Islamérique – Une perception québécoise, Michel Leclerc, québécois d’origine

Le grand écart, Mas Ensen S. immigrant algérien

Le premier est un Québécois d’origine natif de Charlevoix, Michel Leclerc, un avocat qui a fait carrière au gouvernement du Québec, où il a occupé notamment les fonctions de Directeur de Cabinet du ministre de la Justice, de Greffier adjoint du Conseil exécutif, de Greffier en loi de l’Assemblée nationale, de Directeur de Cabinet du Président de l’Assemblée nationale, et de Directeur du Bureau des règlements au ministère de la Justice. Monsieur Leclerc nous propose un essai sous le titre «Islamérique – Une perception québécoise».

Il présente son ouvrage en ces mots : «L’islam n’est pas une autre religion. Il porte en lui un système complet de valeurs, qui régit tous les aspects de la vie, y compris ceux qu’en Occident on considère comme relevant du droit, de la politique, et de la liberté personnelle. Il est donc, à cet égard, totalement différent du christianisme, du judaïsme, de l’hindouisme ou du bouddhisme. Comme religion, il règle chaque instant, chaque geste du fidèle; instauré comme régime politique, il devient la loi du citoyen. La progression de l’islam déborde maintenant l’Asie et l’Afrique; il est solidement implanté en Europe, et il gagne maintenant l’Amérique. Au-delà des turbulences des derniers mois sur la question des accommodements envers les minorités au Québec, il y a lieu d’examiner pourquoi il exerce un tel appel, et quelles conséquences peuvent en découler pour nous.»

Le second auteur est un immigrant d’origine algérienne natif d’Ighil Nat Cila, un village au cœur de la Kabylie, Mas Enses S. Cadre supérieur au sein d’une société nationale, au début de la cinquantaine, il décide de quitter son pays pour fuit les affres du terrorisme islamique, parce que menacé dans sa vie et sachant que tous ceux parmi ses amis qui n’avaient pas pris au sérieux la menace, sont morts aujourd’hui. Il arrive à Montréal en 2001. Depuis, ce que disent les immigrants des Québécois, les Québécois des immigrants, l’interpellent quotidiennement. Il écrit un roman qu’il baptise «Le grand écart» où le lecteur suit l’intégration d’un immigrant au Québec.

Monsieur Ensen S. introduit le lecteur à son roman en ces mots : «Le Grand Écart est un livre qui dénonce les parallèles de la vie sociale. Les Algériens sont meurtris et souffrent dans leur chair de l’islamisme politique, non pas depuis une décennie, mais depuis des temps immémoriaux. Le djihad proclamé par les islamistes aux Algériens en particulier et au monde en général, fait reculer l’Islam qui n’est pas une religion de paix. Il est évident que l’idéologie du djihad s’inspire du Coran. Trop général, ce dernier a donné lieu à un laisser-aller philosophique et à un laisser-faire politique sans précédent dans les pays dits musulmans. Le Grand Écart est une dénonciation des méfaits du mystique et de la manipulation. Le Grand Écart est une prise de conscience. Dans le même temps, il est une mise en garde contre les complots islamiques. « Humains, prenez garde ? », car le djihad est permanent. Il est une guerre déclarée aux impies, à tous ceux qui ne se convertissent pas à l’Islam et à ceux qui s’en écartent.»

Les deux livres sont édités par la Fondation littéraire Fleur de Lys et ils sont disponibles en version papier et numérique uniquement sur son site Internet : http://manuscritdepot.com/

Les intéressés peuvent lire des extraits de ces œuvres et découvrir davantage ces deux nouveaux auteurs aux adresses suivantes sur le site Internet de la Fondation :

Le grand écart, Mas Ensen S.

http://manuscritdepot.com/a.mas-ensen-s.1.htm

Islamérique – Une perception québécoise, Michel Leclerc

http://manuscritdepot.com/a.michel-leclerc.1.htm

Source :

Serge-André Guay, président éditeur
Fondation littéraire Fleur de Lys

TÉLÉPHONE
(514) 680-1211 (Montréal, Québec, Canada)

ADRESSE POSTALE
Fondation littéraire Fleur de Lys,
6678, 25ème Avenue,
Montréal,
Québec.
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