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Documentaires vidéos sur les enfants et les liquidateurs de Tchernobyl

Anonyme, Lunes, Enero 9, 2006 - 07:34

Infonucléaire

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"Le sacrifice"

Documentaire de 24 mn de Wladimir Tchertkoff (2003).

Dans les mois qui suivirent la catastrophe de Tchernobyl, un million
de liquidateurs ont été réquisitionnés
pour tenter de confiner le réacteur en feu. Le témoignage
de quelques-uns d'entre eux, la mort de la plupart dans l'indifférence
générale.

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"Enfants de Tchernobyl"

Documentaire de 16 mn de Wladimir Tchertkoff (2003).

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"Controverses nucléaires"

Documentaire de 51 mn de Wladimir Tchertkoff (2003).

En juin 2001 à Kiev, les experts nucléaristes de
l'AIEA et de l'OMS maintiennent que la catastrophe de Tchernobyl
n'a fait que 31 morts "environ"...

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Ces documentaires sont disponibles en Français /Anglais
/Allemand sur :

TARGET="_blank">http://www.nwa-schweiz.ch/Tschernobyl-Filme.8.0.html



Le film " Le Sacrifice " sur les liquidateurs de Tchernobyl
a reçu, en novembre 2004, le Prix du meilleur documentaire
du FESTIVAL DU FILM D'ENVIRONNEMENT de la Région Ile de
France. Au cours de la cérémonie de la remise des
prix dans la grande salle du Conseil Régional à
Paris, lecture a été donnée des motifs qui
ont inspiré le choix du festival :

" Savoir d'où l'on vient, dans quel monde on
vit. Un cinéaste est témoin du monde dans lequel
il vit. A un instant donné, il est le reflet d'un environnement
qui l'a construit, qui l'a façonné ou d'un environnement
vers lequel il tend. Etre cinéaste c'est s'engager, c'est
être quelque part, avoir un passé, une histoire propre.
Chaque film est le reflet d'une éducation, d'une culture,
d'une politique, d'un refus ou d'un désir. L'important
est de témoigner. Chaque film nous emmène dans des
environnements différents qui nous bousculent, nous indignent,
et ne nous laissent pas tranquille.
"

Deux jours auparavant, le même film a reçu le
prix du meilleur documentaire du Festival du Film Scientifique
d'Oullins, A NOUS DE VOIR. Les intentions du festival, qui inaugurait
une nouvelle formule avec l'édition de 2004, sont ainsi
formulées :

Le cinéma scientifique est en perpétuelle
évolution. Le festival, au travers de cette nouvelle forme
de concours, souhaite ne plus être un simple lieu de validation
de films, mais un chantier de réflexion.

L'équipe du festival A NOUS DE VOIR °© Science
et cinéma, a choisi d'articuler cette 18ème édition
autour de la notion de légitimité. [...] Ce que
nous voudrions affirmer avant tout, c'est la légitimité
de renouveler sans cesse le débat, de se poser des questions,
d'impulser une appropriation sociale des réflexions entourant
les thèmes de la science et de l'image.[...]

Il est d'abord question de la place de la science dans notre
société, de cette idée diffuse qui laisserait
aux scientifiques, souvent malgré eux, le " monopole
du savoir légitime ", de la sacralité entourant
le champ scientifique, lui conférant un pouvoir qui dépasse
fréquemment le domaine de la connaissance. [...]

Sur le film de science lui-même, s'il est conçu
comme une courroie de transmission entre dépositaires du
savoir et les autres, comme legs d'une vérité ontologique
qu'il s'agirait d'absorber passivement, se pose également
un problème de légitimité, celle du mode
de transmission. Le film est légitime s'il est une création
assumée, s'il est pensé comme un regard porté
et sublimé, une uvre subjective offrant la possibilité
d'une remise en cause D'autant que le film possède, comme
toute uvre de création, le droit d'aborder tous les sujets
et la chance de le faire de toutes les manières possibles.
Pourquoi alors, lorsqu'il s'agit de science, la plupart des auteurs
de films documentaires abandonneraient-ils la possibilité
d'aborder ces sujets de manière sensible ? [...].

