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Témoignage d'une étudiante en médecine vétérinaire en stage dans un abattoir

Veganar, Samedi, Août 23, 2003 - 00:05

Veganar


AVERTISSEMENT : Ce témoignage peut induire un sentiment de culpabilité chez celui ou celle qui en prend connaissance. Le but recherché n'est pas de condamner mais simplement de donner à ceux et celles qui en ont la courage et la sensibilité, l'opportunité d'ouvrir les yeux sur la terrible réalité. Nous sommes conditionnés à voir de la banalité dans certains gestes de la vie quotidienne qui sont pourtant imprégnés d'horreur. Cette lecture vous dispensera de pouvoir dans l'avenir vous excuser en disant que vous ne saviez pas.

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J'ai emporté une vieille veste; bien m'en a pris. Pour un début d'octobre, il fait un froid glacial. Ce n'est pourtant pas pour cette seule raison que je frissonne. J'enfonce les mains dans mes poches, m'efforce de montrer un visage avenant pour écouter le directeur de l'abattoir m'expliquer qu'on ne procède plus depuis longtemps à un examen complet de chaque bête, seulement à une inspection. Avec 700 cochons par jour, comment cela serait-il possible?

«Ici, il n'y a aucun animal malade. Si c'est le cas, nous le renvoyons tout de suite, avec une amende salée pour le livreur. S'il le fait une fois, il ne le fera pas une deuxième». Je baisse la tête comme pour m'excuser – tenir, simplement tenir, tu dois tenir ces six semaines – que deviennent les porcs malades?

«Il y a un abattoir tout à fait spécial». Je possède une certaine expérience concernant les règlements relatifs au transport et sais à quel niveau la protection des animaux est à présent reconnue. Ce mot, prononcé dans un tel endroit, a une résonance macabre. Dans l'intervalle, un gros camion d'où s'échappent des cris stridents et de lugubres grognements est venu se ranger face à la rampe. Dans la pénombre du matin, on distingue mal les détails; toute la scène revêt un aspect irréel et rappelle quelque sinistre reportage de guerre montrant des rangées de wagons gris et les visages blêmes et terrorisés d'une masse de gens humiliés, sur la rampe de chargement, embarqués par des hommes en armes. Tout d'un coup, je m'y trouve en plein cœur, et c'est comme quand on fait un cauchemar dont on se réveille couvert de sueurs froides: au milieu de ce brouillard, par un froid glacial, dans ce demi-jour sale du bâtiment immonde, bloc anonyme de béton, d'acier et de catelles blanches, tout derrière, à la lisière du bois recouvert d'une légère gelée; ici se passe l'indicible, ce dont personne ne veut rien savoir.

Les cris, c'est la première chose que j'entends chaque matin lorsque j'arrive pour obtenir mon certificat de stage de pratique. Un refus de ma part d'y participer aurait signifié pour moi cinq années d'études perdues et l'abandon de tous mes projets d'avenir. Mais tout en moi – chaque fibre, chaque pensée – n'est que refus, répulsion et effroi, et la conscience d'une insurmontable impuissance: devoir regarder, ne rien pouvoir faire, et ils vont te forcer à coopérer et te souiller de sang. De loin déjà, quand je descends du bus, les cris des cochons me transpercent comme un poignard. Pendant six semaines, des heures durant, sans répit, ces cris retentiront à mes oreilles. Tenir. Pour toi, cela aura une fin. Pour les animaux, jamais.

Une cour déserte, quelques camions frigorifiques, des moitiés de cadavres de cochons pendus à des crochets, aperçus à travers une porte, dans un éclairage aveuglant. Tout ici est d'une propreté méticuleuse. Cela, c'est la façade. Je cherche l'entrée; elle est située de côté. Deux bétaillères passent devant moi, ses phares jaunes allumés dans la brume matinale. La lumière blanche des fenêtres éclairées me montre le chemin. Après avoir monté quelques marches, je me retrouve à l'intérieur, où tout est carrelé en blanc. Pas d'âme humaine en vue. Ensuite un corridor, blanc lui aussi, et le vestiaire pour les dames. Il est bientôt 7 heures, et je me change: du blanc, du blanc, du blanc! Mon casque d'emprunt oscille d'une façon grotesque sur mes cheveux raides. Mes bottes sont trop grandes. Je retourne dans le corridor et me range du côté des vétérinaires. Aimables salutations. «Je suis la nouvelle stagiaire». Avant de continuer, les formalités. «Enfilez un vêtement chaud, allez chez le directeur et remettez-lui votre certificat de santé. Le Dr. XX vous dira alors où vous commencerez».

Le directeur est un homme jovial, qui me parle d'abord du bon vieux temps où l'abattoir n'était pas encore privatisé. Puis s'interrompant à regret, il décide de me faire visiter personnellement les lieux. C'est ainsi que j'arrive sur la rampe. A main droite des enclos de béton fermés par des barres en fer. Quelques-uns sont prêts, remplis de cochons. «Nous commençons ici à 5 heures du matin». On les voit se bousculant ici ou se traînant là; quelques groins curieux arrivent à passer à travers la grille; des petits yeux méfiants, d'autres fuyants ou en plein désarroi. Une grande truie se jette sur une autre; le directeur se saisit d'un bâton et la frappe plusieurs fois sur la tête. «Autrement, ils se mordent méchamment».

En bas de la rampe, le transporteur a abaissé le pont du camion, et les premiers cochons, apeurés par le bruit et la raideur de la pente, se poussent vers l'arrière; mais entre-temps un convoyeur est monté à l'arrière et distribue des coups de trique en caoutchouc. Je ne m'étonnerai pas, plus tard, de la présence de tant de meurtrissures rouges sur les moitiés de cochons. «Avec les cochons, il est interdit d'utiliser le bâton électrique» explique le directeur. Certains animaux tentent quelques pas hésitants, en trébuchant parfois. Puis les autres suivent. L'un d'entre eux glisse et sa patte se coince entre la rampe et le pont; il remonte et continue en boitant. Ils se retrouvent à nouveau entourés de barres de fer qui les mènent inévitablement à un enclos encore vide. Lorsque les cochons se trouvant à l'avant arrivent dans un coin, ils s'y entassent en bloc et s'y cramponnent avec fermeté, ce qui fait pousser à l'employé des jurons de colère et cravacher les cochons de l'arrière qui, pris de panique, essaient de grimper par-dessus leurs compagnons d'infortune. Le directeur hoche la tête: «Ecervelé, simplement écervelé. Combien de fois ai-je déjà dit qu'il ne servait à rien de frapper les cochons se trouvant à l'arrière!».

Pendant que j'assistais, pétrifiée, à cette scène – rien de tout cela n'est réel, tu rêves – le directeur se retourne pour saluer le convoyeur d'un autre transport, arrivé en même temps que le précédent et qui s'apprête à décharger. La raison pour laquelle tout est allé ici beaucoup plus vite, mais avec beaucoup plus de cris, je l'ai tout de suite vu: derrière les porcs qui trébuchent, un deuxième homme apparu dans l'aire de déchargement assène, pour accélérer l'opération, des chocs électriques. Je regarde l'homme, ensuite le directeur: «Vous savez pourtant que c'est interdit avec les porcs». L'homme regarde étonné, puis range l'instrument dans sa poche.

Par derrière, quelque chose se frotte à moi à la hauteur des genoux; je me tourne et j'aperçois deux yeux bleus vifs. Je connais de nombreux amis des animaux qui s'enthousiasment pour les yeux animés de sentiments si profonds des chats, pour le regard indéfectiblement fidèle des chiens. Mais qui parle de l'intelligence et de la curiosité perceptibles dans les yeux d'un cochon? Bientôt, j'apprendrai à les connaître, ces yeux, mais d'une autre manière: muets de peur, abattus de douleur, puis vidés, brisés, exorbités, roulant sur un sol maculé de sang.
Une pensée me traverse l'esprit comme un couteau acéré, et elle me reviendra des centaines de fois au cours des semaines suivantes: Manger de la viande est un crime – un crime …

Après un tour rapide de l'abattoir, je me retrouve dans la salle de pause. Une fenêtre qui s'ouvre sur la salle d'abattage laisse voir des cochons couverts de sang, suspendus, défilant dans une chaîne sans fin. Indifférents, deux employés prennent leur petit déjeuner. Du pain et du saucisson. Leurs tabliers blancs sont couverts de sang. Un lambeau de chair est accroché à la botte de l'un d'eux. Ici, le vacarme inhumain qui m'assourdira lorsque je serai conduite dans la salle d'abattage est atténué. Je reviens en arrière, car une moitié de cadavre de cochon a tourné le coin à vive allure et a heurté la moitié suivante. Elle m'a frôlée, chaude et molle. Ce n'est pas vrai – c'est absurde – impossible.

