AVERTISSEMENT : Ce témoignage peut induire un sentiment de culpabilité chez celui ou celle qui en prend connaissance. Le but recherché n'est pas de condamner mais simplement de donner à ceux et celles qui en ont la courage et la sensibilité, l'opportunité d'ouvrir les yeux sur la terrible réalité. Nous sommes conditionnés à voir de la banalité dans certains gestes de la vie quotidienne qui sont pourtant imprégnés d'horreur. Cette lecture vous dispensera de pouvoir dans l'avenir vous excuser en disant que vous ne saviez pas.
J'ai emporté une vieille veste; bien m'en a pris. Pour un début d'octobre, il fait un froid glacial. Ce n'est pourtant pas pour cette seule raison que je frissonne. J'enfonce les mains dans mes poches, m'efforce de montrer un visage avenant pour écouter le directeur de l'abattoir m'expliquer qu'on ne procède plus depuis longtemps à un examen complet de chaque bête, seulement à une inspection. Avec 700 cochons par jour, comment cela serait-il possible?
«Ici, il n'y a aucun animal malade. Si c'est le cas, nous le renvoyons tout de suite, avec une amende salée pour le livreur. S'il le fait une fois, il ne le fera pas une deuxième». Je baisse la tête comme pour m'excuser – tenir, simplement tenir, tu dois tenir ces six semaines – que deviennent les porcs malades?
«Il y a un abattoir tout à fait spécial». Je possède une certaine expérience concernant les règlements relatifs au transport et sais à quel niveau la protection des animaux est à présent reconnue. Ce mot, prononcé dans un tel endroit, a une résonance macabre. Dans l'intervalle, un gros camion d'où s'échappent des cris stridents et de lugubres grognements est venu se ranger face à la rampe. Dans la pénombre du matin, on distingue mal les détails; toute la scène revêt un aspect irréel et rappelle quelque sinistre reportage de guerre montrant des rangées de wagons gris et les visages blêmes et terrorisés d'une masse de gens humiliés, sur la rampe de chargement, embarqués par des hommes en armes. Tout d'un coup, je m'y trouve en plein cœur, et c'est comme quand on fait un cauchemar dont on se réveille couvert de sueurs froides: au milieu de ce brouillard, par un froid glacial, dans ce demi-jour sale du bâtiment immonde, bloc anonyme de béton, d'acier et de catelles blanches, tout derrière, à la lisière du bois recouvert d'une légère gelée; ici se passe l'indicible, ce dont personne ne veut rien savoir.
Les cris, c'est la première chose que j'entends chaque matin lorsque j'arrive pour obtenir mon certificat de stage de pratique. Un refus de ma part d'y participer aurait signifié pour moi cinq années d'études perdues et l'abandon de tous mes projets d'avenir. Mais tout en moi – chaque fibre, chaque pensée – n'est que refus, répulsion et effroi, et la conscience d'une insurmontable impuissance: devoir regarder, ne rien pouvoir faire, et ils vont te forcer à coopérer et te souiller de sang. De loin déjà, quand je descends du bus, les cris des cochons me transpercent comme un poignard. Pendant six semaines, des heures durant, sans répit, ces cris retentiront à mes oreilles. Tenir. Pour toi, cela aura une fin. Pour les animaux, jamais.
Une cour déserte, quelques camions frigorifiques, des moitiés de cadavres de cochons pendus à des crochets, aperçus à travers une porte, dans un éclairage aveuglant. Tout ici est d'une propreté méticuleuse. Cela, c'est la façade. Je cherche l'entrée; elle est située de côté. Deux bétaillères passent devant moi, ses phares jaunes allumés dans la brume matinale. La lumière blanche des fenêtres éclairées me montre le chemin. Après avoir monté quelques marches, je me retrouve à l'intérieur, où tout est carrelé en blanc. Pas d'âme humaine en vue. Ensuite un corridor, blanc lui aussi, et le vestiaire pour les dames. Il est bientôt 7 heures, et je me change: du blanc, du blanc, du blanc! Mon casque d'emprunt oscille d'une façon grotesque sur mes cheveux raides. Mes bottes sont trop grandes. Je retourne dans le corridor et me range du côté des vétérinaires. Aimables salutations. «Je suis la nouvelle stagiaire». Avant de continuer, les formalités. «Enfilez un vêtement chaud, allez chez le directeur et remettez-lui votre certificat de santé. Le Dr. XX vous dira alors où vous commencerez».
Le directeur est un homme jovial, qui me parle d'abord du bon vieux temps où l'abattoir n'était pas encore privatisé. Puis s'interrompant à regret, il décide de me faire visiter personnellement les lieux. C'est ainsi que j'arrive sur la rampe. A main droite des enclos de béton fermés par des barres en fer. Quelques-uns sont prêts, remplis de cochons. «Nous commençons ici à 5 heures du matin». On les voit se bousculant ici ou se traînant là; quelques groins curieux arrivent à passer à travers la grille; des petits yeux méfiants, d'autres fuyants ou en plein désarroi. Une grande truie se jette sur une autre; le directeur se saisit d'un bâton et la frappe plusieurs fois sur la tête. «Autrement, ils se mordent méchamment».
En bas de la rampe, le transporteur a abaissé le pont du camion, et les premiers cochons, apeurés par le bruit et la raideur de la pente, se poussent vers l'arrière; mais entre-temps un convoyeur est monté à l'arrière et distribue des coups de trique en caoutchouc. Je ne m'étonnerai pas, plus tard, de la présence de tant de meurtrissures rouges sur les moitiés de cochons. «Avec les cochons, il est interdit d'utiliser le bâton électrique» explique le directeur. Certains animaux tentent quelques pas hésitants, en trébuchant parfois. Puis les autres suivent. L'un d'entre eux glisse et sa patte se coince entre la rampe et le pont; il remonte et continue en boitant. Ils se retrouvent à nouveau entourés de barres de fer qui les mènent inévitablement à un enclos encore vide. Lorsque les cochons se trouvant à l'avant arrivent dans un coin, ils s'y entassent en bloc et s'y cramponnent avec fermeté, ce qui fait pousser à l'employé des jurons de colère et cravacher les cochons de l'arrière qui, pris de panique, essaient de grimper par-dessus leurs compagnons d'infortune. Le directeur hoche la tête: «Ecervelé, simplement écervelé. Combien de fois ai-je déjà dit qu'il ne servait à rien de frapper les cochons se trouvant à l'arrière!».
Pendant que j'assistais, pétrifiée, à cette scène – rien de tout cela n'est réel, tu rêves – le directeur se retourne pour saluer le convoyeur d'un autre transport, arrivé en même temps que le précédent et qui s'apprête à décharger. La raison pour laquelle tout est allé ici beaucoup plus vite, mais avec beaucoup plus de cris, je l'ai tout de suite vu: derrière les porcs qui trébuchent, un deuxième homme apparu dans l'aire de déchargement assène, pour accélérer l'opération, des chocs électriques. Je regarde l'homme, ensuite le directeur: «Vous savez pourtant que c'est interdit avec les porcs». L'homme regarde étonné, puis range l'instrument dans sa poche.
Par derrière, quelque chose se frotte à moi à la hauteur des genoux; je me tourne et j'aperçois deux yeux bleus vifs. Je connais de nombreux amis des animaux qui s'enthousiasment pour les yeux animés de sentiments si profonds des chats, pour le regard indéfectiblement fidèle des chiens. Mais qui parle de l'intelligence et de la curiosité perceptibles dans les yeux d'un cochon? Bientôt, j'apprendrai à les connaître, ces yeux, mais d'une autre manière: muets de peur, abattus de douleur, puis vidés, brisés, exorbités, roulant sur un sol maculé de sang.
Une pensée me traverse l'esprit comme un couteau acéré, et elle me reviendra des centaines de fois au cours des semaines suivantes: Manger de la viande est un crime – un crime …
Après un tour rapide de l'abattoir, je me retrouve dans la salle de pause. Une fenêtre qui s'ouvre sur la salle d'abattage laisse voir des cochons couverts de sang, suspendus, défilant dans une chaîne sans fin. Indifférents, deux employés prennent leur petit déjeuner. Du pain et du saucisson. Leurs tabliers blancs sont couverts de sang. Un lambeau de chair est accroché à la botte de l'un d'eux. Ici, le vacarme inhumain qui m'assourdira lorsque je serai conduite dans la salle d'abattage est atténué. Je reviens en arrière, car une moitié de cadavre de cochon a tourné le coin à vive allure et a heurté la moitié suivante. Elle m'a frôlée, chaude et molle. Ce n'est pas vrai – c'est absurde – impossible.
Tout me tombe dessus en une fois. Les cris perçants. Le grincement des machines. Le bruit métallique des instruments. La puanteur pénétrante des poils et des peaux brûlés. L'exhalaison de sang et d'eau chaude. Des éclats de rire, des appels insouciants des employés. Des couteaux étincelants passant au travers des tendons pour pendre aux crochets des moitiés d'animaux sans yeux dont les muscles sont encore palpitants. Des morceaux de chair et d'organes tombent dans un caniveau par où du sang s'écoule en abondance, et ce liquide écœurant m'éclabousse. On glisse sur des morceaux de graisse qui jonchent le sol. Des hommes en blanc, sur les tabliers desquels le sang dégouline, avec, sous leurs casques ou leurs képis, des visages comme on peut en voir partout: dans le métro ou au supermarché. Involontairement, on s'attend à voir des monstres, mais c'est le gentil grand-père du voisinage, le jeune homme désinvolte qui déambule dans la rue, le monsieur soigné qui sort d'une banque. On me salue aimablement. Le directeur me montre encore rapidement la halle d'abattage des bovins, vide aujourd'hui. «Les bovins sont là le mardi». Il me confie alors à une employée en déclarant qu'il a à faire. «Vous pouvez tranquillement visiter seule la halle d'abattage». Trois semaines s'écouleront avant que je trouve le courage d'y aller.
Le premier jour n'est encore pour moi qu'une sorte de quart d'heure de grâce. Je vais m'asseoir dans une petite pièce à côté de la salle de pause et heure après heure, je découpe en petits morceaux des chairs provenant d'un seau d'échantillons qu'une main tachée de sang remplit régulièrement dans la halle d'abattage. Chacun de ces petits morceaux – un animal. Le tout est alors haché et réparti en portions, auxquelles on ajoute de l'acide chlorhydrique et que l'on fait cuire, pour le test de trichine. L'employée qui m'accompagne me montre tout. On ne trouve jamais de trichine, mais le test est obligatoire.
Le jour suivant, je me rends donc seule dans une partie de la gigantesque machine à découper les morceaux. Une rapide instruction – «Ici, retirer le reste des os du collier de l'arrière-gorge et séparer les nœuds des glandes lymphatiques. Parfois, un sabot pend encore à un patte, il faut l'enlever». Alors, je découpe, il faut faire vite, la chaîne se déroule sans répit. Au-dessus de moi, d'autres morceaux du cadavre s'éloignent. Mon collègue travaille avec entrain, tandis que dans le caniveau tant de liquide sanguinolent s'accumule que j'en suis éclaboussée jusqu'au visage. J'essaye de me ranger de l'autre côté, mais là une énorme scie à eau coupe en deux les corps des cochons; impossible d'y rester, sans être trempée jusqu'aux os. En serrant les dents, je découpe encore, mais il faut que je me dépêche, pour pouvoir réfléchir à toute cette horreur, et par dessus le marché il faut que je fasse diablement attention de ne pas me couper les doigts. Le lendemain, j'emprunterai d'une collègue stagiaire qui a terminé son stage une paire de gants en métal. J'arrête de compter les cochons qui défilent devant moi, ruisselants de sang. Je n'emploierai plus de gants en caoutchouc. Il est vrai qu'il est répugnant de fouiller à mains nues dans des cadavres tièdes, mais si l'on se retrouve plein de sang jusqu'aux épaules, le mélange poisseux des liquides corporels pénètre de toute façon à l'intérieur des gants et rend ces derniers superflus. Pourquoi tourner des films d'horreur, quand tout cela se trouve ici?
Le couteau est bientôt émoussé. «Donnez-le moi, je vais vous l'aiguiser». Le brave grand-père, en réalité un ancien inspecteur des viandes, me lance un clin d'œil. Après m'avoir rapporté le couteau aiguisé, il se met à faire la causette ici et là, me raconte une blague puis se remet au travail. Il me prend désormais un peu sous son aile et me montre quelques trucs qui facilitent quelque peu le travail à la chaîne. «Ecoutez? Ici tout cela ne vous plaît pas. Je le vois bien. Mais cela doit se faire». Je ne peux pas le trouver antipathique. Il se donne beaucoup de mal pour me rassurer. La plupart des autres aussi s'efforcent de m'aider; ils s'amusent certainement à observer ces nombreux stagiaires, qui vont et viennent ici, qui sont d'abord choqués, puis qui poursuivent en serrant les dents leur période de stage. Toutefois, ils demeurent bienveillants. Il n'y a pas de chicaneries. Il me vient à penser que – à part quelques exceptions – les personnes qui travaillent ici ne réagissent pas de façon inhumaine; elles sont juste devenues indifférentes, comme moi aussi avec le temps. C'est de l'autoprotection. Non, les vrais inhumains sont ceux qui ordonnent quotidiennement ces meurtres de masse, et qui, à cause de leur voracité pour la viande condamnent les animaux à une vie misérable et à une lamentable fin, et forcent d'autres humains à accomplir un travail dégradant qui les transforme en êtres grossiers. Moi-même, je deviens progressivement un petit rouage de ce monstrueux automatisme de la mort. Au bout d'un certain temps, ces manipulations monotones commencent à devenir automatiques, mais elles restent aussi très pénibles. Menacée d'étouffement par le vacarme assourdissant et l'indescriptible horreur omniprésente, la compréhension reprend le dessus sur les sens hébétés et se remet à fonctionner. Faire la différence, remettre de l'ordre, essayer de discerner. Mais cela est impossible.
Lorsque pour la première fois – en fait, le deuxième ou troisième jour – j'ai pris conscience que le corps saigné, brûlé et scié de l'animal, palpitait encore et que sa petite queue remuait toujours, je n'étais plus en mesure de me mouvoir. «Ils … ils bougent encore …», dis-je, même si en tant que future vétérinaire j'avais appris que c'était les nerfs. J'entends marmonner: «Mince alors, il y en a un qui a fait une faute, il n'est pas tout à fait mort». Un frémissement spectral agite de partout les moitiés de bêtes. C'est un lieu d'horreur. Je suis glacée jusqu'à la moelle.
Rentrée à la maison, je me couche sur mon lit, les yeux au plafond. Passer les heures, les unes après les autres. Chaque jour. Mon entourage réagit avec irritation. «N'aie pas l'air si renfrognée; fais donc un sourire. Tu voulais absolument devenir vétérinaire». Vétérinaire, oui, mais pas tueuse d'animaux. Je ne peux pas me retenir. Ces commentaires. Cette indifférence. Cette évidence de meurtre. Je voudrais, je dois parler, dire ce que j'ai sur le cœur. J'en étouffe. Je voudrais raconter ce que j'ai vu sur le cochon qui ne pouvait plus marcher, progressant tant bien que mal sur son train arrière, jambes de côté; sur les cochons qui reçoivent des coups de trique et de pied jusqu'à ce qu'ils finissent par entrer dans le box d'abattage. Ce que j'ai vu en me retournant: comment l'animal est scié devant moi et accroché en oscillant: morceaux de muscles partagés en deux parties égales à partir de l'intérieur des cuisses. Nombre d'abattages par jour 530, jamais je ne pourrai oublier ce chiffre.
Je voudrais parler de l'abattage des bovins, de leurs doux yeux bruns, remplis de panique. De leurs tentatives d'évasion, de tous les coups et les jurons, jusqu'à ce que la misérable bête soit finalement prisonnière de l'enclos fermé par des barres de fer et une serrure à double tour, avec vue panoramique sur la halle où ses compagnons d'infortune sont dépouillés de leur peau et coupés en morceaux; puis l'avancée mortelle, et dans le moment qui suit la chaîne que l'on accroche à une patte arrière et dont l'animal tente vainement de se débarrasser en la projetant vers le haut, tandis que, déjà, par en-dessous, sa tête est tranchée. Des flots de sang qui giclent à profusion du corps sans tête, tandis que les pattes se recroquevillent … Raconter à propos des bruits atroces de la machine qui arrache la peau du corps, du geste du doigt, circulaire et automatisé, pour ôter le globe de l'œil de son orbite – artère sectionnée, saignante, coulant à flot à l'extérieur – et le jeter dans un trou à même le sol, où il disparaîtra parmi tous les «déchets». Le bruit provenant des envois sur le dévaloir en aluminium usé, des abats retirés du cadavre décapité et qui ensuite, sauf le foie, le cœur, les poumons et la langue – destinés à la consommation – sont aspirés dans une sorte de collecteur d'ordures.
