dufresne. Je vais continuer à le faire. J'ai de bonnes raisons. Je crois que CMAQ devrait être un forum de débat ouvert et pas un club privé pour les bien pensants du PC. Je sais que mon point de vue est minoritaire, mais c'est le point de vue que je défends. Lorsque Sysyphe publie ici un bon texte, je ne me gêne pas pour la remercier. C'est lorsque elle ou Dufresne demandent de museler les autres que je me sens irriter. Je me sens d'autant plus irrité que ces deux là reprochent aux visiteurs des comportements qu'eux-mêmes n'hésitent pas à adopter.
Il y a une autre raison. Je vais vous dire comment je vois les choses même si je sais que vous ne partagerez pas ma lecture. Les gars qui viennent ici chialer contre les féministes sont manifestement des pères divorcés (ce qui n'est pas votre cas, ni le mien). Ils ont des affaires à dire, des choses, qui, à mon avis, méritent d'êtres entendues. Bien sûrs, ces gars-là n'ont pas votre baguage intellectuel. Ils n'ont pas, comme Madame Carier, fait, de belles études en histoire et en philosophie. Ils mélangent allègrement leurs besoins et leur revendication légitimes avec des croyances d'arrière-garde. Oui, vous avez raison de reconnaître dans leurs palabres des éléments d'un discours de droite! Ils croient que leur souffrance est attribuable au féminisme et ils cherchent maladroitement à construire un discours antiféministe en empruntant ici et là des éléments d'analyse qu'ils ne maîtrisent pas bien.
Vous pouvez reconnaître leur erreur et moi aussi. Mais eux ne la voient pas. S'ils entretiennent cette croyance erronée, c'est de notre faute. Je ne veux pas dire : nous à CMAQ! Je veux, dire: nous féministes partout où nous nous trouvons. Nous avons si bien fait notre travail d'éducation publique que le discours féministe se retrouve presque partout. Il est si répandu qu'il s'incarne parfois dans un discours dogmatique et culpabilisant. C'est ce discours que ces gars ont rencontré dans leur souffrance. C'est ce discours qui nous bouchait les oreilles lorsque nous avons refusé de les entendre. C'est ce discours qui nous aveuglait lorsque nous avons refusé de voir leur condition. C'est cette simple vérité des nos erreurs que je reconnais dans toutes leurs manifestations et c'est pourquoi je suis si réservé et si poli dans ma manière de les critiquer. Lorsque je vois des camardes leur tomber dessus, je suis embarrassé. Lorsque les camarades disent des choses vraies, je ne peux pas les contredire sur le contenu.. Dans la forme, par contre, je crois que ce n'est pas la bonne façon d'aborder le problème. Martin est un homme honnête et engagé. Il dit beaucoup de choses vraies. Malheureusement, son approche incarne une forme de féminisme très vilent avec laquelle je veux me dissocier. Je n'ai pas fini de le critiquer.
Le féminisme est un discours d'amour, ou du moins il le devrait. Certains en ont fait un alibi pour manifester leur rage personnelle ou pour régler leur contentieux psychologique. Ils rendent un mauvais service à ces hommes. Ils rendent aussi un mauvais service au féminisme et aux femmes.
"...Depuis 20 ans, la gauche est en perte de vitesse à travers le monde..."
Hum... après les grandes manifestations anti-mondialisation et et la mobilisation anti-impérialiste du monde arabe, l'Espagne, et maintenant la France, viennent infirmer ce propos normatif déguisé en cliché.
"Quelqu'un" prendrait-il ses désirs pour une réalité?
La mobilisation contre la mondialisation est, en effet, une exception encourageante. On pourrait dire la même chose de l'opposition au projet de centrale thermique d'Hydro et de certaines autres mobilisations ponctuelles. Si ça vous suffit à croire que la gauche est en force, je ne mettrais pas en doute une aussi belle certitude.
Par contre, pour ce qui est de la mobilisation du monde arabe contre l'impérialisme américain, je trouve bien téméraire de la qualifier de mobilisation de "gauche". On peut être anti-impérialiste pour des raisons de gauche. On peut aussi être un nationaliste arabe ou un intégriste musulman parfaitement de droite et manifester contre l'impérialisme américain. Mais ces nuances sont peut-être trop compliquées pour vous?
La gauche reste forte. Ce qui l'est moins, c'est l'organisation de la gauche. Après la chute du Bloc de l'Est, on a jetté le bébé avec l'eau du bain, à savoir que le post-modernisme qui a suivi n'a fait qu'accentuer un manque d'organisation. Mais le mouvement libertaire, par exemple, ne s'est jamais si bien porté depuis 50 ans que ces derniers temps, même s'il n'a pas la substance du passé.
Voyons monsieur Franky, arrêter de nous faire peur de même! Vous êtes dont ben violent. J'ai une question pour vous: Qui est d'extrême-droite entre celui qui prêche pour une égalité de droits entre les sexes et celui qui considère la discrimination comme positive et acceptable envers seulement un des deux sexes? Je crois que poser la question c'est y répondre.
L'argumentation que vous tenez est complètement étriquée. L'extrême-droite origine d'une réalité politique ultra-conservatrice. Quand on (on exclut la personne qui parle) décide de mettre en place des mesures d'encouragement (que certains nomment discrimination positive), c'est fait dans un esprit de donner une meilleure chance aux femmes, surtout dans un contexte où ce sont les femmes qui ont les emplois les plus précaires, et que ce sont les femmes qui sont le plus sujette à quitter leur emploi pour s'occuper des enfants. Cela n'a rien à voir avec l'extrême-droite.
L'extrême-droite est en faveur du retour des femmes au foyer; l'extrême-droite est contre le fait que les femmes travaillent; l'extrême-droite est contre l'avortement; l'extrême-droite est contre le divorce, etc... Quand des mesures comme la "discrimination" positive tente de détruire le carcan imposé par la société conservatrice, il s'agit plutôt d'actions progressistes, opposées à la droite.
On ne peut pas analyser un phénomène politique sans comprendre les concepts qui sont derrière. Or, vous portez des jugements à l'emporte-pièce, qui ne tiennent aucunement en considération le contexte qui les entoure. Cette façon de monter une situation en épingle est très typique d'un discours d'extrême-droite.
D'ailleurs, il me semble que je ne vous ai pas attaqué dans mon précédent commentaire; vous vous êtes dénoncé en vous rangeant vous-même dans les "victimes" de mes soi-disant attaques. Le simple fait que vous disiez: "arrêter de nous faire peur de même!" prouve très bien que vous vous identifiez à cette extrême-droite. Alors pour ceux et celles qui n'en étaient pas convaincus, nous avons là la preuve.