Tout me tombe dessus en une fois. Les cris perçants. Le grincement des machines. Le bruit métallique des instruments. La puanteur pénétrante des poils et des peaux brûlés. L'exhalaison de sang et d'eau chaude. Des éclats de rire, des appels insouciants des employés. Des couteaux étincelants passant au travers des tendons pour pendre aux crochets des moitiés d'animaux sans yeux dont les muscles sont encore palpitants. Des morceaux de chair et d'organes tombent dans un caniveau par où du sang s'écoule en abondance, et ce liquide écœurant m'éclabousse. On glisse sur des morceaux de graisse qui jonchent le sol. Des hommes en blanc, sur les tabliers desquels le sang dégouline, avec, sous leurs casques ou leurs képis, des visages comme on peut en voir partout: dans le métro ou au supermarché. Involontairement, on s'attend à voir des monstres, mais c'est le gentil grand-père du voisinage, le jeune homme désinvolte qui déambule dans la rue, le monsieur soigné qui sort d'une banque. On me salue aimablement. Le directeur me montre encore rapidement la halle d'abattage des bovins, vide aujourd'hui. «Les bovins sont là le mardi». Il me confie alors à une employée en déclarant qu'il a à faire. «Vous pouvez tranquillement visiter seule la halle d'abattage». Trois semaines s'écouleront avant que je trouve le courage d'y aller.

Le premier jour n'est encore pour moi qu'une sorte de quart d'heure de grâce. Je vais m'asseoir dans une petite pièce à côté de la salle de pause et heure après heure, je découpe en petits morceaux des chairs provenant d'un seau d'échantillons qu'une main tachée de sang remplit régulièrement dans la halle d'abattage. Chacun de ces petits morceaux – un animal. Le tout est alors haché et réparti en portions, auxquelles on ajoute de l'acide chlorhydrique et que l'on fait cuire, pour le test de trichine. L'employée qui m'accompagne me montre tout. On ne trouve jamais de trichine, mais le test est obligatoire.

Le jour suivant, je me rends donc seule dans une partie de la gigantesque machine à découper les morceaux. Une rapide instruction – «Ici, retirer le reste des os du collier de l'arrière-gorge et séparer les nœuds des glandes lymphatiques. Parfois, un sabot pend encore à un patte, il faut l'enlever». Alors, je découpe, il faut faire vite, la chaîne se déroule sans répit. Au-dessus de moi, d'autres morceaux du cadavre s'éloignent. Mon collègue travaille avec entrain, tandis que dans le caniveau tant de liquide sanguinolent s'accumule que j'en suis éclaboussée jusqu'au visage. J'essaye de me ranger de l'autre côté, mais là une énorme scie à eau coupe en deux les corps des cochons; impossible d'y rester, sans être trempée jusqu'aux os. En serrant les dents, je découpe encore, mais il faut que je me dépêche, pour pouvoir réfléchir à toute cette horreur, et par dessus le marché il faut que je fasse diablement attention de ne pas me couper les doigts. Le lendemain, j'emprunterai d'une collègue stagiaire qui a terminé son stage une paire de gants en métal. J'arrête de compter les cochons qui défilent devant moi, ruisselants de sang. Je n'emploierai plus de gants en caoutchouc. Il est vrai qu'il est répugnant de fouiller à mains nues dans des cadavres tièdes, mais si l'on se retrouve plein de sang jusqu'aux épaules, le mélange poisseux des liquides corporels pénètre de toute façon à l'intérieur des gants et rend ces derniers superflus. Pourquoi tourner des films d'horreur, quand tout cela se trouve ici?

Le couteau est bientôt émoussé. «Donnez-le moi, je vais vous l'aiguiser». Le brave grand-père, en réalité un ancien inspecteur des viandes, me lance un clin d'œil. Après m'avoir rapporté le couteau aiguisé, il se met à faire la causette ici et là, me raconte une blague puis se remet au travail. Il me prend désormais un peu sous son aile et me montre quelques trucs qui facilitent quelque peu le travail à la chaîne. «Ecoutez? Ici tout cela ne vous plaît pas. Je le vois bien. Mais cela doit se faire». Je ne peux pas le trouver antipathique. Il se donne beaucoup de mal pour me rassurer. La plupart des autres aussi s'efforcent de m'aider; ils s'amusent certainement à observer ces nombreux stagiaires, qui vont et viennent ici, qui sont d'abord choqués, puis qui poursuivent en serrant les dents leur période de stage. Toutefois, ils demeurent bienveillants. Il n'y a pas de chicaneries. Il me vient à penser que – à part quelques exceptions – les personnes qui travaillent ici ne réagissent pas de façon inhumaine; elles sont juste devenues indifférentes, comme moi aussi avec le temps. C'est de l'autoprotection. Non, les vrais inhumains sont ceux qui ordonnent quotidiennement ces meurtres de masse, et qui, à cause de leur voracité pour la viande condamnent les animaux à une vie misérable et à une lamentable fin, et forcent d'autres humains à accomplir un travail dégradant qui les transforme en êtres grossiers. Moi-même, je deviens progressivement un petit rouage de ce monstrueux automatisme de la mort. Au bout d'un certain temps, ces manipulations monotones commencent à devenir automatiques, mais elles restent aussi très pénibles. Menacée d'étouffement par le vacarme assourdissant et l'indescriptible horreur omniprésente, la compréhension reprend le dessus sur les sens hébétés et se remet à fonctionner. Faire la différence, remettre de l'ordre, essayer de discerner. Mais cela est impossible.

Lorsque pour la première fois – en fait, le deuxième ou troisième jour – j'ai pris conscience que le corps saigné, brûlé et scié de l'animal, palpitait encore et que sa petite queue remuait toujours, je n'étais plus en mesure de me mouvoir. «Ils … ils bougent encore …», dis-je, même si en tant que future vétérinaire j'avais appris que c'était les nerfs. J'entends marmonner: «Mince alors, il y en a un qui a fait une faute, il n'est pas tout à fait mort». Un frémissement spectral agite de partout les moitiés de bêtes. C'est un lieu d'horreur. Je suis glacée jusqu'à la moelle.

Rentrée à la maison, je me couche sur mon lit, les yeux au plafond. Passer les heures, les unes après les autres. Chaque jour. Mon entourage réagit avec irritation. «N'aie pas l'air si renfrognée; fais donc un sourire. Tu voulais absolument devenir vétérinaire». Vétérinaire, oui, mais pas tueuse d'animaux. Je ne peux pas me retenir. Ces commentaires. Cette indifférence. Cette évidence de meurtre. Je voudrais, je dois parler, dire ce que j'ai sur le cœur. J'en étouffe. Je voudrais raconter ce que j'ai vu sur le cochon qui ne pouvait plus marcher, progressant tant bien que mal sur son train arrière, jambes de côté; sur les cochons qui reçoivent des coups de trique et de pied jusqu'à ce qu'ils finissent par entrer dans le box d'abattage. Ce que j'ai vu en me retournant: comment l'animal est scié devant moi et accroché en oscillant: morceaux de muscles partagés en deux parties égales à partir de l'intérieur des cuisses. Nombre d'abattages par jour 530, jamais je ne pourrai oublier ce chiffre.

Je voudrais parler de l'abattage des bovins, de leurs doux yeux bruns, remplis de panique. De leurs tentatives d'évasion, de tous les coups et les jurons, jusqu'à ce que la misérable bête soit finalement prisonnière de l'enclos fermé par des barres de fer et une serrure à double tour, avec vue panoramique sur la halle où ses compagnons d'infortune sont dépouillés de leur peau et coupés en morceaux; puis l'avancée mortelle, et dans le moment qui suit la chaîne que l'on accroche à une patte arrière et dont l'animal tente vainement de se débarrasser en la projetant vers le haut, tandis que, déjà, par en-dessous, sa tête est tranchée. Des flots de sang qui giclent à profusion du corps sans tête, tandis que les pattes se recroquevillent … Raconter à propos des bruits atroces de la machine qui arrache la peau du corps, du geste du doigt, circulaire et automatisé, pour ôter le globe de l'œil de son orbite – artère sectionnée, saignante, coulant à flot à l'extérieur – et le jeter dans un trou à même le sol, où il disparaîtra parmi tous les «déchets». Le bruit provenant des envois sur le dévaloir en aluminium usé, des abats retirés du cadavre décapité et qui ensuite, sauf le foie, le cœur, les poumons et la langue – destinés à la consommation – sont aspirés dans une sorte de collecteur d'ordures.

C'est vrai que je voudrais raconter qu'il arrive toujours qu'au milieu de ces montagnes visqueuses et sanguinolentes se trouvera un utérus gravide, et que j'ai vu des petits veaux déjà tout formés, de toutes les tailles, fragiles et nus, les yeux clos, dans une enveloppe utérine qui n'est plus en mesure de les protéger – le plus petit aussi minuscule qu'un chat nouveau-né, et quand même une vache en miniature, le plus grand au poil tendre et soyeux, d'un blanc cassé, avec de longs cils autour des yeux, dont la naissance devait avoir lieu quelques semaines plus tard. «Est-ce que ce n'est pas un miracle, ce que la nature crée?» constate le vétérinaire de service cette semaine-là, en jetant l'utérus avec le fœtus ensemble dans le gargouillant moulin à déchets. J'ai maintenant la certitude qu'aucun dieu ne peut exister puisqu'aucun éclair ne vient du ciel pour punir tous ces forfaits commis ici-bas, et que ceux-ci se perpétuent interminablement. Ni pour soulager la vache maigre et pitoyable qui, à mon arrivée à 7 heures le matin, se traîne à bout de force, au prix d'efforts désespérés, dans le couloir glacé, plein de courants d'air, et s'allonge juste devant le box de la mort; pour elle, il n'existe aucun dieu, ni personne d'ailleurs, pour lui donner une petite tape pour l'aider. Avant tout, il faut traiter le reste des animaux prévus pour l'abattage. Quand je quitte à midi, la vache est encore couchée et tressaille; personne en dépit d'instructions répétées n'est venu la délivrer. J'ai alors desserré le licou qui lui tranchait impitoyablement la chair et lui ai caressé le front. Elle m'a regardé avec ses grands yeux, et j'ai alors appris en cet instant que les vaches pouvaient pleurer.