C'est vrai que je voudrais raconter qu'il arrive toujours qu'au milieu de ces montagnes visqueuses et sanguinolentes se trouvera un utérus gravide, et que j'ai vu des petits veaux déjà tout formés, de toutes les tailles, fragiles et nus, les yeux clos, dans une enveloppe utérine qui n'est plus en mesure de les protéger – le plus petit aussi minuscule qu'un chat nouveau-né, et quand même une vache en miniature, le plus grand au poil tendre et soyeux, d'un blanc cassé, avec de longs cils autour des yeux, dont la naissance devait avoir lieu quelques semaines plus tard. «Est-ce que ce n'est pas un miracle, ce que la nature crée?» constate le vétérinaire de service cette semaine-là, en jetant l'utérus avec le fœtus ensemble dans le gargouillant moulin à déchets. J'ai maintenant la certitude qu'aucun dieu ne peut exister puisqu'aucun éclair ne vient du ciel pour punir tous ces forfaits commis ici-bas, et que ceux-ci se perpétuent interminablement. Ni pour soulager la vache maigre et pitoyable qui, à mon arrivée à 7 heures le matin, se traîne à bout de force, au prix d'efforts désespérés, dans le couloir glacé, plein de courants d'air, et s'allonge juste devant le box de la mort; pour elle, il n'existe aucun dieu, ni personne d'ailleurs, pour lui donner une petite tape pour l'aider. Avant tout, il faut traiter le reste des animaux prévus pour l'abattage. Quand je quitte à midi, la vache est encore couchée et tressaille; personne en dépit d'instructions répétées n'est venu la délivrer. J'ai alors desserré le licou qui lui tranchait impitoyablement la chair et lui ai caressé le front. Elle m'a regardé avec ses grands yeux, et j'ai alors appris en cet instant que les vaches pouvaient pleurer.
Mes mains, ma blouse, mon tablier et mes bottes sont barbouillés du sang de ses congénères: pendant des heures, je suis restée à la chaîne, en train de couper des cœurs, des poumons et des foies. J'ai déjà été prévenue: «Avec les bovins, on est toujours totalement immergé!». C'est cela que je voudrais communiquer, afin de ne pas porter seule le fardeau, mais dans le fond il n'y a personne qui veuille m'écouter. Ce n'est pas qu'au cours de cette période on ne m'ait pas souvent assez posé la question: «Et à l'abattoir, comment ça va? Moi, en tout cas, je ne pourrais pas le faire». Avec mes ongles enfoncés dans les paumes des mains je gratte les lunules jusqu'au sang pour ne pas frapper ces visages apitoyés, ou pour ne pas jeter le téléphone par la fenêtre; pleurer, voilà ce que je voudrais faire, mais depuis que j'ai vu ce spectacle quotidiennement, chaque cri s'est étouffé dans ma gorge. Personne ne m'a demandé si je pouvais tenir. Les réactions à des réponses si parcimonieuses trahissent le malaise à ce sujet. «Oui, cela est tout à fait terrible, aussi nous ne mangeons plus que rarement de la viande». Souvent je m'encourage: «Serre les dents, tu dois tenir, bientôt tout cela sera derrière toi». Pour moi, que le massacre continue jour après jour est l'une parmi les pires manifestations d'indifférence et d'ignorance. Je pense que personne n'a compris que ce ne sont pas ces six semaines à surmonter qui sont importantes, mais bien ce monstrueux meurtre de masse, qui se renouvelle des millions de fois, et dont sont responsables tous ceux d'entre nous qui mangent de la viande. En particulier, tous ceux qui se prétendent amis des animaux et mangent de la viande: ils ne sont pas dignes de confiance. «Arrête, ne me coupe pas l'appétit!». C'est aussi avec ce type de réaction que plus d'une fois je suis restée muette. Parfois le ton monte: «Mais tu es une terroriste, toute personne normale doit rire de toi». Comment s'en sortir seule dans de tels instants? Il m'arrive d'aller regarder le petit fœtus de veau que j'ai ramené à la maison et que j'ai mis dans du formol. ‘Memento mori'. Et laisser en rire les «gens normaux».
Les choses deviennent abstraites quand on est entouré de tant de morts violentes; la vie à titre individuel apparaît alors comme infiniment dénuée de sens. Quand je regarde les rangées anonymes de cochons transportés sous la même forme à travers la halle, je me demande: «Les choses seraient-elles différentes si à la place de cochons, il y avait des humains?». D'autant plus que l'anatomie de la partie arrière de l'animal, épaisse, parsemée de pustules et de taches rouges, rappelle étrangement ce que l'on peut voir sur les plages ensoleillées des vacances: des amas de graisse débordant des maillots de bain trop étroits. En outre, les cris qui retentissent interminablement dans la halle d'abattage quand les animaux sentent approcher la mort pourraient provenir de femmes et d'enfants. Ne plus faire la différence devient inévitable. Il y a des moments où je pense: Arrêter, cela doit s'arrêter. Pourvu qu'il fasse vite avec la pince électrique, pour qu'enfin cela s'arrête. «Beaucoup d'animaux ne crient pas» a dit une fois l'un des vétérinaires, «alors que d'autres se figent comme des statues en se mettant à crier sans aucune raison». Je me demande pour ma part comment ils peuvent rester immobiles et «crier sans aucune raison». Plus de la moitié du temps de stage est écoulé lorsque je pénètre enfin dans la halle d'abattage pour pouvoir dire: «j'ai vu». Ici se termine le chemin qui débute à la rampe de déchargement. Le lugubre corridor sur lequel débouchent tous les enclos se rétrécit jusqu'à une porte ouvrant sur un box d'attente ayant une capacité de 4 ou 5 cochons. Si je devais décrire en image le concept de «peur», je le ferais en dessinant des cochons blottis les uns contre les autres contre une porte fermée, et je dessinerais leurs yeux. Des yeux que plus jamais je ne pourrai oublier. Des yeux que chacun d'entre nous qui veut manger de la viande devrait avoir regardés.
Les cochons sont séparés à l'aide d'une trique en caoutchouc. L'un d'entre eux est poussé en direction d'un espace fermé de tous côtés. Il crie, et comme souvent le gardien a encore autre chose à faire, l'animal essaye de reculer et s'évader par l'arrière jusqu'à ce qu'enfin, à l'aide d'une clapet électrique, il puisse verrouiller l'issue. Par une pression sur un bouton, le sol de l'enclos est remplacé par une sorte de traîneau mobile sur lequel le cochon se retrouve à califourchon, ensuite une deuxième coulisse s'ouvre devant lui et le traîneau avec l'animal glisse vers l'avant dans un autre box. Là une brute de boucher chargé de l'abattage – je l'ai toujours appelé en moi-même Frankenstein – branche les électrodes. Une tenaille d'étourdissement à trois points, comme le directeur me l'a expliqué. On voit dans le box le cochon qui tente de se cabrer, puis le traîneau est brusquement retiré et la bête, palpitante, s'affaisse dans un flot de sang en agitant nerveusement les pattes. Ici l'attend une autre brute de boucher, qui sûr de sa cible, enfonce le couteau en-dessous de la patte avant droite du cochon; un flot de sang foncé gicle et le corps s'affaisse vers l'avant. Quelques secondes plus tard, une chaîne de fer se referme sur une des pattes arrière de l'animal qui est hissé vers le haut; la brute de boucher dépose alors son couteau, s'empare d'une bouteille de cola souillée, déposée à même le sol recouvert d'une couche de sang d'au moins un centimètre, et en boit une gorgée.
Je décide de suivre les cadavres qui, balancés à leur crochet, et saignant abondamment, sont dirigés vers l' «enfer». C'est ainsi que j'ai dénommé la pièce suivante. Celle-ci est haute et noire, pleine de suie, de puanteur, de fumée. Au terme de plusieurs virages au cours desquels le sang se déverse encore à flots, la rangée de cochons arrive à une sorte d'immense four. C'est là que la soie du porc est éliminée. Les corps des animaux tombent par une sorte d'entonnoir à l'intérieur de la machine. On peut y voir à l'intérieur. Les flammes jaillissent et, pendant quelques secondes, les corps sont secoués de tous côtés, et semblent accomplir une danse grotesque et trépidante. Ils sont ensuite largués de l'autre côté sur une grande table où ils sont immédiatement attrapés par deux grosses brutes de bouchers qui commencent par enlever les parties de la soie qui n'ont pas été éliminées, puis grattent les orbites oculaires et séparent les sabots des pattes. Tout cela se déroule très rapidement, le travail s'effectue en plein accord. Pendues aux crochets par le tendon des pattes postérieures, les bêtes mortes sont alors dirigées vers un châssis métallique contenant une sorte de lance-flammes. Dans un bruit assourdissant, le corps de l'animal est soumis à un jet de flammes qui l'espace de quelques secondes l'enveloppe tout entier. La chaîne mobile se met alors à nouveau en mouvement et emporte les corps dans la halle suivante, celle-là même où je me suis trouvée durant les trois premières semaines. Là les organes sont retirés et apprêtés sur la bande mobile supérieure. La langue est palpée, les amygdales et l'œsophage détachés et jetés, les ganglions lymphatiques coupés, les poumons mis aux déchets, la trachée-artère et le cœur ouverts et les échantillons pour l'examen de trichine prélevés, la vésicule biliaire extirpée, et le foie examiné à cause de la présence possible de poches de vers. Beaucoup de porcs ont des vers et si leur foie en est rempli, il doit être jeté. Tous les autres organes, comme l'estomac, les intestins, l'appareil génital, sont envoyés au rebut. Sur la bande mobile inférieure, le reste du corps est apprêté: divisé en morceaux; les articulations coupées; l'anus, les reins et les parties graisseuses entourant les reins enlevés; le cerveau et la moelle épinière retirés, etc., et ensuite une marque est imprimée sur l'épaule. Le cou, le bas du dos, l'abdomen et les cuisses sont préparés pour la pesée, puis dirigés vers la chambre froide. Les animaux jugés impropres à la consommation sont «provisoirement écartés». Pour le marquage, qui est une opération effectuée dans la sueur sur des cadavres tièdes et visqueux qui pendent très haut en fin de bande, il faut faire très vite quand on n'a pas l'habitude: on risque de se faire assommer par les moitiés de bêtes qui arrivent en force devant la balance et s'entassent les unes sur les autres avec violence.
Je ne dirai pas le nombre de fois que j'ai laissé mon regard errer sur l'horloge murale de la salle de pause! Mais ce qui est sûr, c'est qu'en aucun autre endroit au monde le temps ne passe plus lentement qu'ici. Un temps de pause est octroyé au milieu de la matinée, et c'est essoufflée que je me précipite aux toilettes, et que tant bien que mal je me nettoie du sang et des lambeaux de chair; c'est comme si cette souillure et cette odeur allaient s'accrocher à moi pour toujours. Sortir, seulement sortir d'ici. Je n'ai jamais pu avaler quoique ce soit comme nourriture dans ce bâtiment. Soit je passe mon temps de pause, aussi froid qu'il puisse faire dehors, à courir jusqu'à la clôture en fils de fer barbelés et regarde au loin les champs et l'orée du bois, et j'observe les corneilles. Ou alors je traverse la rue et me rends au centre commercial où je peux me réchauffer en buvant un café dans une petite boulangerie. Vingt minutes après, on est de nouveau à la chaîne. Manger de la viande est un crime. Jamais plus ceux qui mangent de la viande ne pourront être mes amis à nouveau. Jamais, jamais plus. Je pense que tous ceux qui mangent de la viande devraient être envoyés ici, et voir ce qui s'y passe, du début à la fin.
Je ne suis pas restée ici parce que je veux devenir vétérinaire, mais parce que les gens veulent manger de la viande. Et pas seulement cela: mais parce qu'en plus ce sont des poltrons. Leur escalope blanchie, stérile, achetée au supermarché, n'a plus les yeux qui déversent des flots de larmes de frayeur devant la mort, pas plus qu'elle ne hurle quand le couteau va frapper. Vous tous qui vous nourrissez des cadavres de la honte, cela vous est soigneusement épargné, vous qui dites: «Non, moi, cela je ne pourrais pas le faire».
Un jour, un paysan est venu, accompagné de son fils, âgé de 10 ou 11 ans, pour faire analyser un échantillon de viande pour la trichine. En voyant l'enfant aplatir son nez contre la vitre, j'ai pensé que si les enfants pouvaient voir toute cette horreur, tous ces animaux tués, il y aurait peut-être un espoir de changement. Mais j'entends encore l'enfant crier à son père: «Papa, regarde là, quelle énorme scie!..»
Le soir, à la télévision, on annonce aux informations: «mystère non encore résolu» à propos du meurtre perpétré sur une jeune fille, assassinée et coupée en morceaux et je me rappelle la frayeur générale et le dégoût de la population devant cette atrocité. Je dis: «Des atrocités semblables, j'en ai vues 3700 rien qu'en une semaine». Maintenant, je ne suis plus seulement une terroriste, mais encore je suis malade, là-haut, dans ma tête. Car je ressens non seulement de l'effroi et de la répugnance envers le meurtre commis sur un être humain, mais aussi envers ceux commis sur des animaux des milliers de fois en une seule semaine et dans un seul abattoir. Etre un humain, cela ne signifie-t-il pas dire non et refuser d'être le commanditaire d'un meurtre à grande échelle – pour un morceau de viande? Etrange nouveau monde. Il est possible que les tout petits veaux trouvés dans l'utérus déchiré de leur mère, et qui sont morts avant même d'être nés, ont encore connu le moins mauvais sort d'entre nous tous.
D'une manière ou d'une autre, le dernier de ces interminables jours est enfin arrivé et j'ai reçu mon certificat de stage, un chiffon de papier, cher payé si tant est que j'ai jamais payé cher quelque chose. La porte se referme; un timide soleil de novembre m'accompagne depuis la cour de l'abattoir jusqu'à l'arrêt du bus. Les cris des animaux et le bruit des machines s'estompent. Je traverse la rue alors qu'un gros camion à remorque amenant du bétail prend le virage pour entrer dans l'abattoir. Il est rempli sur deux étages de cochons, serrés les uns sur les autres.
Je pars sans un regard en arrière car j'ai porté témoignage et, à présent, je veux essayer d'oublier et de continuer de vivre. A d'autres de lutter maintenant; moi, ce sont ma force, ma volonté et ma joie de vivre qui m'ont été pris et remplacés par un sentiment de culpabilité et de tristesse paralysante. L'enfer est parmi nous, des milliers et des milliers de fois, jour après jour.
Une chose nous reste pourtant, et pour toujours, à chacun: Dire Non. Non, non et encore non!
Tout le monde connaît l’origine de la viande et tout le monde sait aujourd'hui, que comme les humains, les animaux éprouvent des sentiments: peur, stress, souffrances, douleur, etc. Les conséquences de la consommation de viande sont étalées partout: dans la rue, sur les tablettes des boucheries, dans les films, les documentaires télévisés, etc., mais cette consommation de cadavres ne suscite que très peu d'intérêt et rarement l’indignation. C'est plutôt l’indifférence qui reigne dans ce domaine. Pourquoi ? Parce que les " viandards" ne se sentent pas du tout impliqués ou concernés par ces activités sanglantes: Ce n'est pas eux qui élèvent, transportent, écorchent des animaux vivants et qui les tuent ! Ils préfèrent ne pas voir, ne pas savoir, car ils ne voudraient surtout pas se sentir coupables et être obligés de modifier leur manière de se nourrir. Il est plus simple pour eux de se faire accroire que les animaux sont " prévus pour être mangés " et qu'ils sont élevés et abattus "dans le respect" = le mythe de l’abattage "humain". En consommant de la "viande", ils veulent également démontrer leur supériorité sur les animaux, et c'est l'autre raison pour laquelle ils tiennent tant à perpétuer leur tradition.
Je me demande combien d'individus, mis à part les chasseurs qui tuent des animaux pour le plaisir de tuer, seraient capables de continuer de " bouffer " régulièrement leur côtelette de cochon, leur " steak de vache laitière ", leur foie de veau, s'ils devaient eux-mêmes égorger " leur animal " avant de l'engloutir !
Et un ours c'est omnivore ? C'est à dire qu'il se nourrit d'à peu près de tout ce que la chaine alimentaire a à offrir, fruits, poisson, cervidé et +.
Les "viandards" comme tu "étiquette" ceux qui se nourrissent autant de viande que de fruits et légumes sont de la même classe, les humains sont omnivores et font aussi partie de la "nature", comme les animaux, les plantes... Faudrait rééecrire l'évolution de la vie pour en conclure autrement ou nier que nous avons été, sommes et seront encore des omnivores encore longtemps, l'évolution se poursuit et quelques fois de façon surprenante. Je respecte ceux qui décident de mettre en pratique les principes qu'ils se sont choisis, j'en ai moins pour ceux qui étiquettent pour abaisser et tentent d'imposer "leur" choix. Il y a des végétariens qui ne cherchent pas à faire une religion de leur mode alimentaire. Il y a de ceux qui décident de devenir totalement végétarien et ceux qui consomment des oeufs, fromages etc. comme les "viandards".
Les animaux ont des sentiments ? C'est une possibilité philosophique, mais personne ne peut le dire avec certitude. Pas plus que je ne peux conclure que le goût de tel aliment est le même pour mon voisin que pour moi, je n'ai pas accès à son "esprit". L'ours, le loup, le lion,l'orque et les autres prédateurs se posent-ils la question à savoir si leur proie souffrira, si elle a des sentiments ? Est-ce que les chasseurs tuent tous par plaisir puisqu'Ils ont accès à la viande commerciale ou est-ce qu'ils optent pour une viande "naturelle". Est-ce qu'ils tuent tous par plaisir ou ne "récoltent-ils" que ce qu'ils ont besoin ?
Quant à égorger nous-même, j'imagine que beaucoup le pourrait, la faim aidant, mais j'imagine les conditions d'hygiène...
Si tu veux nous convertir au végétarisme, svp, ne prend pas la méthode USA, campagne de peur, (la viande peut vous tuer), si vous ne devenez pas végétariens alors vous êtes des tueurs d'animaux, (ceux qui ne sont pas avec nous sont contre nous), on devrait interdire la viande et les "viandards" ( vu les armes de destructions massives tapons leur dessus, faisons leurs la guerre, tuons les tous pour le bien du pétrole et de l'humanité). Prend plutôt une méthode de renforcement positif et scientifiquement objective...