Vous avez mal comprit encore une fois. Je m'identifie aux hommes et femmes qui se préoccupent de la condition masculine que vous appellez "masculiniste". Vous avez écrit "À tous les masculinistes" dans votre "mise en garde" contre ceux qui ne partagent pas votre idéologie sexisme et misandre. Rien à voir avec l'extrême-droite à laquelle je n'ai rien en commun car je suis de centre. Vous avez le discour typique d'un féministe radicale car vos justifications des quotas sexistes ne font pas mention des effets pervers contre les hommes. Que les hommes se voient refuser l'accès à des milliers d'emploies à cause de leur même dans le cas qu'ils sont plus compétent, vous en avez rien à foutre. Seul le bien-être des femmes vous importes. Que vous le vouliez ou non, vous défendez une idée d'extrême-droite car les quotas sexistes sont semblables à la ségrégation entre les blanc et les noir, de celles des juifs par les Nazi et de celles des femmes par les hommes avant le féminisme(le bon). La discrmination est négative et innacceptable dans tous les cas comme l'indique la charte des droits et liberté.
Encore une fois, vous jouez les obscurantistes. Le masculinisme est une idéologie qui a été développée à l'encontre du féminisme et qui considèrent que les femmes dominent la société. Les masculinisme est une idéologie réactionnaire en soi, elle est portée par certains groupes proches de l'extrême-droite religieuse.
Quant à prétendre que j'ai une idéologie sexiste est misandre, vous avez totalement faux. À moins de considérer que les femmes ont atteint l'égalité politique, sociale et économique avec les hommes (ce que vous allez avoir bien de la misère à déontrer), le fait de favoriser les femmes pour tenter d'en arriver à cette égalité n'est aucunement sexiste. Le sexisme est une discrimination systématique basée sur le sexe de la personne. Le sexisme s'applique dans un contexte; ce contexte est un rapport de domination. Si ce rapport de domination n'existe pas, on peut difficilement parler de sexisme.
Quant au terme "misandrie", je rapelle qu'il a été apporté d'abord par l'extrême-droite. Il est un calque de l'expression "misogynie". Or, on peut difficilement appliquer le concept de la même façon. Dans une société où ce sont les hommes qui font les loi, contrôlent l'économie, prennent les décisions importantes, etc..., bref dans une société patriarcale, il me semble complètement futile de penser en terme de misandrie. Vous appelez misandre les personnes qui luttent pour l'égalité, justement parce que vous sentez vos privilèges attaqués. Je suis un homme et je ne me sens pas attaqué. Et le fait de considérer que dans certains secteurs, il y a une nette domination des hommes et de vouloir que ça change ne fait pas de moi une personne misandre.
Je n'ai rien contre le fait de considérer la condition des hommes et des femmes. Par contre, on ne peut opposer d'une manière stricte les concepts. À cause du débalancement entre l'accès aux ressources qu'ont les hommes et qu'ont les femmes, et du déséquilibre au niveau des sphères de pouvoir, de considérer que la condition masculine est le pendant strict de la condition féminine, et de demander une égalité factice de traitement (en demandant par exemple un conseil de l'égalité au lieu d'un conseil du statut de la femme) ne fait que perpétuer le statu-quo. Or, le statu-quo n'est pas du côté des femmes. Une personne qui veut le maintien du statu-quo ou bien une personne qui professe des idées qui équivaudraient, si elles étaient appliquées, à un retour en arrière, est une personne réactionnaire.
Un masculiniste est une personne réactionnaire, parce que ses idées équivalent à un retour en arrière.
Pour terminer, je vous retournerais cette question que vous m'avez posé: "Que les hommes se voient refuser l'accès à des milliers d'emploies à cause de leur même dans le cas qu'ils sont plus compétent, vous en avez rien à foutre."
Que les femmes aient été systématiquement tenues à l'écart de ses emplois pendant des siècles, et que l'abolition des mesures incitatives ne ferait que renforcer cette mise à l'écart, vous n'en avez rien à foutre?
Il y a une chose que allez devoir apprendre mon chère Franky, mettre de la chair autour de l'os c'est à dire apporter des preuves de vos affirmations.
Votre définition du "masculinisme" est évidemment éronnée. Vous prétendez qu'un "masculiniste" est une personne réactionnaire parce que ses idées équivalent à un retour en arrière. De quelles idées parlez-vous? Vous n'en faites pas mention. Quelles revandications des hommes et femmes de la conditin masculine seraient un retour en arrière pour les femmes? J'ai bien être à votre réponse pour vous prouvez que vous ne savez pas de quoi vous parlez. Vous ignorez totalement les revandications des groupes de la condition masculine.
Vous dites:"Que les femmes aient été systématiquement tenues à l'écart de ses emplois pendant des siècles, et que l'abolition des mesures incitatives ne ferait que renforcer cette mise à l'écart, vous n'en avez rien à foutre?"
Encore la même rangaine des féministes radicales pour justifier les quotas sexistes. Votre raisonnement est parce que les femmes ont été discriminer pendant des siècles, c'est au tour des hommes. Une sorte de vengeance ou retour du balancier. Ce raisonnement a été critiqué de tout part par des hommes, des femmes, des féministes modérés( Badinter, Bombardier entre autres). Vous êtes ultra-minoritaire dans votre raisonnement. Vous êtes en contradication flagrante car vous vous êtes battu avec férocité pour éliminé les discriminations envers les femmes sur le marché du travail dans le passé mais maintenant vous voulez en imposés aux hommes parce que ca serait positif. Double standard sexiste qui expose votre idéologie misandre et sexiste. Pourquoi vous affirmez que l'abolition des quotas sexistes me ferait que renforcer la mise en écart? On a l'impression que vous pensez que les femmes ont absolument besoin d'un avantage face aux hommes pour percer dans le domaine de l'emploi. Cela revient à dire que vous considérez les femmes comme plus faible que les hommes ce qui est faux. La preuve, il y a des femmes qui ont percé dans les hautes sphères du monde des affaire sans l'aide de quotas sexistes. Vous considérez les femmes comme des victimes alors que les femmes ne se voient pas du tout comme ca. Si les femmes sont moins présente en politique et en affaire, c'est qu'elles ont d'autres priorités. C'est un fait bien connu. Vos arguments pour justifier les quotas sexistes sont d'extrême-droite et revanchard.
Dois-je conclure que votre silence à mes questions prouvent que vous ne pouvez me nommer aucune revandication des groupes de la condition masculine qui serait un pas en arrière pour les femmes? Vous êtes maître dans l'art de parler de ce que vous ne connaissez pas.
Un bon exemple de revendication que vous-même prônez est cette abolition du Conseil du Statut de la Femme. Un autre bon exemple? La fin des mesures d'incitations pour les femmes ("discrimination positive"). Le débat portait spécifiquement sur ces revendications. Je pourrais effectivement aller en déterrer d'autres, mais ce serait plutôt inutile pour le moment. Toujours est-il que ces revendications sont réactionnaires parce qu'elles équivaudrait à un retour en arrière, vers une situation où les femmes se retrouvaient il y a 50 ans.
Le problème dans toutes vos analyses, c'est que vous considérez que l'égalité entre les sexes est atteinte (et quand je parle d'égalité, je parle d'égalité politique est sociale, pas individuelle et personnelle). Mais ce n'est tout simplement pas le cas. Alors, pourquoi ne répondez-vous pas à ma question, au lieu de dire qu'il s'agit d'une discours revanchard? Vous souciez-vous vraiment du fait qu'en abolissant les mesures de discrimination positives, nous allons renverser la vapeur et contribuer drastiquement au fait que les métiers traditionnels redeviennent des cantonnements?