Mes mains, ma blouse, mon tablier et mes bottes sont barbouillés du sang de ses congénères: pendant des heures, je suis restée à la chaîne, en train de couper des cœurs, des poumons et des foies. J'ai déjà été prévenue: «Avec les bovins, on est toujours totalement immergé!». C'est cela que je voudrais communiquer, afin de ne pas porter seule le fardeau, mais dans le fond il n'y a personne qui veuille m'écouter. Ce n'est pas qu'au cours de cette période on ne m'ait pas souvent assez posé la question: «Et à l'abattoir, comment ça va? Moi, en tout cas, je ne pourrais pas le faire». Avec mes ongles enfoncés dans les paumes des mains je gratte les lunules jusqu'au sang pour ne pas frapper ces visages apitoyés, ou pour ne pas jeter le téléphone par la fenêtre; pleurer, voilà ce que je voudrais faire, mais depuis que j'ai vu ce spectacle quotidiennement, chaque cri s'est étouffé dans ma gorge. Personne ne m'a demandé si je pouvais tenir. Les réactions à des réponses si parcimonieuses trahissent le malaise à ce sujet. «Oui, cela est tout à fait terrible, aussi nous ne mangeons plus que rarement de la viande». Souvent je m'encourage: «Serre les dents, tu dois tenir, bientôt tout cela sera derrière toi». Pour moi, que le massacre continue jour après jour est l'une parmi les pires manifestations d'indifférence et d'ignorance. Je pense que personne n'a compris que ce ne sont pas ces six semaines à surmonter qui sont importantes, mais bien ce monstrueux meurtre de masse, qui se renouvelle des millions de fois, et dont sont responsables tous ceux d'entre nous qui mangent de la viande. En particulier, tous ceux qui se prétendent amis des animaux et mangent de la viande: ils ne sont pas dignes de confiance. «Arrête, ne me coupe pas l'appétit!». C'est aussi avec ce type de réaction que plus d'une fois je suis restée muette. Parfois le ton monte: «Mais tu es une terroriste, toute personne normale doit rire de toi». Comment s'en sortir seule dans de tels instants? Il m'arrive d'aller regarder le petit fœtus de veau que j'ai ramené à la maison et que j'ai mis dans du formol. ‘Memento mori'. Et laisser en rire les «gens normaux».

Les choses deviennent abstraites quand on est entouré de tant de morts violentes; la vie à titre individuel apparaît alors comme infiniment dénuée de sens. Quand je regarde les rangées anonymes de cochons transportés sous la même forme à travers la halle, je me demande: «Les choses seraient-elles différentes si à la place de cochons, il y avait des humains?». D'autant plus que l'anatomie de la partie arrière de l'animal, épaisse, parsemée de pustules et de taches rouges, rappelle étrangement ce que l'on peut voir sur les plages ensoleillées des vacances: des amas de graisse débordant des maillots de bain trop étroits. En outre, les cris qui retentissent interminablement dans la halle d'abattage quand les animaux sentent approcher la mort pourraient provenir de femmes et d'enfants. Ne plus faire la différence devient inévitable. Il y a des moments où je pense: Arrêter, cela doit s'arrêter. Pourvu qu'il fasse vite avec la pince électrique, pour qu'enfin cela s'arrête. «Beaucoup d'animaux ne crient pas» a dit une fois l'un des vétérinaires, «alors que d'autres se figent comme des statues en se mettant à crier sans aucune raison». Je me demande pour ma part comment ils peuvent rester immobiles et «crier sans aucune raison». Plus de la moitié du temps de stage est écoulé lorsque je pénètre enfin dans la halle d'abattage pour pouvoir dire: «j'ai vu». Ici se termine le chemin qui débute à la rampe de déchargement. Le lugubre corridor sur lequel débouchent tous les enclos se rétrécit jusqu'à une porte ouvrant sur un box d'attente ayant une capacité de 4 ou 5 cochons. Si je devais décrire en image le concept de «peur», je le ferais en dessinant des cochons blottis les uns contre les autres contre une porte fermée, et je dessinerais leurs yeux. Des yeux que plus jamais je ne pourrai oublier. Des yeux que chacun d'entre nous qui veut manger de la viande devrait avoir regardés.

Les cochons sont séparés à l'aide d'une trique en caoutchouc. L'un d'entre eux est poussé en direction d'un espace fermé de tous côtés. Il crie, et comme souvent le gardien a encore autre chose à faire, l'animal essaye de reculer et s'évader par l'arrière jusqu'à ce qu'enfin, à l'aide d'une clapet électrique, il puisse verrouiller l'issue. Par une pression sur un bouton, le sol de l'enclos est remplacé par une sorte de traîneau mobile sur lequel le cochon se retrouve à califourchon, ensuite une deuxième coulisse s'ouvre devant lui et le traîneau avec l'animal glisse vers l'avant dans un autre box. Là une brute de boucher chargé de l'abattage – je l'ai toujours appelé en moi-même Frankenstein – branche les électrodes. Une tenaille d'étourdissement à trois points, comme le directeur me l'a expliqué. On voit dans le box le cochon qui tente de se cabrer, puis le traîneau est brusquement retiré et la bête, palpitante, s'affaisse dans un flot de sang en agitant nerveusement les pattes. Ici l'attend une autre brute de boucher, qui sûr de sa cible, enfonce le couteau en-dessous de la patte avant droite du cochon; un flot de sang foncé gicle et le corps s'affaisse vers l'avant. Quelques secondes plus tard, une chaîne de fer se referme sur une des pattes arrière de l'animal qui est hissé vers le haut; la brute de boucher dépose alors son couteau, s'empare d'une bouteille de cola souillée, déposée à même le sol recouvert d'une couche de sang d'au moins un centimètre, et en boit une gorgée.

Je décide de suivre les cadavres qui, balancés à leur crochet, et saignant abondamment, sont dirigés vers l' «enfer». C'est ainsi que j'ai dénommé la pièce suivante. Celle-ci est haute et noire, pleine de suie, de puanteur, de fumée. Au terme de plusieurs virages au cours desquels le sang se déverse encore à flots, la rangée de cochons arrive à une sorte d'immense four. C'est là que la soie du porc est éliminée. Les corps des animaux tombent par une sorte d'entonnoir à l'intérieur de la machine. On peut y voir à l'intérieur. Les flammes jaillissent et, pendant quelques secondes, les corps sont secoués de tous côtés, et semblent accomplir une danse grotesque et trépidante. Ils sont ensuite largués de l'autre côté sur une grande table où ils sont immédiatement attrapés par deux grosses brutes de bouchers qui commencent par enlever les parties de la soie qui n'ont pas été éliminées, puis grattent les orbites oculaires et séparent les sabots des pattes. Tout cela se déroule très rapidement, le travail s'effectue en plein accord. Pendues aux crochets par le tendon des pattes postérieures, les bêtes mortes sont alors dirigées vers un châssis métallique contenant une sorte de lance-flammes. Dans un bruit assourdissant, le corps de l'animal est soumis à un jet de flammes qui l'espace de quelques secondes l'enveloppe tout entier. La chaîne mobile se met alors à nouveau en mouvement et emporte les corps dans la halle suivante, celle-là même où je me suis trouvée durant les trois premières semaines. Là les organes sont retirés et apprêtés sur la bande mobile supérieure. La langue est palpée, les amygdales et l'œsophage détachés et jetés, les ganglions lymphatiques coupés, les poumons mis aux déchets, la trachée-artère et le cœur ouverts et les échantillons pour l'examen de trichine prélevés, la vésicule biliaire extirpée, et le foie examiné à cause de la présence possible de poches de vers. Beaucoup de porcs ont des vers et si leur foie en est rempli, il doit être jeté. Tous les autres organes, comme l'estomac, les intestins, l'appareil génital, sont envoyés au rebut. Sur la bande mobile inférieure, le reste du corps est apprêté: divisé en morceaux; les articulations coupées; l'anus, les reins et les parties graisseuses entourant les reins enlevés; le cerveau et la moelle épinière retirés, etc., et ensuite une marque est imprimée sur l'épaule. Le cou, le bas du dos, l'abdomen et les cuisses sont préparés pour la pesée, puis dirigés vers la chambre froide. Les animaux jugés impropres à la consommation sont «provisoirement écartés». Pour le marquage, qui est une opération effectuée dans la sueur sur des cadavres tièdes et visqueux qui pendent très haut en fin de bande, il faut faire très vite quand on n'a pas l'habitude: on risque de se faire assommer par les moitiés de bêtes qui arrivent en force devant la balance et s'entassent les unes sur les autres avec violence.

Je ne dirai pas le nombre de fois que j'ai laissé mon regard errer sur l'horloge murale de la salle de pause! Mais ce qui est sûr, c'est qu'en aucun autre endroit au monde le temps ne passe plus lentement qu'ici. Un temps de pause est octroyé au milieu de la matinée, et c'est essoufflée que je me précipite aux toilettes, et que tant bien que mal je me nettoie du sang et des lambeaux de chair; c'est comme si cette souillure et cette odeur allaient s'accrocher à moi pour toujours. Sortir, seulement sortir d'ici. Je n'ai jamais pu avaler quoique ce soit comme nourriture dans ce bâtiment. Soit je passe mon temps de pause, aussi froid qu'il puisse faire dehors, à courir jusqu'à la clôture en fils de fer barbelés et regarde au loin les champs et l'orée du bois, et j'observe les corneilles. Ou alors je traverse la rue et me rends au centre commercial où je peux me réchauffer en buvant un café dans une petite boulangerie. Vingt minutes après, on est de nouveau à la chaîne. Manger de la viande est un crime. Jamais plus ceux qui mangent de la viande ne pourront être mes amis à nouveau. Jamais, jamais plus. Je pense que tous ceux qui mangent de la viande devraient être envoyés ici, et voir ce qui s'y passe, du début à la fin.

