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pseudos journalistes cubainsvieuxcmaq, Lunes, Febrero 4, 2002 - 12:00 (Analyses | Repression)
michael walsh (amicuba@globetrotter.net)
De pseudos journalistes cubains, organisés, dirigés et payés par le gouvernement américain, dénoncent haut et fort la répression dont ils seraient l'objet de la part du gouvernement de Cuba. Alors que le blocus yankee étrangle et asphyxie depuis plus de 40 ans l'économie cubaine, des agences de presse indépendantes ont vu jour à Cuba même, avec l'appui logistique et financier de la Maison Blanche. Pourquoi le gouvernment révolutionnaire cubain devrait-il laissr libre cours à ces personnages qui obéissent aux ordres de l'oncle Sam qui s'est juré de faire tomber Cuba. Considérant que Cuba est un leader incontesté dans la lutte anti-mondialisation, que la société qu'il tente de bâtir est basée sur des principes d'égalité, de fraternité et de justice et qu'il a su démontrer aux peuples du monde que son système de santé et d'éducation fait l'envie de plusieurs pays,j'ai sursauté en parcourant votre site et que j'ai tombé sur un volumineux article de Pedro Pépito en date du 4 janvier 2002. Étant sensé établir un rapport pour l'année 2001 de Reporters sans frontières sur la situation des journalistes dans l'Ile, on y lit tout un amalgame de faits rapportés où des journalistes indépendants auraient eu leur droits brimés. Les précisions qui y sont rapportés, les détails, les chiffres, etc... montrent très bien que ces journalistes non officiels sont très bien organisés et ne semblent pas tout-à-fait cadrés avec la réalité cubaine qui veut que la haute technologie fasse défaut. Mais voyez-vous, l'oncle Sam en a de l'argent et l'administration Bush, aussitôt arrivé au pouvoir a promis d'en remettre (des millions) pour appuyer ceux qui luttent pour la démocratie dans l'Ile. Comment peut-on accorder de la crédibilité à des cubains apatrides, qui, par leurs reportages diffusés via la mafia de Miami, contribuent au maintient de cet embargo criminel imposé par celui qui paye leur salaire en devise US. Il ne faut pas oublier que Cuba est parmi la liste du Pentagone représentant les 7 pays qui commanditent le terrorisme. L'exemple d'espoir que Cuba projette sur les autres pays du tiers-monde a de quoi embarasser l'administration américaine. On a déjà dit qu'il y avait parmi ces journalistes, plusieurs d'entre-eux qui n'avaient jamais écris un texte de leur vie et que ça ne faisait pas nécessairement pas partie des critères d'embauche de l'employeur US. Cuba n'a pas à se laisser imposer de soi-disante agences de presse-libre par celui qui lui livre une véritable guerre génocide non-déclarée. Cuba, est une épine au pied de l'Impérialisme et dérange dans l'arrière cour US; il a le droit de se défendre et de contrer toute la démagogie des milieux mafieux de la Floride et d'interférer auprès de ceux qui leur expédient des communiqués de presse.
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