Je crois que l'on a pas la même définition du sexisme. Pour ma part, je vais m'en tenir à celle qui est données par les féministes, qui ont "inventé" le concept et milité contre le sexisme. Ainsi, le fait de vouloir qu'il y ait à peu près une parité dans des domaines de travail N'EST PAS DU SEXISME. Quant au terme "misandre", vous l'utilisez peut-être à toutes les sauces, mais vous n'êtes pas capable de voir que je n'ai absolument rien contre les hommes, j'en suis moi-même un, j'ai de nombreux amis hommes, j'aime bien des choses typiquement masculines comme sortir dans les tavernes et regarder le hockey. Je ne passe pas mon temps à m'auto-flageller, ni à stigmatiser tous les hommes qui parfois tiennent des propos sexistes.
Enfin, j'aimerais bien mettre une chose au clair: vous dites que je pense que "les femmes ont absolument besoin d'un avantage face aux hommes pour percer dans le domaine de l'emploi". C'est complètement faux. Je crois très bien en la capacité de chaque femme d'effectuer n'importe quelle tâche qui lui est confiée. J'ai plutôt un problème avec le "marché de l'emploi" lui même. Vous parlez comme si un patron était une personne neutre et que l'embauche se faisait d'une manière totalement impartiale. Pourtant, la réalité est tout autre. Un patron ne veut pas, souvent, engager une femme parce que lui même est bourré de préjugés.
Ce que je dis, donc, à propos des mesures incitatives (qui ne sont pas toujours de la discrimination positive en passant), c'est quelle servent au sein du système capitaliste à assurer une certaine égalité. Mais rassurez-vous, je suis comme vous pour l'abolition de ces mesures, ainsi que pour l'abolition du Conseil du Statut de la Femme... le jour où nous abolirons le capitalisme et détruirons l'État, qui sont en somme les principales cause de ces problèmes.
"Un autre bon exemple? La fin des mesures d'incitations pour les femmes ("discrimination positive"). Le débat portait spécifiquement sur ces revendications. Je pourrais effectivement aller en déterrer d'autres, mais ce serait plutôt inutile pour le moment. Toujours est-il que ces revendications sont réactionnaires parce qu'elles équivaudrait à un retour en arrière, vers une situation où les femmes se retrouvaient il y a 50 ans."
"Je crois que l'on a pas la même définition du sexisme. Pour ma part, je vais m'en tenir à celle qui est données par les féministes, qui ont "inventé" le concept et milité contre le sexisme. Ainsi, le fait de vouloir qu'il y ait à peu près une parité dans des domaines de travail N'EST PAS DU SEXISME"
On a le droit de specifier vendeuse sur une annonce, on a pas le droit de specifier vendeur homme seulement, si il y a pas une femme dans l'entreprise il est simple facile et gratuit pour une fille de poursuivre et dire qu'on ne l'a pas engagée parce que c'était une femme et blabla.....
"Enfin, j'aimerais bien mettre une chose au clair: vous dites que je pense que "les femmes ont absolument besoin d'un avantage face aux hommes pour percer dans le domaine de l'emploi". C'est complètement faux. Je crois très bien en la capacité de chaque femme d'effectuer n'importe quelle tâche qui lui est confiée. J'ai plutôt un problème avec le "marché de l'emploi" lui même. Vous parlez comme si un patron était une personne neutre et que l'embauche se faisait d'une manière totalement impartiale. Pourtant, la réalité est tout autre. Un patron ne veut pas, souvent, engager une femme parce que lui même est bourré de préjugés."
Dans les grosses entreprises ou dans plusieurs gouvernements les personnes qui embauchent sont des femmes qui travaillent aux ressources humaines. Il y a aussi de plus en plus de femmes patrons.
Cette partie est à mourir de rire : "Je crois très bien en la capacité de chaque femme d'effectuer n'importe quelle tâche qui lui est confiée."
Personne peu être compétent dans tout, il y des incompétents et des incompétentes. Comme je disais plus tôt, méchant humoriste mon Francky.
"Dans les grosses entreprises ou dans plusieurs gouvernements les personnes qui embauchent sont des femmes qui travaillent aux ressources humaines. Il y a aussi de plus en plus de femmes patrons."
Est-ce qu'une femme qui embauche a le dernier mot? ¸Ou bien c'est le patron qui a la dernier mot? J'ai vu souvent des femmes faire des entrevus d'embauche, cela ne les empêche pas de juger avec les critères souvent sexistes de leur patrons. Et il ne faut pas non plus penser que les femmes ne sont jamais victimes de préjugés sexistes envers d'autres femmes.
"Personne peu être compétent dans tout, il y des incompétents et des incompétentes. Comme je disais plus tôt, méchant humoriste mon Francky."
Oui, mais cela ne m'empêche pas de croire à priori en la capacité de quelqu'un à accomplir la tâche qui lui est confié. Que ce soit un homme ou une femme. Nous jugerons après l'acte, pas avant sur la simple apparence. De toute façon, c'est tellement loin du débat. Et tant mieux si tu as ri, parce que tu me sembles un triste personnage.
L'état va toujours être necessaire, il va toujours falloir une entité supérieur pour maintenir l'ordre, mais elle devrait être plus proche du peuple(prolétaire) que de l'élite économique. Il va toujours y avoir des assoifés qui va falloir modérer.....
Tu veux lutter contre le capitalisme pour de vrai? Achete peu et achete made in Quebec et made in Canada, regarde toi aller comme consomateur et regarde tes proches puis preche la bonne nouvelle.
Aussi recrute des cerveaux qui vont oublier la théorie de la relativité et s'orienter vers l'énergie libre.
Tu viens de faire la preuve à toutlemonde que tu connais pas les revendications des groupes de la condition masculine et que tu parles encore à travers ton chapeau. Oui nous avons demandé l'abolition du conseil du statut de la femme mais pour être remplacé par un conseil de l'égalité dans lequel les problèmes des hommes et des femmes seront entendu. Il n'y a présentement aucun organisme gouvernementale qui s'occupe de la condition masculine contrairement aux femmes ce qui est injuste et discriminatoire quant on connait le taux de suicide chez les hommes et le taux de décrochage. Les fémisexistes qui disent qu'il ne faut pas diluer les problèmes des femmes avec ceux des hommes parce que ceux des femmes doivent avoir priorité sont des égoiste et hypocrite. Plusieurs organismes communautaire comme le COFAQ ainsi que plusieurs autres voix ont demandé que les hommes soient représenté aux gouvernements. Les fémisexistes qui ne veulent pas qu'on s'occupe des hommes sont très peu nombreuse et isolé dans leur coin face à la société.
Pour ce qui est de quotas sexistes, ton raisonnement ne fait aucun sens. Comment l'abolition des quotas sexistes seraient un retour en arrière quand ils sont apparu dans les années 90? Explique moi ca.
