un paysan révolté qui soutient l'autre campagne zapatiste
Les origines du PSP en agriculture… la révolution verte.
Ces choses qui sont les sources de notre vie sont sacré et nous devons les
défendre comme tels, pour certains elles sont sources de vie et pour
d’autres elles sont sources de profit. Le Partenariat pour la sécurité
et la Prospérité nous à déclarer la guerre sans même avoir le courage
de nous la déclarer. Son volet sur l’agriculture dans son site officiel
est très bref, nous parlant d’une collaboration trilatérale avec des
règlements plus efficace qui aideront à éliminer les obstacles aux
commerces. Il nous parle de sécurité et d’étiquetage des produits. De
la détection des maladies d’origine alimentaire, de l’échange de
l’information entre les laboratoires en vue de renforcer la confiance
envers ce genre de méthode (ils doivent évidemment nous parler des OGM,
des pesticides, des insecticides, des fertilisants chimiques). Ils nous
parlent aussi de la biotechnologie et de leurs politiques de
réglementation. Les multinationales de l’agriculture et leur modèle
industrielle nous ont déclaré la guerre la première fois après la
deuxième guerre mondiale sous l’égide du combat de la faim dans le
monde. Utilisant les surplus des bombes non utiliser (azote, phosphore,
potassium), puisque ayant découvert aux 19ième siècle que les plantes
pouvaient assimiler directement les minéraux sous forme de soluté sous
forme de fertilisant. Et de la grosse machinerie dépendante des énergies
du combustible fossile…
À tous les paysanNEs exploités,
À tous les sans terre qui osent exproprier la propriété privé,
À tous les hommes et femmes de maïs qui ont du se masquer et prendre les
armes pour qu’on les voie,
À toutes les organisations paysannes qui résistent aux politique
néo-libérale
À tous les travailleurs/ travailleuses agricoles journaliers,
À tous les autochtones qui non pas vendus leurs terres leurs coutumes et
leurs âmes,
À tous les travailleursES migratoires qui enrichissent les poches des
fermiers du nord et qui souffrent le mal du pays,
À tous les fermierÈREs qui se soucis plus de la terre que de leurs profit
utilisant des méthodes respectueuses de l’environnement et des
écosystèmes,
À tous ceux et celles qui promeuvent la syndicalisation des travailleursE
agricoles exploitéEs,
À tous les jardiniers et jardinières conscient de l’importance de la
terre mère,
Frère et sœurs, enfants de la terre, je voulais d’abord remercier cette
terre mère qui nous donnent si abondamment notre subsistance, aux soleil
qui nous donnent chaleur et donnent l’énergie des plantes desquelles
nous nous nourrissons, remercier l’eau qui coulent de façon si abondante
sur nos terres et abreuvent toutes les formes de vie, remercier les arbres
et les forêt qui sont nos poumons.
Les origines du PSP en agriculture… la révolution verte.