Je ne suis pas restée ici parce que je veux devenir vétérinaire, mais parce que les gens veulent manger de la viande. Et pas seulement cela: mais parce qu'en plus ce sont des poltrons. Leur escalope blanchie, stérile, achetée au supermarché, n'a plus les yeux qui déversent des flots de larmes de frayeur devant la mort, pas plus qu'elle ne hurle quand le couteau va frapper. Vous tous qui vous nourrissez des cadavres de la honte, cela vous est soigneusement épargné, vous qui dites: «Non, moi, cela je ne pourrais pas le faire».

Un jour, un paysan est venu, accompagné de son fils, âgé de 10 ou 11 ans, pour faire analyser un échantillon de viande pour la trichine. En voyant l'enfant aplatir son nez contre la vitre, j'ai pensé que si les enfants pouvaient voir toute cette horreur, tous ces animaux tués, il y aurait peut-être un espoir de changement. Mais j'entends encore l'enfant crier à son père: «Papa, regarde là, quelle énorme scie!..»

Le soir, à la télévision, on annonce aux informations: «mystère non encore résolu» à propos du meurtre perpétré sur une jeune fille, assassinée et coupée en morceaux et je me rappelle la frayeur générale et le dégoût de la population devant cette atrocité. Je dis: «Des atrocités semblables, j'en ai vues 3700 rien qu'en une semaine». Maintenant, je ne suis plus seulement une terroriste, mais encore je suis malade, là-haut, dans ma tête. Car je ressens non seulement de l'effroi et de la répugnance envers le meurtre commis sur un être humain, mais aussi envers ceux commis sur des animaux des milliers de fois en une seule semaine et dans un seul abattoir. Etre un humain, cela ne signifie-t-il pas dire non et refuser d'être le commanditaire d'un meurtre à grande échelle – pour un morceau de viande? Etrange nouveau monde. Il est possible que les tout petits veaux trouvés dans l'utérus déchiré de leur mère, et qui sont morts avant même d'être nés, ont encore connu le moins mauvais sort d'entre nous tous.

D'une manière ou d'une autre, le dernier de ces interminables jours est enfin arrivé et j'ai reçu mon certificat de stage, un chiffon de papier, cher payé si tant est que j'ai jamais payé cher quelque chose. La porte se referme; un timide soleil de novembre m'accompagne depuis la cour de l'abattoir jusqu'à l'arrêt du bus. Les cris des animaux et le bruit des machines s'estompent. Je traverse la rue alors qu'un gros camion à remorque amenant du bétail prend le virage pour entrer dans l'abattoir. Il est rempli sur deux étages de cochons, serrés les uns sur les autres.

Je pars sans un regard en arrière car j'ai porté témoignage et, à présent, je veux essayer d'oublier et de continuer de vivre. A d'autres de lutter maintenant; moi, ce sont ma force, ma volonté et ma joie de vivre qui m'ont été pris et remplacés par un sentiment de culpabilité et de tristesse paralysante. L'enfer est parmi nous, des milliers et des milliers de fois, jour après jour.

Une chose nous reste pourtant, et pour toujours, à chacun: Dire Non. Non, non et encore non!

Meet your Meat : vidéo d'abattoir
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Sujet: 
Euh....... tu m'avais averti de quoi ???????????????????????????
Auteur-e: 
yogi
Date: 
Sam, 2003-08-30 18:50

Labourre, tu présumes que je suis un universitaire "brainwashé", alors que tu n'as aucune preuve de ce que tu avances. Je ne suis pas ici pour faire ton procès, j'essaie seulement de comprendre ce que tu essaies de m'expliquer. Lorsque je t'ai demandé plus tôt si tu mangerais ton voisin en sachant qu'il est en pleine santé voici ce que tu m'as répondu: " la plupart des maladies ne sont pas transmissible de l'animal a l'homme alors qu'une maladie de l'homme peut facilement se transmettre a un autre homme ", puis tu as continué en écrivant: " c'est tres compliqué savoir si tel tel personne a une maladie car plusieurs maladie n'ont pas de symptome apparent. Parfois aussi ca peut etre des intoxication et non des virus moins detectable."
Que dois-je penser de cette réponse ?

Il y a dans certains de tes propos, des choses avec lesquelles je suis tout-à-fait d'accord, comme celle où tu écrits que certains Hindous sont très cruels avec leurs animaux. Je suis d'accord avec toi. L'industrie du cuir en Inde est une industrie particulièrement cruelle et je sais aussi de quelle façon barbare sont traîtés les éléphanteaux et autres animaux sauvages dans ce pays. Je remarque également qu'il y dans certains de tes commentaires, des choses avec lesquelles tu es totalement d'accord avec moi mais que tu viens réécrire à ta façon, comme si tu essayais de me contredire (?) Bref, la communication est difficile.

Ce que j'essaie de comprendre est pourtant très simple: Pourquoi, tout en reconnaissant que les animaux sont des être sensibles et qu'ils peuvent souffrir, tu continues de les manger ? Est-ce parce que tu te sens supérieur à eux ? Le fait d'être plus intelligent ou plus habile, te donne-t-il le droit d'exploiter des êtres moins doués ou plus faibles que toi, qu'ils soient hommes ou animaux. D'ailleurs, je te fais remarquer que dans toute l'Histoire "humaine" , cette soit disant supériorité est, et a souvent été un prétexte à commettre des génocides.

Les animaux ne sont pas moins importants que nous, ils sont aussi importants. Oublies-tu que toi aussi tu es un animal ? Même si les animaux n'ont pas la capacité de s'exprimer de la même façon que toi, ils ont le droit au respect et à la vie. La "viande" n'est absolument pas nécessaire à l'humain. L'homme mange de la viande par tradition, par habitude, par gourmandise. (Et encore une fois, je ne parle pas des gens qui doivent chasser pour survivre).


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Sujet: 
Tu ramene tout a superiorité
Auteur-e: 
Labourre
Date: 
Sam, 2003-08-30 19:27

Et tu prend une partie de mon discours sans tout le reste car j'explique tres clairement pourquoi je suis contre le cannabilisme et sur bien des niveaux je suis en desacord avec toi. La superiorité n'a aucun but c'est la nature. Si un lion tu lui donne l'inteligence et voire meme la conscience il tue pour se penser superieur? Tu fais un lien tres grossier voir idiot entre les genocides et ceux qui mangent de la viande. Comment peut tu etre si idiot et manquer de consequence. Toi tu es le genre de personne qui pense que si une personne voit une fois elle va se piquer le lendemain. Moi j'avais un CHIEN c'était un batard mélande Berger Allemand et Colley. J'Ai jamais vu ca un chien agressif comme ca avec les autres chiens(Seulement les plus gros que lui).n va pas necessairement avec l'autre. L'homme mange de la viande car il en a toujours manger et ce depuis des millenaires, par necessité car il y avait souvent rareté de vegetaux mais aussi parce qu'il aime ca et non par gourmandise comme tu ose dire. Continue ta propagande totalitaire fsciste je vais toujours etre la pour vous reduire en miette je vais etre la bouche des millers d'autre qui sont tanné de vous entendre raler. Si vous seriez pas si totalitaire les gens vous ecouteraient. Continue ma faire comme Madox(un vrai fou) prone pour tous les animaux tu mangera pas ma en manger 3. C tu cool?


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Sujet: 
Quelle agressivité !
Auteur-e: 
yogi
Date: 
Sam, 2003-08-30 19:47

Est-ce ta consommation de cadavres, qui te rend si agressif Labourre ? Allez, mon p'tit, vas te calmer un peu les nerfs avant de faire sauter le couvercle de ta marmitte !