Dommage pour cette étudiante qui veut sauver des animaux, mais je crois que la méthode de la dissection de cadavre, même si elle est dure psychologiquement, est utile. Comme les fac de médecine qui le font sur des cadavres humains de personnes qui ont accepté cet utilisation de leur de leur corps de leur vivant. Elle permet aussi une certaine désensibilisation, utile aussi, je vois mal un médecin ou un vétérinaire tout pris dans ses émotions incapable d'agir devant une urgence. Bien sûr, certains réagissent, mais mieux valait pour cette étudiante de savoir avant ce qu'à l'air un corps mutilé par un accident. Des logiciels existent pour des opérations virtuelles, oui, mais ils ont été fait à partir de la même source, et sont-ils vraiment si près du réel, mettrais la vie de ton animal de compagnie ou ta vie à la merci de cette technologie ?
Je compathie avec cette jeune dame, mais convainc moi avec des faits, des arguments qui me feront voir les bienfaits de cette alimentation sans pour autant t'attaquer au "viandards". Pour monsieur et madame tout le monde ce n'est pas évident de remplacer la les protéines de la viande par d'autres genre de protéines qui rempliront la même fonction.
Alain Thomas
omnivore 25% viande 75% fruits et légumes.
Pour ton information, Yogi est un Ascète Hindou végétarien parvenu à la sagesse par la pratique du Yoga. J'ai également choisi ce pseudonyme parce que j'aime les ours, et parce qu'un " ours " est aussi quelqu'un qui fuit la société. Et je fuis justement cette société qui est devenue une société individualiste et indifférente face à la souffrance des êtres vivants.
L'ours noir du Québec, malgré sa taille imposante se nourrit " essentiellement " de petits fruits, de noix, de pommes, d'insectes, de poissons. Étonnant non ? Après son hibernation, au printemps, lorsque la nourriture se fait rare, il lui arrive de consommer des oiseaux, des petits mammifères et, parfois, même de jeunes faons cervidés. C'est vrai que lorsqu'il chasse, l'ours ne se demande pas si ce qu'il fait est bien ou mal: il chasse pour survivre. L'homme soit-disant "intelligent" a d'autres choix. La majorité des humains d'aujourd'hui pourraient vivre sans manger d'animaux. La preuve est que des millions de personnes dans le monde sont végétariens et que ce nombre ne cesse d'augmenter. L'éléphant et le cheval sont aussi végétariens ...
Quant aux chasseurs " sportifs ", assurément qu'ils tuent pour leur propre plaisir puisqu'aucun d'entre eux ne chasse pour sa propre subsistance. De plus, la "viande naturelle" dont tu parles, est de moins en moins naturelle et de plus en plus d'humains meurent de consommer des cadavres d'animaux sauvages: SRAS, SIDA, Ébola, encéphalopathie spongiforme chez les cervidés sauvages, la tuberculose, etc.etc. etc.
Aussi surprenant que cela puisse te paraître, de nombreuses études scientifiques ont prouvé que les animaux, comme les bébés humains d'ailleurs, avaient des sentiments et qu'ils ressentaient la douleur. Ce n'est qu'au début des années 80, que les médecins ont découvert que les nouveaux-nés "humains" pouvaient ressentir de la douleur. Avant, ils étaient opérés sans aucune anesthésie car ils étaient considérés comme des êtres dénués de conscience et leurs comportements étaient interprétés comme de simples réflexes.
Notre monde évolue, mais malheureusement certains de ses habitants restent "bouchés" toute leur vie.
p.s.: Je n'aborderai pas ici le sujet de la vivisection qui sera peut-être débattu dans une prochaine rubrique.
Tu prend le nom d'un sage qui etait vegetarien pourtant savait qu'hitler etait vegetarien. Du poisson c'est pas de la viande? L'ours a besoin de beaucoup d'animaux a l'automne pour se faire une reserve pour l'hiver. Oui les animaux ressentent la douleur, oui ils ont probablement des sentiments. Je ne suis pas pour l'elevage et l'abatage industrielle qui est inhumain et on bourre les animaux d'antibiotiques qu'on mange apres. Nous mangeoons des antibiotiques. Et c'est tres domageable pour le systeme immunitaire. Ca serait meme une cause probable du sida. Tous les maladies dont tu parles peuvent etre combatu avec un systeme immunitaire fort. Le vih c'est un mythe. Il n'a jamais été isolé. Les viandes sauvage goute autrement. Elles sont bien meilleur et bien plus riche. C'est pas vegetarien qui va dire a omnivore si telle ou telle viande est bonne. L'homme est omnivore. Il a besoin de tout car il ne peut tout digerer les elements dans les viandes et les legumes (il est ni carnivore ni vegetarien donc son systeme digestif n'est pas parfaitement adapté pour digerer tout). De nos jours les vegetaux sont soi ogm soit avec pesticide ou les deux. T'as entendu parler du codex alimentarus? On crée des nouvelles plantes en leur enlevant quelques vitamines ou mineraux ou acides aminés ou autres. Question que l'homme est besoin de plus de variété ou de supplement. C'est bon ca? Va dire aux inuits de plus manger de viande!!!! Pourquoi tant de mots a caractere pejoratif contre le carnivore? Viandard bouffeur de cadavre etc etc. Tu veux qu'on t'ecoutes et te respecte mais tu respectes pas les autres. La vivisection est inutile car elle apprend rien a l'enfant sur le biologie humaine. Et les experiences sur les animaux sont inutile car les animaux n'ont pas les meme reactions que nous aux differentes drogues testées. Ceux qui sont completement vegetarien on souvent beaucoup de carence. Mais ca ne les empeche pas d'etre en santé.
Hitler n'était pas végétarien. C'est une légende et une fiction inventée par Joseph Goebbels. Robert Payne, considéré comme l'un des plus importants écrivains qui ait écrit sur Hitler le démontre clairement, principalement dans l'un de ses bouquins intitulé: Vie et Mort d'Adolph Hitler. Sa cuisinière lui préparait d'ailleurs souvent son petit repas préféré: des cailles farçies... Pendant un certain temps, à cause d'un problème d'estomac, son médecin lui avait suggéré de banir la viande de ses menus.
Même si le SIDA est une maladie immuno-déficitaire, elle n'a rien à voir avec les antibiotiques administrés aux animaux. Cette maladie est originaire d'Afrique. Deux souches sont à l’origine de cette maladie: le VIH-1 provenant du chimpanzé et le VIH-2, responsable essentiellement des épidémies africaines, transmis par le singe mangabey.
Source: http://www.ird.fr/fr/actualites/fiches/2002/fiche150.htm
Pourquoi viens-tu nous parler des Inuits alors que j'écrivais dans ma réponse précédente, que les chasseurs "sportifs" chassaient pour leur plaisir et non pas pour leur propre subsistance. N'as-tu pas compris que parmi ceux qui chassaient par nécessité, se trouvaient les Inuits ?
Ton discours étant très incohérent, je ne perdrai pas mon temps à y répondre en détails. Bonne fin de soirée
le vih est souvent pas la lorsqu'on diagnostique le sida. Le mythe de la maladie du singe est totalament faux. Tes beaux vih-1 vih-2 ont jamais été isolé scientifiquement. Désolé mais tu defile bien facilement. Montre moi une photo du retro virus en question. Les antiobiotiques et certain medicament , la pollution, certaines drogues et d'autres maladies sont responsable de la défficience immunitaire. Le vih c'Est un mythe. Auncun virus reste inactif pour se reveiller dix ans plus tard. Si le virus vient de l'afrique pourquoi le moyen-orient et beaucoup de pays asiatique ne sont presque pas infecté? Fait attention avec tes mensonges mon grand. Le vih existe p-e mais il n'est pas responsable de la déficience immunitaire. Les lymphocites t du systeme immunitaire sont affecté par tellement de chose autre que le vih. Le sida n'est pas une maladie mais un syndrome, soit un amalgame de maladie causant une deficience immunitaire. Et le nombre de maladie augmente a chaque année question de faire croire a une épidémie. Pourtant si épidémie il y avait pourquoi le nombre de nouveau cas de sida diminue? Aurait t'on trouver une cure? Quelle joke
Pourquoi tu ne me contredis pas quand je dis que l'homme est omnivore et qu'il ne peut tout digerer? Tu me contrdis sur hitler et les antiobiotiques mais sur le reste tu ne le fais pas. Tu te défiles.
Mais tu tournes en rond justement. C'est toujours les mêmes objections pas très pertinentes ou carrément erronées qui reviennent de la part des zoophages obstinés. La plupart de celles que tu présentes ici ont déjà été débattues et invalidées antérieurement ici même sur le CMAQ.
Enfin, un peu de copier-coller pour ceux qui ne se donnent pas la peine de chercher.
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Sommes-nous carnivores, omnivores ou herbivores?
Entrevue avec Milton Mills, médecin, physiologiste et nutritionniste américain de réputation internationale.
par Charles Danten
Dans le monde, les différentes populations ont des régimes alimentaires très variés. Les Inuits, par nécessité, mangent exclusivement de la viande, alors que les Hindous, pour des raisons religieuses, sont végétariens. Quand aux Occidentaux, ils consomment toute une variété d'aliments. Ne pouvons-nous pas - et c'est ce qui expliquerait notre grand succès comme espèce - manger tout ce que nous voulons? Ne sommes-nous pas foncièrement des omnivores?
Non! Nous sommes des herbivores. Notre corps est admirablement bien équipé pour se procurer et traiter la matière végétale. Nous avons évolué pendant des millions d'années dans le berceau africain. C'est à cet endroit, dans des conditions climatiques et écologiques équatoriales que se sont forgées nos caractéristiques morphologiques actuelles. Or, selon les données issues de l'étude des fossiles, notre ancetre était un herbivore. Il se nourrissait de fruits, de baies, de racines et de graines. Il avait une niche écologique très spécialisée qui lui a permis de survivre et de prospérer. Il n'était pas en compétition avec les prédateurs tels que le loup et le lion etc. et heureusement d'ailleurs, car il ne faisait pas le poids. Entre autres, sa vitesse de déplacement était insuffisante, son odorat était relativement faible, son ouïe était médiocre. De plus, la marche est notre mode de locomotion le plus naturel et cette activité est particulièrement bien adaptée à la cueillette.
Mais nous avions des outils et des armes, un avantage décisif!
En effet, mais pas aussi important qu'on pourrait le croire. Les premiers outils sont apparus il y a environ un million d'année. Pendant des centaines de milliers d'années, ces outils étaient très rudimentaires et peu efficaces. Essayez de chasser un bison, un auroch - l'ancêtre du bœuf - ou même une gazelle avec des pierres taillées grossièrement! Plus tard, avec l'invention de la lance et de l'arc, il y a à peine 100 000 ans, les techniques de chasse s'améliorent quelque peu. Cependant cette activité comporte beaucoup d'imprévus, et la réussite est loin d'être assurée. En étudiant les quelques tribus primitives qui vivent encore plus ou moins comme nos ancêtres, nous avons appris qu'il est très difficile, avec des armes rudimentaires, de capturer ou de tuer une proie. Leurs membres réussissent environ une fois sur 20 après maints efforts. Il serait tout à fait absurde dans ces conditions d'essayer d'assurer la survie de ses enfants sur ce genre d'activité. En termes de dépense d'énergie, ça n'a aucun sens. Chez les cueilleurs-chasseurs modernes, les végétaux forment la base de l'alimentation, complétée à l'occasion par des insectes, quelques œufs et, rarement, avec un animal de moyenne ou petite taille. L'activité principale est la cueillette et non la chasse. Et ce sont les femmes les vrais pourvoyeuses du foyer.
L'image de l'homme des cavernes, chasseur redoutable et sanguinaire, cruel et carnivore, toutes dents et toutes griffes dehors, est donc un mythe?
Oui, tout à fait! Vous savez, la paléoanthropologie est née en Angleterre, au 19e siècle, en pleine révolution industrielle. À cette époque - et ça n'a guère changé -, on associait la viande à la force, à la virilité, à la longévité et au statut social. Par ignorance des principes nutritionnels, on la considérait comme l'aliment idéal pour notre espèce. C'est donc avec ces notions erronées que les premiers anthropologues ont interprété notre histoire. De là a pris naissance le mythe de l'homme des cavernes, un des éléments pivot du machisme et de la fierté masculine. L'idée du grand chasseur, maître de la nature et pourvoyeur de ces dames, a fait couler beaucoup d'encre depuis. Or, cette notion "romantique" est peu plausible et difficile à concilier avec la réalité. Plusieurs anthropologues contemporains remettent en question cette interprétation.
Pour compenser l'inefficacité des armes, les anthropologues évoquent des carnages massifs de troupeaux entiers d'animaux sauvages poussés vers un précipice ou des sables mouvants. Qu'en est-il?
D'abord, ça serait franchement absurde de gaspiller autant de bêtes. C'est peut-être typique de la mentalité occidentale des deux siècles derniers, mais était-elle celle des hommes d'autrefois? Si l'on se fie aux traditions des Amérindiens et des autres cueilleurs-chasseurs modernes, il n'en est rien. Ensuite, comment transporter vers le haut du ravin les animaux morts? Comment les sortir de la boue sans cordes ni treuils? Comment conserver un tel volume de nourriture périssable? Ils n'avaient pas de réfrigérateur! Enfin, une telle quantité de charogne attirerait tous les prédateurs et les charognards de la région et il faut se demander si, dans ces circonstances, les chasseurs ne deviendraient pas plutôt les chassés.
Sur quels critères vous appuyez-vous pour déterminer le type d'alimentation le plus naturel pour notre espèce?
Il y a au moins trois facteurs dont il faut tenir compte : les considérations anthropologiques, dont nous venons de discuter très sommairement, puis l'adaptation biologique et, enfin, les conséquences physiologiques ou, si vous voulez, les bénéfices d'un régime alimentaire particulier.
Examinons maintenant les caractéristiques biologiques. On peut classifier les mammifères, selon leur type d'alimentation, en carnivores, en omnivores ou en herbivores. Comme chaque groupe a des caractéristiques anatomiques et physiologiques bien spécifiques, il est facile, par une étude comparative, de situer notre espèce.
Les carnivores et les omnivores sont équipés pour poursuivre, capturer, tuer, manger et digérer rapidement leur proie. Ce sont en général de redoutables prédateurs naturels et leur équipement anatomique et physiologique est admirablement bien adapté à ce style de vie.
Leurs griffes sont longues, robustes et acérées pour les aider à saisir leur proie et l'immobiliser. Ils ont une gueule très grande par rapport à la taille de la tête. Cela leur donne un avantage certain pour saisir, tuer et déchiqueter une prise. Leurs dents sont pointues et très acérées car elles servent surtout à déchiqueter la viande. L'articulation de la mâchoire ne permet que les mouvements verticaux. En général, ces animaux avalent tout rond, sans mastication, la plus grande quantité possible de nourriture. Par conséquent, leur estomac est relativement volumineux - de 60 à 70% du volume total de l'appareil digestif - pour recueillir une grande quantité de nourriture d'un seul coup. La très grande acidité de l'estomac favorise la digestion rapide des aliments et protège ces animaux contre un risque élevé de contamination bactérienne. Les intestins sont courts - de 3 à 5 fois la longueur du corps, de la bouche à l'anus -, car les produits de la digestion sont absorbés rapidement.
Par comparaison, les herbivores n'ont pas de griffes acérées. Comme nous, en général, ils ont une gueule de petite taille proportionnellement à la tête. Ils ont des lèvres charnues et très musclées spécialisées dans la préhension fine de petites quantités d'aliments. La structure des dents, de la mâchoire et de la langue est très révélatrice : la surface plate des dents favorise la mastication, la mâchoire très mobile permet les mouvements dans tous les sens, et la nourriture est mastiquée, broyée et mélangée longuement avant d'être avalé en petite quantité. La salive, contrairement aux carnivores, et aux omnivores comme l'ours et le raton laveur, contient une enzyme qui amorce et facilite la digestion. Les secrétions gastriques sont beaucoup moins acides que chez les carnivores. L'intestin, où la plupart des aliments sont absorbés, est beaucoup plus long - de 10 à 12 fois la longueur du corps - ce qui favorise la digestion. Enfin, le côlon, ou gros intestin, qui est la partie postérieure du système digestif, est en général beaucoup plus complexe que chez les carnivores et les omnivores. C'est à cet endroit très spécialisé que l'eau et les électrolytes (les sels minéraux) sont absorbés. Plusieurs vitamines y sont produites et absorbées. C'est aussi, chez plusieurs espèces herbivores, un organe de fermentation. Son diamètre est beaucoup plus grand que celui des intestins. Il est beaucoup plus long que chez les carnivores et il comporte des plis qui augmentent sa surface d'absorption. Notre anatomie à nous, êtres humains, cadre très bien avec cette description.
Pourtant, quand on pense à un herbivore, on pense à la vache, au mouton ou au cheval. Or, ces animaux ont un système digestif très complexe, souvent composé d'un estomac à plusieurs compartiments. Ces animaux peuvent manger et digérer le foin, ce qui n'est pas notre cas.