Ces choses qui sont les sources de notre vie sont sacré et nous devons les
défendre comme tels, pour certains elles sont sources de vie et pour
d’autres elles sont sources de profit. Le Partenariat pour la sécurité
et la Prospérité nous à déclarer la guerre sans même avoir le courage
de nous la déclarer. Son volet sur l’agriculture dans son site officiel
est très bref, nous parlant d’une collaboration trilatérale avec des
règlements plus efficace qui aideront à éliminer les obstacles aux
commerces. Il nous parle de sécurité et d’étiquetage des produits. De
la détection des maladies d’origine alimentaire, de l’échange de
l’information entre les laboratoires en vue de renforcer la confiance
envers ce genre de méthode (ils doivent évidemment nous parler des OGM,
des pesticides, des insecticides, des fertilisants chimiques). Ils nous
parlent aussi de la biotechnologie et de leurs politiques de
réglementation. Les multinationales de l’agriculture et leur modèle
industrielle nous ont déclaré la guerre la première fois après la
deuxième guerre mondiale sous l’égide du combat de la faim dans le
monde. Utilisant les surplus des bombes non utiliser (azote, phosphore,
potassium), puisque ayant découvert aux 19ième siècle que les plantes
pouvaient assimiler directement les minéraux sous forme de soluté sous
forme de fertilisant. Et de la grosse machinerie dépendante des énergies
du combustible fossile… comme le pétrole pour le travail de grande
surface de monoculture. C’est alors qu’ont fit la guerre aux insectes,
la guerre aux mauvaises herbes, la guerre aux maladies animales et
végétales. On dénommera cette période la révolution verte. Ce mode
d’agriculture allait vider les communautés agricoles pour les remplacer
par un mode d’agriculture industrielle et capitaliste. En même temps que
l’intensification de la production animale pour répondre à la demande
accrus de viande dans le nord, donc plus de terre pour l’exportation et
moins pour la subsistance nationale. Par la sélection des super
producteurs de viande, de lait accroissant par la modification hormonales
leurs croissances, réduisant leurs espaces vitales pour augmenter la
productivité. Il en serait de même avec les végétaux réduisant leurs
biodiversité par l’hybridation et les modifications génétiques pour
utiliser des végétaux qui assimileraient plus vite les engrais,
survivraient les pesticides et les herbicides. De plus la dépendance des
agriculteurs pour acheter les semences, les engrais, la machinerie, est le
premier pas vers la perte de la souveraineté et de la sécurité
alimentaire.
Ils sont grands parce que nous sommes à genoux…
Toutes ces modifications se sont fait évidemment aux dépens des petits
producteurs, des petits paysans, des communautés autochtones qui ne
pouvant survivre contre des grands producteurs qui la plupart du temps sont
supporter par des politiques nationale et les impôts du peuple, ont du
quitter leurs terres pour vendre leurs force de travaille ailleurs.
L’exemple des millions de mexicains victime de la modification de
l’article 27 de la constitution mexicaine qui protégeaient les
propriétés collective et le système des ejidos et de la rentré du
programme PROCEDE, qui ont du migré pour vendre leurs sueur aux fermiers
racistes du sud en est une conséquence directe. L’implantation des super
porcherie, qui contamine les nappes phréatiques de régions entière
puisque le fumier de porc est rendus trop liquide et contamine les cours
d’eau. La seule culture pouvant supporter de telles quantité de fumier
est le maïs et le cercle vicieux ferme donc sa boucle avec l’odeur en
plus pour les communautés qui entourent ces cultures. Les effets sur les
écosystèmes des environs est tout aussi dramatiques. Les multinationales
ont plusieurs astuces pour masquer leurs intentions réelles.
L’exemple de la salubrité et de l’étiquetage et d’autre absurdité
des apostolats du PSP
En exigeant des standards de qualité et de sécurité sanitaire plus
élevés pour décourager les petits fermiers qui s’en tiennent aux
pratiques traditionnelles, et en soutenant la modernisation par de
généreux programmes : semences certifiées, troupeaux de race,
insémination artificielle…(1) . Réduisant les fermes québécoises de
140 000 à 30 000, ce fut aussi aidé par des politiques de zonage
permettant l’usage intensif des zones vertes comme dans le cas des fermes
porcines. L’étiquetage est aussi un exemple puisque l’ironie fait que
les compagnies ne veulent pas étiqueter les OGM, bien qu’une crainte
grandissante du public réclamant plus de visibilité. Ne serait-ce pas une
façon de camoufler les véritables dangers qu’il faudrait étiqueter?!