Tu dis que l'abolition des quotas sexistes va renverser la vapeur et contribuer drastiquement au fait que les métiers traditionnels redeviennent des cantonnements. Les métiers traditionnels sont des cantonnements pour les femmes malgré les quotas sexistes. La raison est simple, très peu de femmes s'intéressent au métier non-traditionelle quotas ou non. Elles préfèrent les métiers où la communication est mise en valeur. C'est un phénomène largement reconnu. De plus, tu tombes encore dans le piège de dire que les femmes ont besoin de quotas sexistes pour prendre leur place donc tu les considères comme moins capable que les hommes même si tu affirmes le contraire. C'est une idéologie victimiste très souvent utilisé par les fémisexistes pour justifier les quotas sexistes et que plusieurs féministes modéré dénoncent comme Badinter, Bombardier, etc..
Le terme "sexisme" ne semble pas avoir la même définition pour tous les féministes. Pour certaines, le sexisme semble s'appliquer aux deux sexes alors que pour les féministes radicales le sexisme existe qu'envers les femmes. Je vais t'étonner mais tu as raison quand tu dis que le fait de vouloir qu'il y ait à peu près une parité dans des domaines de travail N'EST PAS DU SEXISME. Par contre, et la nuance est très importante, vouloir la parité pour les femmes dans des domaines de travail à l'aide de mesures discriminatoire et inéquitable envers les hommes est du SEXISME. La charte des droits et liberté Canadienne dit qu'on ne peut discriminer un INDIVIDU(pas juste les femmes) en fonction de son sexe. Tu peux rien dire contre cela.
Vous dites:"Vous parlez comme si un patron était une personne neutre et que l'embauche se faisait d'une manière totalement impartiale. Pourtant, la réalité est tout autre. Un patron ne veut pas, souvent, engager une femme parce que lui même est bourré de préjugés."
Haha mais quelle généralisation grossière et mensogère. Ben oui Franky, ya une conspiration de TOUT les patrons mâles bourré de préjugés contres les femmes qui ne veulent pas les engager. Arguments pathétique et paranoiaque. La quasi-totalité des patrons veulent un employé compétent qui vont améliorer la rentabilité de l'entreprise et ils n'en n'ont rien à foutre du sexe de l'employé. Comment t'explique qu'il y a des femmes haut placé qui ont été engagé par des hommes? On n'est plus dans les années 50, le sexisme chez la quasi-totalité des patrons n'existent plus. Il n'y a que le profit qui importe pour eux.
Si il y a moins de femmes en politiques et dans le monde des affaires, c'est simplement parce qu'elles d'autres priorité et intérêt que les hommes. Des études ont prouvé que l'argent est l'une des priorité pour beaucoup d'hommes alors que c'est loin d'être le cas pour le grande majorité des femmes. Beaucoup d'hommes considèrent d'avoir beaucoup d'argent comme une preuve de leur virilité. C'est donc normal que les hommes soient plus présent en affaire car ils sont beaucoup plus intéressé que les femmes. Les femmes ont comme priorité la famille et la qualité de vie ce qui est incompatible avec le monde des affaires. Mëme chose pour la politique, ca intéresse très peu de femmes comparé aux hommes qui y vont massivement. Il n'y a que les féministes pour voir cela comme une inégalité alors que ce n'est pas le cas pour les femmes qui ont d'autres priorités.
Les quotas sexistes sont une idée d'extrême droite comme l'était la séggrégation. C'est ironique que tu nous accuse d'être d'extrême-droite alors que c'est toi qui défend les quotas sexistes. Les "masculinistes" demandent l'égalité des chances, ce qui est une idée progressiste alors que toi tu as des idées d'extrême-droite.
Ce qui est extraordinaire avec vous, c'est que vous revenez toujours justifier vos idées avec des préjugés.
D'abord, vous me dites que je ne fais pas la preuve que je connais bien les revendications des groupes masculinistes, ce qui est faux. Je ne les connais peut-être pas autant que vous, mais j'en sais quand même quelque chose. Le but n'est cependant pas de commencer un débat sur ces dites revendications. Ce qui nous intéresse reste la question des mesures incitatives et l'abolition du Conseil du Statut de la Femme.
Quand vous affirmez qu'il n'y a présentement aucun organisme au niveau gouvernemental qui s'occupe de la condition masculine, c'est faux. Il n'y en a aucun, peut-être, qui le fait spécifiquement de la manière du CSF (quoi que je ne connaisse pas tous les groupes en santé publique par exemple qui s'occupent de ces questions); mais plusieurs groupes font la promotion de la condition masculine. Le Parlement lui même est composé d'une forte majorité d'hommes, qui plus est blancs, qui plus est âgées de plus de 45 ans, etc... De prétendre que le Parlement n'est pas un organe représentatif de la condition masculine est aussi ridicule que de penser que la Chambre de Commerce de Montréal ne représente pas les intérêts des capitalistes parce qu'elle est aussi composée de petits commerçants.
Mais je vais vous demander: quel est le besoin d'abolir le CSF? Pourquoi, si la condition masculine est si pressante, ne pas alors constituer un Conseil pour les hommes? Voilà, entre autres, pourquoi les revendication masculinistes sont anti-féministes. Elles s'attaquent aux organes de défense des femmes sous prétexte que ces organes ne représentent pas la condition masculine. Pourtant, c'est encore faux. La plupart des organisations féministes ont des revendications qui concernent aussi les hommes (le meilleur exemple est la revendication d'une hausse du salaire minimum). Le problème, c'est qu'en demandant l'abolition du CSF, vous revendiquez aussi que les hommes aient une décision dans des mesures qui ne les concernent pas.
La question sociale est complexe. On ne peut prétendre, par exemple, parce que l'homme et la femme sont égaux de droit et par principe, qu'on ne devrait pas favoriser cette égalité. Pourtant, c'est ce que vous faites. Quand on constate une inégalité, il faut parfois user de moyens radicaux pour y parvenir (et je ne pense pas que des mesures incitatives soient réellement des moyens radicaux).
Vous me demandez, de plus, comment les "quotas sexistes" seraient un retour en arrière quand ils sont apparus dans les années 90? D'abord, ils ne sont pas apparus dans les années 90. Les mesures incitatives existent depuis longtemps dans certains domaines, et dans d'autres non. Mais il faut aller plus loin. Quand on constate qu'il existe un problème, que fait-on? On peut suivre votre voie: d'abord on nie la situation, et ensuite, quand on doit se rendre à l'évidence, on tente de justifier par des raisons naturelles. Cependant, on peut suivre aussi une autre voie quand on rencontre un problème de discrimination. On peut tenter de le régler. Vous semblez oublier que s'il existe des mesures de discrimination positive, c'est que des femmes ont, un jour, fait face à des problèmes d'accès dans des emplois bien payés et qu'elles ont revendiqué ces mesures. Vous parlez comme si ces mesures n'étaient que des mesures bureaucratiques sorties du néant.
Oui, cela va renverser la vapeur que d'enlever certaines mesures, et surtout de changer le mandat du Conseil du Statut de la femme. Évidemment, pris isolément, ce n'est pas cela qui va tout boulverser. Le problème tient cependant dans l'accumulation de ces mesures que revendiquent les groupes masculinistes. Car il faut voir ce qui est derrière: la nostalgie des femmes à la maison, qui ne dérogent pas de leur domaine. Ce que vous apellez un "fait démontré" que les femmes préfèrent les domaines féminins, je l'appelle conditionnement social. Il ne faut pas sous estimer l'effet que peut avoir le refus et la répression sur les comportements.
