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Des conditions pour la paix durable au Moyen-OrientAnonyme, Sábado, Septiembre 23, 2006 - 21:55 Le vendredi 15 septembre 2006 Il y a de la peste en ce moment, que faire quand la peste est là? Dans une perspective de mondialisation alternative, solidaire et humaniste, que faut-il faire pour nous débarrasser de nos taches de guerre plus mortelles que le sont nos taches virulentes? Ces taches causent une grande souffrance actuellement en Palestine, au Liban, en Iraq, au Congo, au Darfour et dans le monde entier. La guerre cesserait d’affliger l’humanité si la décision de l’arrêter était prise dans le cœur de chacun de nous et de nos dirigeants. Il faudrait la remplacer de toute urgence par des négociations politiques et économiques permanentes autant dans un espace local que mondial.
Le premier devoir d’ÉTHIQUE qui s’adresse aujourd’hui à l’humanité c’est le rejet des lois mortelles de la vie que nous avons créées pour les autres d’abord et pour nous par la suite. Qui sommes-nous pour imposer la mort aux autres? Sommes-nous devenus des dieux? La guerre c’est toujours le pire échec de l’humanité puisque c’est une souffrance inutile qu’elle s’impose à elle-même. Des marques de joie, d’amour de souffrance et de guerre constituent en partie l’ontogénèse de chaque individu à partir de sa fécondation jusqu’à sa mort. Nous sommes tous porteurs de ces traces depuis le tout début de l’évolution de l’humanité. C’est par la pratique d’une éducation et d’une économie axées sur le partage et la collaboration que nous parviendrons à changer ce modèle guerrier. Le développement de notre race, la phylogénèse est déjà en nous bien avant la naissance. Nous sommes responsables d’arrêter la guerre en nous puisque nous sommes ultimement la seule race humaine restante de l’humanité.
Nous vivons tous dans un kayak de sauvetage planétaire. Comme elle est ténue et fragile notre navette terrienne! Nous devons nous poser et nous reposer ensemble la question : Que faut-il faire contre ce fléau inhumain et destructeur qu’est la guerre? Disons pour l’instant que la paix de l’âme équilibre les forces spirituelles de EROS et les forces matérielles de THANATOS, mais c’est plus compliqué que cela. L’amour, le respect, le bonheur et le partage conditionnent la paix de l’humanité.
Tout comme notre Coalition Québec-Palestine, des femmes, des hommes et des enfants se lèvent debout partout dans le monde pour dénoncer la guerre. Nous sommes bouleversés et terrassés de voir mourir autant d’innocentes victimes, de jeunes enfants et de voir souffrir des populations civiles inutilement en Palestine, au Liban, en Irak, en Afghanistan, au Congo, au Darfour et partout ailleurs dans le monde. Nous ne sommes pas assez nombreux à dénoncer ces atrocités.
Avant l’élection récente du gouvernement conservateur dirigé par M. Stephen Harper, le Canada participait tout au plus à des missions de maintien de la paix. Le Canada était reconnu mondialement comme un pays amical et pacifique. Un Premier ministre canadien, Lester B. Pearson, avait obtenu le prix Nobel de la paix. C’est sous le gouvernement de l’honorable John Defenbaker que fut instaurée la Déclaration universelle des droits de la personne au Canada en 1962. Depuis la récente élection des conservateurs au Canada, le gouvernement appuie ouvertement les politiques de guerre des États-Unis mises de l’avant par Georges W. Bush. Le Canada dirigé par M. Stephen Harper nous apparaît comme une succursale de guerre du parti républicain.
Les enjeux de la politique guerrière des néo-conservateurs aux États-Unis pour le Moyen-Orient et pour ailleurs dans le monde sont bien connus :
Coalition Québec-Palestine et réseau antiguerre à Québec
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