Ils veulent aussi nous vanter les avantages des biotechnologies, peut-être
veulent-ils nous vanter les semences de Monsanto, les Terminator, qui
s’auto-suicide avant d’être fertile. Ou peut-être du brevet age des
connaissances traditionnelles des autochtones et des paysans, véritables
volent légaliser?! Les brevets sont volés aux milliers d’années de
patience de générations de paysans et d’autochtones qui par leurs
savoir faire et leurs observations de la nature ont su en tirer des
richesses de la nature. Économiquement ce type d’agriculture profite
seulement à un certains type d’agriculture, au Mexique 71 % de
l’agriculture à été sacrifier avec l’entré de l’ALÉNA par le
dumping de maïs des États-Unis et le contrôle du marché de la tortilla
(une seule compagnie contrôle 70% du marché). Plus de 1,3 millions
d’emplois en agriculture au Mexique ont été perdus par cet accord en
1994. Les seules bénéficiaires furent les cultures fruitières contrôlé
par les États-Unis et qui représentent à peine 8,4% de l’activité
agricole. Une agriculture basé sur la sécurité alimentaire est remplacé
par une agriculture d’importation et d’exportation. Au contraire nous
défendrons et construiront sans relâche la sécurité alimentaire,
l’autonomie, la possession collective des terres en respectant les
écosystèmes et les territoires autochtones. Et les ressources naturelles
que les multinationales pillent sans relâche, et ce par tous les moyens
nécessaires.
Le droit à la révolte
Nous ne demanderons pas la permission aux multinationales et à 3 tyrans
pour reprendre ce qui nous appartient de plein droit. Pour ceux et celles
qui croirait que ce texte n’est que rhétorique, sachez que ce texte est
le fruit de la sueur de l’action du travail de la terre et ces de
celle-ci que nous continueront d’apprendre. Bâtir la sécurité
alimentaire, c’est développer la capacité d’un milieu à répondre à
ses propres besoins alimentaires. Une approches basée sur la sécurité
alimentaire développe de nouvelles façon pour les milieux de devenir
autosuffisants au niveau alimentaire (exemples : cuisines collectives,
groupes d’achats, jardins collectifs). C’est une approche qui par
définition, implique le développement social, l’empowerment des
citoyennes et des communautés, et qui prétend proposer certaines pistes
de solutions à certaines problématiques du milieu, comme le racisme, la
violence conjugale, la santé mentale, etc. (2).
Construire l’autonomie au niveau du travail de la terre c’est soutenir
l’agriculture qui essais de sortir de logique marchande, c’est soutenir
les organisations paysannes et autochtones qui crée des alternatives
réelles pour leurs communautés. L’autonomie de l’héritage
génétique au niveau des semences et de la création de banque de semence
par les autochtones, paysans et les jardiniers. C’est socialiser les
connaissances qui permettent l’apprentissage des techniques adaptés au
milieu pour faire pousser de la nourriture naturels. C’est humaniser ceux
celles qu’ont traite comme des bêtes de sommes pour leurs redonner le
droit à la dignité. C’est redonner un espace à ceux et celles qu’ont
a jeté hors de leurs terres.
La possession collective de la terre rentre en contradiction directe avec
la propriété privé et c’est seulement à travers l’expropriation et
l’occupation de terres mal ou pas utilisés que se droit s’exerce. Tout
en maintenant l’occupation du territoire par les paysanNEs qui
maintiennent nos campagnes vivantes. Le respect des territoires autochtones
est essentiel pour la préservation de la culture autochtone, de la
biodiversité et pour respecter les accords internationaux comme
l’article 169 de l’Organisation Internationale du Travail, et leurs
droits ancestraux.
Le PSP à une politiques énergiques aussi vorace que le mode de vie qui le
génèrent ou plutôt qui nous dégénèrent tous. Par ces politiques de
transport sur l’eau, sur l’hydroélectricité, le pétrole et toutes
les ressources naturelles, il est évident que la question environnementale
est loin d’être leur préoccupation principale. Et nous devons les
stopper par tout les moyens nécessaires : par le sabotage, par
l’expulsion des multinationales de nos territoires, par la création
d’alternative tangible et réelle, par la mobilisation et si nécessaire
par l’usage de la force nécessaire. Nous savons que la lutte sera longue
et nous soutenons tous les efforts pour rejoindre nos luttes contre le PSP.
Terre et liberté
(1)Plaidoyer pour une agriculture paysanne, ROMÉO BOUCHARD, 2002
(2)Au cœur de notre quartier, un guide pratique pour le démarrage et
l’animation de jardin collectif
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