Et ce n'est pas prétendre que les femmes sont incapables de trouver un emploi sans aide extérieure que de défendre la discrimination positive. C'est plutôt de reconnaître que le dernier mot ne revient pas à la femme, mais au patron qui embauche, patron qui en immense majorité est un homme, évoluant dans un milieu conservateur qui est le monde de la finance. La société capitaliste a BESOIN du travail impayé (fait majoritairement par les femmes), à la maison avec l'enfant. Ainsi, consciemment ou non, un patron répond à ses intérêts en privilégiant les hommes dans des bons emplois. Personne, individuellement, n'est plus fort que le capitalisme ou ses rouages. Ce n'est que collectivement que nous avons cette force. Cela ne concerne pas seulement les femmes. Ici ce sont les femmes, mais ailleurs les imigrants, ou bien des jeunes, et souvent même des hommes blanc d'âge moyen. On est tous dans le même bateau, et dénigrer les femmes ne nous mène à rien.
Ainsi, même la justice a reconnu qu'il n'était pas discriminatoire d'avoir certaines mesures d'incitation. Il ne faut pas oublier que "l'égalité des chances" que vous revendiquez n'existe que si on favorise une des deux parties. C'est la logique même. Prenons l'exemple d'une personne en chaise roulante qui voudrait travailler à l'usine X. Supposons les problèmes majeurs que cette personne aurait à surmonter pour trouver un emploi: accessibilité, mobilité réduite dans la chaîne de montage, productivité moindre et peut-être fragilité physique réduite (attention, je ne dis pas qu'une femme est handicapée, mais j'y reviens); il est normal qu'il n'existe pas d'égalité des chances quand le patron doit choisir, et ainsi il est normal qu'il existe des mesures pour inciter à l'embauche (et ce tant que nous vivrons sour le capitalisme). Maintenant, transportons-nous du côté des femmes. Ce n'est plus une question de handicap physique, mais plutôt une question de handicap mental et social. Une quantité énorme de préjugés circulent sur les femmes (faut-il tous les dire: elles sont moins fortes, elles travaillent moins vite, elles sont moins motivées par le travail, etc...). Vous même possédez ces préjugés. Supposons même, comme vous le prétendez, que la grande majorité des femmes ne soient pas intéressées dans les domaines typiquement masculin. Qu'arrive-t-il pourtant si l'une d'entre elles veut tout de même un emploi de de type? Pensez-vous vraiment qu'à compétences égales, c'est elle qui va être choisie? Ça non.
Voyez-vous, ce que vous nommez "quotas sexistes" ne sont en fait que des mesures qui disent qu'à compétence égalges, ce sera une femme qui devra être choisie. Et malgré tout, cela n'empêche pas les hommes d'y être majoritaire. Mais allons plus loin. Si vous reprochez aux femmes de prendre la place des hommes, faites vous la même réflexion avec les jeunes qui prennent la places des plus vieux qui ne sont pas assez compétants? Et reprochez-vous aux imigrants la même chose? Dans le fond, on est bien entre hommes blancs, voilà tout. Parce que la logique est la même. On remplace femme par imigrant, et c'est du racisme. Voilà pourquoi c'est du sexisme.
Bon, pour terminer, deux petites choses. D'abord, Denise Bombardier n'est pas féministe. Elle serait même plutôt opposé au féminisme. Et finalement, un petit exposé sur la ségrégation. Les noirs aux États-Unis vivaient dans des quartiers de noirs, et n'avaient pas le droit de s'asseoir dans les même places que blancs, avaient des commerces différents, etc... et par hasard des emplois bien plus minables. Quel rapport avec la situation actuelle? Parce que si l'on pousse cela plus loin, qui finalement se retrouve encore dans la moins bonne situation, la plus précaire, qui a les moins bon emplois, etc... ? Qui donc vit la situation qui est la plus semblable à la réalité de la ségrégation? L'homme ou la femme?
Francky, t'es à mourir de rire, comment tu fais pour tordre tout ça pour conclure que si la femme veut investir les milieux "macho" elle doit bénéficier de discrimination positive pas parce qu'elle est moin bonne ou qu'il y en a moins d'intéressée mais parce que le c'est le boss qui engage et le boss est mysogine parce que c'est des vieux préjugés patriarcaux.
Ça vas-tu bien? comme ça les femmes aux ressources humaines sont là pour rien? C'est le boss qui engage pas les ressources humaines. C'est aussi faux de dire qu'on engage à compétence égale une femme, on a besoin de respecter des quotas, pour les respecter, on engage toutes les femmes qui appliquent car peu appliquent et il y en pas assez pour respectez les quotas. C'est ça qui se passe ce que tu racontes est encore la de la grosse désinfo. Tout n'est pas construction sociale comme tu l'insinues, les femmes et les hommes sont différents mais complémentaire, la mentalité est fabriquée à partir de ses différences, c'est pas parfait loin de là même mais je suis pas pour qu'on force dans l'autre sens. Ça ne va rien amélioré car les mesures incitatives nous coutent cher pour rien car bien souvent les femmes quittent leurs études ou leur emplois qu'elles ont obtenues à cause de la discrimination positive parce qu'elles n'aiment pas ça ou parce qu'elles ne sont pas bonnes pour ce domaine.
Tiens voici les propos d'une femme qui se dit féministe elle aussi, je sais les extremistes vont dire que c'est faux comme tu fais avec Bombardier alors que c'est une des femmes qui a le plus militée pour que les femmes aient le droit de vote et le droit de faire le travail qu'elles veulent : "«La parité, qui instaure la "paire", a mis fin au concept remarquable de la citoyenneté»
Mais il est l'Autre, intrinsèquement, aux yeux du nouveau féminisme, qui fonde ses revendications sur la théorisation des différences entre les sexes. D'où le recours à la discrimination positive, par exemple la loi sur la parité.
Ce féminisme-là croit que ce qui nous distingue est plus fort que ce qui nous unit alors que, moi, je pense le contraire. Le différentialisme et le communautarisme venus d'outre-Atlantique feront toujours plus d'adeptes en France - et dans toute l'Europe - tant que le système républicain et universaliste paraîtra bloqué. Pourquoi si peu de femmes dans les assemblées, mais aussi pourquoi si peu d'ouvriers, de Français de la seconde génération, etc.? Le remède consiste non pas à changer de système, mais à déverrouiller le nôtre, qui finit par laisser penser à une discrimination négative. La parité, qui instaure la «paire», a mis fin au concept remarquable de la citoyenneté. De plus, il est désormais énoncé dans la Constitution qu'homme et femme sont deux entités différentes, avec des natures différentes, des valeurs différentes, des intérêts différents. C'est l'instauration d'une sorte de séparatisme: le contraire de l'égalité. On est choisi d'abord en fonction du particularisme sexuel. Pour ma part, je trouve cela humiliant. Mais beaucoup ont pensé que la fin justifiait les moyens: pour qu'il y ait davantage de femmes dans les assemblées, on pouvait tourner le dos à nos principes moraux et politiques. C'est un gigantesque pas en arrière!