Selon ma définition, tout animal qui mange une nourriture dérivée des plantes est un herbivore. Il y en a plusieurs types, équipés de façon variable pour digérer différentes sortes de matières végétales. Ceux qui mangent du foin, une matière très fibreuse, riche en cellulose, difficile à digérer, ont un système digestif très complexe. Ils sont capables, par un processus de fermentation bactérienne, de dégrader et de transformer des aliments très indigestes. Notre espèce est plutôt adaptée pour traiter une matière végétale beaucoup plus digeste comme les fruits, les légumes tendres, les racines et les noix, etc. Par conséquent, notre système digestif est plus simple. Il n'en demeure pas moins que nous sommes des herbivores.
Et la fameuse vitamine B12?
La manière dont nous métabolisons cette vitamine confirme notre nature herbivore. Nous sommes faits pour manger des aliments qui en contiennent en général une infime quantité. Cependant, nous sommes merveilleusement bien équipés pour l'absorber, la transformer et la préserver. Ce n'est pas le cas des carnivores qui en trouvent facilement de très grandes quantités dans la viande.
Voulez-vous dire que nous n'avons pas à nous soucier de cette vitamine?
Pas exactement. La vitamine B12 vient des bactéries et, depuis que l'on l'aseptise eau et aliments, il est plus difficile de combler ces besoins, quoique ce ne soit pas impossible. En effet, certaines bactéries résidant dans notre bouche et notre intestin en synthétisent une certaine quantité. Enfin, plusieurs aliments, ainsi que les fruits et les légumes biologiques que l'on mange avec la peau (ayant donc en surface une quantité appréciable de bactéries) en contiennent également. Les végétaliens qui s'alimentent bien n'ont pas de mal à combler leurs besoins en B12. En cas de doute, il est tout de même préférable de vérifier annuellement son taux de B12 ou de prendre un supplément, à raison de 25 mg par semaine, et non de 50 mg par jour comme le recommandent les fabricants.
C'est tout de même étonnant, depuis le temps, qu'on ne soit pas mieux adaptés à manger de la viande?
Nous ne sommes devenus omnivores puis carnivores que depuis relativement peu de temps, en réponse à des impératifs culturels et non biologiques. Cette nuance est très importante : même si nous pouvons manger presque n'importe quoi, cela ne veut pas nécessairement dire que c'est bon pour nous. Contrairement à l'évolution technologique et culturelle, l'évolution biologique se produit sur des centaines de milliers, voire des millions d'années. On peut comparer les deux à la fable du lièvre et de la tortue. Ce ne sont pas les adaptations morphologiques qui ont permis à l'homme préhistorique de chasser, puis de consommer des animaux; c'est grâce à son intelligence qu'il a acquis les aptitudes pour faire ce que son anatomie lui refusait. En d'autres termes, au lieu de sélectionner les modifications gastro-intestinales les mieux adaptées à ce type d'alimentation, la sélection naturelle a favorisé les plus habiles chasseurs, les plus ingénieux fabricants d'outils ainsi que les adaptations culturelles associées.
Pour résumer, nous sommes surtout faits pour manger des plantes. Or, en Occident, la grande majorité des gens fait le contraire. Comment expliquer cette déviation? Quand a-t-elle eu lieu?
C'est en quittant le berceau africain pour occuper des régions plus froides que l'homme a changé, en très peu de temps et pour des raisons vitales, son régime alimentaire. Il a dû s'adapter aux variations saisonnières de la croissance des végétaux en incorporant à son alimentation de plus en plus de produits carnés au fur et à mesure qu'il s'est déplacé vers nord. Les animaux étaient abondants et il ne semblait y avoir aucune contre-indication. L'invention de l'outil et son perfectionnement a facilité cette évolution. Puis, il y a 10 000 ans, on assiste à la domestication des plantes et des animaux. Cependant, le régime alimentaire de base demeure essentiellement composé de plantes. Les agriculteurs avaient des animaux pour les aider à travailler la terre. Ils buvaient leur lait, ils mangeaient les œufs de la volaille, mais, en général, ils ne tuaient pas les bêtes. Elles étaient bien trop précieuses. Ils s'en servaient également comme monnaie d'échange. Pendant des siècles, la viande est restée une denrée rare, presque exclusivement réservée aux riches marchands, aux nobles et aux aristocrates. C'était un symbole de rang social et de prospérité. Les pauvres en mangeaient seulement à certaines occasions, lors des fêtes religieuses par exemple. Puis, il y a à peine 100 ans, à la suite de la révolution industrielle, l'élevage des animaux de boucherie s'est intensifié, et la viande, notamment le bœuf, est devenue de plus en plus populaire et accessible à tous les échelons sociaux. Nous sommes donc devenus des omnivores à tendance carnivore depuis tout récemment, avec les conséquences sur la santé que nous connaissons tous.
Vos arguments sont convaincants. Pourtant, comment expliquer que de nombreuses personnes vivent en santé et parfois très vieux, en mangeant de la viande et ses nombreux dérivés?
Il y a d'autres facteurs en jeu. Le stress, la génétique, les polluants chimiques et autres, la quantité consommée, le niveau d'activité, etc. ont une grande influence. Manger de la viande, des œufs et du lait en modération, n'est pas trop mauvais en soi. Toutefois, ce n'est pas l'idéal pour notre espèce. Nous sommes essentiellement des herbivores et notre corps a de la difficulté à digérer et à métaboliser cette nourriture. Ce n'est pas pour rien que les maladies nutritionnelles sont si nombreuses. Enfin, il importe de faire des choix alimentaires qui concordent avec le contexte démographique et écologique actuel. Il serait donc prudent de revenir à un régime alimentaire, somme toute, beaucoup plus naturel pour notre espèce. Ce n'est pas une régression, mais un retour salutaire. C'est sans doute pour notre espèce une question vitale...
C'est dans cette savane de l'est, qui a inspiré le titre du récit de Yves Coppens, que les australopithèques (littéralement "singes du sud") vont se ramifier en de nombreuses sous-espèces parmi lesquelles on cherche l'ancêtre du genre homo.
"Il y a quatre millions d'années, poursuit le conteur, la Terre connaît un frisson accompagné d'une expansion des glaciers polaires et d'un nouvel assèchement du climat en Afrique. La savane arboricole devient steppe. Les fossiles de cette époque, toujours en Éthiopie, nous permettent de voir deux nouvelles formes d'hominidés: l'australopithèque robuste et le genre homo."
Le premier est caractérisé par une dentition énorme et forte adaptée aux végétaux fibreux alors que le second "choisit" le développement cérébral et une dentition omnivore.
À deux occasions, l'assèchement du climat aurait ainsi présidé à l'apparition de nouvelles espèces. "La sécheresse a été le moteur de la sélection et les espèces ont évolué dans le sens de l'adaptation à ce climat", soutient Yves Coppens. source
Much of the misinformation on the issue of man's being a natural vegetarian arises from confusion between taxonomic (in biology, the procedure of classifying organisms in established categories) and dietary characteristics.
Members of the mammalian Order Carnivora may or may not be exclusive meat eaters. Those which eat only meat are carnivores. Dietary adaptations are not limited by a simple dichotomy between herbivores (strict vegetarians) and carnivores (strict meat-eaters), but include frugivores (predominantly fruit), gramnivores (nuts, seeds, etc.), folivores (leaves), insectivores (carnivore-insects and small vertebrates), etc. Is is also important to remember that the relation between the form (anatomy/physiology) and function (behavior) is not always one to one. Individual anatomical structures can serve one or more functions and similar functions can be served by several forms.
Although evidence on the structure and function of human hands and jaws, behavior, and evolutionary history also either support an omnivorous diet or fail to support strict vegetarianism, the best evidence comes from our teeth.
The short canines in humans are a functional consequence of the enlarged cranium and associated reduction of the size of the jaws. In primates, canines function as both defense weapons and visual threat devices. Interestingly, the primates with the largest canines (gorillas and gelada baboons) both have basically vegetarian diets. In archeological sites, broken human molars are most often confused with broken premolars and molars of pigs, a classic omnivore. On the other hand, some herbivores have well-developed incisors that are often mistaken for those of human teeth when found in archeological excavations. source
Et pour finir le clou sur le cerceuil : comment expliqué que l'homme, si il est vegetarien, peut vivre sans probleme avec une alimentation seulement composé de viande? A oui j'oubliais pourquoi si l'homme est vegetarien il doit prendre des supplements. Je comprend plus rien moi. T'as entendu parler du codex alimentarus vegenar?
Rien n'a été invalidées sur le cmaq... a part peut-etre vos theories farfelues.
LABOURRE A ÉCRIT: " on bourre les animaux d'antibiotiques qu'on mange apres. Nous mangeoons des antibiotiques. Et c'est tres domageable pour le systeme immunitaire. Ca serait meme une cause probable du sida"
YOGI A RÉPONDU: "Même si le SIDA est une maladie immuno-déficitaire, elle n'a rien à voir avec les antibiotiques administrés aux animaux."
LABOURRE RÉPOND: " Le vih existe p-e mais il n'est pas responsable de la déficience immunitaire."
FAIS-TOI DONC UNE IDÉE LABOURRE ! NE VOIS-TU DONC PAS L'INCOHÉRENCE DE TES PROPOS ????????????????????????????
Voici un article, qui, si tu prends la peine de le lire, t'apprendra bien des choses sur l'origine du SIDA. En voici un extrait:
Il est aujourd'hui admis que l'ancêtre du VIH-1, responsable de la pandémie du sida, est le SIVcpz, virus de l'immunodéficience simienne transmis à l'homme par le chimpanzé. L'origine de ce virus simien restait jusqu'à présent inconnue. Une étude1 menée par l'Université de Nottingham (Grande Bretagne), l'Université d'Alabama, le centre de primatologie de Tulane (Etats-Unis) et l'unité de recherche 036 (Prise en charge du virus du sida en Afrique) de l'IRD à Montpellier vient de montrer que le SIVcpz provient d'une recombinaison entre deux virus de l'immunodéficience simienne (SIV), dont sont respectivement porteurs le singe hocheur et le cercocèbe à collier blanc. Cette découverte que vient de publier Science conduit à d'importantes considérations sur le plan épidémiologique.
La question de l'origine du VIH-1, responsable de la pandémie du sida, agite la communauté scientifique depuis de nombreuses années. Il est maintenant admis que la présence du virus (VIH-1) dans la population humaine résulte d'une transmission inter-espèces du SIVcpz, du chimpanzé à l'homme, vraisemblablement par la chasse et la consommation de viande de brousse infectée. Cependant, la présence et l'origine de ce virus chez le chimpanzé suscitent encore de nombreuses questions. Le chimpanzé est en effet le seul primate de la famille des grands singes à être naturellement infecté et la prévalence de l'infection à SIV chez celui-ci est faible comparée à celle des petits singes. Une étude menée par l'Université de Nottingham, l'Université d'Alabama, le centre de primatologie de Tulane (Etats-Unis) et l'unité de recherche 036 (Prise en charge du virus du sida en Afrique) de l'IRD vient d'éclaircir l'origine du virus de l'immunodéficience simienne chez le chimpanzé................
Deuxièmement Labourre, contrairement à ce que tu écrits, soit:" Pourtant si épidémie il y avait pourquoi le nombre de nouveau cas de sida diminue? Aurait t'on trouver une cure? Quelle joke".
Le nombre de cas ne diminue pas, bien au contraire. Selon l'OMS, 8 500 personnes meurent chaque jour d'un SIDA et elle prévoit que 100 millions de personnes vivront avec le VIH en 2010. Il s'agit bel et bien d'une épidémie mondiale qui ne cesse de progresser et qui menace même de devenir totalement incontrôlable.
Et selon les chiffres des Nations-Unis, le SIDA a fait plus de trois millions de morts en 2002.
L'Afrique subsaharienne reste la plus touchée, avec des taux de séroprévalence vertigineux, notamment en Afrique australe. Mais l'Asie semble devoir connaître elle aussi une épidémie très forte. Déjà le Cambodge et puis également la Chine montrent des signes très alarmants, alors que l'Inde sera le pays où l'on trouvera le plus grand nombre de personnes séropositives dans très peu de temps. Plus aucun pays ne semble devoir être épargné, et aux portes de l'Union Européenne, certains pays vont affronter une épidémie importante, comme la Russie, l'Estonie ou encore l'Ukraine.
Ces faits étant maintenant établis, je ne vois pas autre chose à rajouter sur le sujet.
Maintenant, concernant la consommation de viande par l'homme. Visiblement tu n'as pas lu la discussion précédente: La violence, les animaux, le végétarisme, ni les réponses très logiques et très pertinentes de Veganar et de Yannik, car tu ne reviendrais pas poser les mêmes questions qui ont déjà été toutes abordées et discutées précédemment. Veganar vient à nouveau de te répondre concernant entre autres les prétendus suppléments que les végétariens doivent prendre. Prends au moins la peine de lire les réponses avant de revenir à la charge avec tes commentaires et questions absurdes. Si l'homme était réellement un carnivore, il tuerait lui-même ses proies, il déchiquetterait lui-même son cadavre avec ses dents et le boufferait cru. Il ne le ferait pas cuire pour l'attendrir et changer son goût.
Pour répondre à Frédéric Pageau, qui s'exprime bizarrement de la même façon que Labourre, Alain T., Dominic et compagnie,
je répète encore une fois, que les animaux carnivores et certains indigènes tuent par nécessité. Ils n'ont pas d'autres choix pour survivre. Il me semble que ce n'est pas si compliqué que cela à comprendre ! Tu dis que tu aimes les animaux ????? Peut-être, mais tu les aiment surtout dans ton assiette.
En étant végéta*iens, nous luttons justement contre la production industrielle des animaux. C'est la demande en "viande" qui fait que les élevages industriels existent. C'est pas dur à comprendre ça non plus il me semble !
Premierement g rien a voir avec alain ou frederic regarde le style d'ecriture le miens est un peu enfantin et j'utilise presque jamais d'accent. tk me fou de quoi tu peux penser pour le sida ben check pour ta desinfo....
Quels sont donc ces trucs d'illusionniste auxquels je fais illusion ?
Le premier utilise la technique du cumul des données, inusité pour les autres maladies, qui n'a d'autre intérêt logique que de grossir la réalité des chiffres et de donner l'impression de leur progression. Ainsi, plutôt que d'établir le nombre de nouveau cas apparu telle année, on préfère vous nourrir du nombre cumulé de cas rapportés depuis le début du phénomène. Cela a plus d'impact, et avec un peu de chance, le chiffre pourrait même être pris pour une donnée annuelle.
Une seconde technique, généreusement utilisée par de nombreux rapports sur le SIDA, est de changer la base de référence des chiffres, spécialement lorsque ceux-ci contredisent les attentes. Cela a été fait de différentes façons, la plus courante étant celle consistant en l'élargissement des symptômes donnant lieu au diagnostic de SIDA. Par exemple, de nouvelles maladies ont été intégrées à la définition du syndrome d'immunodéficience. Plus de 29 différentes maladies, toutes connues préalablement à l'apparition du SIDA, sont ainsi considérées comme manifestation du syndrome lorsqu'elles s'accompagnent d'un test séropositif (test en fait non spécifique, qui réagit à plus de 60 divers facteurs qui n'ont rien à voir avec le SIDA ou le VIH).
Il est alors aisé de comprendre que plus nombreuses sont les maladies répertoriées comme symptomatiques du SIDA, plus les statistiques comptabilisant le nombre de personnes infectées sont importantes. C'est un des moyens permettant de désigner le SIDA comme un fléau en progrès alors que les faits démontrent le contraire. En effet, après un pic en 1992, le nombre de nouveaux cas déclarés aux USA décroît régulièrement. Ce n'est pas l'impression laissée par les messages véhiculés par les médias et les autorités sanitaires.
Il est également important de prendre conscience du fait qu'en Afrique, aucun test n'est requis pour le diagnostic de SIDA. Toute maladie déclarée pendant plus d'un mois et manifestant certains symptômes est automatiquement répertoriée comme tel. Ces maladies ont . toujours existé ; elles étaient courantes bien avant l'apparition du SIDA. C'est l'une des raisons de I'inflation des chiffres concernant l'Afrique. Mais même en adoptant cet élargissement des critères de la maladie, les chiffres restent inférieurs aux évaluations données par les journaux. La raison en est que les estimations dont ces 1) derniers font état sont créées de toutes pièces et généreusement épicées par des projections dans le futur infondées et imaginaires. Évidemment, il est préférable d'utiliser les "estimations" plutôt que les décomptes réels, car elles peuvent être gonflées à volonté. Par ailleurs, lorsque l'on désire dénombrer le nombre de personnes infectées par le VIH, I'estimation est le seul outil disponible car aucun chiffrage précis n'est possible. Seul un très faible pourcentage des cas est soumis à un test d'anticorps, abusivement désigné comme "test VIH", laissant toute latitude à l'estimation des quantités. Si seul le nombre de cas avérés et correctement diagnostiqués était rapporté, le fait ne causerait certainement pas le même émoi, et encore moins de panique, dans l'opinion publique.
Un rapport américain récent affirmait qu'au moins le quart des personnes séropositives n'en avait même pas connaissance. Comment, dans ces conditions, un journaliste peut-il donner de chiffres ? Les statistiques du SIDA sont pleines d'absurdités de ce genre, mais personne ne semble s'en émouvoir, ni même le remarquer.
'une des rares sources de statistiques africaines du SIDA est constituée les résultats de tests anticorps (dit VIH) effectués sur les femmes enceintes dans quelques maternités publiques. Ces chiffres montrent une forte proportion de mères séropositives. Pourquoi ?
Parce qu'il existe plus de soixante conditions médicales différentes pouvant occasionner la positivité du test, dont la grossesse elle-même ! Elles incluent les vaccinations ou de récentes infections provoquées par les hépatites, la malaria, la tuberculose ou la grippe.
