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L’UQAM: Université de merde ! Mort à l’UQAM!Anonyme, Sábado, Marzo 15, 2008 - 11:54
anonyme
L’UQAM, université supposément progressiste, investie d’une mission la rendant unique, différente... Qu’en reste-t-il ? En a-t-il seulement déjà été ainsi ? Qu’elle meure cette salope, que son agonie se propage sur ses administrateurs(trices), sur ses enculé(e)s gestionnaires et leurs acolytes judiciaires, policiers et gouvernementaux. Qu’ils(elles) meurent ces enfoiré(e)s! Qu’ils(elles) meurent bien. L’UQAM ne méritent que sa fin, et qu’elle viennent tôt ! Abrégeons cette mascarade technocratique ! L’inacceptable est maintenant accepté. Soit, mettons-y fin maintenant. L’état d’exception est maintenant la putain de norme. Les syndicats de merde attentent quoi pour réagir… Cette attente ne traduit que leur approbation silencieuse. Nous n’avons plus aucun droit dans cet état de droit! Nous sommes baisés jusqu’à la moelle. Sortons de ce brunâtre bourbier et mettons-y le feu. Nous ne pouvons absolument plus rien faire ! Qu’espère-t-il ? Quelle ambiance régnera-t-il à l’UQAM dans les jours, semaines, années à venir ? Ce cirque débile ne peut et ne doit pas continuer. Nous faut-il diversifier nos actions ? Le mode associatif de nos « syndicats » étudiants est-il appelé à disparaître ? La lutte doit (peut-elle?) continuer sans tuteur, sans centre… mais dans quel but ? Si ce n’est celui de la disparition de cette institution… L’atomisation de ce continuum de force peut-elle contrer la répression totalitaire que l’on ressent de plus en plus chaque jour ? Ils(elles) veulent notre mort. Nous sommes nu(e)s, impuissant(e)s. Nous sommes plus les bienvenu(e)s dans ces murs. Nous ne sommes plus dans un lieu public, ouvert et libre. L’avons-nous déjà été ? Ils(elles) peuvent faire absolument tout ce qu’ils(elles) veulent de nous, de nos corps. Le seul droit que nous ayons ici, est celui de ne vouloir en réclamer aucun. Mais bordel de merde nous n’avons pas à nous justifier dans leur vocabulaire, dans leur terme. Nous appréhendons le monde différemment qu’eux, nous le voulons totalement autre. Nous n’avons pas à nous défendre, et d’abord, nous défendre de quoi ? Cette grève a été menée dans la plus pure tradition. Pourquoi toute cette violence malsaine. Il ne se passe rien, mais pourtant… Que veulent-ils(elles)… notre fin. Bah! Qu’ils(elles) crèvent, tout cela n’est que de la merde. Mettons-y le feu. L’UQAM ne mérite pas de survivre, ils(elles) ont gagnés! Qu’ils(elles) meurent dans le brasier de leur victoire. La bassesse, la décadence, l’horreur de leurs réactions était prévisible théoriquement, maintenant nous voyons qu’ils(elles) veulent en finir par tout les moyens possibles. Ils(elles) ne s’en cachent plus, plus d’hypocrisie : aucune dissidence ne s’aura plus jamais tolérée ! Sinon : la prison ou 50 000$ !!! Mais tabarnak, dans quelle monde vivent-ils(elles)? Cela semble surréaliste! Mais c’est bel et bien réel. La pourriture de ce monde semble moins fardée ces temps-ci. Ce dont nous avions le plus peur s’active. Ils(elles) vaincront. Laissez nous vivre. Nous sommes des centaines, vous êtes des milliards. Nous n’avons rien, vous avez tout. Nous serons libre, vous ne goûterez jamais à cela.
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