Mais pourquoi cette idée de parité a-t-elle tant plu?
C'est moins une conception du féminisme qui l'a emporté dans l'opinion que la nouveauté du mot «parité» - plus accessible que le vieux concept d'égalité. La parité renvoie à l'idée de paire, de couple mixte, plus évidente que celle, abstraite, de neutralité citoyenne. Le slogan «Un homme, une femme» semble illustrer le concept d'humanité, sans qu'on se soucie vraiment de ses implications politiques et philosophiques. A une époque où l'image est reine, où tout le monde n'a que le mot «concret» à la bouche et où l'abstraction est l'objet de toutes les méfiances, il n'est pas étonnant que celles qui en appelaient à cette dernière aient perdu la partie.
Pourquoi les hommes, premiers ciblés par cette idéologie séparatiste et cette vision grimaçante de la masculinité, ne protestent-ils pas?
Ils sont tétanisés par la bien-pensance féministe et crèvent de trouille à l'idée de passer pour des machos, donc des salauds et des réactionnaires. Au moment du débat sur la parité, quiconque disait son dissentiment était flingué par les deux grands quotidiens de gauche, Le Monde et Libération. Il faut n'avoir rien à perdre pour affronter ces outrages…"
Votre réplique est remplit de mensonges et de désinformation.
Vous dites:
"Quand vous affirmez qu'il n'y a présentement aucun organisme au niveau gouvernemental qui s'occupe de la condition masculine, c'est faux. Il n'y en a aucun, peut-être, qui le fait spécifiquement de la manière du CSF (quoi que je ne connaisse pas tous les groupes en santé publique par exemple qui s'occupent de ces questions); mais plusieurs groupes font la promotion de la condition masculine. Le Parlement lui même est composé d'une forte majorité d'hommes, qui plus est blancs, qui plus est âgées de plus de 45 ans, etc... De prétendre que le Parlement n'est pas un organe représentatif de la condition masculine est aussi ridicule que de penser que la Chambre de Commerce de Montréal ne représente pas les intérêts des capitalistes parce qu'elle est aussi composée de petits commerçants."
Comme vous le soulignez, il n'y a aucun organisme au gouvernement qui s'occupe spécifiquement de la condition masculine ce qui est injuste et incompréhensible quand au Québec on n'a le taux de suicide et la taux de décrochage parmit le plus haut au monde chez les garçons. Que dire des hommes séparés en crise? Un organisme comme le CSF pour les hommes est absolument nécessaire et urgent. Pourquoi est-ce que vous acceptez qu'il y est un organisme pour les femmes et pas pour les hommes. Les hommes blancs aux gouvernement s'occupent de leur ministère et non de la condition masculine. Trouver un argument moins faible pour justifier votre objection à un CSF pour les hommes.
"Mais je vais vous demander: quel est le besoin d'abolir le CSF? Pourquoi, si la condition masculine est si pressante, ne pas alors constituer un Conseil pour les hommes?"
Vous venez une fois de plus de prouver que vous ne connaissez absolument pas les revandications des groupes de la condition masculine. De nombreux groupes ont demandé qu'un conseil du statut de l'homme soit créer aux gouvernement avant que Michèle Courchesne laisse planer l'idée d'un conseil de l'égalité. Il n'y a pas de budget nécessaire pour avoir deux organismes pour les hommes et femmes alors le PLQ veulent fusionner les deux condition en un seul organisme. Nous demandons que la condition masculine soit représenté par un organisme peu importe son nom. Voilà pourquoi nous demandons que le conseil du statut de la femme soit MODIFIÉ, et non abolie, en un conseil de l'égalité. Ne venez plus me dire que vous connaissez nos revandications.
"Pourtant, c'est encore faux. La plupart des organisations féministes ont des revendications qui concernent aussi les hommes (le meilleur exemple est la revendication d'une hausse du salaire minimum). Le problème, c'est qu'en demandant l'abolition du CSF, vous revendiquez aussi que les hommes aient une décision dans des mesures qui ne les concernent pas."
Pardon? les féministes du CSF s'occupent de la condition masculine? Vous êtes tombé sur la tête? Si il y a un organisme au Québec qui s'est montré hostile envers la condition masculine, c'est bien le CSF. Diane Lavallée, présidente du CSF, a déja déclaré à la radio qu'elle se foutait des problèmes des hommes et que c'était à leur tour de souffrir. Cela nous avait choqué profondément. Elle a aussi déja déclaré que si les hommes veulent la garde partagé, c'est qu'ils ne veulent pas payé la pension alimentaire. Avez-vous déja vu le CSF se pencher sur les problèmes des hommes. Jamais. Elle s'en contre-fiche. Alors arrêter de nous faire rire avec vos affirmations loufoque.
"On ne peut prétendre, par exemple, parce que l'homme et la femme sont égaux de droit et par principe, qu'on ne devrait pas favoriser cette égalité."
Faux, l'égalité de droits n'est pas atteinte pour les hommes car ils sont discriminés par la loi du divorce et dans le monde du travail par les quotas sexistes. Ils ont des droits inférieur aux femmes.
"Quand on constate une inégalité, il faut parfois user de moyens radicaux pour y parvenir (et je ne pense pas que des mesures incitatives soient réellement des moyens radicaux)."
Arguments classique utilisé par les fémisexistes. Sous prétexte d'une inégalité qui n'existe que dans leur tête, il faut discriminer les hommes même si envers les femmes la discrimination n'est pas acceptable mais envers les hommes c'est pas grave ce sont des dommages collatéraux. La fin justifie les moyens. Les quotas sexistes ne sont pas des mesures incitatives mais des mesures RESTRICTIVE car ils restreint les emplois aux hommes. Il y a un méchante différence.
"Vous semblez oublier que s'il existe des mesures de discrimination positive, c'est que des femmes ont, un jour, fait face à des problèmes d'accès dans des emplois bien payés et qu'elles ont revendiqué ces mesures. Vous parlez comme si ces mesures n'étaient que des mesures bureaucratiques sorties du néant."
Il est vrai que les femmes ont rencontré des problèmes d'accès dans des emplois à cause de leur sexe. Mais ca fait plus de 20 ans que ce n'est plus le cas alors arriver en ville. Les quasi-totalités des entreprises où il n'y a pas de quotas sexistes embauchent selon la compétence et non le sexe. Vous ne m'avez pas expliquer pourquoi il y a des femmes qui sont haut placé dans des postes payants. Ce ne sont pas les femmes qui ont demandé que des quotas sexistes soient instauré mais des groupes de pressions féministes radicales. Les femmes me disent toujours la même chose quand je leur parle des quotas sexistes, elles ne veulent pas être engagé en fonction de leur sexe mais en fonction de leur COMPÉTENCE.
"Oui, cela va renverser la vapeur que d'enlever certaines mesures, et surtout de changer le mandat du Conseil du Statut de la femme."
