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La dictature du silence au Mexique

Anonyme, Jueves, Octubre 30, 2008 - 20:07

zapata junior

En démocratie, la liberté d’information est supposément un droit
inaliénable pour tous deux et celles qui veulent diffuser de l’information
selon leurs opinions. Mais au Mexique, en arrière du semblant de
démocratie se cache la dictature du silence, la liberté d’expression sont
un mythe qui peut se payer très chers comme Dans le cas du journaliste new
yorquais Brad Will assassiné par les forces paramilitaires du gouverneur
Ulises Ruiz Ortiz de Oaxaca. La culture de l’impunité et de la violence
font parties du quotidien des journaliste qui ne se conforment avec
l’opinion émise par les monopolos de l’opinion comme Televisa et Tv
Azteca, puisque le Mexique vit une situation de violence comparable à
celles d’Afguanistan ou d’Irak.

En démocratie, la liberté d’information est supposément un droit
inaliénable pour tous deux et celles qui veulent diffuser de l’information
selon leurs opinions. Mais au Mexique, en arrière du semblant de
démocratie se cache la dictature du silence, la liberté d’expression sont
un mythe qui peut se payer très chers comme Dans le cas du journaliste new
yorquais Brad Will assassiné par les forces paramilitaires du gouverneur
Ulises Ruiz Ortiz de Oaxaca. La culture de l’impunité et de la violence
font parties du quotidien des journaliste qui ne se conforment avec
l’opinion émise par les monopolos de l’opinion comme Televisa et Tv
Azteca, puisque le Mexique vit une situation de violence comparable à
celles d’Afguanistan ou d’Irak. Les réformes constitutionnels comme ley
televisa promut par le gouvernement paniste de Vincente Fox qui préparait
l’entré du gouvernement du PAN Partie de l’alliance Nationale, de tendance
conservatrice d’extrème droite) Félipe Calderon tendente à accentué cette
tendance à la concentration de l’information entre les mains de deux qui
accumulent des richesses exhorbitante pour services rengues à la
dictatures du silence.

La monopolisation de l’information se concentre entre les mains de ces 2
compétiteurs qui se répartissent 96% du marchés de la televisión, et qui
évidemment sont très complaisant avec le partie officielle au pouvoir et
l’idéologie dominante qui en ressort. Il est donc logique que cette amitié
fluctuante entre l’État et les médias commercial se paye grâcement avec
des sommes astronomiques envers les propriétaires des chaînes televises
comme celui de Télévisa, Emilio Azcáraga Jean. Le contrôle des médias
instaure aussi un type d’autocratie télévisé puisque au Mexique 8 personne
sur 10 écoute la télévision commerciale, se qui en découle donc est un
contrôle des masses qui nous rappelle 1984 de George Orwelle, ou la
l’ignorance c’est le pouvoir.

Deux études de cas comme le 2 octobre 1968, ou le massacre de Tlatelolco
ou les étudiants qui ont été massacrés par les militaires pour manifesté
de manière pacifiques, qui à été couvert par les médias commes des
agitateurs communistes étrangers venues déstabiliser le pays, ou encore
qui à passé sous silence dans d’autres médias plus attentifs au
préparatifs des Olympiques qu’à la situation sociale de cette époque
explosive quant à sa jeunesse. Ou encore la répression des habitants de
San Salvador Atenco, qui avait réussie au projet chéris du gouvernement de
Vincente Fox, le projet d’un aéroport qui devait lancé le Plan Puebla
Panama, et qui en mai 2006 pour s’avoir solidariser avec les vendeurs de
fleurs d’un marchés populaires ont reçu une violente répression de la par
de l’État qui à orquestré le tout avec l’aide des médias commerciale qui
ont préparé l’opinion publique à cette violente répression qui laisse
encore aujourd’hui c’est cicatrice dans le peuple de San Salvador Atenco.
Dans ces deux cas la violence de l’État à été soit justifier, soit ignoré
de la part du compagnont de l’État, les médias commerciale.

De plus l’impérialisme Américain est omniprésent dans tout les aspet de la
culture télévisé mexicaine. Les images qui sont transmit à l’auditeur
réponde aux critères des stéréotypes du rêves américains et de ses
fantaisies qui dépolitise la conscience critique du peuples mexicains. Et
qui ne représente en aucun cas la réalité social, économiques, culturelle
et politique de la la culture populaire sinon qui représente l’élitisme
qui se voit premièrement à travers la couleur de la peau puisque tout les
acteurs est clair, alors qu’au Mexique la majorité sont soit métis soit
autochtone, donc leurs couleurs de peau représente un message qui rentre
dans l’inconscient populaire et qui se base à une supposé supériorité des
races basé sur des critères d’etnocentrisme et qui de ce fait justifie
l’impérialisme américain et renforce les processus d’auto oppression de la
classe exploité.

La consommation est aussi un des moteurs actifs de ce modèle de
télédiffusion puisque les publicité qui remplissent la majorité des
grilles horaires, renforcent ce prinicpes et favorissent la consommations
de produits issues des multinationales au détriment des marchés locaux qui
sont beaucoup plus sains pour l’économie locales et pour la santé en
générale. La télé mexicaine reflète donc une image qui distorsionne la
réalité pour imposer le modèle néo libérale et régime d’exploitation
capitaliste et se avec la bénédiction de l’État et de l’église catholique
et protestante conservateurs, avec les valeurs d’indivialisme, de
compétition, d’abnégation pour l’autorité, de fidélité à un rêve qui se
rapproche plus du cauchemar, de consommation, d’égoisme, etc.

Le rôle de l’école est aussi importante dans ce conditionnement comme avec
les télésecondaires qui habituent les élèvent à écouter la télé comme
celles qui prêches la vérités. Les modifications structurelles comme le
sont l’ACE (Alliance pour la qualité de l’éducation) qui tendent à
privatiser le système d’éducation publique pour empêcher la formation
critique, populaire avec les pressions du FMI et de la banque mondiale
pour renforcer l’idéologie dominante et dépolitiser les masses.

Mais dans le labyrinthe sous terrain de la culture populaire ou se cache
une masse de 50 000 000 de personnes vivant de l’économie informelle,
d’immigrants qui par la nécessité risquent leurs vies pour quelques
dollars sous le royaume de Walt Disney, de femmes qui se battent contre le
féminicide dans la ville de Juarez, de peuples comme celui de Oaxaca qui
se rebellent contre le tiran et reprenne les médias et leur destin entre
leurs main, de guérilla comme l’EZLN qui ont fait des mots leurs armes et
de millions de mexicainEs qui ne se conforment pas avec les médias
commerciale et qui à travers leurs voix sortent des expressions d’une
rébellion vieille de plus de 515 ans. Ces voix portent le germent de la
liberté et de la dignité et c’est cette parole que nous devons écouter et
non celles des médias massifs qui peuvent seulement mentir et
distorsionner la vérité.

vers un blog de la résistance au Mexique
zapatavive.blogvie.com


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