Alors que le but de notre visite à l'Omni était de montrer un appui aux membres en grève du syndicat CSN Omni et de perturber le cours normal des activités de l'hôtel (en 'occupant' le bar de l'hôtel pour y boire des verres d'eau et en faisant du bruit avec des sifflets), l'équipe de Sécuritas, elle, a préférée transformer notre visite en 'street fight' devant l'entrée de l'hôtel.

--pour diffusion immédiate--

Le Réseau de Solidarité des Travailleuses-eurs dénonce les abus dans l'utilisation de la force physique qu'ont commis les agents de sécurité de la compagnie Sécuritas lors de notre visite de solidarité aux grèvistes de l'hôtel Omni, vendredi le 26 août dernier.

Alors que le but de notre visite à l'Omni était de montrer un appui aux membres en grève du syndicat CSN Omni et de perturber le cours normal des activités de l'hôtel (en 'occupant' le bar de l'hôtel pour y boire des verres d'eau et en faisant du bruit avec des sifflets), l'équipe de Sécuritas, elle, a préférée transformer notre visite en 'street fight' devant l'entrée de l'hôtel. D'ailleurs, quelques-unEs de nos membres ont été blessés dans le tiraillage.

Tout en dénoncant les abus de Sécuritas, nous entendons restez fortEs et ne pas se soummettre devant cette basse forme d'intimidation. Nous serons de retour sur les lignes de piquetage ce jeudi soir à 18h30, et espérons pouvoir être aux côtés des grèvistes sans avoir à subir des attaques physiques de la part des agents de Sécuritas.

Du même coup, nous dénonçons aussi les policiers de la SPM qui, vendredi dernier, ont arrêté 3 de nos membres, les accusant d'attroupement illégal. Clairement, la police s'est trompé de coupables, car les enregistrements vidéo démontrent très bien que c'est les agents de Sécuritas qui devraient être chargés pour voies de fait.

"Pour un syndicalisme de combat"
Réseau de Solidarité des Travailleuses-eurs
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