Mais de quelle vapeur parlez-vous? Malgré les quotas sexistes, les femmes sont toujours aussi peu interressé par les métiers non-traditionelles. Saviez-vous que les femmes fonctionnaires sont maintenant plus nombreuses que les hommes fonctionnaires? Pourtant, les quotas sexistes existent encore dans la fonction publique. Comment vous expliquez cela?
"Le problème tient cependant dans l'accumulation de ces mesures que revendiquent les groupes masculinistes. Car il faut voir ce qui est derrière: la nostalgie des femmes à la maison, qui ne dérogent pas de leur domaine. "
Vous avez sortit ca de votre imagination? J'ai jamais entendu un groupe de la condition masculine demander le retour des femmes à la maison. Désinformation comme à votre habitude.
"Ce que vous apellez un "fait démontré" que les femmes préfèrent les domaines féminins, je l'appelle conditionnement social. Il ne faut pas sous estimer l'effet que peut avoir le refus et la répression sur les comportements."
Encore L'argument victimiste classique des fémisexistes qui sont les seuls à ne pas admettre que les hommes et les femmes n'ont pas les mêmes intérêt. Ca n'a rien à voir avec le conditionnement sociale.
"Et ce n'est pas prétendre que les femmes sont incapables de trouver un emploi sans aide extérieure que de défendre la discrimination positive."
Oui c'est prétendre que les femmes sont inférieure aux hommes que vouloir leur donné un avantage et les femmes ne veulent pas de cela.
"C'est plutôt de reconnaître que le dernier mot ne revient pas à la femme, mais au patron qui embauche, patron qui en immense majorité est un homme, évoluant dans un milieu conservateur qui est le monde de la finance. La société capitaliste a BESOIN du travail impayé (fait majoritairement par les femmes), à la maison avec l'enfant. Ainsi, consciemment ou non, un patron répond à ses intérêts en privilégiant les hommes dans des bons emplois."
Quelle généralisation grossière et mensongère. Il faut vraiment être malhonnête pour dire que les patrons ont un préjugé sexistes envers les femmes. Ils s'en FOUTRENT comme en l'an 40 du sexe de l'employé, ce qu'ils veulent c'est un employé qui va leur rapporter de l'argent. Si TOUS les patrons sont sexistes, comment vous expliquez que des femmes occupent des emploies bien payé et haut placé? Les quotas ne sont pas juste dans le monde de la finance mais dans tout la fonction publique. C'est à dire police, chaffeuse d'autobus, col bleu, etc. Est-ce que ces domaines sont aussi conservateur et sexiste? La discrimination envers les femmes n'existe que dans votre tête.
"Il ne faut pas oublier que "l'égalité des chances" que vous revendiquez n'existe que si on favorise une des deux parties. C'est la logique même."
Hein? le concept de l'égalité des chances n'existe que si les deux parties ont des chances égales et aucun favoritisme. Ce que vous venez de dire est l'illogisme même.
"Maintenant, transportons-nous du côté des femmes. Ce n'est plus une question de handicap physique, mais plutôt une question de handicap mental et social. Une quantité énorme de préjugés circulent sur les femmes (faut-il tous les dire: elles sont moins fortes, elles travaillent moins vite, elles sont moins motivées par le travail, etc...). Vous même possédez ces préjugés."
Encore et encore la victimisation mensongère des femmes. Une question d'handicap mental et social, haha est bien bonne celle la. On dirait que vous vivez encore dans les années 1970. L'handicap social pour les femmes n'existes plus depuis des décennies. Demander aux femmes de la rue si elle considère qu'elles ont un handicap sociale, elles vont vous regarder avec un gros point d'interrogation dans le visage ou comme un extra-terreste. Depuis quand constater que les femmes sont en quasi-totalité moins fortes que les hommes? Je suis stupéfait. Je n'ai jamais entendu nulle part que les femmes travaillent moins vite ou qu'elles sont moins motivées par le travail. Décidémemt, il s'en passe des choses dans votre tête.
"Supposons même, comme vous le prétendez, que la grande majorité des femmes ne soient pas intéressées dans les domaines typiquement masculin. Qu'arrive-t-il pourtant si l'une d'entre elles veut tout de même un emploi de de type? Pensez-vous vraiment qu'à compétences égales, c'est elle qui va être choisie? Ça non."
Vous parlez encore une fois à travers votre chapeau. Je travaille dans un métier non-traditionelle aux femmes, donc je sais de quoi je parle. Mon boss est une femme et j'ai eu des boss hommes aussi qui ne regarde aucunement le sexe de la personne lors de l'embauche. À compétence égale, il y a d'autres critères qui font la différence comme l'expérience et la personnalité. Je travaille avec des femmes et elles n'ont jamais eu de difficulté à se trouve un emploi et ca SANS L'AIDE DE QUOTAS SEXISTES.
"Voyez-vous, ce que vous nommez "quotas sexistes" ne sont en fait que des mesures qui disent qu'à compétence égalges, ce sera une femme qui devra être choisie."
Quelle erreur grossière! Informez-vous avant de parler. Le principe des quotas sexistes est que un pourcentage de postes dans un domaine sont RÉSERVÉ aux femmes et les hommes n'y ont pas ACCÈS PEU IMPORTE LEUR COMPÉTENCE. Fait 2 fois je vous le dis.
"Et malgré tout, cela n'empêche pas les hommes d'y être majoritaire."
Les femmes sont maintenant majoritaire dans la fonction publique à cause des quotas sexistes et les quotas CONTINUE d'être appliqué!
"Mais allons plus loin. Si vous reprochez aux femmes de prendre la place des hommes, faites vous la même réflexion avec les jeunes qui prennent la places des plus vieux qui ne sont pas assez compétants?"
Je ne reproche pas aux femmes de prendre la place des hommes si elles sont plus compétente, ce que je critique c'est que des hommes n'ont pas accès à des emplois à cause de leurs sexe. Les jeunes qui prennent la place de certains plus vieux si ils sont plus compétent n'est pas du sexisme car la compétence est le critère et non le sexe. Il n'y a aucune comparaison.
"D'abord, Denise Bombardier n'est pas féministe. Elle serait même plutôt opposé au féminisme."
Évidemment qu'elle n'est pas féminisme: elle ne partage pas votre idéologie sexiste. Une belle preuve de votre intolérence intellectuel. Si il y a une femme qui a milité pour le droit des femmes, c'est bien Denise Bombardier. Elle a joué un rôle important dans la cause des femmes comme l'a fait badinter.
"Et finalement, un petit exposé sur la ségrégation. Les noirs aux États-Unis vivaient dans des quartiers de noirs, et n'avaient pas le droit de s'asseoir dans les même places que blancs, avaient des commerces différents, etc... et par hasard des emplois bien plus minables. Quel rapport avec la situation actuelle? Parce que si l'on pousse cela plus loin, qui finalement se retrouve encore dans la moins bonne situation, la plus précaire, qui a les moins bon emplois, etc... ? Qui donc vit la situation qui est la plus semblable à la réalité de la ségrégation? L'homme ou la femme?"