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Sujet: 
Ah non je ne suis pas agressif merci du petit line gratuit
Auteur-e: 
Labourre
Date: 
Sam, 2003-08-30 20:41

Tu es le maitre des petits liens gratuits et ce que tu appelle agressivité j'appelle ca vérité. Je ne me cache par derriere les mots. Je te dis ce que tu es car tu ne peux relativé. tu es totaliteur et ne peut accepter l'autre. Oui je mange de la viande et j'ai rencontré trois idiots dans ma vi qui m'on frappé les 3 fois je sui resté de marbre devant eux et je continuait a leur parler comme si leur coup n'était que des petites chiquenaude. Compertement d'une personne agressive? Vous jouez avec les mots, le novlangue c'Est pas encore pour aujourd'hui mon gars. Quand une personne dit a personne que ce qu'il dit est idiot parfois c'Est vrai. LA personne qui traite l'autre d'idiot n'est pas necessairement agressive(tout le monde dit des idioties et une gars averti en vaut 2) Apelle ca de l'Agressivité moi j'appele de la defense face a un agresseur qui veut imposer son mode de vie aux autres. Va dont lire plus bas comment je demolis ta desinfo. Pis repond moi la au lieu de pointer du doigt mais exces comme un jeune de dix ans feraient apres avoir agacer pendant des heures et des heures


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Sujet: 
Respires par le nez Labourre, même si l'air est pollué !
Auteur-e: 
yogi
Date: 
Dim, 2003-08-31 10:27

Tu me traîtes d'idiot et tu t'insurges contre le fait que je dénonce ton agressivité ? Non seulement es tu très agressif dans tes propos Labourre, mais en plus tu es un grossier personnage. Un rustre.
Tout d'abord, permets-moi de te faire remarquer que le site dans lequel tu te trouves a pour titre: SORTIR DE LA PENSÉE UNIQUE. Ta pensée à toi, est celle de la majorité de tous ces consommateurs de cadavres qui sont persuadés que leur façon de s'alimenter est la seule et unique façon de vivre. Après avoir lu tous tes commentaires, il est évident que tu ne fais pas exception à cette majorité de consommateurs à "pensée unique". Conséquemment, ce qui me tarabuste, c'est que je ne comprend pas le but que tu cherches à atteindre, en essayant par tous les moyens d'écraser ceux qui se trouvent sur ce site et qui sortent justement de cette pensée unique. De quoi as-tu peur ? Que du jour au lendemain, tu ne sois plus en mesure de retrouver sur la tablette de ton épicerie IGA, ton gros rôti de vache laitière ou ton gros rôti de cochon ? Ça arrivera peut-être un jour, mais rassures-toi, ça n'est pas pour demain, et surtout pas au Québec !
Tu n'as pas compris, malgré tout ce que d'autres et moi-même essayons de t'expliquer depuis le début, que les réels agresseurs, ce sont justement ceux, qui comme toi, imposent leur mode de vie à ceux qui ne veulent pas faire partie de cette majorité d'" aveugles ". Tu n'as pas compris que les vrais agresseurs, ce sont toi et tous ces autres qui ne veulent absolument pas sortir de la "pensée unique ", qui ne veulent pas évoluer, qui ne veulent pas se remettre en question.
Je me sens agressé, chaque fois que je rentre dans un supermarché. La vue et l'odeur de tous ces étalages de morceaux de cadavres me lèvent le coeur. Je suis également écoeuré qu'on me force à subventionner une industrie pour laquelle je suis totalement opposé. Écoeuré de respirer l'odeur du purin, écoeuré de voir l'environnement se détériorer de plus en plus parce qu'on veut continuer de faire plaisir aux consommateurs de cadavres tout en remplissant les coffres des gouvernements. Écoeuré qu'on martyrise des animaux, etc. etc. etc. etc. Toi, tu te défends contre des agresseurs qui ne sont, encore pour l'instant, que minoritaires et c'est réellement étonnant de voir à quel point cela te rend méchant. Ça en est presque risible !
Bon dimanche quand même Labourre.


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Sujet: 
Tu impose ton mode de vie
Auteur-e: 
Labourre
Date: 
Dim, 2003-08-31 13:05

Tu fais de la projection tu n'Est qu'un mirroir tu ne fais que reflechir comme le mirroir fait. Je ne t'ais pas traité d'idiot mais j'ai dit que tu dis des idioties. C'est tres different. C'est ca ton probleme est dans ta tete tu vois en l'homme un agresseur comme les feministes fou. T'es pas mieux. C'est quoi le rapport avec le gouverment. En principe ca rend maldade la viande d'apres vous donc ca doit vider les coffres du gouvernements. Tu le dis toi meme tu te sens agressé apres que'est-ce tu fais tu agresse les autres. Tu n'Es pas capable de respectecter le choix de l'Autre. Les vegetaliens vont rester minoritaire et je vais veiller personnelement a que votre propagande soit contredis. Tu le dis je me defend contre des agresseurs. Moi je t'Agresse tu es le probleme pas moi. Je sais vire et respecter les autres et pas toi. Tu es l'agressif agresseur toi meme tu le dis dans ton paragraphe plus haut. Vous agresser autant les plantes que les ominivores les animaux. La vie doit tuer pour vivre et c'Est une loi de la nature. Et ca rien a voir avec vivre pour tuer. La vegenar, la yogi vous venez juste de me prouver une votre intransigeance et votre intolerance envers le reste du l'humanité. Tu disais pas que¸mon agressivité venait de la viande? et la tienne? YOGI tout les gens disent des idioties meme les plus brillants. La tu viens de me montrer que tu es maitre dans cet art.

Bonne Semaine ai beaucoup de plaisirs a hair le reste de l'humanité mon ti fasciste.


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Sujet: 
Quel culot !
Auteur-e: 
yogi
Date: 
Dim, 2003-08-31 14:38

Tu as le culot de m'écrire que tu ne m'as pas traité d'idiot ??????? Et ces mots que tu as écrits, que sont-ils donc alors ??????????? Non seulement tu m'as traité d'idiot mais tu continues à m'insulter en me traitant de fasciste....

pauvre idiot de mauvaise foi (Message du samedi, 08/30/2003 - 13:24)

Comment peut tu etre si idiot et manquer de consequence.(Message du samedi, 08/30/2003 - 20:27)

Bonne Semaine ai beaucoup de plaisirs a hair le reste de l'humanité mon ti fasciste.(Message du dimanche, 08/31/2003 - 14:05)

Tu es de plus en plus pitoyable mon pauvre Labourre. Continues donc de pisser dans ton violon, si cela peut te soulager.


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Sujet: 
Ahaha
Auteur-e: 
Labourre
Date: 
Dim, 2003-08-31 15:15

Coupable je le suis j'Assume ce que j'ai dit. Mais remets les tous en contexte ce que tu ne fais pas. Tu vas voir que c'est partout un de tes résonnement(cloche?) que je traitais d'idiot. Il y a une chose je me suis toujours demander c'est pourquoi quand quelqu'un se fait unsulter vire fou? Si tu te sens pas visé par l'insulte elle devrait glissé sur toi comme l'eau sur le dos d'un canard. Non? Ais-je dis canard? Les Bernaches du Canada tu connais? En ce moment il y a surpopulation. Et c'Est grandement du au fait que l'homme ne les chassaient plus. Tu a deja vu ce qu'on leur fait aux etudes-unis en ce moment pour regler ce "probleme" Ca c'Est sauvage. Et de plus il ne le font meme pas pour les manger. L'homme que tu le veuille ou pas est au dessus de l'animal inconscient comme il est au dessus des plantes. Tu place toi meme la plante inferieur a l'animal inferieur. Superiorité et inferiorité il y a. C'est la vie c'est la nature. Il faut accepter ce role au lieu de le renier. Vous vous reniez ce role et vous manger de quoi d'encore plus inférieur s'en prendre aux faibles faibles c'Est mieux? C'est pareil. Pas pire uo moins pire c'Est pareil. Tu comprend pas?

L'homme est le seul, qui a partir du savoir que 2+2 font 4, peut extrapoler pour toutes les autres equations. Ca c'est du raisonnement les animaux eux fonctionnent que par association et apprentissage.

Fasciste tu es car tu veux imposer ton mode de vie et tu hais ceux qui sont viandard. Continue comme ca Yogi et tu vas mourir jeune, la haine, le ressentiment, la peur, fait vieillir tres vite. Tu devrais apprendre a pardonner et a accepter l'autre comme il est


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Sujet: 
Mêmes commentaires = Même réponse
Auteur-e: 
yogi
Date: 
Dim, 2003-08-31 18:50

Contrairement à ce que tu crois, tes insultes ne me touchent pas Labourre. J'ai seulement voulu te faire avouer que ce que tu niais quelques messages plus tôt (tu niais que tu ne m'avais pas traité d'idiot) était faux - tout simplement.
Tu ne m'apprends absolument rien Labourre, même quand tu viens me parler de la tuerie des Bernaches du Canada. Je suis au courant de tous les massacres que l'homme fait subir aux plus faibles que lui et ce, dans les moindres détails. Tu sautes constamment d'un sujet à un autre pour éviter de répondre aux questions ou éviter d'avoir à approfondir un sujet. Dès que cette nouvelle discussion est apparue, "Témoignage d'une étudiante en médecine vétérinaire en stage dans un abattoir", tu t'es empressé de lancer un débat interminable sur le SIDA, puis sur la souffrance des plantes, puis sur l'orgine de l'homme, les OGM, alors que le thème principal de ce débat, est la souffrance des animaux de "boucherie", discussion à laquelle tu n'as à peu près rien apporté d'objectif et même si tu aimes bien ajouter à ton pseudonyme: " L'empêcheur de tourner en rond ", tu tournes en rond comme une girouette. Je le répète encore une fois, puisque ça ne semble pas vouloir rentrer dans ton cabochon de bidochon: L'homme n'est pas supérieur à l'animal. TOUS les animaux y compris l’homme sont égaux. Même si l'humain est " différent " des autres animaux, comme l'oiseau est différent d'un chien, chaque être a ses caractéristiques propres qui permettent de le différencier de tous les autres, mais cela ne lui donne aucun motif de supériorité.

