Encore une fois, l'état policier fait rage. Du haut de leur matraque, les cochons de la ville de Montréal ont brandit la démocratie. Une démocratie où les riches peuvent s'enrichir tout en expérimentant sur des animaux. À bas l'état policier!

Lors de la manifestation du 26 novembre qui dénonçait l'expérimentation animal, un contingent d'une trentaine de manifestantEs ont été exprimer leur mécontentement devant les domiciles des chefs d'entreprises qui pratiquent ces méthodes honteuses et réactionnaires. Nos chères cochons de la ville de Montréal, fidèle protecteur de la propriété privée et des riches, n'ont pas passé par quatre chemins pour réprimer férocement cette manifestation.

Le contingent s'est arrêté à deux demeures, dans le riche quartier de Westmount, (celles des patrons qui rend légitime ces actes de cruauté) pour dénoncer ces gestes barbares. Au cours de la manifestation où le contingent se dirigeait vers la troisième demeure d'un criminel, les manifestantEs ont été prisEs dans un guet-apens de cochon et ceux-ci se sont donnés à une séance de matraquage, tout en arrêtant une dizaine de manifestantEs. Il est évident que devant de tels actes réactionnaire, la police de Montréal est au service des riches et des fascistes.

La voix du peuple tient à dénoncer la brutalité policière qui a eu lieu le 26 novembre puisque en effet, ce fut une manifestation pacifique, sans qu'aucun manifestantE n'a employé la violence pour faire passer son message. De plus, force de constater que les cochons briment notre droit de nous exprimer, cette fameuse liberté d'expression que nos riches d'ici se plaîsent à revendiquer, mais qui en fait, si elle ne correspond pas à leurs intérêts, n'hésitent pas, avec l'aide des cochons, à la faire taire par la force. Soyons nombreux et nombreuses à poursuivre le combat et à dénoncer l'expérimentation animale!