Oser le dialogue entre science et cinéma, comme deux
procédés, deux langages pour parler du monde qui
nous entoure. Dans une société qui réduit
les crédits de la recherche et de la création et
oriente sa politique scientifique et culturelle en fonction de
critères marchands, la culture scientifique, proposée
comme un espace de (re)définition collective de ce qui
nous entoure nous semble plus que jamais légitime.

Que dit le film ?

Le graphite et l'uranium répandus sur le toit de la
centrale de Tchernobyl irradiaient jusqu'à 20 000 Roentgens/heure.
Un morceau de graphite tenu entre les mains transmettait en une
seconde et demie la dose accumulée pendant une vie entière,
en condition de radioactivité naturelle. Un million d'hommes,
appelés liquidateurs, ont été lancés
contre le réacteur, pour le recouvrir avec un "sarcophage
" improvisé en condition de radioactivité terrifiante,
et pour effacer les conséquences de la catastrophe partout
dans les territoires. Ils ont combattu les radionucléides
à mains nues, avec des pelles et des jets d'eau. TARGET="_blank">Des dizaines de milliers sont morts et continuent
de mourir
.

Les scientifiques soviétiques calculaient que, si l'incendie
de Tchernobyl n'était pas éteint pour le 8 mai,
le combustible nucléaire en fusion aurait percé
la dalle de béton sous-jacente, serait précipité
dans le bassin de refroidissement et aurait amorcé une
explosion atomique vingt à cinquante fois supérieure
à celle de Hiroshima. L'Europe aurait été
inhabitable. Le 6 mai l'incendie était maîtrisé
grâce au sacrifice extrême des liquidateurs. Mais
ils ont été mal récompensés :
la Russie, l'Ukraine et la Biélorussie les ont abandonnés
à eux- mêmes. L'Occident les ignore.

Les agences des Nations Unies, responsables de la santé
et de la radioprotection, ne reconnaissent pas la cause radiologique
des nouvelles pathologies dont souffrent et meurent les centaines
de milliers de liquidateurs de Tchernobyl, abandonnés à
eux-mêmes. Officiellement, la catastrophe n'a causé
que 31 décès, dont 2 par traumatismes et un par
arrêt cardiaque, 203 expositions à irradiations aiguës
et 2000 cancers de la thyroïde facilement évitables
chez les habitants des territoires contaminés. Cette trahison,
commise et acceptée au plus haut niveau des institutions
internationales, est rendue possible grâce à un pacte
officiel d'omerta et à un tour de passe-passe
pseudo-scientifique, qui consiste à identifier les effets
de deux désastres atomiques majeurs, Hiroshima et Tchernobyl,
qui n'ont en commun que le fait d'être atomiques.

Le pacte. Dans un film précédent, "
Controverses nucléaires ", l'ex directeur général
de l'Organisation Mondiale de la Santé, Hiroshi Nakajima,
nous a révélé l'existence d'un conflit d'intérêts
entre l'OMS et l'AIEA (Agence Internationale de l'Énergie
Atomique), directement responsables de la gestion des conséquences
de la catastrophe de Tchernobyl pour la santé des populations
contaminées. TARGET="_blank">Un accord signé en 1959 entre ces deux
institutions spécialisées de l'ONU, empêche
l'OMS d'agir librement dans le domaine nucléaire, si elle
n'a pas l'assentiment de l'AIEA. Formée de physiciens et
non de médecins, cette dernière, dont l'objectif
principal est la promotion des centrales nucléaires dans
le monde, est la seule agence qui dépende directement du
Conseil de Sécurité des Nations Unies. Elle impose
son diktat à l'OMS, dont le but, exprimé au Chapitre
I de sa Constitution, est pourtant " d'amener tous les peuples
au niveau de santé le plus élevé possible
". Aucune recherche scientifique sérieuse n'est entreprise
sur la corrélation entre la radioactivité et les
pathologies nouvelles de Tchernobyl, sous le prétexte que
les doses reçues par les personnes exposées seraient
trop " faibles ". Elle est même entravée
puisque le Professeur TARGET="_blank">Bandajevsky, qui a consacré les recherches
de son Institut à cette corrélation, s'est trouvé
TARGET="_blank">en prison. Aucune aide économique prophylactique
et sanitaire sérieuse n'est apportée ni aux liquidateurs
ni aux millions de personnes, qui vivent dans les territoires
contaminés, en proie à une épidémie
multiforme, qui croît d'année en année. Comment
est-ce scientifiquement justifiable ?

