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[armement] Accident de chasse à Karachi: 11 ingénieurs français victimes d'un tir ami

Anonyme, Jueves, Noviembre 5, 2009 - 10:35

himalove

« Le quadruplement du budget militaire et la bombe atomique ne servent plus à rien ; on pourrait utiliser la course aux armements et la corruption des édiles pour ruiner les nations ». Extrait d’un bréviaire de subversion de la CIA.

Sous l’égide de Michèle ALIOT-MARIE, l’instruction judiciaire ne risque pas de prendre de la hauteur…

L’enquête autour des meurtres des 11 ingénieurs de la Direction de la construction navale, le 8 mai 2002, à Karachi, sombre dans le règlement de compte.

Selon la version devenue crédible, par la magie des médias (1), Nicolas SARKOZY aurait perçu, en 1994, des « rétro commissions » (en clair, des valises pleines de dollars) sur la vente de trois sous-marins au Pakistan.

Cette manne aurait servi à alimenter la campagne électorale de son ami BALLADUR.

En 1995, CHIRAC, élu président, aurait cessé le versement des pots-de-vin.

Le mari de Benazir BHUTTO, Ali Azif ZARDARI, connu pour sa corruption légendaire, en aurait conçu du ressentiment.

Sept ans plus tard, il demandait à ses porte-flingues de butter les ingénieurs…

Bref ! Un scénario qui ferait sourire John LE CARRÉ lequel dirait vraisemblablement qu’il s’agit là d’une opération de diversion, destinée à dénigrer quelques personnes, mais à éviter de parler de l’essentiel.

UN TRAFIC D’ARMES À L’ORIGINE DE TOUT

Peu de citoyens, en France, savent que la république islamique du Pakistan possède le plus grand parc d’avions militaires français au monde ; et que, récemment, encore, « malgré les événements », la société Thalès proposait le radar RC 400 et le Mica Medium Range Air-Air Missile (MRAAM), pour le jet « Thunder » F-17 pakistanais co-produit avec la Chine…

Le Pakistan est, pour la France, le quatrième acheteur d’armes, avec un volume d’affaires voisinant les milliards de dollars ; l’Inde, le dixième…

Le trafic aurait été « business as usual », si les 11 et 13 mai 1998, l’Union indienne ne procédait à cinq essais nucléaires (2), à Pohkram, dans le désert du Rajasthan, suivies le 28 mai de six répliques pakistanaises, près de la frontière iranienne, au Baloutchistan.

Certains analystes pensent que les 5 explosions indiennes étaient un message lancé à la communauté internationale afin qu’elle cesse de livrer des armes stratégiques au Pakistan.

« Les onze coups de tonnerre, dans un ciel serein, » entraînèrent un embargo immédiat sur l’ensemble des volumes d’armes en direction du sous-continent.

Quelle a été la réaction de Jacques CHIRAC, à part de saluer bêtement les essais (3) ?

Quelles ont été les directives données, à ce moment critique, à la société Thalès, impliquée dans des livraisons, « devenues illicites », de submersibles ?

Deux choses sont certaines :

1. La construction du sous-marin « Khalid », débuté en 1995, à Cherbourg, n’est pas différée.

2. L’embargo et les conventions européennes, interdisant les exportations d’armes à des puissances nucléaires qui n’ont pas signé le traité de non-prolifération, sont allègrement transgressés.

Les trafiquants d’armes profitent même de l’embargo (1998-2005) pour faire taire la concurrence, en particulier celle des Allemands, plus soucieux du Droit, lesquels proposaient des Unterseeboot U-214 SSK moins chers et « performants ».

Tandis que les VRP de chez Thalès enregistrent les commandes indiennes (6 sous-marins à 300 millions de dollars pièce), les trois submersibles, « capables de modifier le rapport de force », sont livrés, en toute tranquillité, au Pakistan.

La France joue du laisser-faire américain, des antagonismes régionaux, de la corruption et de l’embargo ; les diplomates suisses disent des Français qu’ils pratiquent « une politique de pompier pyromane ».

