|
Opinion: Tremblay et son blévieuxcmaq, Martes, Enero 8, 2002 - 12:00
oies Sauvage (oie001@hotmail.com)
Analyse de la gestion de la pauvreté au Québec. Tremblay et son blé. C'est fou comme des sans-abris peuvent attirer l'attention des gestionnaires de la pauvreté par les temps qui courent. Et cela s'explique très simplement. Depuis les années 80 et l'avènement de la gestion de la pauvreté au Québec par les milieux communautaire ou gouvernemental, nous, citoyens, avons abdiqué devant les forces du néo-libéralisme. Nous pensons que le gouvernement doit tout régler et cela sans que l'on se mouille. Quelle utopie de cette société en manque d'identité ! D'un côté, le monde veut des baisses d'impôts et de l'autre côté, avoir accès à des soins de santé, à une couverture sociale. Or,la philosophie économique appliquée par les dirigeants politiques, toutes couleurs confondues, est celle du coopératisme et des vols de capitaux par les entreprises via les subventions déguisées sous n'importe quel déguisement de sous-traitants. Alors venez plus m’écœurer avec les centres d'hébergement qui sont des trous à rat qui maintiennent seulement la pauvreté chez les sans-abris! Pour faire prospérer les affaires de ces gestionnaires rendus des groupes de lobby, seulement là pour leurs subventions et qui n'ont aucun intérêt à ce que cela change! Voyez-vous, il a vingt ans, il y avait environ 125 organismes communautaires au Québec. Aujourd'hui, ils sont 1,100. Ça vous dit combien on est rendus bas et individualistes dans un monde du chacun pour soi. Oies Sauvage |
|
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Ceci est un média alternatif de publication ouverte. Le collectif CMAQ, qui gère la validation des contributions sur le Indymedia-Québec, n'endosse aucunement les propos et ne juge pas de la véracité des informations. Ce sont les commentaires des Internautes, comme vous, qui servent à évaluer la qualité de l'information. Nous avons néanmoins une
Politique éditoriale
, qui essentiellement demande que les contributions portent sur une question d'émancipation et ne proviennent pas de médias commerciaux.
|