Multimedia
Audio
Video
Photo

Effet indésirable des vaccins: un tabou ?

Anonyme, Jueves, Enero 29, 2009 - 10:46

Lina B. Moreco

Aujourd’hui perçue comme une incontournable nécessité, la vaccination nous est si familière que ses risques potentiels sont peu souvent évoqués.
Cependant des recherches en cours semblent indiquer que la vaccination serait directement responsable de désordres immunitaires ou neurologiques chez certaines personnes prédisposées génétiquement ou neurologiquement à mal réagir aux composantes des vaccins. Autisme, sclérose en plaque, syndrome de Guillain-Barré, myofasciite à macrophages, encéphalites, paralysies, neuropathies et autres; la liste des maladies répertoriées indique bien la gravité de la situation.
Selon les recommandations des Agences de Santé, l’enfant nord-américain reçoit environ 48 doses de 14 vaccins différents avant l’âge de six ans, soit le double du nombre prescrit 25 ans auparavant. Malgré cette croissance exponentielle, peu d’études indépendantes de l’industrie pharmaceutique sont réalisées sur leurs effets secondaires à long terme. Une situation préoccupante quand on connaît le nombre élevé des substances toxiques qui entrent dans leur composition. Le mercure et l’aluminium ne sont que quelques-uns de ces éléments nocifs, présents en quantités substantielles dans certains vaccins couramment administrés.

Avec Silence…on vaccine, Lina B. Moreco trace un portrait inquiétant de cette problématique qui touche l’ensemble de la société, dénonçant l’immobilisme des autorités de santé publique. Tourné au Québec, en France et aux États-Unis, son documentaire souligne l’ampleur du phénomène.

Témoignage de Lina B. Moreco, réalisatrice du film - Silence, on vaccine -

Silence, on vaccine, n’est pas mon premier sujet délicat, mes autres films touchaient aussi à quelque chose de particulier : le droit de vivre la fin de sa vie tout comme le début de sa vie sans acharnement thérapeutique. Le droit de prendre le contrôle sur son corps, de ne pas se soumettre à des protocoles de santé qui ne nous conviennent pas.

Avec Silence, on vaccine, j’ai eu l’impression de me retrouver au Moyen Âge entrain de questionner l’existence de Dieu. Combien de fois on m’a dit : « Tu devrais pas parler des vaccins, ils ont sauvé des vies. » ou bien « On ne doit pas remettre en question l’efficacité des vaccins, c’est dangereux…»

Quelles sont les conséquences de ce silence ?

Ne pas avoir le droit de parler d’un sujet peu importe la société où l’on vit empêche toute personne de s’exprimer librement. La discussion n’a pas d’espace. C’est ce qui explique le peu de médecins du Québec, pédiatres ou autres, de médecine traditionnelle dans mon film. Pour ceux avec qui j’ai eu des discussions, ceux qui acceptent de ne pas vacciner selon le calendrier proposé, ceux qui discutent avec les parents sans user de leur autorité professionnelle – eux, ils ne pouvaient pas raconter ouvertement leur point de vue devant la caméra. Prisonniers du tabou.

Le silence réduit au silence et à l’ignorance.

Alors quand on me dit que peu de personnes sont atteintes de maladies à la suite de vaccins, je pose la question suivante : comment peut-on connaître la non-existence de quelque chose si on n’a pas le droit d’en parler librement ?

Les réponses sont : plusieurs études scientifiques démontrent qu’il n’y a pas de liens de causalité entre la vaccination et l’apparition de maladies. Bon, il faudrait aussi rajouter : que toutes les études sont faites sur des personnes vaccinées. Il n’existe aucun groupe contrôle, tel qu’on en voit dans un laboratoire - que ces études sont financées par l’industrie pharmaceutique, que lorsqu’un médecin tel que le Docteur Chérin au sein de mon film, ose écrire sur le sujet, il voit sa crédibilité de spécialiste mise en doute.

Dire qu’il n’y a pas de lien revient au même que de dire : dans le cadre d’une étude opposant un groupe de personnes fumant deux paquets de cigarettes par jour et un autre fumant un seul paquet par jour, on retrouve le même type de maladies du poumon, conséquemment, il n’y a pas de lien entre la cigarette et le cancer du poumon. Une hypothèse comme celle-ci était crédible durant les années 1970.

On peut en débattre, je le sais, mais il est évident que de ne pas poser de questions, ou bien, de ne pas vouloir savoir, laisse la porte grande ouverte à un autre malaise qui est bien évoqué par le Congressman Dan Burton au sein du documentaire : « sommes-nous en train de laisser une trop grande place à l’industrie pharmaceutique dans le processus de décisions qui affecte notre vie ? »

J’aimerais rajouter ceci : sommes-nous en train de laisser le sort de notre immunité naturelle aux mains d’une industrie qui voit dans la production et l’invention des vaccins un simple moyen de faire du profit ? Les enfants qui naissent aujourd’hui pourront-ils survivre ou vivre sans se soumettre à un calendrier vaccinal de plus en plus imposant ? Pourront-ils vivre sans vaccins?

linabmoreco.wordpress.com/
Documentos adjuntosTamaño
resizer.jpg0 bytes
main-bk.jpg0 bytes


Asunto: 
Tien donc, un film avec ça!
Autor: 
joée46
Fecha: 
Vie, 2009-05-08 20:54

Premièrement, si le silence des intervenants en santé est si grand c'est qu'il succède à une longue histoire de hurlements. Les hurlements des groupes d'extrêmes droites qui dénoncent la vaccination depuis le début du siècle et entretenaient des campagnes de peur. On est contant que ces groupes se soient tu. On n'est pas pressé de voir de nouveaux ténors de l'ignorance venir encore faire peur aux parents.

Deuxièmement, lier les vaccins aux grandes pharmaceutiques relève de la mauvaise fois. Les vaccins qui ont fait l'objet de brevets ne le font plus depuis des lunes. Bien sûr, il faut que quelqu'un fabrique ces produits. Bien sûr les contrats sont donnés à des entreprises pharmaceutiques. À qui voudriez-vous les donner? À des artisants qui fabriqueraient ça dans l'évier de leur cuisine?


[ ]

CMAQ: Vie associative


Collectif à Québec: n'existe plus.

Impliquez-vous !

 

Ceci est un média alternatif de publication ouverte. Le collectif CMAQ, qui gère la validation des contributions sur le Indymedia-Québec, n'endosse aucunement les propos et ne juge pas de la véracité des informations. Ce sont les commentaires des Internautes, comme vous, qui servent à évaluer la qualité de l'information. Nous avons néanmoins une Politique éditoriale , qui essentiellement demande que les contributions portent sur une question d'émancipation et ne proviennent pas de médias commerciaux.

This is an alternative media using open publishing. The CMAQ collective, who validates the posts submitted on the Indymedia-Quebec, does not endorse in any way the opinions and statements and does not judge if the information is correct or true. The quality of the information is evaluated by the comments from Internet surfers, like yourself. We nonetheless have an Editorial Policy , which essentially requires that posts be related to questions of emancipation and does not come from a commercial media.