Votre comparaison entre les noirs et les femmes ne tient pas la route. Les noirs subissaient la ségrégation alors qu'ici ce ne sont pas les femmes mais les hommes qui l'a subissent. Oui les femmes ont une moyenne salariale collective moins élevé que les hommes même si il y a des femmes très bien payé. Et pourtant, au contraire des noirs ce ne sont pas elles qui subissent une forme de séggrégation avec les quotas sexistes mais les hommes. Si les femmes gagnent moins d'argent collectivement que les hommes, c'est qu'elles travaillent moins d'heures et certaines préféres rester à la maison. Les hommes fondent aussi beaucoup plus d'entreprises que les femmes. Il n'y a aucune comparaison possible entre les noirs et les femmes car ce sont les hommes qui subissent une séggrégation comme celles des noirs dans le passé.
La charte des droits et liberté est claire: on ne peut discriminer un individu en fonction de son sexe ce que font les quotas sexistes. Aucune discrimination n'est positive, que ce soit envers les hommes ou les femmes.
Vous voyez la vie comme un dessin animé, de manière étriquée, sans en comprendre toute sa complexité. Qui plus est, vous êtes d'une mauvaise foi incroyable, incapable de saisir la totalité de mes arguments. Vous ne cessez de déformer mes propos pour les faire entrer dans votre vision des choses complètement boursoufflée et floue.
Quand vous nous parlez du suicide des hommes au Québec, en quoi cela concerne-t-il le CSF? En rien. Vous utilisez cet argument comme un épouvantail. Pourtant, est-il relié à la condition masculine? Je ne crois pas. Les hommes ne font pas plus de tentatives de suicide que les femmes. Ils les réussissent plus souvent parce qu'ils emploient des moyens plus violent. Vous ne parlez jamais de ça on dirait. Et que dire du fait qu'une importante partie des suicides est causée par la découverte de l'homosexualité chez un garçon? On devrait peut-être aussi penser à un conseil du statut des gays, ne trouvez-vous pas?
Et SVP, arrêtez vos idioties sur le Parlement. "Les hommes blancs aux gouvernement s'occupent de leur ministère et non de la condition masculine." Vous ne semblez pas trop comprendre le fonctionnement du gouvernement. D'abord, la chambre des représentants (l'Assemblée Nationale) est composée de députés, pas seulement de ministres. Et ensuite, la tâche d'un ministre n'est pas administrative, elle est politique. Les ministres et députés mettent sur pied des dossiers politiques; les ministres ne sont pas limités à ce qui se passe dans leur ministère.
Si on suit tout ce que vous dites jusqu'au bout, on en revient à accuser le féminisme et les femmes pour tous les problèmes que subissent les hommes; ce serait la conséquence logique de la création du Conseil du Statut de l'Homme. Parce qu'il ne faut pas oublier que les groupes féministes ont été créés justement parce qu'on considérait que le problème des femmes étaient reliés aux privilèges des hommes et au patriarcat qui les soutendent. Mais ça, allez vous le comprendre, ou ferez-vous comme si ce n'était pas une réalité, pour toujours revenir sur vos 2 ou 3 letmotivs?
Et quant à votre argumentation qui veut que les femmes n'ont plus de problèmes pour se trouver un emploi, c'est plutôt à vous de revenir en ville. Ces problèmes de discrimination sont toujours très présents. J'aimerais aussi vous rapeller qu'une des principales raisons pour laquelle les femmes ont un salaire moindre des hommes est parce que ce sont encore elles qui majoritairement quittent leur emploi pour s'occuper des enfants. Pas volontairement, mais simplement parce qu'avec le retrait préventif, l'accouchement, l'alaitement, elles n'ont pas tout le temps d'autres choix.
Bon, passons sur tout le rabâchage de préjugés que vous nous servez encore. Il reste cependant un point que je voudrais préciser: la question de la ségrégation. J'aimerais vous rapeller, encore une fois, que la ségrégation était une situation sociale dans laquelle vivaient les noirs et où les noirs n'avaient pas le droit de fréquenter une institution pour blanc, n'avaient pas le droit de se marier avec des blancs, possédaient moins de ressources et avaient des salaires moindres, en plus d'avoir moin de chances d'accéder à des postes de pouvoir importants, etc... D'un autre côté, les blancs ne pouvaient pas non plus se marier avec des noirs, ne pouvaient pas aller dans des institutions réservés aux noirs, mais bénéficiaient de meilleures chances. Quand on parle de ségrégation, on dit que ce sont les noirs qui en ont été victimes, pas les blancs, même si les blancs étaient affectés d'une manière ou d'une autre par la situation. Transposons-nous donc encore dans le monde d'aujourd'hui, et analysons la situation. Qui se retrouve avec les salaires moindres et des conditions de travail moindres? Les femmes. Qui bénéficient des meilleurs postes, des meilleures chances, etc...? Les hommes. Effectivement, comme dans le cas de la ségrégation, les hommes sont affectés d'une manière ou d'une autre par la situation. Mais ce ne sont pas eux qui en souffrent.
Et j'aimerais aussi ajouter pour conclure que le terme "ségrégation" veut dire "mettre de côté", "séparer". Qui est mis de côté de façon générale dans l'histoire, sinon les femmes? Et c'est bien important de parler DE FAÇON GÉNÉRALE. Vous l'oubliez si rapidement quand vous condamnez les mesures incitatives. Voilà pourquoi aussi cette histoire de la condition masculine n'a que peu de sens. Parce que pour justifier un Sécrétariat de la Condition Masculine, il faudrait que règle générale la condition masculine soit pire que celle de la majorité. Or ce n'est pas vrai.
Pendant des mois, on nous dit de faire front commun et de répondre aux détracteurs, aux accusateurs, aux misogynes, etc., aux Martiens Tordus, que c'est un bon moyen de servir la liberté d'expression. On ne le fait pas, faute de temps et jugeant que ça donne à certains une crédibilité qu'ils n'ont pas, que ça peut envenimer les choses, que le silence est parfois d'or. On s'en remet aux bonnes intentions des administrateurs et à leur politique éditoriale. Constatant les ratés à répétition, on décide d'investir du temps et de soi-même pour répondre aux détracteurs, etc..., mais ça ne va pas encore. On empêcherait les Martiens Tordus de s'exprimer librement sur la place publique, et finalement tout le monde avec eux, sauf soi-même. Si, par malheur, on apporte des points de vue qui déplaisent à des chevaliers de la libre expression, on a droit à des crises de défoulement.
Je pense que je ne comprends plus la "planète des hommes", si je l'ai déjà compris. Finalement, peut-être vaudrait-il mieux les laisser continuer de palabrer entre eux, peut-être ce lieu est-il, comme la majorité des lieux réels et virtuels, LEUR lieu. Peut-être faut-il faire place nette sur le CMAQ pour les Martiens Tordus, qui cherchent à occuper les lieux - mais vraiment occuper dans le sens plein du mot - depuis longtemps, et les laisser braire. La vie est si courte et il y a tant à faire.
Longue vie au CMAQ "libre et public" !
Micheline Carrier, une féministe radicale, bourgeoise, censeure, extrémiste, et tout ce que vous voudrez ajouter, je m'en f.... éperdûment.
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