« Tant que les hommes massacreront les bêtes, ils s’entre-tueront. Celui qui sème le meurtre et la douleur ne peut, en effet, récolter la joie et l’amour ». Pythagore


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Sujet: 
Meme reponse a un commentaire aussi idiot que l'autre
Auteur-e: 
Labourre
Date: 
Lun, 2003-09-01 13:18

Et désoler mais je te suis, je ne lance pas des débats interminables je prend tes arguments et meme si il faut que j'aille loin pour demontrer qu'ils sont IDIOT (a non pas encore ce mot) Le sida n'est n'est pas donné par la viande comme tu le laissais entendre. Les indoux sont des barbares et tu les vantais, ils sont bon avec leur vaches eux ils sont a majorité végétarien etc. Pourtant c'est des vrais sauvages. Ils sont tres brutaux avec les animaux. Alors apres que j'ai mis en lumiere ce fait, tu as reviser tes positions pour te rallier de mon bord. Ensuite je t'ai parler de la Bernache du Canada, tu m'as dis que c'etait horrible. Qu'est-ce qui est horrrible? En ce moment ils n'ont plus de predateur naturel donc le nombre d'individu augmente tres rapidement. Et parce qu'ils sont trop des comportement homosexuel sont apparu dans les clans". Et parce qu'ils sont trop, ils dérangent dans des parcs, l'homme les tue de facon barbare seulement pour une raison : limité la surpopulation. Mais si l'homme aurait eu le droit de chaser cet oiseau il n'aurait pas eu de surpopulation si l'homme avait chassé cet oiseau pour ce nourrir. Le discours sur les ogm est aussi necessaire car vous en manger des tonnes et vous ne le savez pas. Meme le "bio" n'est pas tres reglementé. J'ai parlé beaucoup du fait qu'on peu éviter toute souffrance a la bete et meme quelle soit heureuse lors de son élevage. Bon la j'entre dans le vif du sujet LA SUPERIORITÉ, le fondement de votre argumentation. L'homme est superieur a la bette autant physiquement que mentalement. Superiorité il y a. Que tu le veuille ou non. T'as oublié t'es mathematique? " est different de 3. Mais il est aussi inferieur a 3. Different et = sont contraire. Quand une personne est plus grande qu'une autre elle lui est SUPERIEUR en grandeur. EGALITÉ n'existe pas. Ca est un beau gros mensonge que l'élite radotte. Exactement comme dans les regimes communistes ou l'on disait que tout le monde est egal. Tu dis que l'homme n'est pas superieur a l'animal mais il est superieur a la plante. Tu t'engages sur un terrain glissant la mon pauvre yogi. Tu reni une superiorité mais tu admets qu'elle existe. Tu veux je te dise ce que tu fais. Tu fais pareil comme les femmes et les gays tu joues avec la notion d'égalité. Et tu fais comme eux tu utilises le victimiste. Le victimiste des animaux. Les pauvres animaux victimes. Certains le sont oh que oui. Et contre ca je suis avec toi. Mais de la a plus en manger a briser la chaine alimentaire et des millions d'années d'évolution par des "pseudo bon sentiments" c'est deux. Le monde est deja assez dereglé comme ca pour qu'on l'empire. Les etre vivant doivent tuer pour vivre. Et malheuresement ils ne choisisent pas leur régime, LA NATURE L'A FAIT.

Pythagore ce grand homme. Hors de son epoque. C'Est loi mathematique vienne d'etre redecouvert. Comment est-il possible qu'un homme antique soi si actuelle? Tu savais que se grand homme fesait parti d'une secte tres secrete? Du nom de pentagramme. L'etoile a cinq branches, qui pour plusieurs symbolistes, et l'insigne du mal. Il decouvert pi,l'hypotenus,la mesure des angles, et beaucoup d'autre chose. Etrange pour un Ancetre secret. Pentagramme, la belle etoile. Bizarrement ce mot ne fait plus parti des dictionnaire moderne. Pourquoi? Fini le délire lol. Pauvre Yogi tu sors une chose ou une autre et j'y vais en profondeur question de demontrer que ce que tu dis ne se fonde sur rien. Ou qu'on devrait pas prendre ca pour du cash. Et plus tu braille plus je vais aller loin.


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Sujet: 
Tu es le genre qui a le un raisonement simplet
Auteur-e: 
Labourre
Date: 
Dim, 2003-08-31 13:18

Du style si lui boit aujourd'hui il va se piquer demain. Si il tue des insectes étant jeune il va etre meutrier demain. Il est boucher, c'est pour ca qu'il est agressif, ca me surprendrait pas si demain il tue une personne. C'est vraiment plus que simplet comme raissonement mais c'Est le genre d'association tu fais. Et c'est désolant de voir qu'un espece évolé puet penser comme ca


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Sujet: 
Assassins et martyriseurs d'animaux: Il y a lien
Auteur-e: 
yogi
Date: 
Dim, 2003-08-31 14:52

La plupart des assassins ont d'abord commencé par torturer des animaux... En voici quelques exemples:

JEFFREY L. DAHMER

Jeffrey Dahmer a admis avoir tué et démembré l7 hommes et adolescents. Dans son enfance, Dahmer empalait des chiens et pendaient des chats à des arbres. Emprisonné, Dahmer a été tué par un autre prisonnier en l994.

EDMUND EMIL KEMPER III

Edmund Kemper a tué 8 femmes incluant sa propre mère. Dans son enfance, Edmund tuait les chats de son voisinage et clouait leurs têtes sur des pôteaux. Ils les enterraient parfois vivants. Il coupait aussi le dessus des crânes de chats avec une machette, les décapitait et les coupait en petits morceaux. C'est ce qu'il a fait à sa mère lorsqu'il l'a tuée.

ALBERT DESALVO

L'étrangleur de Boston accusé d'avoir tué l3 femmes en l962-l963 capturait des chiens et des chats dans son enfance. Il plaçait les animaux dans des boîtes de bois et s'amusait à les transpercer avec des flèches.

LUKE WOODHAM (Pearl, MS)

À l6 ans, Luke Woodham a poignardé sa mère à mort, s'est rendu dans un collège et a abattu 2 étudiants et blessé sept autres. Précédent ce crime, Woddham avait écrit dans son journal, que lui et un de ses amis avait battu, brûlé et torturé à mort son chien Sparkle et décrivait cet acte comme en étant un d'une indescriptible beauté!

KIP KINKEL (Springfield, Oregon)

À l5 ans, Kip Kinkel a tué sa mère et son père et deux compagnons d'école, en blessant 22 autres durant cette attaque. Il était très violent et racontait à ses amis comment il aimait torturer des animaux. Il a également tué une vache.

ERIC HARRIS and DYLAN KLEBOLD (Littleton, Colorado)

Eric Harris l8 ans et Dylan Klebold l7, ont apporté des armes et des bombes dans une école secondaire et ont tué l2 étudiants et un professeur avant de s'enlever la vie. Plusieurs de leurs amis ont dit qu'Harris aimait transpercer des têtes de souris et les faire brûler! Les parents de Dylan savait qu'il avait des armes à la maison mais ils pensaient qu'il ne s'en servait que pour tuer des oiseaux.

Source: http://www.hsus.org/firststrike/news/index.html


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Sujet: 
Pauvre amateur
Auteur-e: 
Labourre
Date: 
Dim, 2003-08-31 15:23

Tu parles des tueurs eux c'etaient des fous. Ils en voulaient a la vie. Alors ils ont commencé a tuer jeune. Etant jeunes et faibles ils s'en sont pris a des etres "inferieurs". Arrete ce petit jeu Idiot(a non pas encore ce terme si vulgaire) Dans ce monde il y des millions de boucher et aucun n'est un meutrier. Ton lien tu le fais a l'envers pour induire les gens en erreur. Et ca c'Est tres grossier(Voir la définition du dictionnaire). " ou 3 meutrier on commencer sur des animaux donc ceux qui tuent des animaux vont devenir des meurtrier. Wow vas-y a l'envers (a l'Endroit?) des millions de personnes sont boucher une tres faible minorité (estimation personnel 0,01%) sont des violents pathologiques voir meutrier, donc Boucher = pas meutrier ceux qui le sont, sont l'exception qui confirme la regle.

Vas-y continue ta propogande plus tu continue moin ta parole vaut de quoi. Tu te dicredites tout seul.


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Sujet: 
Tu tournes en rond comme une girouette !
Auteur-e: 
yogi
Date: 
Dim, 2003-08-31 18:46

Contrairement à ce que tu crois, tes insultes ne me touchent pas Labourre. J'ai seulement voulu te faire avouer que ce que tu niais quelques messages plus tôt (tu niais que tu ne m'avais pas traité d'idiot) était faux - tout simplement.

Tu ne m'apprends absolument rien Labourre, même quand tu viens me parler de la tuerie des Bernaches du Canada. Je suis au courant de tous les massacres que l'homme fait subir aux plus faibles que lui et ce, dans les moindres détails. Tu sautes constamment d'un sujet à un autre pour éviter de répondre aux questions ou éviter d'avoir à approfondir un sujet. Dès que cette nouvelle discussion est apparue, "Témoignage d'une étudiante en médecine vétérinaire en stage dans un abattoir", tu t'es empressé de lancer un débat interminable sur le SIDA, puis sur la souffrance des plantes, puis sur l'orgine de l'homme, les OGM, alors que le thème principal de ce débat, est la souffrance des animaux de "boucherie", discussion à laquelle tu n'as à peu près rien apporté d'objectif et même si tu aimes bien ajouter à ton pseudonyme: " L'empêcheur de tourner en rond ", tu tournes en rond comme une girouette. Je le répète encore une fois, puisque ça ne semble pas vouloir rentrer dans ton cabochon de bidochon: L'homme n'est pas supérieur à l'animal. TOUS les animaux y compris l’homme sont égaux. Même si l'humain est " différent " des autres animaux, comme l'oiseau est différent d'un chien, chaque être a ses caractéristiques propres qui permettent de le différencier de tous les autres, mais cela ne lui donne aucun motif de supériorité.

