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Bolivie : fête populaire et doutes du secteur privéAnonyme, Jueves, Mayo 4, 2006 - 19:15 (Analyses)
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Réjouissances populaires, incertitude du secteur privé, préoccupation de quelques gouvernements, méfiance des compagnies pétrolières. C'est ainsi que le quotidien bolivien El Deber de Santa Cruz décrivait le climat que vit la Bolivie après la nationalisation des hydrocarbures: Au lendemain de la militarisation des champs pétroliers, on respirait le ressac des festivités d'un 1er Mai qui ont culminé avec le choeur de l'Université Mayor de San Andres chantant l'Internationale en pleine place Murillo, en face du Palais Quemado (présidentiel). Les sondages, et les chaines d'opposition, rendaient compte d'un large soutien social et des analystes généralement critiques du gouvernement reconnaissaient que "Evo Morales a accomplit sa promesse électorale avec le programme voté par 54 % des boliviens". "Avec cette mesure le gouvernement a assit son autorité, maintenant il faut gérer la nationalisation", commentait on au Palais Quemado tout en élogiant le rôle des Forces armées dans l'occupation des champs et raffineries. Dans le camp opposé, l'ex président Jorge “Tuto |
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