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Six NationsAnonyme, Miércoles, Abril 12, 2006 - 10:24
traduit par maudite
La Société Okijida émet une alrme Jaune pour toutes les sociétés Warriors en regard de l'escalade de la situation en tre la Nation Mohawks Six Nations et la Police Provinciale de l'Ontario (OPP). Une alerte jaune est un Stand by alert envoyée par les sociétées warriors à ses membres dans une situation particulière. C'est aussi un signal au Canada que la situation est suivie de près. Urgent! Soudain changement de température à Six Nations – Un ordre de la Cour Canadienne défend les squatters corporatifs – OPP utilisera les armes pour résoudre un conflit de juridiction constitutionnelle. La compagnie Henco Industries s'est lancée dans un chantier de construction avec l'aval du gouvernement sur les terres des Six Nations à Douglas Creek, Ontario. Alerte Jaune aux Sociétés Warriors La Société Okijida émet une alrme Jaune pour toutes les sociétés Warriors en regard de l'escalade de la situation en tre la Nation Mohawks Six Nations et la Police Provinciale de l'Ontario (OPP). En 1990, la pluparte es Premières Nations étaient en choc après la crise d,Oka. Depuis 1990, les sociétés Warriors se sont réunies régulièrement pour planifier une stratégie si des situations similaires se produisaient. Une alerte jaune est un Stand by alert envoyée par les sociétées warriors à ses membres dans une situation particulière. C'est aussi un signal au Canada que la situation est suivie de près. Les Mohawks de Six Nations ont déclaré ceci: MNN. 29 mars 2006, 12:00, 4 cruisers de OPP ont été observés à l'avoisinante Unity Road School, trois Jimmys et environ 14-15 policiers en civils, 2 cruisers côte à côte plus haut et de l'autre côté au Canadian Tire les cruisers font directement face au site. Plein de médias s'étaient soudainement pointés. Nous demandions aux gens d'aider en envoyant des messages au procureur général du Canada et de l'Ontario, au Premier Ministre, au Gouverneur Général du Canada et à travers le monde. Nous souhaitons accueillons nos frères et nos soeurs, ami-e-s et allié-e-s à bras ouverts à se tenir en solidarité avec nous contre cette invasion illégale de Six Nations, (Autoroute 6, Caledonia Ontario) L'ordre de cour de Marshall n'a pas d'autorité légale pour réguler ce qui se passe sur les terres de Six Nations. Quand la population de Six Nation ne s'est pas présentée, il les a trouvé coupables d'outrage au tribunal. Comment peuvent0ils être en outrage quand ils-elles n'en savaient rien? Il se passe des choses bizarres ici! Marshall, la Cour, Ontario, le Canada et l,OPP montrernt beaucoup d'outrages à la loi. Les Indiens sont ici aux yeux du monde entier. Il n'aurait pas été compliqué de trouver quelqu'un pour informer de la séance de Cour. Le Juge Marshall a été irrité par la plainte de la Couronne que l'ordre original était ambigu et devait être raffermi. La Couronne n'est-elle pas supposée défendre les 2 côés dans une dispute? Si le Canada se décrit comme un confidente des Indiens, pourquoi prend-il l'autre côté? Toujours est il qu'à 16h30 le 30 mars, le Sheriff John Dobson est arrivé au Duglas Creek Estates avec sa veste pare-balle, ses pantalons bouffants et son pistolets bien en vue afin de livrer le nouvel ordre de la Cour ou autre paperasserie du genre. Le gros orteil effleurant à peine la ligne noire que les hommes avaient tracé, il s'est mis à récité le papier qu'il tenait,un charabia plus ou moins compréhensible. Les femmes, voyant ce délire, on commencé le drumming et les chants, espérant les ramener à leurs sens. Puis, la population de Six Nations lui a servi une injonction : vous êtes en violation de Kaianereh'ko:wa, état de paix...par vos actions d'agression, de violence, de trouble de la paix, de conspiration en vue de meurtre, sacrifice de sang, génocide contre les On'kwe'hon:we, occupants d'origine de ces terres. .''' Dobson a sursauté et a déclaré: Je ne fais pas partie de cela'' Ils ont laissé tombé leur papier sur le sol, sont remontés dans leurs grosses montures et sont partis vers le Soleil couchant. ''Vous polluez'' a dit un homme, mais ils ne sont pas revenus se ramasser. Quand les hommes ont tracé la ligne noire sur le sol, ils ont rapellé toute la division territoriale entre la juriditction Autochtine et Canadienne. Les autochtones ont accepté que les Européens prennent refuge sur l'île d ela tortue. Nous n'avons jamais accepté de laisser tomer nos propriétées et nos vies entre leurs mains. Nous avons négocié les accords de Two Row Wampum pour partager la rivière. Les réfugiés allaient rester sur leur bateau, dans un chemin parallèle aux autochtones. Les réfugiées on fait un génocide, tuant 99% d'entre nous, reprenant l'île de la Tortue unilatéralement. Ils se sont dits qu'ils étaient en mission pour Dieu. Pour arriver à quelque chose avec ces fous, nous avons essayé de négocier dans des termes qu'ils comprenaient. L'un des derniers accords a été fait le 25 octobre 1784: Six Nations ont commis le General Haldimand à s'engager au nom du Roi George III d'Angleterre de nous protéger,nous et les futures générations à jamais sur un territoire de 6 miles de chaque côté de la Grand River de sa bouche à sa source. En fait, l'une des premières études faites dans la région maintenaint apellée Ontario étaient faites pour marquer les