- « Les infractions au droit international seraient même inscrites dans leurs contrats ».

Le premier sous-marin « Khalid » S137, fabriqué à Cherbourg, équipé de SM-39 Exocet, est livré en août 1998, en plein embargo.

Le deuxième baptisé «Saad » S138, commencé dans un chantier naval français, est fini sur les docks de la marine pakistanaise en l’an 2000.

Le troisième «Hamza » S139 est assemblé entièrement, dans un arsenal pakistanais, à Karachi, lequel dispose du matériel, des ingénieurs et d’un environnement propice au transfert technologique.

Le tueur de Destroyer est opérationnel, avec quelque retard, en 2005.

(Si je me trompe dans les dates, je prie les ingénieurs de la DCNS, ayant travaillé sur les trois projets de briser le « secret défense » et de me corriger.)

La lecture des journaux pakistanais signale qu’il y eut jusqu’à 100 techniciens français travaillant sur les quais à Karachi.

La soif de profit des dirigeants et les bons salaires, doublés à l’étranger, étouffent tous scrupules et réflexions quant à la destination finale des armes stratégiques.

LES RISQUES S’AMONCELLENT COMME DES NUAGES DE MOUSSON

Le bond en avant du Pakistan, en matière de submersible, fait crever de jalousie la Royal Indian Navy dont le premier Scorpène ne sera livré qu’à l’horizon 2012 !

La dépendance, presque totale, de la marine indienne envers l’Union soviétique a retardé longtemps, après la Guerre froide, sa course aux armements de dernière génération.

Les arsenaux de Mazagon à Mumbay sont, à l’aube du nouveau millénaire, dans un état pitoyable comparativement à ceux de Karachi.

Il est probable que les Russes anticipant un possible changement d’alliance, dans l’Océan indien, et craignant un expansionnisme « indigène », ne leur ont jamais fourni le nec plus ultra de la technologie.

Voir la livraison toujours retardée du porte-avion d’occasion « Gorchkov », équipé de Mig 29 K, incapable d’être catapulté ainsi que le sous-marin de type Akulla-II, à quai, en 2002, quelque part dans l’Est sibérien.

L’Indian Navy finira par louer un sous-marin nucléaire à la Russie, le « Nerpa », qui leur causera bien du souci.

http://michel.mahlerfree/fr/Annexe-RdM/Archives_2008/A19_Sous_marin_russ...

LES SOUS-MARINS FURTIFS FRANÇAIS POUSSENT LE PAKISTAN À L‘AUDACE

L’avantage dans l’Océan indien et le régime des talibans, en Afghanistan, encouragent les pakistanais à s’enhardir sur un front qui leur a toujours tenu à cœur : le Cachemire.

Au printemps 1999, profitant d’un hiver favorable, des commandos occupent les casemates désertées sur les hauteurs de Drass et coupent la route stratégique entre Srinagar-Leh, à hauteur de Kargil.

Le renseignement militaire indien est pris par surprise.

Ce sont des bergers ladakhis qui préviennent l’armée, forte de 400 000 hommes au Jammu-et-Cachemire.

Les combats, du fait du relief et de l’altitude himalayenne, sont difficiles et coûteux en vie humaine.

- « On s’y bat comme en 1914 ; et l’on y meurt en masse comme des chèvres après une avalanche de pierres » écrit un aventurier français, présent sur place (4).

Il faut finalement l’intervention des Américains, auprès du Premier ministre, Nawas SHARRIF, l’aide des Israéliens qui interceptent les communications (5) et de quelques discrets conseillers Européens, qui règlent les canons Bofor, pour que les jawans l’emportent sur les troupes de montagnes du général Perwez MUSHARRAF.

Le fait que le Pakistan dispose de « Khalid », lanceurs de missiles Shaheen, interdit les bombardements massifs et l’usage de blindés, dans les plaines du Pendjab et les déserts du Sindh.

