L’État nations du Mexique dans sa forme paniste (le PAN est le partie, d’extrème droite qui esta u pouvoir en ce moment) est le miroir des intérêts de son voisin nordique, l’empire qui voudrait controler le destin des femmes et des hommes dignes, mais le miroir c’est briser et les voix des acteurs silencieux gronde, la colère est un fruit mûre qui se récoltera sous les fanfares de la révolte. Les réformes énergétiques qui veulent privatiser le pétrole mexicain, les projets miniers canadiens (à Oaxaca et San Luis Potosí entre autre) les militaires américains qui arrivent dans le nord du Mexique (près de 3000 militaires américains sont débarqué dernièrement à Chihuahua pour entraîner l’armée mexicaine à la torture et aux techniques de contre insurections), la guerre aux narcos qui justifie la militarisations du nord du Mexique, la guerre contre les bases d’appuie zapatistes aux Chiapas, la guerre contre les communautés aux Guerrero et à Oaxaca, la répressions contres les libertaires comme VOCAL (Voix de Oaxaca construisant l’autonomie et la liberté) et tout les collectifs ou les communautés comme Zaachila qui refusent le tirant Ulises Ruiz Ortiz de Oaxaca.

L’État nations du Mexique dans sa forme paniste (le PAN est le partie, d’extrème droite qui esta u pouvoir en ce moment) est le miroir des intérêts de son voisin nordique, l’empire qui voudrait controler le destin des femmes et des hommes dignes, mais le miroir c’est briser et les voix des acteurs silencieux gronde, la colère est un fruit mûre qui se récoltera sous les fanfares de la révolte. Les réformes énergétiques qui veulent privatiser le pétrole mexicain, les projets miniers canadiens (à Oaxaca et San Luis Potosí entre autre) les militaires américains qui arrivent dans le nord du Mexique (près de 3000 militaires américains sont débarqué dernièrement à Chihuahua pour entraîner l’armée mexicaine à la torture et aux techniques de contre insurections), la guerre aux narcos qui justifie la militarisations du nord du Mexique, la guerre contre les bases d’appuie zapatistes aux Chiapas, la guerre contre les communautés aux Guerrero et à Oaxaca, la répressions contres les libertaires comme VOCAL (Voix de Oaxaca construisant l’autonomie et la liberté) et tout les collectifs ou les communautés comme Zaachila qui refusent le tirant Ulises Ruiz Ortiz de Oaxaca. Les fragments de ce miroir reflètent un seule et même reflet celui de la guerre entre les exploitants et les exploités, et les reflets et les blessures de cette guerres sont vive dans la mémoire des mexicains. Ancètres des guerriers Mexica, zapotèques, Mixtèques, Yaqui, Tarahumara, Maya, des afro mexicains et de tout les autres peuples autochtones desquelles courent le sang de l’injustice, de l’esclavitude, de l’exploitation, de la misère de la famine mais aussi des esprit rebelles, dignes qui réafirmment leurs communalité à chaque moment de leurs existences. La communalité c’est cette façon de voir le monde qui pénètre dans la cosmovisión autochtone, qui ce partage ce protège et ce travaille comme la terre qui est notre mère, concept qui est le contraire de la propriété privé est qui se fonde dans les révolte paysannes et autochtones jusqu’à la constitution de l’article 27 qui protégeait les terres collectives jusqu’à sa modifications en 1992 pour permettre l’entré du Mexique dans l’ALÉNA en 1994(gagné par le general Emiliano Zapata pendant la révolution mexicainne, et repris par le soulèvement zapatiste en 1994 avec l’EZLN). C’est aussi la fête communautaire qui partage leur verre de mezqual, pulque, tequila, lachigolo, etc avec les autres membres de la communauté en écoutant la banda (groupe de musique constitué par des membres de la communauté). C’est aussi l’assemblée communautaire comme autorité maximum qui renverse le concept représentatif de la démocratie bourgeoise. C’est aussi l’aide mutuelle entre tout les membres de la communauté. Toute c’est composantes forme le sistème de la communalité qui est la façon anarchiste ou plutôt magoniste (Ricardo Flores Magon fut un anarchiste qui forma le Partie Libérale Mexicain et qui lutta contre Porfirio Diaz et qui influenza la tendance la plus radicale, de résoudre le problème à la racine dans la révolution mexicaine) de voir la cosmovisión autochtone, et cette communalité est la base de la resístanse autochtone. Elle fut aussi la base de la resístanse en 2006 quand les professeurs reçurent la brutales répressions du bras armés de l’État le 14 juin. Les barricades, les assemblées, la reprise des moyens de communications, de l’espace territoriale font tous parties de cette communalité qui résistent à l’oppresseurs. Le meilleur ou le pire reste à venir, et cela dépend de notre réponse organiser pour montrer notre désaccord de façon organiser. Vous étudiants, professionnels, immigrants, ouvriers, paysans, homosexuelles, lesbiennes, anarchistes, communistes, socialistas, journalistes, ong, défenseurs des droits humains, artistes, autochtones, organiser vous pour montrer votre désaccord et votre résistance face au politique du gouvernement mexicain et de sont allié l’impérialisme américain et canadien. Premièrement en vous informant plus sur ce qui ce passe au Mexique et à Oaxaca, deuxièmement en informant les autres (pamphlet, journaux murales, conférence, projections de vidéo, pétition,etc.), troisièmement par l’action directe(...) et l’accompagnement internationales. La solidarité est notre meilleure protection.