Le tour de passe-passe " scientifique " consiste
à utiliser l'expérience de Hiroshima pour expliquer
Tchernobyl. Il est erroné de comparer ces deux désastres.
Il n'y a pas eu d'explosion atomique à Tchernobyl. Tchernobyl
a connu une explosion thermique et un incendie qui a duré
10 jours. Des tonnes d'éléments radioactifs ont
été déversées sur les territoires
au gré des vents et des pluies, dont certains ne disparaîtront
qu'au bout de plusieurs siècles. Ils ont détruit
la santé et la vie de centaines de milliers de jeunes hommes
en pleine santé et contamineront les générations
futures.

Pour comprendre la différence avec Hiroshima il faut
connaître les paramètres régnant dans les
explosions atomiques. Il existe plusieurs types d'explosion selon
l'altitude :

1. explosion souterraine ;

2. explosion sur la surface du sol (la plus polluante donnant
le maximum de retombées radioactives ou " fallout
") ;

3. explosion aérienne basse (entre le sol et l'altitude
égale au rayon de la boule de feu) donnant du fallout local ;


4. explosion aérienne moyenne (cas de Hiroshima, à
600 mètres) en altitude supérieure au rayon de la
boule de feu. Peu de fallout local ;

5. explosion à haute altitude, bien au-delà du rayon
de la boule de feu. Uniquement fallout mondial.

Il faut savoir en outre que dans une explosion atomique la
température peut monter à 100 millions de degrés
centigrades, soit beaucoup plus que dans le soleil, dont la surface
a une température d'environ six mille degrés. Ceci
a comme conséquence qu'une explosion atomique à
altitude moyenne (Hiroshima) forme immédiatement une sorte
de " cheminée de feu " avec évacuation
vertigineuse - deux fois la vitesse du son - de la plus grande
partie des éléments radioactifs vers la stratosphère,
et leur dispersion à partir du " champignon "
sur le reste du globe terrestre (avec retombées verticales
minimes, sur le site, si on les compare à Tchernobyl).

Au Japon les Américains ont fait seulement la moitié
du travail scientifique nécessaire pour connaître
toutes les conséquences de l'explosion. Ils ont laissé
passer 5 ans avant d'aller reconstruire les doses reçues
par les cohortes de survivants de Hiroshima et de Nagasaki dans
la minute de l'explosion. Ils ne se sont pas souciés de
ce qui s'est passé dans les heures et les jours suivants,
ni du sort des populations qui ont subi les retombées globales,
dites " faibles ", au loin. C'est ainsi que le "
TARGET="_blank">modèle de Hiroshima " a été
établi et circonscrit. C'est le seul qui existe officiellement
pour reconnaître les pathologies causées par la radioactivité.
Il ne considère que le flash de rayons gamma, suivi, une
fraction de seconde plus tard, d'une chaleur intense et d'un souffle
violent, qui n'ont rien de nucléaire.

Ainsi, TARGET="_blank">Hiroshima et TARGET="_blank">Tchernobyl ne sont pas comparables. Dans le
premier cas il s'agit d'une très forte exposition externe
au flash de rayons gamma, dans le second, d'une contamination
à faibles doses incorporées dans l'organisme par
ingestion et par inhalation de radionucléides et de particules
chaudes (rayons alpha, bêta, gamma). Mais officiellement,
le second cas n'existe pas pour la " science ". Hors
des paramètres du " dogme Hiroshima ", pour le
consortium atomique mondial, qui réunit Pentagone, Conseil
de Sécurité, AIEA, UNSCEAR, CEA, OMS, aucune
corrélation n'a été observée entre
pathologies et radioactivité
, : ni à la
périphérie des deux villes japonaises pulvérisées,
ni aux îles Bikini, ni à Tchernobyl, ni en Irak/1-Yougoslavie-Afghanistan-Irak/2
bombardés par TARGET="_blank">l'uranium " appauvri ", ni évidemment
sur toute la planète, suite aux centaines des tests d'armes
nucléaires par explosions dans l'atmosphère. La
corrélation n'a pas été observée,
car elle n'a pas été cherchée. La
science, si elle a étudié en secret (défense)
les conséquences de ces calamités sur la santé
et sur l'environnement, ne semble pas encore intentionnée,
dans ses institutions officielles, à en faire bénéficier
les populations de la planète. Pour les experts détenteurs
du " savoir légitime " seules les doses très
élevées du flash gamma sont pathogènes. A
Tchernobyl, selon leur narration, la corrélation ne peut
pas exister à priori, car les doses sont trop faibles.