L’Union indienne paye le prix fort d’une politique américaine qui a visé, pendant soixante ans, à accorder la parité à son pire ennemi.

L’opération VIJAY est certes vécue, en juillet 1999, comme une victoire, mais elle laisse de nombreuses blessures.

Notamment chez les services secrets qui ont soif de vengeance.

Le premier sous-marin nucléaire « Arihant » (le destructeur d’ennemi) sera lancé, à l’occasion du 10e anniversaire de la fin de la guerre de Kargil, le 26 juillet 2009.

http://www.france24.com/fr/20090-premier-sous-marin-nucleaire-indien-ina....

LE RENVERSEMENT D’ALLIANCE

« La guerre des glaciers », en 1999, a surpris le commandement du CENTCOM qui dispose de bases militaires nombreuses et importantes au Pakistan.

Elle est la première guerre qui n’ait pas reçu l’aval du Pentagone.

Or la vie politique du pays est contrôlée, depuis 1947, par l’ambassade américaine, à Islamabad.

Ce conflit entre le Pakistan et l’Inde, pourtant bref, marque un virage, dans l’attitude US à l’égard de l’ex-membre de l’OTASE ; et attise la colère du département d’état contre les marchands d’armes français.

La livraison et l’assemblage des sous-marins de classe Khalid sont perçus comme dangereux pour la sécurité des Ve et VIIe US, dans la zone Asie-Pacifique.

Car ces sous-marins furtifs, Agosta ou Scorpène, sont susceptibles de modifier le fragile équilibre des forces.

L’US Navy craint, en effet, un traité de coopération militaire entre l’Iran et le Pakistan, impliquant un transfert de technologie.

Le 12 octobre 1999, la CIA tente, avec l’aide du Premier ministre Nawas SHARRIF, de faire arrêter le chef d’état-major de l’armée pakistanaise.

MUSHARRAF, de retour de Colombo, est averti dans l’avion par ses officiers de l’imminence de son arrestation ; il organise, par téléphone, un coup d’état et fait arrêter les comploteurs.

Ce fut le premier coup d’état, organisé avec un téléphone portable de l’Histoire…

Lors d’un jeu de rôle, en 2000, le Pentagone conclut, qu’en cas de conflit, dans l’Océan indien, avec un Iran disposant de missiles balistiques et de sous-marins, la partie est perdue.

La situation nécessite une révision complète des alliances régionales ; à terme un désarmement et, dans l’instant, un affaiblissement de la puissance montante : le Pakistan.

C’est sans doute le véritable motif de « la libération » puis de l’occupation de l’Afghanistan…

L’OPÉRATION ENDURING FREEDOM

Sans convier les Indiens à intégrer le CENTCOM, pour ne pas froisser le général MUSHARRAF, le gouvernement BUSH invite l’Indian Navy a convoyé les pétroliers alliés du détroit d’Ormuz jusqu’aux eaux bleues du littoral (Opération SAGITTARIUS).

Le 13 novembre 2001, couverts par l’US Air Force, les tanks russes de l’Alliance du nord, sans le commandant MASSOOD tué en septembre, libèrent Kaboul.

Le processus d’adhésion de l’Indian Navy aux forces de la coalition entraîne la levée discrète de l’embargo et autorise l’armée indienne à déployer son propre plan de bataille.

En 2005, l’administration BUSH signera un partenariat stratégique avec l’Union indienne, la reconnaissant, comme l’unique puissance nucléaire légitime de la région.

LE KARMA PRÉVISIBLE DES INGÉNIEURS DE LA CONSTRUCTION NAVALE

L’Union indienne, après l’attaque de la Lok Sabha, le 13 décembre 2001, mobilise un million de jawans sur les frontières ouest et fixe l’armée pakistanaise le temps de « la libération » de l’Afghanistan.

L’opération PARKARAM dure dix mois.

Les installations portuaires, les arsenaux, la flotte en construction, deviennent des cibles prioritaires.

Les docks de Karachi ne bénéficiant plus de la bienveillance américaine sont laissés à la seule garde de la police militaire.