« Tant que les hommes massacreront les bêtes, ils s’entre-tueront. Celui qui sème le meurtre et la douleur ne peut, en effet, récolter la joie et l’amour ». Pythagore


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Sujet: 
Tout est inter relié désolé si tu ne peux faire les liens.
Auteur-e: 
Labourre
Date: 
Lun, 2003-09-01 13:08

Et désoler mais je te suis, je ne lance pas des débats interminables je prend tes arguments et meme si il faut que j'aille loin pour demontrer qu'ils sont IDIOT (a non pas encore ce mot) Le sida n'est n'est pas donné par la viande comme tu le laissais entendre. Les indoux sont des barbares et tu les vantais, ils sont bon avec leur vaches eux ils sont a majorité végétarien etc. Pourtant c'est des vrais sauvages. Ils sont tres brutaux avec les animaux. Alors apres que j'ai mis en lumiere ce fait, tu as reviser tes positions pour te rallier de mon bord. Ensuite je t'ai parler de la Bernache du Canada, tu m'as dis que c'etait horrible. Qu'est-ce qui est horrrible? En ce moment ils n'ont plus de predateur naturel donc le nombre d'individu augmente tres rapidement. Et parce qu'ils sont trop des comportement homosexuel sont apparu dans les clans". Et parce qu'ils sont trop, ils dérangent dans des parcs, l'homme les tue de facon barbare seulement pour une raison : limité la surpopulation. Mais si l'homme aurait eu le droit de chaser cet oiseau il n'aurait pas eu de surpopulation si l'homme avait chassé cet oiseau pour ce nourrir. Le discours sur les ogm est aussi necessaire car vous en manger des tonnes et vous ne le savez pas. Meme le "bio" n'est pas tres reglementé. J'ai parlé beaucoup du fait qu'on peu éviter toute souffrance a la bete et meme quelle soit heureuse lors de son élevage. Bon la j'entre dans le vif du sujet LA SUPERIORITÉ, le fondement de votre argumentation. L'homme est superieur a la bette autant physiquement que mentalement. Superiorité il y a. Que tu le veuille ou non. T'as oublié t'es mathematique? " est different de 3. Mais il est aussi inferieur a 3. Different et = sont contraire. Quand une personne est plus grande qu'une autre elle lui est SUPERIEUR en grandeur. EGALITÉ n'existe pas. Ca est un beau gros mensonge que l'élite radotte. Exactement comme dans les regimes communistes ou l'on disait que tout le monde est egal. Tu dis que l'homme n'est pas superieur a l'animal mais il est superieur a la plante. Tu t'engages sur un terrain glissant la mon pauvre yogi. Tu reni une superiorité mais tu admets qu'elle existe. Tu veux je te dise ce que tu fais. Tu fais pareil comme les femmes et les gays tu joues avec la notion d'égalité. Et tu fais comme eux tu utilises le victimiste. Le victimiste des animaux. Les pauvres animaux victimes. Certains le sont oh que oui. Et contre ca je suis avec toi. Mais de la a plus en manger a briser la chaine alimentaire et des millions d'années d'évolution par des "pseudo bon sentiments" c'est deux. Le monde est deja assez dereglé comme ca pour qu'on l'empire. Les etre vivant doivent tuer pour vivre. Et malheuresement ils ne choisisent pas leur régime, LA NATURE L'A FAIT.


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Sujet: 
RACISTE, SPÉCISTE ET MACHO EN PLUS...
Auteur-e: 
yogi
Date: 
Lun, 2003-09-01 21:08

En lisant ton commentaire Labourre, j'ai la forte impression impression que je fais non seulement affaire à un spéciste, mais également à un raciste et à un macho. Je comprend mieux maintenant pourquoi tu te sens si supérieur envers ceux qui sont différents de toi !
C'est abominable ce que tu écrits concernant les femmes et les gais qui d'après toi " jouent avec la notion d'égalité " , abominable également que tu remettes en question l'égalité de tout le monde, même s'ils font partie de régimes communistes.

1. Concernant le SIDA, je t'ai déjà répondu: " Il est aujourd'hui admis que l'ancêtre du VIH-1, responsable de la pandémie du sida, est le SIVcpz, virus de l'immunodéficience simienne transmis à l'homme par le chimpanzé." Voir réponse du mardi, 08/26/2003 - 16:06, lundi, 08/25/2003 - 21:07

2. Concernant les Hindous, la vache sacrée, etc., je t'ai déjà répondu en écrivant " L'industrie du cuir en Inde est une industrie particulièrement cruelle et je sais aussi de quelle façon barbare sont traîtés les éléphanteaux et autres animaux sauvages dans ce pays." Voir réponse du samedi, 08/30/2003 - 19:50

3- Concernant ton commentaire sur la Bernache du Canada, voici ce que je t'ai répondu: " même quand tu viens me parler de la tuerie des Bernaches du Canada. Je suis au courant de tous les massacres que l'homme fait subir aux plus faibles que lui et ce, dans les moindres détails."

Cesses de déformer ce que j'écrit Labourre.

De plus, la chasse à la Bernache, aux Oies des Neiges, etc. se pratique tous les ans à grande échelle et des dizaines de milliers d'entre elles sont tuées. Fais tes propres recherches sur le sujet Labourre.

4. LES PLANTES NE POSSÈDENT PAS DE CERVEAU. Je t'ai déjà donné mes explications: Voir réponse du vendredi, 08/29/2003 - 13:02

5. Concernant ta présumée supériorité, je t'ai déjà répondu: " L'homme n'est pas supérieur à l'animal. TOUS les animaux y compris l’homme sont égaux. Même si l'humain est " différent " des autres animaux, comme l'oiseau est différent d'un chien, chaque être a ses caractéristiques propres qui permettent de le différencier de tous les autres, mais cela ne lui donne aucun motif de supériorité "


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Sujet: 
Enocre Encore Yogi.
Auteur-e: 
Labourre
Date: 
Lun, 2003-09-01 21:42

1. Concernant le SIDA, je t'ai déjà répondu: " Il est aujourd'hui admis que l'ancêtre du VIH-1, responsable de la pandémie du sida, est le SIVcpz, virus de l'immunodéficience simienne transmis à l'homme par le chimpanzé." Voir réponse du mardi, 08/26/2003 - 16:06, lundi, 08/25/2003 - 21:07
le vih 1 2 3 4 5 6 7 8 9 existe peut-etre mais il ne cause pas le sida. LE virus n'a jamais été isolé en laboratoire. Il y a plusieurs cas de SIDA sans VIH et il y a beaucoup de cas de VIH sans SIDA. LA deficience immunitaire est causé par 1000 autres choses autres que le VIH. C'est un peu simplet de dire que le vih cause le SIDA. Et ca retire les projecteurs des vrais cause. Voir mes autres post sur le SIDA.

Concernant les Hindous, la vache sacrée, etc., je t'ai déjà répondu en écrivant " L'industrie du cuir en Inde est une industrie particulièrement cruelle et je sais aussi de quelle façon barbare sont traîtés les éléphanteaux et autres animaux sauvages dans ce pays." Voir réponse du samedi, 08/30/2003 - 19:50

avant que tu me sortes cette reponse c'Est apres les avoirs vantés sur 2 post.Date: samedi, 08/30/2003 Autre chose à signaler: La majorité des Hindous sont végétariens.

En ce qui concerne la vache sacrée en Inde, tu en a beaucoup à apprendre Labourre:

" Les vaches indiennes sont très résistantes et elles se contentent de peu de nourriture. Elles mangent peu de végétaux réservés à l'homme, elles mangent surtout des déchets impropres à la consommation humaine. Il n'y a donc pas de concurrence entre vaches et hommes.

En occident les trois-quarts des terres cultivables sont utilisées pour la seule production de nourriture pour bétail. Si l'Inde appliquait la même politique, la part des terres cultivables réservées à la nourriture humaine se réduirait de telle sorte que le pays ne pourrait plus s'alimenter comme il le fait actuellement.

L'Inde est encore un pays en voie de développement en ce qui concerne l'agriculture. Elle n'a pas les moyens de développer une agriculture mécanisée qui serait d'ailleurs incompatible avec l'agriculture de type familial qui fait vivre quantité de personnes. L'utilisation d'engrais chimiques est donc très peu répandue. Les paysans utilisent donc des engrais naturels dont la bouse de vache fournie gratuitement et facilement utilisable. De plus, une fois séchée, la bouse sert de combustible pour le foyer familial. Sur les 700 millions de tonnes de fumier produites annuellement, la moitié est utilisée comme engrais, l'autre moitié comme combustible.

Diluée dans une grande quantité d'eau, la bouse est également étalée sur les sols. En séchant, cette pâte forme un revêtement qui protège de la poussière et de la chaleur. Le ramassage de la bouse est confiée aux basses castes et fait vivre bon nombre de personnes.