Que disent les liquidateurs ?

Borovsky

Nous décontaminions les villages. On décapait la
terre avec les pelles, on la chargeait sur les camions à
la main. Évidemment la poussière volait sur nous
et nous la respirions. En tant qu'officier, j'ai pu observer que
les hommes étaient conscients que c'était une tâche
importante : "Oui, nous sommes en train de sauver".
Et nous comptions que nous ne serions pas oubliés non plus.
Mais il s'est avéré que nous sommes inutiles. Nous
sommes un poids. Nous dérangeons parce que nous demandons.
Nous demandons simplement un traitement humain.

Groudino

Maintenant je suis déjà un invalide de seconde catégorie.
Les maladies sont si nombreuses qu'on ne peut pas les énumérer.
Comme un vieillard de 70 ans, à 35 ans.

Que dit le liquidateur Anatoli Saragovietz quelques
mois avant de mourir, à l'age de 39 ans, treize ans après
la catastrophe ?

En novembre j'ai perdu la sensibilité de la main gauche,
puis du bras gauche, puis du côté gauche, puis les
jambes se sont paralysées. Ils ne savaient pas quoi faire.
Ils ne reconnaissaient pas la cause radiologique. J'allais travailler.
Je conduisais le trolleybus et je ne disais rien, parce que je
devais nourrir la famille. Je conduisais avec une main et un pied.
Jusqu'au jour où j'ai perdu connaissance et on m'a amené
à la maison. Maintenant je ne peux pas marcher, les jambes
ne marchent plus. À la maison je me tiens au mur.

Je ne faisais que tomber, et tomber. Ma femme m'a dit :
mets-toi dans le fauteuil roulant. Je m'y suis mis, et voilà.
Je suis de fauteuil roulant. Un cauchemar. L'homme est fichu,
c'est tout. Il ne reste qu'à se résigner à
tout. L'âge est encore jeune, 38 ans. On peut même
dire 60, quelle différence ? Avant j'étais
un homme. Avant je marchais. Avant je conduisais la voiture. Mais
maintenant ni de ci, ni de là. Moi, désormais, je
me suis résigné durant ces années de Tchernobyl.

Vodolajsky est mort. Migorok Klimovitch est mort. Lionka
Zaturanov est mort. Bref, on est restés Kolka Verbytsky
et moi. Des cinq qu'on était, je suis resté comme
un corbeau blanc, un divers.

Anatoli Saragovetz s'est marié en 1983. Il a eu deux
enfants, un garçon et une fille. En '86 il était
déjà à Tchernobyl. Treize ans plus tard il
mourait.

Sa veuve raconte. Il est resté couché
six mois, après quoi il s'est décomposé vivant.
Tous ses tissus ont commencé à se décomposer,
au point que les os iliaques étaient visibles. Je le soignais
moi-même, en suivant les recommandations du médecin.
Jusqu'au moment où le coeur s'est arrêté.

Tout s'en allait Le dos tout entier les os étaient
à nu. L'os de l'articulation du fémur pouvait être
touché avec la main. J'introduisais ma main couverte d'un
gant, et je désinfectais l'os. J'extrayais de là
des résidus d'os qui s'en allaient, de l'os décomposé,
pourri. Nous nous sommes adressés à tous ceux que
nous pouvions interroger. Ils ont dit : "Nous ne connaissons
pas cette maladie. Nous pouvons aider seulement à diminuer
la souffrance". Devant cette décomposition de la moelle
osseuse ils restaient interdits. Ils ne pouvaient pas aider.