Les travailleurs français de la DCN sont exposés, le 8 mai 2002, à un risque terroriste majeur.

L’attentat sous faux drapeau, le sabotage et le meurtre d’ingénieurs, à la manière israélienne, appartiennent, de plus en plus ouvertement, à la panoplie des forces spéciales.

La chute des talibans offre la couverture idéale aux commandos du Resarch and analyses wing (RAW), infiltrés au Pakistan, pour intervenir.

Quel est le niveau d’alerte déclenché par l’attaché militaire au consulat de Karachi ?

Quelle est son étude du risque ?

Quelles sont les mesures prises par la DGSE pour protéger les ouvriers du chantier naval ?

Pourquoi les travaux n’ont-ils pas cessés après le 11-Septembre alors que la France participe activement à l’opération Enduring Freedom?

Un touriste, présent sur place, près de l’Hôtel Sheraton, avant et après l’attentat, aurait pu recueillir plus d’indices que ne contient le dossier, après 8 ans d’enquête.

Les journalistes Tariq SAEEDI, à Ashgabat, au Turkménistan et Sergi PYATAKOF, de Moscou, écrivent à chaud, le 13 mai 2002 :

« Did the Indians kill the engeeners ? »

(L’article est publié, dans son intégralité sur la page anglaise de Bellaciao.)

Les journalistes et observateurs, au lendemain du 8 mai 2002, au Pakistan, en sont persuadés : l’Union indienne profite de la mort des techniciens ; cette dernière satisfaisant également l’ambassade américaine.

Le meurtre des Français tombe à point pour ralentir, d’une ou plusieurs années, un programme d’armement jugé dangereux.

En fait, l’attentat du 8 mai 2002 ralentit guère le planning (deux sous-marins sont déjà opérationnels) ; mais accélère la coalition d’intérêts étrangers qui forceront, plus tard, les Français à accepter leur version des faits.

Cet attentat, à la voiture piégée, revendiqué par un groupe islamique imaginaire, constitue le premier d’une longue série qui vise à « briser les jambes du Pakistan ».

Le 3 mai 2004, trois ingénieurs chinois et leurs collègues locaux sont tués, dans les mêmes circonstances, au Baloutchistan, où la république populaire de Chine construit un terminal pétrolier, à Gwaddar.

Selon des officiers émancipés de la tutelle US comme le général Hamid GUL, les Israéliens et les Indiens travaillent, depuis quinze ans, à la neutralisation des armes stratégiques et au démantèlement du pays.

Son témoignage est crédible car il a travaillé, pendant vingt ans, avec Langley, et en connaît tous les recoins.

Le projet porte le nom d’opération Blue Tulsi.

http://bluetulsi.blogspot.com/

Il y a en filigrane dans les analyses de l’Inter Service Intelligence l’ombre du 11-Septembre et la silhouette « connue » des auteurs.

Les Israéliens auraient fourni les techniques de l’attentat du 8 mai 2002 ainsi que la manière de gérer, par la désinformation, les conséquences du crime ; les Indiens : les hommes et les réseaux ; la CIA, la couverture globale.

La légende « Nautilus » émane, peut-être, de leur bureau à Paris.

L’usage d’agent double y est préféré à celui de soldats réguliers qui portent en eux la notion poussiéreuse de « patrie ».

Cette nouvelle façon de faire la guerre se combine avec les thèses du Pentagone comme celles du colonel Ralph PETERS (lire Bloody Borders).

Les militaires comme lui et le diplomate Richard HOLBROOKE, surnommé « le Buldozer », envisagent froidement une balkanisation du Pakistan, la corruption des édiles (Plan KERRY-LUGAR) et une destitution de l’état.

Et ce en s’appuyant sur des fractures tribales, religieuses comme l’ont fait les Britanniques jadis lors du « Grand Jeu ».
La chose leur est facile car le pays est gouverné par de grands féodaux, les Sharrif, Bhutto, Jilani, dont l’intérêt pour la nation commune est minime.