Les vaches, même mortes, servent encore puisque certaines castes utilisent leur peau pour en faire des objets en cuir. Quand elles meurent de cause naturelle, les vaches sont mangées par certains membres des basses castes. La tradition du culte de la vache assure donc que la viande arrivera dans l'assiette des plus pauvres et des plus affamés. Ce culte protège également les paysans de la tentation de tuer ou vendre leur bétail pendant les périodes de disette, car ce sacrifice leur permettrait certes de se sortir d'une mauvaise passe mais il ne leur permettrait plus de cultiver la terre ensuite.
À la lecture des études de Harris, certains économistes ont préconisé la réduction du nombre de vaches afin d'améliorer la productivité de lait et de bouse des meilleurs éléments. Le nombre diminuerait mais sans faire chuter la production. Mais pour garder les meilleurs éléments du bétail, il faut sacrifier les autres or les moins bonnes vaches appartiennent aux plus pauvres. Ceux-ci seraient alors obligé d'aller dans les grandes villes déjà surpeuplées pour chercher du travail.

samedi, 08/30/2003 - 07:43

Harris a donc démontré que l'amour de la vache n'est pas seulement spirituel mais qu'il s'inscrit dans une démarche matérielle logique. L'Inde utilise bien plus efficacement ses bovins que les pays industrialisés qui gaspillent une quantité d'énergie considérable. La valeur calorique de ce que consomme une vache occidentale est bien supérieure à la valeur calorique de sa viande.
L'Inde consommera peut-être un jour de la viande de vache mais actuellement, en dehors de toute considération religieuse, cette consommation serait sans effet bénéfique sur l'économie indienne. Le culte de la vache reflète donc sa réelle importance en tant que ressource. "

Des vaches qui mangent des dechets. Je me demande pourquoi on fait pas ca ici? Ca devait etre mieux de la farine animale. L'auteur devait etre gelé. Tu encensait les Indoux. Ensuite quand je t'ai dis qu'ils étaient violent envers les elephantaux et les tigres. Tu a sorti l'affaire du cuir. J'appelle ca du ratrapage.

3- Concernant ton commentaire sur la Bernache du Canada, voici ce que je t'ai répondu: " même quand tu viens me parler de la tuerie des Bernaches du Canada. Je suis au courant de tous les massacres que l'homme fait subir aux plus faibles que lui et ce, dans les moindres détails."

Et moi je rajoute que si l'homme aurait chassé cet oiseau il 'aurait pas eu de massacre car il n'aurait pas eu de surpopulation. L'homme est un maillon de la chaine alimentaire et qu'il agisse en consequence. La chasse est tres restreinte, trop meme les oies aussi sont beaucoup trop.

Les plantes ont un cerveaux car elle REAGISSE. Toute REACTION DOIT ETRE COMMANDER PAR UN CERVEAU. Pour reagir faut qu'elle identifie le stimulis et agise en consequence. Belle exemple de SUPERIORITÉ. Tu te sens tellement superieur a la plante tu la reduit a une fonction nourriture. Pauvre toi. un autre exemple de ta croyance superieur :
08/30/2003 - 12:48

Si on ne tuait plus les animaux de boucherie pour les bouffer, ils s'éteindraient d'eux-mêmes, car ce sont les producteurs qui les font se reproduire à outrance par insémination artificielle et manipulations génétiques. De plus, la castration est une pratique courante dans l'élevage. Tous les animaux mâles sont castrés "À FROID", exception faite de ceux que l'on garde pour leur sperme ou comme reproducteurs.

Tu condamne les vaches a l'extinction. Si facilement que ca?
L'homme est supierieur car il a la conscience. L'égalité est un principe idiot qui ne repose sur aucune base. Tout la vie est differente. Il y des inégalité dans toutes les especes et toutes les especes sont inegales entre elle. Qui veut tu convaincre avec une logique de meme? 2 est different de 3 mais il est egal a 3. Wow


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Sujet: 
Racisme et Sexisme
Auteur-e: 
yogi
Date: 
Mar, 2003-09-02 08:10

Qu'as-tu à répondre concernant tes propos diffamatoires envers les gais, les femmes et ceux qui d'après toi ne sont pas égaux aux autres s'ils font partie d'un régime communiste ?


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Sujet: 
Wow les tites attaques personelles fautes d'Arguments
Auteur-e: 
Labourre
Date: 
Mar, 2003-09-02 09:15

Une femme n'est pas l'egale de l'homme dans certain domaine elle est meilleur que l'homme et porte plus d'interets dans d'autre c'est le contraire. Un homme est fort une femme est endurante et bien d'autre exemple. Et pour les gays leur couples de vuat pas le couple hetero. Car le couple est hetero c'est l'union de 2 contraire qui crée une entité plus puissante. Union des gays est l'union des semblables qui reste semblable. De plus ils ne peuvent pas procréer sans technologie. Donc le principe d'égalité, c'est de la foutaise. Tes messages se reaccourcisent et tu ne defend plus les animaux. Que se passe t-il?


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Sujet: 
cause animale
Auteur-e: 
isisbelieve
Date: 
Dim, 2006-03-19 09:49

Bonjour,

Juste Bravo pour votre conscience et votre générosité de coeur.

Merci

Ines


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Sujet: 
à méditer
Auteur-e: 
isisbelieve
Date: 
Dim, 2006-03-19 09:44

Bonjour,

Choquant tes propos.
Malheureusement avec un esprit très étroit, sans aucune excuse, la betise est de mise avec toi....

Lorsque les animaux auront disparu de la surface du globe, les hommes se plaindront, et pleureront sur leur sort et admettront leurs erreurs, mais il sera trop tard, leurs crimes seront définitivement achevés.

Halte à la violence gratuite et non fondée, halte à la destruction animale, j'en ai marre de l'ignominie humaine.

Sans autre conmmentaire.

Ines


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Sujet: 
ADIEU LABOURRE
Auteur-e: 
yogi
Date: 
Mar, 2003-09-02 16:00

En ce qui me concerne Labourre, toute discussion avec toi est close. Je ne discute pas avec des racistes, des sexistes, ni avec des spécistes agressifs et bouchés. J'ai assez perdu de mon temps avec toi. Salut et surtout continues de bien t'amuser.

PENSÉE À RETENIR:

« Le spécisme est à l'espèce ce que le racisme et le sexisme sont respectivement à la race et au sexe : la volonté de ne pas prendre en compte (ou de moins prendre en compte) les intérêts de certains au bénéfice d'autres, en prétextant des différences réelles ou imaginaires mais toujours dépourvues de lien logique avec ce qu'elles sont censées justifier »


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Sujet: 
BeuBye
Auteur-e: 
Labourre
Date: 
Mar, 2003-09-02 21:43

Bon tu te défile? Bravo t'as perdu? Tu es a cour de mensonge? Je ne suis pas agressif. Désolé si tu te sens agressé pas l'utilisation du mot IDIOT. Mais quand il faut, il faut. Tu me traites de racistes alors que je ne le suis pas et j'ai jamais parlé de ca et je ne suis pas sexiste non plus.

Pensée a retenir Homme ne signifie pas femme et homme ne signifie pas animal. Blanc ne signifie pas noir et blanc ne signifie pas jaune.Humain ne signifie pas animal, animal ne signifie pas plante.

C'est finit les petits amalgame faciles. Les differences autant physique que psychologique et mental existe. Tant mieux. Acceptons et donnons le meilleur. Toute les ages, les races, les genres, les especes sont different et ont des interets different. A bas la généralisation. On dirait que vous etes des agents de propagandes pour l'uniformité mondialisante.

Moi je suis Humain,Homme,Adulte,Technicien,Canadien,Quebecois,Levisien,Classe moyenne,Joueur sur internet,Cycliste etc etc.
Je suis nullement egal avec mon voisin. Pourtant il possede plusieurs des caracteristiques nommé ci-haut.


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Sujet: 
la fameuse viande
Auteur-e: 
optimus20
Date: 
Lun, 2008-01-21 04:07

salut moi jai travailler 4 jour dans une abatoire de cochon est en lisant ton texte jai reconue deux ou trois petite chose que moi meme ji ai penser comme quand tu dis si sa serait des humain atacher apres les crochets je nai rien contre le fait de tuez des cochon ont doit bien se nourir pour etre fort est en santer car nous somme lespece dominate un autre petit point imagine tu si toute les abtoires ferme comment de monde vont etre sur le chomage moi je crois que sa fait rouler notre economie est quond na a besoin pour vivre je ne vex pas etre un grano est je sais se que vous aller dire mais si il i a des cochons sa terre ses bien pour une raison ses pas pour les inviter a prendre le the reflichie si bien


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Sujet: 
grande respiration
Auteur-e: 
optimus20
Date: 
Lun, 2008-01-21 04:25

jai lue tous vos commentaire est vous vous astiner pour rien les cochons sont la pour ettre manmger nous nous somme la pour les manger les indous sont innocent parce quil ne mange par leur vache ses pas des animaux de compagnie ses de la viande vous navez qua fermer les yeux est acepter labatage industriel juste pour faire chier les vegetarien 6000 cochon sont tuez a tout les shift de 8 heure 12milles cochon par jour pis en passant yogi ou docteur dolitel ses eux qui ton demander de parler en leur faveux (les cochons)


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Dossier G20
  Nous vous offrons plusieurs reportages indépendants et témoignages...

Très beau dessin: des oiseaux s'unissent pour couper une cloture de métal, sur fonds bleauté de la ville de Toronto.
Liste des activités lors de ce
« contre-sommet » à Toronto

Vous pouvez aussi visiter ces médias alternatifs anglophones...

Centre des médias Alternatifs Toronto
2010.mediacoop.net


Media Co-op Toronto
http://toronto.mediacoop.ca


Toronto Community Mobilization
www.attacktheroots.net
(en Anglais)

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