frontieres des terres Six Nations. Il est à noter que le juge Marshall a de l'argent dans Henco. En 1920, la Canada a envoyé la GRC pour renverser le gouvernement traditionnel de Six Nations et prendre les fonds. Ils n,avaient aucune autoritié pour cela. Le gouvernement n'a jamais pu compléter ses négocitations avec l'OPP. L'OPP n'a pas de juridiction légitime de mener des manoeuvres pôlicières sur les terres de Six Nations. Les colons n'ont pas respecté leurs propres lois, et continuent de nous forcer dans leurs bateaux à la pointe du fusil. La ligne noire est là pour rappeller à la société coloniale qu'ils avaient accepté de respecter notre indépendance et notre titre à l'île de la Tortue en échange de notre alliance dans leur dispute avec leur cousin européen. Nous avons fait des alliences parce que nous avieons besoin de protection, mais nous ne sommes pas sous leur juridiction. Nous n'avons jamais accepté d'être des sujets britanniques. Nous n'avons jamais accepté d'être des citoyens canadiens. Nous avons vraiment besoin de trouver un médiateur international maintenant. Quelqu'un qui n'a pas d'intérêt dans l'issue de l'affaire. Ce ne sera pas facile à trouver. Tellement d'États sont compromis dans l'appropriation de terres autochtones. Peut-être faudrait-il une équipe de médiation, incluant des représentants des peuples autochtones et des États coloniaux impliquées dans cette dispute particulière. Les médiateurs doivent comprendre la loi coloniale que les colon essaient d.imposer ainsi que notre loi, Kaianereh'ko:wa. Nous avons essayé pendant 2 siècles leur forme de négocitation basée sur l'usage de la force et les menaces. Maintenant ils doivent essayer et le faire à notre fa^con. Ils pourraient être surppris de voir comment ça amarche bien, si seulement ils voulaient essayer. Si seulement ils pouvaient comprendre. Malheureusement, les colons n'ont jamais été guéris depuis leur occupation de l'île de la tortue. Ils sont devenus l'in des plus matériellement riche''cookie monster'' du monde tout en demeurant socialement et spirituellement appauvris. Leurs relations sont toutes basées sur la domination et le gain immédiat sans égards aux générations futures. Malgré leurs énormes piles de propriétées autochtones volées résultant de l'holocauste qu'ils ont causé, ils refusent de partager avec nous ou les futures générations. Leur plan est que d'ici 20 ans, il n'y aura plus de ''Problème Indien'' On ne peut pas voler la terre. One ne peut que l'occuper illégalement. On n epeut pas la mettre dans sa poche et s'en aller. Vous devrez tuer les autochtones dessus et mettre vos racines à notre place. Nous ne vous laisserons pas faire. Pour eux, tout est leur possession personnelle. Ils croient que seulement certains d'entre eux ont droit à la propriété. Comment peut-on guérir cette maladie? La grande paix de Kaianereh'ko:wa, la loi de l'île de la Tortue. Cet abus de procédures légales confond le public. Le Hamilton Spectator (quotidien local) réfêre constemment au site comme à un chantier de construction... c'est la propriété qui est en disputée. Cet affirmation mêlante légitime l'occupation sur des terres Indiennes aux yeux du public. Quelles sont les options pour le Peuple Six Nations? Aller en cour pour en apeller de cette injonction, ce qui peut ne pas leur être possible comme ils-elles n'ont pas l'argent pour des avocats. Une autre option serait pour Six Nations d'aller en médiation avec le Canada, l'Ontario et Henco Industries sous la Kaianereh'ko:wa, qui est la loi de la terre occuppée par Henco. Les occupants de Henco Industries espèrent une réponse immédiate des policiers. Ils vont arrêter, prendre les emprintes digitales et photographier Six Nations. Ottawa a envoyé un médiateur indépendant la semaine dernière, Michael Coyle de l'University of Western Ontario. La femme l'a renvoyé : Voici la porte de l'Est, maintenant sortez!'' 31 mars En 1990, la première Nation Anishnabe a été la première société non Mohawk à bloquer pour montrer leur support. Les sociétés warriors à travers le Canada se sont entendues sur ce qui suit lors de sitiations comme celle-là: 1 De rester sur son territoire et de suivre attentivement la situation. 2 Si du sang était versé, nous prendrions action dans nos communautés ce qui inclut des blocages mais plus important, nous avons convenu qu'en cas de mort autochtone causée par l'armée canadienne, nous metterions un frein à l,économie canadienne. Nous avons clarifié au Canada que les traités reconnaissait la coexistence paisible des blancs; du sang versé délibérément par le Canada est la fin de ce traité. Comme les Mohwaks l'ont dit: `Toute l'affaire c'est la juridiction et les titre et nous sommes des alliés, pas des sujets. '' Le Canada doit cesser d'utiliser les armes pour rêgler ses disputes légales avec les Autochtones. Ils savent qu'ils l'ont volé, ils doivent le rendre. Il reste à savoir si les Conservateurs ont appris quoi que ce soit de la crise d'Oka... Email the Ontario Attorney General http://www.attorneygeneral.jus.gov.on.ca/eng ceci était une traduction résumée libre, les sources: Kahentinetha Horn, MNN Mohawk Nation News, kahe...@yahoo.com Coming soon Six Nations contacts: Jacq...@hotmail.com ; Janie Jamieson Email the Ontario Attorney General http://www.attorneygeneral.jus.gov.on.ca/eng
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