Il demandait de mourir rapidement, pour que ces souffrances
cessent. Il disait que ça faisait très mal Quand
je le retournais d'un côté sur l'autre, parfois il
serrait les dents, d'autres fois il gémissait. En réalité
il ne criait pas, il supportait. Il avait une grande force de
volonté.

Les évidences du film " Le Sacrifice " accusent
la science officielle d'ignorance et d'omission de secours à
personnes en danger. Nous savons par les déclarations du
Dr. Hiroshi Nakajima (Conférence de Kiev, juin 2001), dont
la Conférence internationale de 1995 sur les effets sanitaires
de Tchernobyl a été censurée, que cette ignorance
est intentionnelle. Pour ne pas compromettre la réputation
de l'industrie atomique, le lobby nucléaire et la médecine
officielle condamnent sciemment, depuis bientôt 20 ans,
des centaines de milliers de cobayes humains à expérimenter
dans leur corps des pathologies inconnues.

Il incombe aux profesionnels de l'information, de la culture,
de la science et de la médecine d'inciter l'opinion publique
mondiale à condamner ce crime et à exiger des gouvernements
les financements nécessaires pour des recherches scientifiques
et médicales indépendantes dignes de ce nom.

Les liquidateurs vont-ils avoir droit à l'attention
et à la reconnaissance qu'ils méritent, aide aux
familles pour ceux qui vivent encore, honneurs posthumes pour
ceux qui sont morts dans des souffrances parfois atroces comme
en font foi les trop rares témoignages qui viennent jusqu'à
nous ? Une reconnaissance de la part de l'Europe, qui a été
menacée, qui est directement concernée par leur
sacrifice ?

Le jury du Festival d'Oullins a motivé en ces termes
sa décision :

" Jean-Luc Godard demandait dans ses théories
du cinéma de la manière la plus sérieuse :


Qu'est-ce que le cinéma ?

Et il répondait : Rien.

Puis : Que veut le cinéma ?

Et il répondait : Tout.

Enfin : Que peut le cinéma ?

Quelque chose.

Emanuela Andreoli et Wladimir Tchertkoff ont avec " Le Sacrifice
" réalisé un film bouleversant, qui nous a
incités à la fois à toute la réalité
du monde et à la vérité du cinéma.
Film hommage à Andrei Tarkovski, bien sûr, dont il
est le terrible avènement, mais surtout film s'obligeant
à déployer pendant ces 17 longues années
d'enquête la parole nue de témoins dont le corps
rongé par la maladie ne fera jamais effet de preuve dans
le réel. Sans doute n'y a-t-il pas de plus juste témoignage
de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl que cette spiritualisation
des corps ordinaires et de sujets anonymes. "

Emanuela Andreoli Wladimir Tchertkoff

ENFANTS DE TCHERNOBYL BELARUS

association Loi 1901

20 rue Principale, 68480 Biederthal (France)








 Aider les enfants du Bélarus :

Association « Enfants de Tchernobyl-Bélarus »


Des mesures spectrométriques de la contamination interne
et des cures de pectine pour les enfants de Dobrush et Korma
(région de Gomel) par l'Institut BELRAD (Pr Vassili Nesterenko).


En mai 2005 ont été payées une première
série de mesures de contamination et une première
cure de pectine de 5 000 enfants d'âge scolaire. Le projet
prévoit de faire une deuxième série de mesures
d'ici la fin de l'année.

Adhésions 20 euros. Dons à l'association
(reçu fiscal)

20 rue Principale, 68480 Biederthal s.m.fernex@wanadoo.fr

Information sur l'énergie nucléaire


Asunto: 
des gens dont on devrait faire des héros
Autor: 
Donatien
Fecha: 
Mar, 2006-01-17 08:40

Ils ont sauvé la mise. La planête leur doit beaucoup.

_________
Soyons réaliste,
Tentons l'impossible !


[ ]

CMAQ: Vie associative


Collectif à Québec: n'existe plus.

Impliquez-vous !

 

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