Considérant que ce test est pratiqué sur des femmes enceintes et que la gestation est l'une des causes connues d'erreur du test, que la plupart des femmes accédant a ces maternités souffrent de malnutrition, de pauvreté et ont probablement été exposées à plusieurs des autres conditions d'invalidité du résultat, il est aisé de prédire qu'une forte proportion d'entre elles sera dépistée séropositives. Cependant, cela ne signifie aucunement qu'elles le sont, et encore moins qu'elles développeront le SIDA.
Pourtant, ces résultats inévitablement imprécis et non significatifs sont pris en compte et appliqués au continent entier, aux hommes comme aux femmes, aux jeunes comme aux vieux, aux rlches comme aux pauvres, sans distinction, les incluant à la démonstration de l'incidence du SIDA. Ces personnes n'en sont pourtant aucunement représentatives, et quiconque est en possession des rudiments de connaissance au sujet des tests et des statistiques ne peut qu'en être conscient. C'est bien pourtant ainsi que les statistiques sur le SIDA en Afrique sont élaborées puis publiées.
Incidemment, en dehors de l'invalidation des résultats du test par plus de soixante causes, il a été prouvé que ceux-ci varient d'un jour à l'autre pour une même personne, même réalisés par le même laboratoire, encore plus si les laboratoires sont différents, et toujours plus si ces derniers sont dans des pays différents. La raison en est qu'il n'existe pas de "règle d'or" en la matière, et que la décision de retenir tel ou tel taux sur l’échelle de séropositivité est laissée au libre-arbitre de chacun. On utilise ce type de test pour convaincre les gens qu'ils vont mourir du SIDA, afin qu'ils achètent des médicaments hors de prix qui les rendront désespérément malades, et les tueront même plutôt que les guérir.
Voilà le passif, et les bonnes raisons qui expliquent la réticence du Président d'Afrique du Sud Mbeki à offrir ces médicaments non seulement inefficaces mais mortels aux femmes enceintes, aux nouveau-nés et finalement à n'importe lequel de ses concitoyens.
Une étude a déterminé qu'un groupe de jeunes hommes ayant effectué le test avait connu une mortalité plus importante qu'un autre groupe de sujets non testés, et quiconque en prenait connaissance supposait automatiquement que ces séropositifs étaient bien morts du SIDA. Cependant l'étude ne montrait pas la cause réelle de ces morts dans le groupe testé séropositif. Dans la partie de l'étude qui s'en préoccupait, on établissait une corrélation entre les personnes testées positivement et le taux de mortalité légèrement supérieur, mais aucune corrélation n'est faite avec le SIDA. La plupart de ces morts n'étaient pas en fait causées par le SIDA. Ceci constitue un cas typique de miroir aux alouettes !
En outre, en Afrique, les rapports épidémiologiques sont basés sur un éventail de critères très différents selon la région ou l'agence de recensement. Le fait que les cas de SIDA semblent mieux soutenus financièrement que les maladies traditionnelles, pousse les auteurs de rapports à assimiler toute maladie comme SIDA lorsqu'il s'agit de simples cas de tuberculose, de malaria ou d'autres maladies endémiques du continent africain.
De façon intéressante, la tuberculose et la malaria, toutes deux très courantes en Afrique, ont été inscrites sur la liste entrant à part entière dans la définition du SIDA, mais chacune d'entre elles peut rendre déficient le test VIH. Malin, non ? Vous apercevez l'écran de fumée ?
Selon les estimations officielles de l'UNAIDS pour 2000, 36,1 millions de personnes dans le monde vivent infectées par le VIH/SIDA. Parmi ceux-là, 25,3 millions vivraient en Afrique subsaharienne. Mon interrogation à ce sujet est: comment peuvent-ils le savoir ?
Dans le tiers-monde, un cas de SIDA peut être diagnostiqué sans l'usage du test dit VIH, sans qu'il s'agisse d'une véritable infection par le VIH. C'est un fait avéré que très peu sont testés et ceux qui ont obtenu un résultat positif représentent un part infinitésimale des 36,1 millions que l'UNAIDS déclare vivre avec le SIDA. Alors comment trouvent-ils donc les autres ?
Généralement, aucune distinction n'est faite entre les séropositifs porteurs sains et les sidas déclarés. Comme s'il s'agissait de la même chose ! Un autre écran de fumée. Ailleurs, la même source estimait le nombre de nouvelles infections à 5,3 millions en 2000, alors qu'elle donnait pour le nombre cumulé de morts du SIDA le chiffre de 21,8 millions.
Sachant qu'extrêmement peu de tests sont réalisés en Afrique à cause de son coût élevé, on ne peut s'empêcher de se demander sur quelle base sont faites ces estimations. C'est encore plus vrai considérant que le nombre officiel de morts du SIDA ne correspond qu'à une petite partie des chiffres délivrés par l'UNAIDS depuis le début de "I'épidémie", il y a 20 ans. Ceci en dépit de toutes les bonnes raisons avancées pour qualifier d'alarmante la progression de la maladie en Afrique.
Un des arguments avancé par les statisticiens inflationnistes pour expliquer ce décalage est que la plupart des décès dus au SIDA sont attribués à d'autres maladies, soit parce que les proches ne souhaitent pas admettre qu'un membre de la famille ait été victime d'une maladie aussi honteuse, soit parce qu'ils ne savent pas qu'il s'agit du SIDA ! Mais par contre, ceux qui réalisent des estimations le savent, même sans l'aide du test. On se demande bien comment. Sans doute par clairvoyance ?
ANATOMIE D’UN PANDÉMIE
Que faire de plus pour conjurer l'insidieuse impression que le SIDA représente une pandémie à progression accélérée menaçant de balayer l'ensemble de la population mondiale à moins de l'anticiper et de la juguler en poussant les gens à se jeter sur une chimiothérapie chère et mortelle abusivement qualifiée "d'antivirale"?
Un autre truc employé est de sélectionner une tranche d'âge connaissant le taux de mortalité le plus bas, disons les jeunes entre 20 et 30 ans, et de montrer que le SIDA (ou plutôt les "antiviraux" prescrits) s'y avère être la cause première de décès. Prenez soin alors de ne pas révéler le taux réel, car s'il est trop faible, il émousserait l'effet recherché. Ainsi, dans la mesure où peu de membres de cette génération meurent de causes naturelles, il est aisé de voir dans le SIDA la principale cause de mortalité, ou au moins une cause majeure au côté des suicides et des accidents.
Publier ce type de résultats avec suffisamment de publicité entraîne facilement l'opinion publique à conclure que le SIDA est une cause majeure de décès, ou du moins qu'une très forte proportion de membres de cette tranche d'âge est victime du SIDA... alors que le taux réel, même parmi ces jeunes, pourrait ne pas excéder 1 %. Vous le voyez ? et hop ! "Disparu". C'est un moyen utilisé par les illusionnistes pour une prestidigitation statistique qui leur évite de réellement mentir.
Au final, jouons la carte du nombre réel des orphelins du SIDA comparé aux estimations. Celles-ci omettent de préciser la définition d'un orphelin: enfant dont l'un ou les deux parents sont décédés. Il n'existe pas non plus de documentation fiable permettant de dénombrer le nombre de parents manquants effectivement morts du SIDA ou même simplement morts par quelque cause que ce soit. La cause d'absence des parents de loin la plus répandue en Afrique en est les conflits armés qui ravagent le continent depuis plusieurs décennies.
Un exemple récent pro venant d'Inde illustre bien ce qui se passe. Les statistiques officielles présentées aux Nations Unies affirment l'existence de 560 000 orphelins du SIDA dans le pays, pour seulement 17 000 morts ! Lors d'une conférence de presse, un journaliste demanda à David Miller, représentant de l'UNAIDS en Inde, d'où il sortait ces données concernant les orphelins. Il n'avait aucune réponse. Le ministre indien de la santé en référa à la personne chargée de gérer la collecte des chiffres du SIDA pour le gouvernement. Cette dernière lui rétorqua qu'il n'existait aucune estimation du nombre d'orphelins du SIDA en Inde. Quand le Docteur Miller fut interrogé à ce sujet, il répondit: "Je ne peux révéler la source de l'information. Je dois en discuter avec mes collègues de Genève." Un autre fait n'a cessé de me fasciner: comment une institution publique, supposée professionnelle et responsable, comme celle de I'Organisation Mondiale de la Santé, peut-elle connaître l'incidence du virus VIH (souvent assimilée au SIDA) sur les adolescentes africaines, affirmant que leur taux de contamination augmente de 26 % d'une année sur I'autre ? Quelle est la source d'information lui permettant une telle assertion ? Quelques jeunes filles testées dans une école l'an dernier, et quelques autres cette année, peut-être juste après a voir été vaccinées, ou après le pic annuel de grippe ? Ou bien l'étude était-elle limitée aux adolescentes enceintes ? Combien d'entre elles ce test a-t-il concerné ? Comment y a-t-on procédé ? Pourrions-nous voir le détail de l'étude, s'il vous plaît ? La plupart des personnes ne réalisent pas que souvent, lorsqu'un pourcentage est donné pour un pays ou un groupe social, seul un petit nombre d'entre ses membres ont été effectivement examinées. Le résultat obtenu dans ce petit échantillon est alors étendu à l'ensemble du groupe visé, malgré le risque important de sa non-représentativité. Un statisticien aguerri qui souhaite falsifier la réalité choisira en conséquence I'échantillon occasionnant le résultat escompté, sans avoir besoin de truquer les chiffres eux-mêmes
source
P.S. Tu m'as toujours pas trouvé une photo du vih si mortel!!!!
Réponse à Labourre qui écrit: " Personne a expliqué comment un vegetarien(l'homme) peut bien vivre en mangeant que de la viande.... L'homme peut tres bien vivre en mangeant que de la viande. Bizarre non pour un vegetarien? "
Quelle question idiote ! Un végétarien ne consomme pas de chair animale. L'homme non-végétarien pourrait très bien vivre en ne consommant uniquement que des lentilles.
Concernant ton long article " copié-collé " sur le SIDA.... Quelle tartine pour en arriver à la même conclusion que la mienne:
Le SIDA est une épidémie mondiale et il est en hausse.
Quant au Comité Codex Alimentarus, pourquoi sautes-tu toujours d'un sujet à un autre sans tenter d'approfondir tes connaissances dans le sujet principal ?
Tout comme pour la vivisection, les organismes génétiquement modifiés pourront peut-être faire l'objet de futures discussions.
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Réponse à Pageau: Si Jacques Languirand mange du cadavre à l'occasion il n'est pas un végétarien convaincu.
Tu écrits: " Ne croyez-vous pas que de vouloir imposer votre choix à tous, celà se raproche du totalitarisme??? N'est-ce pas contre les libertés les plus fondamentales?? "
Ne te rends-tu donc pas compte que ce sont les viandards et toutes les machines misent en branle pour satisfaire leur soif de sang, qui imposent leur choix à tous ? Réfléchis un peu avec ta tête, pas avec tes pieds !
En ce qui concerne ta question sur tes ancêtres coureurs de bois, il est désolant de constater que comme tant d'autres, tu n'as pas évolué avec ton temps. Parce que l'esclavage a déjà existé, devrait-il encore exister aujourd'hui ?
t'As pas lu le copier coller c'Est certain. LEs conclusions sont loin des tiennes il disent que tout est exagerer et fonder sur rien. Qu'un test qui ne depiste meme pas le vih et quand afrique et en inde on n'as pris qu'un petit échantillion car les test de depistage sont dispendieux. Aussi ca dis que la hausse est gonflée par des chiffres trafiqués. Je me demande si tu sais lire?
Un exemple que ce que tu racontes n'est que foutaise :
Un exemple récent provenant d'Inde illustre bien ce qui se passe. Les statistiques officielles présentées aux Nations Unies affirment l'existence de 560 000 orphelins du SIDA dans le pays, pour seulement 17 000 morts ! Lors d'une conférence de presse, un journaliste demanda à David Miller, représentant de l'UNAIDS en Inde, d'où il sortait ces données concernant les orphelins. Il n'avait aucune réponse.
Aucune reponse!!!!!????? Pris la main dans le sac? C'est de la grosse arnaque tellement visible que le monde la voit pas.
Je parlais pas de vegetarien comme toi. Je parlais de l'homme en general. Tu dis que l'homme est vegetarien, alors comment explique tu qu'une espece vegetarienne puisse bien vivre en mangeant que de la viande?
Encore tu fais semblant de repondre et tu traites les autres avec mepris : Viandard, Si Jacques Languirand mange du "cadavre".
Je ne saute pas d'un sujet car c'est interelié. Désolé si tu n'es pas capable de traiter de l'information globalement.
L'industrie du naturel, dont tu semble etre le porte-parole, modifie des plantes pour pour leur enlever quelques propriété question d'en vendre plus pour que le consommateur ai une alimentation équilibré. Sinon et bien il va etre obligé de prendre des supplements(L'industrie pharmaceutique qui va etre heureuse). De plus l'industrie bio vend ses produits tres cher alors qu'il coute peu a produire. L'élevage lui est beaucoup plus dispendieux. Donc on pourrait dire que toute tes interventions (insensée,qui font semblant de repondre) n'ont qu'un but : se faire de nouveaux clients!!!!
Pauvre Labourre, même si les mots "cadavre" et "charogne" te répugnent et te sont si difficiles à accepter, ils sont pourtant très appropriés pour décrire les morceaux de mort que tu avales ! Crois-tu réellement que tu bouffes de la viande fraîche ? Le cadavre est entreposé pendant plusieurs jours afin qu'il perde sa rigidité et on lui injecte des produits chimiques pour ralentir sa putréfaction et lui donner une couleur rouge. Si aucun additif n'était ajouté, les morceaux de cadavres que tu retrouves sur les tablettes de ta boucherie, seraient de couleur gris-brun, couleur naturelle d'un cadavre en décomposition.
De plus, je suis bien au courant de toutes les manipulations génétiques en cours et j'y suis totalement opposé.
Toutefois, comme je ne consomme pas de "cadavre animal", je ne contribue pas à la souffrance imposée à ces animaux. Quant aux plantes et aux légumes génétiquement modifiés, j'y suis également opposé, mais comme les plantes et les légumes n'ont pas de système nerveux et que je n'ai jamais entendu crier mes légumes lorsque je les déterre de mon jardin, je ne ressens pas de sentiment de culpabilité à leur égard.
La discussion sur le SIDA s'éternise et devient très ennuyeuse. Toutes les statistiques scientifiques sérieuses, démontrent clairement que le SIDA est une épidémie mondiale et qu'elle est en hausse. Si tu veux rester cramponné sur tes idées, libre à toi, mais en ce qui me concerne, je n'ai plus rien à rajouter sur ce sujet.
Pour finir et répondre à cette question qui semble te hanter, soit: " Je parlais pas de vegetarien comme toi. Je parlais de l'homme en general. Tu dis que l'homme est vegetarien, alors comment explique tu qu'une espece vegetarienne puisse bien vivre en mangeant que de la viande?" .......... je répondrai seulement, qu'on est végétarien ou on ne l'est pas. Il n'y a pas de demi mesure. Soit on bouffe du cadavre, soit on n'en bouffe pas. Un végétarien ne mange rien qui a des yeux pour voir.
Et puis comme je te l'écrivais plus tôt, un non végétarien peut également vivre en ne mangeant que des lentilles.
Bonne réflexion !
Ciao !
tu repond a rien encore. Tes statistiques sont totalement fausse reste dans ton ti monde. La viande je suis au courant qu'on y ajoute de quoi, comme on ajoute de la cire toxique sur les fruits, comme on utulise des pesticides. Mais de la a dire que ca serait brun et immangeable c'Est deux. La preuve que tu n'as jamais chassé(moi non plus d'ailleurs mais je connais des chasseurs) et que tu n'As jamais mangé de viande sauvage qui n'a pas subie le traitement dont tu parles(d'ailleurs elle a bien meilleur gout que la viande d'élevage). T'as beau etre contre les ogm tu en mange a tout les jours(les graines que tu plantes sont p-e des ogm).Meme la mention BIO n'est pas vraiment fiable parce que vérifie guere la facon dont c'Est pousser et la provenance des semences. Moi je suis conscient du monde dans lequel on vit il me semble que pour toi ca soit moin simple un peu.
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Sujet:
À l'empêcheur de tourner en rond, qui tourne en rond
La viande "sauvage" dont tu parles n'est pas plus sécuritaire que la viande d'"élevage". L'an dernier, deux chasseurs de la Saskatchewan sont morts d'avoir consommé le produit de leur chasse: viande de chevreuils sauvages qui étaient atteints d'encéphalopathie spongiforme. De plus en plus d'animaux sauvages sont atteints de maladies infectieuses qui peuvent passer de l'animal à l'homme. Est-ce pour essayer de te donner bonne conscience que tu reviens constamment me parler des produits OGM ou BIO ? Que la carotte soit OGM ou BIO, elle ne souffre pas car elle n'a ni système nerveux, ni cerveau. Il me semble que c'est assez clair !