Il est notoire que les « Mehsud » au Waziristan et les « Bugi » du Baloutchistan sont payés et armés par l’étranger ; et les régions pachtounes, frappées par les bombardements de drones, artificiellement remontées contre le pouvoir central.

Il s’agit de terroriser les populations pour les forcer à ne plus réfléchir « politiquement » mais « émotionnellement » pour les parquer, ensuite, dans des hameaux stratégiques où ils doivent mendier leur nourriture.

L’Af-Pak est le laboratoire d’un désordre colonial appliquant, à la lettre, les méthodes de la guerre d’Algérie.

Ce n’est pas pour rien que le général MacCHRYSTAL se réfère au général GALULA ; et certains officiers de son staff, au colonel Charles LACHEROY (fondateur de l’OAS).

L’impérialisme veut ici la peau du Pakistan et des hommes intègres qui y vivent, pour servir au plus prêt les intérêts de grandes compagnies, avides d’esclaves et de matières premières.

Sous couvert de lutte contre les talibans, leur but est d’exproprier les paysans et leur voler leurs terres.

Le concept, en Afghanistan, de « Nation Building » est un leurre pour les imbéciles.

Cette déstabilisation du Pakistan, par la Terreur, depuis 2001, a fait plus de morts que les quatre conflits avec l’Union indienne.

« US GO HOME ! » Le vieux slogan des luttes de libération nationale est on ne peut plus d’actualité en Asie du Sud Ouest.

CONCLUSION PROVISOIRE

Les assassins des ingénieurs français peuvent compter sur le concours de l’OTAN, bras armé des multinationales, pour maquiller le crime de guerre du 8 mai 2002, à Karachi.

Ils peuvent compter sur le président Ali Azif ZARDARI, le Premier ministre GILANI, le ministre de l’Intérieur Malik REHMAN et le général KAYANI, complètement inféodés à Washington.

La levée du « secret défense » confirmera, en divulguant les comptes détaillés de la société Thalès, « la piste des généraux pourris »; mais ne dévoilera jamais les courriers échangés, jour après jour, entre les fonctionnaires à Paris, inquiets, et l’attaché militaire à Islamabad.

Et pour cause : le 8 mai 2002, l’actuel garde des sceaux, était ministre de la Défense, responsable de la DGSE et patronne des 11 ingénieurs.

Il est probable que ce lourd secret ait joué un rôle dans la carrière fulgurante de Michèle ALLIOT-MARIE, tour à tour ministres de la Défense, de l’Intérieur et de la Justice, sous deux présidences.

Il appartient aux proches des ingénieurs, à l’instar des familles des soldats qui ont péri, en Afghanistan, de faire éclater la vérité ; et de porter plainte contre leur ministre de la Guerre à la solde de l’impérialisme.

Michèle ALLIOT-MARIE a envoyé sciemment des personnels civils à l’abattoir.

HIMALOVE

Si un éditeur souhaite une enquête plus fouillée, qu’il me contacte.

1. La version, suivie par les magistrats, est fondée sur la rumeur « Nautilus », écrite par un ex-fonctionnaire de la DST, Claude THEVENET, qui de son propre aveu n’a jamais mis les pieds au Pakistan ; il est vraisemblablement un agent de circonstance de la CIA.

2. La journaliste Dominique LORENTZ prétend, dans son livre « Affaires atomiques » que deux essais indiens ont été commandités par Israël ; et 3 essais pakistanais auraient été réalisés pour le compte des iraniens.

3. Jacques CHIRAC plaida ouvertement à la suite des essais nucléaires la levée des sanctions.

4. Extrait de mon journal intime ; j’étais présent, dans la vallée du Zanskar, à Padum, en juin 1999.

5. Les Israéliens, lors de « la guerre des glaciers », ont intercepté les communications, prouvant l’implication du général MUSHARRAF ; cette information utilisée diplomatiquement a conduit les Américains à épouser la cause de l’armée indienne.

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