De plus, que l'ancêtre de l'homme ait été végétarien ou non ne change rien, puisque d'une façon ou d'une autre l'évolution se poursuit. Nous ne sommes plus à l'âge de pierre ! Quand on sait que la production de " viande " est source de souffrances, qu'elle pollue l'environnement, qu'elle affame des pays du tiers du monde, on se doit de se remettre en question. Cela fait partie de l'évolution. Toi, visiblement, tu restes accroché à de vieilles traditions, tu ne veux pas évoluer. Tu veux continuer de bouffer, sans culpabilité aucune, ton petit ragoût de pattes de cochon, tes fèves au lard, ton bacon, ton gros "steak". Tu traîtes les animaux avec mépris et tu nies catégoriquement qu'ils peuvent souffrir. Même si les animaux ne peuvent pas parler, cela ne veut pas dire qu'ils n'ont aucune intelligence et qu'on doive les traîter comme des êtres inférieurs. Il y a d'ailleurs bien des handicapés mentaux qui sont moins intelligents que certains animaux. Aucun animal n'est égal à un homme, et aucun homme n'est égal à un autre homme. Nous sommes tous différents... Toi, tu fais partie de tous ces spécistes qui se croient supérieurs à toutes les autres espèces, quant en réalité, tu n'es qu'un animal comme les autres.
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Sujet:
Yogi encore le tu fait erreur les plantes ont un systeme nerveux
Bien que rudimentaire et sans nerf ils ressentent. C'est toi qui guarde tes fausses idée désolé. Ton évolution peut etre uine regression. Dans ton cas c'est plus psychologique l'évolution que tu parles c'est fait da la pensée de certain. L'homme est encore Omnivore. Pas vegetarien comme tu tente de le faire croire. Je ne méprise pas les animaux et non plus les plantes. Les plantes ressente pas?
Les plantes ont une sorte de système nerveux primitif qui leur permet de réagir au toucher. Les plantes fréquemment manipulées ou exposées au vent adaptent leur croissance en conséquence.
La plante se met à briller environ 20 minutes après avoir été touchée. D'abord à l'endroit exact du contact, puis ensuite sur toute sa surface. Il semble que des signaux chimiques – une forme de système nerveux primitif – communique graduellement l'information à toute la plante. L'effet cesse après une heure environ. Ces gènes du toucher semblent avoir un effet sur le développement des plantes. Celles qui sont manipulées régulièrement sont plus basses et plus robustes que les autres. Source
Je ne sais pas trop mais il semble que c'Est toi qui est pris d'un complexe de superiorité(envers les ominivore et les plantes). De plus les plantes sont sensible a la musique. Qu'il y ait des handicapé mental moins inteligent que certain animaux prouvent quoi? Un animal comme les autres avec un cerveau surdeveloppé.l'homme est un animal omnivore qui suit le regime que la nature lui a donné. C'Est pas parce qu'une plante cri pas qu'elle ne souffre pas. Pour moi c'Est ta pensée qui est primitive.
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Sujet:
Que fais-tu pour éviter la soit disant souffrance des plantes ?
Il ne peut pas y avoir de conscience sans cerveau. Un caillou ne souffre pas, un morceau de métal ne souffre pas, un robot ne souffre pas car ils ne possèdent pas de cerveau. Tout ce qui vit veut vivre, mais le problème n'est pas uniquement le fait d'être vivant ou non, le problème est le fait de pouvoir ressentir quelque chose. Les plantes réagissent à leur environnement et elles s'opposent à l'agression en émettant des hormones gazeuses pour se protéger, c'est tout. Mais, si tu veux supposer que les plantes sont conscientes et qu'il est cruel de les tuer, pourquoi voudrais-tu continuer de bouffer de la "viande" ? Ne sais-tu pas tout ce que la production de viande détruit comme végétaux ? Et puis, comme tu sembles tant t'intéresser à la présumée souffrance des plantes, pourquoi ne m'expliques-tu pas ce que tu fais pour améliorer leur triste sort alors que tu n'es même pas capable de faire l'effort d'éviter les souffrances animales qui sont pourtant si flagrantes ? Ta mauvaise foi ne cherche simplement qu'à te justifier.
Je dis que la vie la mort ca fait partie de la vie. La souffrance aussi. On doit faire tout pour la limiter. Mais de la a l'eviter completement c'est deux. C'est impossible. C'Est bien mieux de laisser les animaux libre question que ca devienne comme en Inde. Les vahce sacrée mange tout les vegetaux et produisent des tonnes de methane. C'est mieux ca? LE juste millieu c'Est ca que je prone. Pauvre yogi tu es juste un extremiste comme tout les autres. Qui prechent avec des pseudo bon sentiment. Comparer une plante a une roche c'Est pas un peu bas? C'est pas parce que la plante crie pas qu'elle souffre pas. Tu savais qu'elles etaient aussi sensible a la musique? Moi je fais l'effort de limiter les souffrances oui. J'en mange pas beaucoup. Et je suis contre l'abattage industrielle quand je peux j'achete ma ciande chez les petits eleveurs.
En ce qui concerne la vache sacrée en Inde, tu en a beaucoup à apprendre Labourre:
" Les vaches indiennes sont très résistantes et elles se contentent de peu de nourriture. Elles mangent peu de végétaux réservés à l'homme, elles mangent surtout des déchets impropres à la consommation humaine. Il n'y a donc pas de concurrence entre vaches et hommes.
En occident les trois-quarts des terres cultivables sont utilisées pour la seule production de nourriture pour bétail. Si l'Inde appliquait la même politique, la part des terres cultivables réservées à la nourriture humaine se réduirait de telle sorte que le pays ne pourrait plus s'alimenter comme il le fait actuellement.
L'Inde est encore un pays en voie de développement en ce qui concerne l'agriculture. Elle n'a pas les moyens de développer une agriculture mécanisée qui serait d'ailleurs incompatible avec l'agriculture de type familial qui fait vivre quantité de personnes. L'utilisation d'engrais chimiques est donc très peu répandue. Les paysans utilisent donc des engrais naturels dont la bouse de vache fournie gratuitement et facilement utilisable. De plus, une fois séchée, la bouse sert de combustible pour le foyer familial. Sur les 700 millions de tonnes de fumier produites annuellement, la moitié est utilisée comme engrais, l'autre moitié comme combustible.
Diluée dans une grande quantité d'eau, la bouse est également étalée sur les sols. En séchant, cette pâte forme un revêtement qui protège de la poussière et de la chaleur. Le ramassage de la bouse est confiée aux basses castes et fait vivre bon nombre de personnes.
Les vaches, même mortes, servent encore puisque certaines castes utilisent leur peau pour en faire des objets en cuir. Quand elles meurent de cause naturelle, les vaches sont mangées par certains membres des basses castes. La tradition du culte de la vache assure donc que la viande arrivera dans l'assiette des plus pauvres et des plus affamés. Ce culte protège également les paysans de la tentation de tuer ou vendre leur bétail pendant les périodes de disette, car ce sacrifice leur permettrait certes de se sortir d'une mauvaise passe mais il ne leur permettrait plus de cultiver la terre ensuite.
À la lecture des études de Harris, certains économistes ont préconisé la réduction du nombre de vaches afin d'améliorer la productivité de lait et de bouse des meilleurs éléments. Le nombre diminuerait mais sans faire chuter la production. Mais pour garder les meilleurs éléments du bétail, il faut sacrifier les autres or les moins bonnes vaches appartiennent aux plus pauvres. Ceux-ci seraient alors obligé d'aller dans les grandes villes déjà surpeuplées pour chercher du travail.
Harris a donc démontré que l'amour de la vache n'est pas seulement spirituel mais qu'il s'inscrit dans une démarche matérielle logique. L'Inde utilise bien plus efficacement ses bovins que les pays industrialisés qui gaspillent une quantité d'énergie considérable. La valeur calorique de ce que consomme une vache occidentale est bien supérieure à la valeur calorique de sa viande.
L'Inde consommera peut-être un jour de la viande de vache mais actuellement, en dehors de toute considération religieuse, cette consommation serait sans effet bénéfique sur l'économie indienne. Le culte de la vache reflète donc sa réelle importance en tant que ressource. "
Que l'élevage des animaux soit bio ou non, il implique des tortures aux animaux: castration sans anesthésie, saignée, abattage, etc. etc. etc.
" Les principes de la production biologique ne soustraient toutefois pas les porcelets de la castration à froid, celle-là même qui, filmée pour un récent documentaire sur l'industrie porcine au Québec, Bacon, le film, avait suscité la colère des fervents défenseurs des droits des animaux mais aussi des simples amateurs de porc sur le gril. "
Source: http://www.ledevoir.com/2002/07/20/5700.html
Les agneaux vivants à qui l'on tranche la gorge lors de l'Aïd El Kabir, dans certains pays musulmans, au Québec, dans le reste du Canada ou ailleurs, sont également des animaux élevés "bio". Et, que l'élevage soit bio ou industriel, pour produire 1 kilo de viande de boeuf, il faut fournir à l'animal 15 kilos de protéines végétales. Pour une même surface de terre cultivable on obtient 16 kilos de soja ou de céréales ou 1 kilo de viande de boeuf. La viande est donc la plus grande source de gaspillage de protéines du monde.
premierement si on fait comme vous dites arretons de tuer les vaches les cochons les agneaux etc. C'Est animaux n'ont plus de predateur naturel ou presque alors il se paserait ce qu'il se passe en inde depuis tres longtemps. Les gens sont mal nourri et ils ne tuent pas les vaches. Pourtant il y des milliers voir des millions de vaches. Elle bouffe plus vegetaux que toi et pollue plus avec ses bouses remplies de methane(Ca pollue autant que les autom la bas sinon plus) Si on fesait une chose semblable ici il faudrait soi caster les betes(Un peu cher) ou toutes les tuée(Un peu drastique et violent) Donc comme toujours je prone un elevage bio
Sais-tu lire Labourre ? En occident les trois-quarts des terres cultivables sont utilisées pour la seule production de nourriture pour bétail. Si l'Inde appliquait la même politique, la part des terres cultivables réservées à la nourriture humaine se réduirait de telle sorte que le pays ne pourrait plus s'alimenter comme il le fait actuellement.
Autre chose à signaler: La majorité des Hindous sont végétariens.
Si on ne tuait plus les animaux de boucherie pour les bouffer, ils s'éteindraient d'eux-mêmes, car ce sont les producteurs qui les font se reproduire à outrance par insémination artificielle et manipulations génétiques. De plus, la castration est une pratique courante dans l'élevage. Tous les animaux mâles sont castrés "À FROID", exception faite de ceux que l'on garde pour leur sperme ou comme reproducteurs.
Tu veux à tout prix avoir le dernier mot Labourre, mais malheureusement pour toi, aucun de tes arguments ne se tient.
c'Est ca, c'est contre ca que je suis. Tu t'en rend pas compte? laisse les libres et ils vont survivre, ils les insimine pour avoir le controle? sur quelle planete tu vis? Tout est calculé rien est naturelle dans une ferme industrielle, reveil osti. Tu vas tout les castrée pour éliminer les vaches? Au lieu d'en tuer une couple une fois de temps en temps tuons les toutes ca sers a rien des vaches ont est des hommes nous on décide tous on est "SUPERIEUR". C'est ca ton discours
Les Indoux meme si ils sont vegetariens sont fort cruels avec leurs animaux ils chassent et tuent les tigres qui ont mangé leur vache et torture pendant plus d'un an les élephantaux question de les "cassé" pour pouvoir les asservirs et les faire travailler pour eux.
Je me permets de retranscrire ici un commentaire que j'avais affiché sur la page de cet article: La lutte antispéciste
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Nous ne cherchons nullement à induire une discrimination des plantes au profit des animaux, pas plus que nous ne souhaitons la discrimination des animaux non-humains par rapport aux humains. L'antispécisme s'applique à toute forme de vie.
La question est la suivante: comment faire le minimum de tort possible aux êtres vivants?
Je veux bien admettre qu'il soit possible que les plantes ressentent des émotions (bien que je doute que leur conscience soit équivalente à celle des animaux). Néanmoins, le végétalisme constitue incontestablement une violence immensément moindre que la pratique de l'omnivorisme.
1- L'élevage d'un animal nécessite qu'on le nourrisse (sans blague!). Manger des animaux implique donc non seulement la souffrance et la mise à mort de cesdits animaux, mais en plus celles d'un très grand nombre de végétaux. En fait, c'est comme si vous en mangiez 10 fois plus que si vous étiez végétalien. (16 fois plus pour le boeuf!). Le même principe s'applique pour le lait et les oeufs.
2- Il y a sur terre suffisamment de nourriture pour nourrir 12 milliards de personnes, soit presque le double de la population mondiale actuelle. Les imposteurs qui dirigent la planète ne veulent pas que cette richesse soit répartie équitablement. 826 millions d'individus sont sous-alimentés et plus de 100 000 d'entre eux meurent de faim chaque jour. Comment parvient-on à gaspiller la moitié des ressources alimentaires mondiales? C'est simple, on vole les terres et la nourriture des pauvres pour engraisser les animaux d'élevage dont la chair est réservée aux Occidentaux. Ce faisant, on ne récupère que 10 % des protéines, 4 % des calories et 0 % des fibres qui se trouvaient dans l'aliment végétal initial, tout le reste étant transformé en excrément! Il faut par exemple 20 fois plus de superficie de terre agricole pour nourrir un citoyen états-unien moyen que pour subvenir au besoin alimentaire d'un seul végétalien. Le viandisme est une doctrine propagée par les maîtres du monde et qui leur permet l'imposition d'une terrible pauvreté, la pire qui soit : la faim. Les immenses inégalités qui en résultent sont un renforcement de la hiérarchie au sommet de laquelle trônent ces illuminatis. Le meurtre de 37 millions de personnes par année est un sacrifice qui doit grandement les réjouir. Vous êtes complices de ce génocide, sans vous il ne pourrait pas avoir lieu. Il y a des gens qui meurent pour que vous puissiez manger votre steak!!!
3- Les dommages causés à l'environnement sont irrécupérables. Il y a 6 fois plus de déboisement causé par l'industrie de la zoophagie que par l'expansion urbaine. On rase les forêts tropicales pour approvisionner en chair animale les marchés occidentaux. La perte de biodiversité est gigantesque. L'industrie emploie une agriculture intensive, polluante et destructrice; il n'est pas possible de produire autant chair animale autrement. Au Québec, les méga-porcheries produisent 9,5 millions de mètres cubes de purin par année (si ma mémoire est bonne?). On va jusqu'à couper des forêts uniquement pour permettre l'épandage du purin. Les énormes quantités d'excréments produits, additionnés aux engrais chimiques et aux pesticides, s'infiltrent et contaminent les cours d'eau et les nappes souterraines.
4- Il est a remarquer également que l'acte de manger une pomme ne nuit pas au pommier. C'est même la fonction des fruits d'être mangés afin d'assurer la dissémination des semences par les animaux. Il me semble bien peu probable que les pommes souffrent d'être mangées. Bien sûr ce raisonnement ne s'applique qu'aux fruits et non à une carotte par exemple. Mais tout de même, en consacrant une plus grande part de son alimentation aux fruits on cause moins de tort.
5- Même si vous refusez de l'admettre, la consommation de chair animale, de lait de vache et d'oeufs est très nocive pour votre santé. Vous faîtes du tort à vous-mêmes à en manger.
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J'ai une petite question à te poser Labourre: Es-tu pour ou contre la pratique du cannibalisme chez les humains et pourquoi?
Pour des raisons ethiques et morales(ahh on va me dire alors pourquoi tu manges des animaux?) et parce que la plupart des maladies ne sont pas transmissible de l'animal a l'homme alors qu'une maladie de l'homme peut facilement se transmettre a un autre homme. C'Est aussi une des raison pourquoi je suis contre la xeno-transplantation tu connais?
Je suis, bien entendu, moi aussi contre la xéno-transplantation, bien que ce ne soit pas pour les mêmes motifs que toi.
Tu n'as répondu que très superficiellement à la question que je t'ai posée. J'aimerais que tu m'expliques le plus précisément possible, quelles sont ces raisons éthiques et morales pour lesquelles tu t'opposes aux cannibalisme chez les humains.
Merci Yogi de m'avoir donné un argument. J'avoue Vegenar ta colle etait bonne mais bon il y toujours moyen de repondre. La paranoia : si l'homme pouvait tuer l'homme pour se nourrir il y aurait automatiquement un climat de paranoia qui s'installerait. Imagine toi tu sais que ton voisin qui est sur le bs a fin du mois il a pu de bouffe. Tu vas tu te tenir de ton voisin? Encore pire les femmes qui feraient des flots pour se faire un peu de bouffe. Pis tous le reste le meurtre serrait permi si c'est pour se nourrir, INNACEPTABLE!!. La tu vas dire au pire qu'il le cache qu'il eleve des hommes comme il eleve des vaches. Encore innaceptable. Contrairement a tout ce que vous affirmez, vous vegetalien, l'homme a une conscience et l'animal non. Par contre les deux sont doué d'inteligence. Nuance?
L'homme sans aucun cours rien peut se rendre compte qu'il est enfermé et que les siens disparaissent sans laisser de trace. Il peut raisoner sans vraiment faire de lien avec son vécu. Il peut comprendre. L'animal lui tout comportement évolué provient d'un apprentissage. Il fait un lien avec ce que lui arrive. Donc il ne peut se rendre compte de ce qu'il l'attend. Si il est bien traité. Qu'on s'occupe de lui je peux te garantir il est heureux et se pose pas de question. Pour l'homme c'Est different. Il se pose des questions. Et tu peux pas l'empecher. A moins de le droguer en permanence. Je veux pas manger de drogue toi ca te tente? Oups J'avais oublié vous etes vegetalien. Scuser moi. Donc tu ne pourras pas éviter de faire souffrire l'homme Sur un longue periode etant qu'il grandit moins vite que les animaux. L'animal si il est bien traité va commencer a se poser des questions seulement quand il va etre en route vers l'abatoir chemin qu'il a jamais pris. En aucun cas il va avoir la reponse a son questionnement avant de se faire abattre. Pis pour les maladies humaines comme yogi disait si je pouvais savoir si mon voisin avait pas de maladie je le mangerait, c'est tres compliqué savoir si tel tel personne a une maladie car plusieurs maladie n'ont pas de symptome apparent. Parfois aussi ca peut etre des intoxication et non des virus moins detectable. Aussi tout le monde reagi differement a certaine chose. Comme vous saviez les enfants que les pauvres allergiques aux noix parfois mortellement sont allergique en fait a une proteine contenue dans presque tout les vegetaux. Qui est en fait leur organe reproducteur soit les graines noix et noyaux. Alors ca complique un peu la patente non? Vous etes limité vous le savez? C'Est des tolerances que j'appelle et ca varie d'un individu a l'autre. Comme pour le lactose. Je bouffe du yogourt bois de lait pis g pas de gaz ou patente qu'il parle sur ton site. P-e parce que j'en buvait etant jeune que ma mere ma nourris au sein. Tous les 4 elle a eu 4 flot on est 3 maintenant. L'habitude tu connais? Tolerance aussi envers les autres qui ont un mode de vie different du votre.
Comme tu as visiblement beaucoup de mal à t'exprimer, dois-je comprendre dans ta réponse, que si tu étais totalement assuré que ton voisin était en pleine santé, tu le boufferais ?
Non mon grand je ne le boufferais pas car c'est interdit et doit le demeurer pauvre idiot de mauvaise foi. Ca amenrait automatiquement le chaos si c'etait permis. Ce que l'elevage animal ne provoque pas. Désoler pour les gros mots mais tu les mérites mon cher.
Certaine loi sont necessaire et suive l'ordre naturel. Mais c'Est loin d'etre le cas de toutes les lois
« le meurtre serrait permi si c'est pour se nourrir, INNACEPTABLE!! »
Mais c'est exactement la situation dans laquelle nous nous trouvons présentement. Le meurtre des animaux est permis pour se nourrir. De plus, la production d'aliments carnés étant un énorme gaspillage, la pratique de la zoophagie est responsable de la mort de 37 millions d'humains chaque année. http://avea.net/perso/Anthropophagie.htm
« Contrairement a tout ce que vous affirmez, vous vegetalien, l'homme a une conscience et l'animal non. Par contre les deux sont doué d'inteligence. Nuance? »
Je ne vois pas la nuance non. Tu admets que les animaux sont doués d'intelligence, tu admets également que: « Oui les animaux ressentent la douleur, oui ils ont probablement des sentiments », mais tu nies qu'ils aient une conscience. Comment est-il possible d'être intelligent, sensible, et émotif sans être conscient? Toutes ces facultés ne sont-elles pas intrinsèquement liées? J'ai du mal à te comprendre.
Pour résumer, si j'ai bien compris ta position, tu n'aurais aucune objection à ce que des humains en mangent d'autres si cela se réalisait:
1- sans générer de chaos social
2- sans que les humains de consommation ne sachent à l'avance le sort qui leur est réservé
3- sans qu'ils n'aient à souffrir longtemps
4- sans transmission de maladies.
Ai-je bien tout compris?
Pour ce qui est des allergies alimentaires, j'aimerais te faire remarquer que c'est un phénomène nouveau. Cela n'existait pas il y a quelques décennies. Elles ne sont donc pas naturelles. Les intolérances au lactose en revanche sont génétiques. Cela n'a rien à voir avec l'habitude ou le fait d'avoir ou de ne pas avoir été nourri au sein. 90% de l'humanité n'est pas apte à digérer le lactose à l'âge adulte et il en a toujours été ainsi. De toute façon, même chez ceux qui tolère le lactose, le lait de vache demeure néfaste pour la santé, et ce pour plusieurs autres raisons. Les études le prouvent et cela n'a franchement rien d'étonnant, un mammifère n'est pas sensé boire du lait à l'âge adulte et encore moins le lait d'une autre espèce. Même les nourrissons ne devraient pas boire du lait de vaches. Sa composition est très différente du lait maternelle et ne convient pas aux besoins de l'enfant.
J'ai fait pendant 2 ans du courrier a velo j'Ai manger a tout les midi chez mc do et burger king ou autre casse croute pas cher. Pis je travaillais 8 heure par jour hiver été printemps automne neige verglas etc. Je buvais du lait mangeait du yougourt du fromage des blizards dans les dairy queen etc etc. Pis j'ai jamais eu de probleme ni de grippe de rhume rien pendant 2 ans. Quand j'ai arrter j'etais capable de faire 20 kilometre avec comme vitesse moyenne 60 km/h en velo de montagne simple suspension Ca ma rendu malade?. Mechant gros mensonge ca t'arrive de trvailler 8 h dehors au froid pis pas pogner aucun criss de microbe? Si l'homme traite bien les animaux j'ai rien contre le fait qu'il les tue pour se nourrir. Ca fait parti de la chaine alimentaire. On l'éleve en trop grande quantité et on en mange en trop grande quantité et c'est pas bon a long terme si on en mange beaucoup mais le contraire est vrai aussi c'est mauvais a long terme d'etre totalement vegetalien. T'as compris mon vegetalien je suis contre le fait que l'homme mange de l'homme par que c'est contre l'ordre naturel. Je peux dire que c'est des raisons ethiques, voire meme morale ou religieuse, politique si tu veux civiques aussi. Ceux que je t'ai dis. Il a moyen de tuer un animal s'en qu'il soit conscient de ce qui se passe meme chose pour la plante. Il n'as pas de conscience, Pauvre ti gars ton vocabulaire est-t'il rendu si pauvre qu'il ne sait plus faire la difference en conscience et inteligence. T'as presque tout compris ce je voulais dire. La c'Est a moi de te relance la poke. Toi tu me tolere pas. Moi j'aime les produits laitiers. Et j'ai le droit d'en profiter. Toi t'as pas le droit de m'enlever ce droit. Meme chose pour la viande. Tu impose ton choix. Tu fais comme bush fait : tu me force a me liberer. Il me semble que c'Est paradoxal un peu. Je mange plus de legumes que de viandes demandent ca a tout le monde pis il va avoir seulement 1/3 des terres qui vont servir a l'élevage.
« il va avoir seulement 1/3 des terres qui vont servir a l'élevage. »
Je ne comprends pas vraiment ce que tu veux dire. Tu dois savoir que si le tiers des terres sont employées pour l'élevage alors les produits animaux ne pourront composer tout au plus que 3% du régime alimentaire.
« c'est mauvais a long terme d'etre totalement vegetalien. »
Prouve-le. Tu le répètes sans cesse mais je n'ai vu jusqu'à maintenant aucun argument solide. Si l'ingestion de chaire animale est, comme tu le prétends, une nécessité, alors l'acte de tuer un animal pour s'en nourrir pourrait trouver une certaine justification. Sinon, c'est carrément immoral.
« je suis contre le fait que l'homme mange de l'homme par que c'est contre l'ordre naturel »
Le cannibalisme existe dans la nature, pourquoi alors serait-ce contre l'« ordre naturel »? La chair humaine est nutritivement similaire à la chair des boeufs, des cochons et des poules. Si l'une est bonne pour ta santé, l'autre doit l'être également. S'il est « naturel » de manger l'une, ça doit l'être de manger l'autre. Tu vas peut-être me dire que ça ne l'est pas à cause des maladies transmissibles entre humains (même si bon nombre d'entre elles peuvent aussi bien s'attraper en mangeant d'autres espèces). Cet « ordre naturel » qui nous interdit de manger de la chair humaine s'exprimerait donc à travers des microbes? Mais qu'est-ce au juste que l'« ordre naturel »?
« Il a moyen de tuer un animal s'en qu'il soit conscient »
La seule façon que je vois c'est de lui faire une piqûre, mais ce moyen n'est jamais employé. Cela pourrait tout aussi bien se faire sur un humain. Donc selon cette logique, le cannibalisme se justifie.
« Il n'as pas de conscience, Pauvre ti gars ton vocabulaire est-t'il rendu si pauvre qu'il ne sait plus faire la difference en conscience et inteligence. »
Je n'ai jamais dit que c'était la même chose Labourre, j'ai dit qu'ils étaient indissociables. On ne peut pas être sensible, émotif et intelligent, sans être conscient. N'est-ce pas évident?
« Toi tu me tolere pas. »
Qu'est-ce qui te fait croire ça?
« Moi j'aime les produits laitiers. Et j'ai le droit d'en profiter. Toi t'as pas le droit de m'enlever ce droit. Meme chose pour la viande. »
De quel type de droit parles-tu, de droit moral ou de droit légal? Ou peut-être que tu fais référence à la Loi du plus fort? À moins que ce ne soit le fameux « Ordre naturel »? Est-ce qu'avoir des droits te dispense d'avoir des responsabilités. Qu'est-ce que tu fais des droits des vaches, des poules, des cochons, des poissons et des plantes? N'as-tu pas de responsabilités envers eux.
« Tu impose ton choix. »
Ceci est un débat Labourre, chacun défend ses opinions, c'est normal. L'affrontement des idées peut permettre d'accéder à une plus grande connaissance de la vérité, c'est ça le but de l'exercice. Un débat devrait donc être enrichissant pour les 2 partis, à condition qu'ils aient chacun l'humilité requise pour reconnaître qu'ils ont tort lorsque les arguments de l'autre s'avèrent meilleurs que les leurs. De ce point de vu, il n'y a pas de perdant, il n'a que des gagnants. Tu m'accuses d'imposer mon choix, pourtant tu sais bien que je n'ai pas ce pouvoir. Je n'ai fait que défendre ce que je crois être la vérité et c'est cette vérité qui te parait imposante. Nous avions atteint un certain niveau de conversation mais tu t'en détournes soudainement parce que tu vois venir une défaite. Tu en souffres, le ton agressif que tu emploies le montre assez clairement. Il n'y a pas de honte à l'admettre. Sache que je ne suis pas ton ennemis.
« Tu fais comme bush fait : tu me force a me liberer. »
C'est drôle et triste en même temps. Bush n'a bien sûr libéré personne. On ne peut que se libérer soi-même, je ne peux pas te forcer à te libérer, je le sais et tu le sais, alors ne dis pas des choses aussi insensées. Si tu te sens forcé par quelque chose, c'est par ta petite voix intérieure qui fissure ton égo. Moi je n'ai fait que réveiller cette petite voix intérieur. Elle finira bien un jour par briser les murs de sa prison.
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Sujet:
Tu donne raison pour avoir l'air conciliant pour mieux rabaisser
Tu donne raison pour avoir l'air conciliant pour mieux rabaisser. Tu parle de petite voix? "remord"? Auncun!!!. Tu fais comme yogi c'est pas mieux. Check m'as utiliser ta logique d'inteligence conscience indisciosiable, si elle le sont alors pourquoi deux mots différents? Les plantes ressentent et ont une inteligence. Par exemple prend une vigne ou tout autre plante grimpante et decroche la. Tu vas vite remarqué qu'elle va tendre ses "bras" que tu as décrochers et aux contact d'un support ses "bras" s'enroulent de nouveau. Il faut pas de l'inteligence pour ca? Aussi les plantes CARNIVORES? Il y a un type de plantes CARNIVORES qui, au contact d'un insecte, ferme sa "bouche" pour l'enfermer. Ensuite elle le digere. La plante a un systeme digestif. Pour tout controler il faut un systeme nerveux central. La plante reagit au traitement qu'on leur donne meme chose pour les animaux. Ils reagissent. Par apprentissage. Donc ne sachant pas ce qu'ils les attend ils peuvent bien vivre. Idem pour les Plantes. Ils ne savent pas parce qu'ils sont pas conscient. Mr Novlangue. L'homme va etre conscient, lui c'Est une des raison pourquoi je suis contre l'élevage humain. Tu connais ca la chaine alimentaire. L'homme est au dessus et il ne s'est pas placé la par vanité. Ok il est au dessus. Toi tu veux changer l'ordre des choses sous pretexte que ce qu'on fait est mal. Les plantes sont consciente a mort ceux qui en mangent (Shit J'En mange) AHHHHHHHHHHHHHHHHH
« Tu donne raison pour avoir l'air conciliant pour mieux rabaisser. »
Je ne t'ai pas donné raison et je ne t'ai pas rabaissé, tu te rabaisses tout seul.
À travers tout ce que tu as dit, dois-je maintenant comprendre que selon toi les animaux sont inconscients?
« L'homme va etre conscient, lui c'Est une des raison pourquoi je suis contre l'élevage humain. »
Donc on peut tuer un humain pour le manger s'il n'est pas conscient?
« Tu connais ca la chaine alimentaire. L'homme est au dessus et il ne s'est pas placé la par vanité. Ok il est au dessus. »
C'est un dogme ça, pas un argument. C'est toujours la même idée préconçue que tu répètes depuis le début en utilisant des mots différents.
- l'homme est omnivore
- le végétalisme, c'est pas bon pour la santé
- Ordre naturel
- Ordre des choses
- Chaîne alimentaire...
Cesse de le répéter et prouve-le! Prouve-moi que l'humain doit absolument manger des animaux. Si je comprends bien ta logique, si je te tue et que je te mange alors je suis « au-dessus » de toi?
« Toi tu veux changer l'ordre des choses sous pretexte que ce qu'on fait est mal. »
Ce n'est pas un prétexte, c'est une réalité et je l'ai démontrée sans que tu ne parviennes à me contredire. Toi tu refuses de changer l'ordre des choses même s'il pourrait être amélioré, et tu n'as même pas de prétexte crédible pour t'en justifier. Tu sembles accorder un certain caractère autoritaire et sacré à cet « Ordre des choses ». Ça ne serait pas un peu religieux ton affaire? Peux-tu seulement me définir ce qu'est ce fameux « Ordre des choses »?
Il est la seule espece a avoir un corps fait pour effectuer tout les travaux en plus d'un cerveau si developé. C'Est pas un dogme c'Est une vérité et il faut manqué de jugement si on ne croti pas ca. L'élevage n'est pas mal si il est fait avec coeur. Ce qui etait le cas des petits éleveurs. Non tu peux pas tuer un humain si il est pas conscient parce que le seul moyen de le guarder inconscient est de le drogué. Je ne veux pas mangé de drogue et dans tout les cas il se retrouverait de l'homme sur les tablettes, donc le meutre de l'homme pourrait etre permis. Ca serait inaceptable. Ne plus manger de viande n'est pas une amelioration, c'Est prouvé que les risques de carrences et de maladies sont plus elevé chez les vegetariens et particulier chez les vegetaliens. Trouve moi juste un vegetarien qui a vecu plus de 100 ans. L'ordre des choses le herbivore mange de l'herbe, le carnivore mange de la viande et l'omnivore mange de tout. C'est ca mon ordre des choses. L'espece bovine a tres peu de predateur elle va se reproduire et envahir tout. Plusieurs especes d'oiseaux sont trop nombreuses. Ca occasionne des problemes au sein meme de leur groupes. Pis d'autre chose aussi qui va falloir surement que je dise etant donné que vous semblé vouloir avoir le dernier. Moi j'explique mes positions et elle ne s'appui pas sur des "bons sentiments" comme les votre. Vous me faites pitier
« Il est la seule espece a avoir un corps fait pour effectuer tout les travaux »
Hein!?? T'es capable d'effectuer tous les travaux toi? Tous les humains peuvent effectuer tous les travaux? Mais surtout peux-tu m'expliquer c'est quoi le rapport? Qu'est-ce que cette déclaration vient faire dans la discussion?
« en plus d'un cerveau si developé. »
En quoi est-il si développé? Et encore une fois, peux-tu m'expliquer c'est quoi le rapport?
« C'Est pas un dogme c'Est une vérité et il faut manqué de jugement si on ne croti pas ca. »
C'est précisément parce que j'ai du jugement que je n'y crois pas. Car je ne me contente pas de croire Labourre, ce que je veux moi c'est savoir. Tu es incapable de fournir la moindre démonstration de ce que tu avances, ce qui confirme que tes pseudo-vérités ne sont que des croyances sans fondements. Au mieux, ce sont des amalgames incohérents de petites vérités et de gros mensonges qui à la lumière du bon sens se désagrègent aussitôt.
« L'élevage n'est pas mal si il est fait avec coeur. »
L'élevage c'est de l'esclavage, celui qui a du coeur n'exploite pas autrui si cela peut-être évité.
« Non tu peux pas tuer un humain si il est pas conscient parce que le seul moyen de le guarder inconscient est de le drogué. »
Très bien alors si on trouve le moyen de faire perdre conscience à quelqu'un sans le droguer alors on peut le tuer, c'est ça?
Je récapitule donc, selon toi on peut tuer des humains si:
1- ils ne savent pas à l'avance le sort qui leur est réservé
2- ils sont inconscients au moment de la mise à mort
3- cela ne cause pas de chaos social
Ces humains peuvent être mangés si:
1- ils n'ont pas été drogués
2- il n'y a pas de transmission possible de maladie.
Est-ce vraiment ce que tu penses Labourre? Auras-tu le courage de répondre clairement à cette question?
« donc le meutre de l'homme pourrait etre permis. Ca serait inaceptable. »
Tu n'as pas besoin de m'en convaincre, ce que je veux savoir c'est pourquoi selon toi c'est inacceptable.
« c'Est prouvé que les risques de carrences et de maladies sont plus elevé chez les vegetariens et particulier chez les vegetaliens. »
Prouvé!!! Qui a prouvé ça??? Donne-moi tes sources. Tu n'as aucune preuve sérieuse, avoue-le. C'est toujours le même dogmatisme quasi-religieux avec toi. Tu ne vas pas me convaincre avec des croyance. Dis-moi Labourre, est-ce que cela t'es déjà arrivé de te renseigner? Tu sais, cela consiste à faire une recherche pour trouver de l'information et éventuellement devenir plus savant, plus intelligent. Sache que des preuves scientifiques des bienfaits du végétarisme et du végétalisme sur la santé, il y en a. Des preuves de la nocivité des produits animaux, il y en a aussi. Il y en a tellement que ce serait absurde de tenter de te les résumer ici. Il faudrait écrire un livre pour ça. Mais ce n'est pas un problème car de tels livres existent déjà. Oui, oui, certains depuis longtemps même! Mais auras-tu la volonté de les lire, ou es-tu trop attaché à tes illusions? Prends par exemple le classique Se nourrir sans faire souffrir de John Robbins, la bibliographie de ce livre doit contenir environ 300 études et ouvrages scientifiques.
Voici un extrait de la position officielle de L'American Dietetic Association: Les régimes végétaliens et lacto-ovo-végétariens bien conçus sont appropriés à tous les âges de la vie, y compris durant la grossesse et la lactation. Ces régimes alimentaires bien planifiés satisfont aux besoins nutritionnels des nourrissons, des enfants, des adolescents, et favorisent une croissance normale. (traduction française)
Théodore Monod est décédé à l'âge de 98 ans. Botaniste, géologue, archéologue, savant touche-à-tout. Végétarien, il combattait le colonialisme, la chasse, la corrida, le rallye Paris-Dakar, les objets inutiles, la bombe H et ceux qui veulent fixer les nomades. Il luttait pour le droit au logement, l'objection de conscience et la "non-violence active". T. Monod était également membre de nombreuses associations comme Talis, le R.O.C. ou encore Pro-anima.
« L'ordre des choses le herbivore mange de l'herbe, le carnivore mange de la viande et l'omnivore mange de tout. »
Admettons, tu ne m'as néanmoins toujours pas démontré que l'humain est omnivore et qu'il doit absolument manger des animaux.
« L'espece bovine a tres peu de predateur elle va se reproduire et envahir tout. »
Cette affirmation est une sottise. Sers-toi un peu de ta tête Labourre.
« Plusieurs especes d'oiseaux sont trop nombreuses. Ca occasionne des problemes au sein meme de leur groupes. »
Ça doit sûrement leur rendre service de les tuer. Parlons d'une espèce très nuisible et dont la surpopulation menace la survie de toute la biosphère: l'humain. De ton point de vue je suppose que les guerres, les génocides, les famines, les maladie mortelles, etc. sont de bonnes choses puisqu'elles freinent l'accroissement de la population. Devrait-on organiser un grand massacre pour régler le problème de la surpopulation humaine à ton avis. Pour éviter le gaspillage, tes amis et toi n'auriez qu'à manger les milliards cadavres. Ce serait dans l'ordre des choses non?
« Moi j'explique mes positions et elle ne s'appui pas sur des "bons sentiments" comme les votre. »
Tes positions tu nous les répètes de mille et une façons mais tu ne nous les expliques pas, en tout cas je n'ai rien vu qui puisse passer l'épreuve de l'analyse critique. Il est vrai que nos positions à Yogi et moi s'appuient sur des bons sentiments et ce n'est certainement pas une lacune, bien au contraire. Nos positions reposent tout autant sur la raison, ne t'en déplaise. L'intelligence du coeur ça te dit quelque chose?
« Vous me faites pitier »
La pitié est un bon sentiment Labourre. Si tu pouvais saisir le sens véritable de ce mot, tu ne l'emploierais pas de façon si méprisante.
Donc Labourre, si je comprend bien ton discours, si tu étais certain que ton voisin n'était pas atteint d'une maladie transmissible quelconque, tu le boufferais ????????????????????????????
il ferait pousser ces propres plantes. Ton argument a aucun but. L'homme est omnivore tu as vu ce que ca fait aux vaches manger de la farine animale? L'homme peut tres bien vivre en mangeant que de la viande. Bizarre non pour un vegetarien? Tant l'autre discussion dont tu parles je trouve que yannick et vegenar on lacher quelque petit element de propagande qui ont été bien vite réduit a néant tu veux aller verifier?
P.S. Avant la decouverte du feu mos ancetre mangeaient la viande crue. Pourquoi ils sont les seuls a avoir survécu... Presque toutes les autres especes d'homme etait herbivore et plus grand et robuste. http://www.cmaq.net/fr/node/13013
pourquoi tu evite de repondre a mes questions en disant qu'elles l'ont deja été. Personne a expliqué comment un vegetarien(l'homme) peut bien vivre en mangeant que de la viande et personne n'as jamais parlé du codex alimentarus
« comment expliqué que l'homme, si il est vegetarien, peut vivre sans probleme avec une alimentation seulement composé de viande? »
Mais il ne le peut pas justement! Même les Inuits mangent des végétaux. T'as jamais entendu parler du scorbut?
À mon tour de te renvoyer la balle. Selon ta propre définition, un omnivore « a besoin de tout car il ne peut tout digerer les elements dans les viandes et les legumes ». Alors, comment expliquer que l'humain, s'il est omnivore, puisse vivre sans problème avec une alimentation exclusivement composée de végétaux? C'est possible, j'en suis la preuve (et je ne prends aucun supplément).
« T'as entendu parler du codex alimentarus vegenar? »
Je ne vois pas le rapport.
On est en train de manipuler les plantes pour leur enlever certaine propriété pis apres ben tu les manges. Bon ben oui tu peux ben vivre en ayant une regime vegetarien(C'Est compliquer, ca coute chere et ca demande beaucoup de connaissance) Comme tu peux bien vivre juste avec la viande. Désolé mais le scorbut qui est causé par un manque d'Acide ascorbique ou vitamine C si tu prefere. Mais cette vitamine est contenu dans le foie et d'autre viande. : Tous les végétaux (persil, estragon, poivron ...), surtout les agrumes (citron, orange ...) et la viande (foie...)
Les végétariens, qui suppriment partiellement ou totalement la consommation de viande, risquent, en l'absence d'autres apports de protides (voir glossaire), d'avoir des déficiences, en particulier en vitamines B12 et D. Source
Interessant de voir qu'il y a tant de vitamine dans la viande.
Moi j'ai une réponse qui répond aux deux questions la tienne et la mienne. L'homme est omnivore. Aucun herbivore survit longtemps en mangeant de la viande et aucun carnivore survit longtemps en mangeant des végétaux. Et un herbivore n'aime pas la viande comme un carnivore n'aime pas les vegetaux. Et pour vous ecoeurer un peu, quand j'ai faim et je me prepare un steak de viande hachée il m'arrive d'En manger crue. Quand elle est fraiche j'adore le gout. Ce qui m'empeche de le faire souvent c'Est la maladie du hamburger. Maladie que je n'ai jamais eu d'ailleurs. LA preuve qu'on est fait pour combattre TOUTES les infections quand on a un systeme immunitaire en bon etat
T'as pas fini der lire l'article sur l'origine de l'homme? plus loin il est ecrit que meme Coppens a oublié cette histoire d'Ancetre commun. Par contre ca n'enleve en rien le fait que l'homme d'aujourd'hui est omnivore et ca serait la raison principale pourquoi il aurait survecu a toutes les mauvaises conditions climatiques du passé? Il faut tu que je te donne d'autre lien qui ne se base pas sur Coppens pour affirmer que l'homme est omnivore et c'Est pour ca qu'il a survecu? J'ai l'impression de m'obstiner avec des enfants qui , malgré leur effort, ne peuvent contredire ce que je dis. En rien tu infirme le fait que l'homme est omnivore. Les deux regimes menent directement a des carrences. Il y a moyen de palier ce probleme en diversifiant mais ca devient compliquer. Alors que c'est si simple d'Avoir un regime omnivore équilibrée
Je suis contre l'agriculture industrielle, contre les OGMs, les pesticides et tout le reste. Qu'est-ce qui te fait croire le contraire? Je mange bio. Il existe encore mieux que le bio, c'est l'agriculture végétalienne, elle va au delà du bio. Vegan Organic Network
P.S. Tu as raison en ce qui concerne le VIH, c'est une arnaque. Cela me réjouis de voir que certaines personnes ne se laissent pas berner par cette affaire. Toutefois cela me désole de constater que ces mêmes individus ne comprennent pas que la doctrine voulant que l'alimentation carnée soit bénéfique et même nécessaire aux humains est tout aussi mensongère. Ces deux mensonges servent les mêmes intérêts. Il faut prendre un peu de recul pour bien comprendre la situation. Lecture suggérée: le Livre jaune Nº6
Le SIDA demeure néanmoins une maladie bien réelle et Yogi n'est pas dans le tort en ce sens que la zoophagie est bel et bien un facteur de risque pour le développement de la maladie, non pas à cause du VIH, mais simplement parce que cette pratique est très néfaste pour le système immunitaire (à plus forte raison bien sûr, si l'animal fut élevée de manière industrielle avec antibiotiques, OGMs, pesticides, etc.).
L'agriculture vegetalienne c'Est encore de quoi de tres dispendieux? Je sais l'affaire de Coppens ca laisse beaucoup de ?????? Rien n'Est parfait. Moi j'ai plus tendance a croire en Atlandide.... J'ai vu sur un site qu'on a decouvert une ville ensevelie il y a des millions d'année radio-active. Ca peut soulever un tas de question. Pour la viande, je suis contre l'élevage industrielle et je en mange pas que de la viande loin de la. Mais j'en mange et je mange aussi un peu de yogourt des oeufs etc. En comptant les oeufs, le yougourt et le poisson comme de la viande, mon alimentation est composé environ a 65 70% de vegetaux. Mais en rien tu me feras changer. J'aime la viande et quand je bouffe rien de riche en proteine je ne me sens pas bien. Pour pouvoir manger équilibrer en étant vegetalien il faut presque qu'un cours ca coute cher et si tu veux pas toujours manger la meme chose il faut des supplements. Car plusieurs acides aminé et vitamines essentielles se retrouvent que dans certaine plante ou fruit. Meme chose pour ceux qui mangent que de la viande. Nous sommes fait pour les deux types d'Alimentation sans etre fait specialement pour l'un ou l'autre.
« L'agriculture vegetalienne c'Est encore de quoi de tres dispendieux? »
Oui et non. Le coût de l'alimentation végétale par rapport à l'alimentation carnée, de même que celui de la culture écologique par rapport à l'agriculture industrielle est disproportionné à cause des subventions toujours octroyées à celui qui respecte le moins la vie. Si l'argent allait à la bonne place, l'alimentation végétalienne et biologique coûterait sans doute 20 fois moins chère. Il faut comprendre que la production de chair animale, de lait et d'oeufs est un énorme gaspillage. On ne récupère que 10 % des protéines, 4 % des calories et 0 % des fibres qui se trouvaient dans l’aliment végétal initial, tout le reste étant transformé en excréments!
« mon alimentation est composé environ a 65 70% de vegetaux. »
Même les vrais animaux omnivores en mangent une plus grande proportion que toi! Tu dis être contre les élevages intensifs mais pourtant tu y participes. On ne peut pas produire autant de produits animaux pour tout le monde en faisant du bio. Il faut exploiter d’immenses superficies de culture pour nourrir autant d'animaux. Les exigences sont si démesurées qu’il faut recourir à l’agriculture intensive pour y parvenir. Celle-ci consiste à briser les équilibres naturels en extirpant de la terre plus qu’elle n’est raisonnablement capable de donner. Cela entraîne inévitablement un appauvrissement et une érosion des sols. La terre ne pourrait pas supporter 6 milliards de personnes comme toi. http://avea.net/perso/Anthropophagie.htm
« J'aime la viande et quand je bouffe rien de riche en proteine je ne me sens pas bien. »
Pourtant les végétaux sont bourrés de protéines, il y en a en masse. www.infonutrition.org/proteines/proteines.html Ton problème ce ne sont pas les protéines, c'est autre chose...
Un amateur de yogourt comme toi devrait mieux se renseigner à propos des produits laitiers http://nomilk.com
Je l'ai dit et je le répète, mon alimentation n'est pas compliquée, pas supplémentée, et je suis en bonne santé. Et contrairement à ce que tu affirmes ça coûte moins cher que de manger des cadavres (malgré les subventions).
« Car plusieurs acides aminé et vitamines essentielles se retrouvent que dans certaine plante ou fruit. »
Et non, tu es mal informé. C'est la viande qui est extra pauvre en vitamines, les végétaux eux en sont riches. Et tu sembles ignorer toute l'importance des fibres et des phytonutriments inexistants dans la viande.
Que coté vitamines et anti-oxydant les fruits et légumes l'emportent haut la main sur la viande. Si tout le monde reduisait de 10 ou 15 pourcent sa consomation de viande et favoriserait un élevage bio comme pour les végétaux ca seraient déja un bon point de départ. Il faut pas trop en demander du moins au début. Essayer de faire changé d'idée quelqu'un avec des histoires d'horreur n'est pas toujours efficace. Ca peut meme avoir l'effet contraire. A oui si tu manges comme il faut tu vas prosuire le lactase et digérer le lactose. Pour les allergies bewn ca c'Est une pandémie du genre sida. Il save tres bien les causes sans les ébruité. La premiere et le fait que l'enfant(voir meme l'adulte) vit dans des milieux ou il n'y a ni poussiere, ni bactérie. Alors le systeme immunitaire s'effondre et oubli la liste des choses correctes et celles qui sont dommageables. Au premier contact avec une poussiere ou les proteines de noix, acariens etc Le corps tombent en alerte et veut expulser les intrus(Qui en fait n'en sont pas). Le rhume des foins, les alergies aux animaux et alimentaires sont toutes interelié. Ils contiennent tous une certaine proteine qui n'est pas dangereuse mais que le corps ne connait pas ou bien qu'il a oublié. Toutes les allergies ou presque se soignent..
« Si tout le monde reduisait de 10 ou 15 pourcent sa consomation de viande et favoriserait un élevage bio comme pour les végétaux ca seraient déja un bon point de départ. »
Certainement, mais moi vois-tu je désigne tout de suite la ligne d'arrivée afin de faire comprendre aux gens dans quelle direction je leur propose d'aller. Je sais bien qu'on ne devient pas végétalien du jour au lendemain.
« Essayer de faire changé d'idée quelqu'un avec des histoires d'horreur n'est pas toujours efficace. Ca peut meme avoir l'effet contraire. »
Mais ces histoires d'horreur sont bien réelle, je n'invente rien, malheureusement. Mon but n'est pas d'effrayer, mais bien de conscientiser. On ne peut pas y parvenir en voilant la vérité, il ne faut pas se mettre la tête dans le sable. Au contraire, il faut crier la vérité sur les toits même si elle dérange. Ceux qui veulent l'accueillir le feront, les autres la refuseront de toute façon. Chacun d'entre nous à le choix de faire partie du problème ou de la solution, mais pour pouvoir progresser de l'un à l'autre il faut d'abord admettre que le problème existe et que nous en faisons partie.
« si tu manges comme il faut tu vas prosuire le lactase et digérer le lactose. »
90% de l'humanité en est incapable. Il n'y a que chez la race blanche que les intolérants au lactose sont minoritaires. Cette incapacité est génétique. C'est assez révélateur non? Lactose Intolerance
L'explication des allergies causés par un environnement aseptisé est vraisemblable, mais cela ne peut pas être la seule explication. Comme pour le SIDA, beaucoup de facteurs doivent entrer en ligne de compte. De toute évidence, la consommation de lait est un de ces facteurs et non le moindre.
« Toutes les allergies ou presque se soignent. »
En tout cas, tu as un sérieux problème lorsque tu risques de crever n'importe quand à cause d'une piqûre d'abeille, d'une trace d'arachide ou d'une fraise.
C'Est un grave probleme. Tu sais c'Est quoi ma définition d'une allergie? C'est une reaction anormale du corps face a de quoi de normal voir meme banal. Les allergies sont en grande parties causé par les millieux trop propres. Pourquoi n'entendons-nous pas ce discours dans les medias traditionels(J'ai lu un article dans le soleil section santé sur ce probleme a part ca, null part ailleurs on en parle)? La reponse est plus que simple 2 industries seraient fortement touché l'industrie pharmaceutique qui ont des clients a vie (Benadryl, sudafed, etc) et l'industrie des produits nettoyants : Ils en vendraient beaucoup moins si les gens cesseraient de vouloir tout éliminé (Poil,poussiere,bacterie,acariens) Il en faut car sans contact avec ces "Dechets" le corps oublie qu'ils existent. Dans le cas des jeunes ils ne se font pas de defense et a la moindre poussiere, c'est la crise
tu es venu jouer dans ma cour. Au contraire de toi je ne suis pas un universitaire brainwasher je suis qu'un pauvre technicien. Un pauvre technicien qui, depuis son secondaire va seulement au 1/3 de ses cours , fait peu de devoirs et études est passé a travers tout sans probleme parfois grandement superieur a la moyenne parfois dans la moyenne et meme parfois en dessous. Ca dependait plus de l'interet que je portais a la chose. Mon francais, bien que j'adore ma langue est disons le, peu évolué. Mais par contre mes raisonements eux le sont. Je remets tout tout tout tout tout en question meme ce en quoi je crois le plus. Tes arguments parfois peuvent me faire changer d'idée mais ils peuvent avoir aussi l'effet contraire tu comprend? Question philo bio humaine genetique ethique etc tu joue dans ma cours. Je te l'ai dis.
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