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EMPIRE ORWELLIEN - GROSSIER, INDECENT ET CREUX...UNE STRYTCHINE MASTIQUEE, RUMINEE, IDEOLOGIQUEfranz, Miércoles, Mayo 18, 2005 - 14:13 (Analyses | Democratie)
Franz J. T. Lee
(professeur à l’Université des Andes, Mérida, Vénézuela) Texte original en anglais sur le site VHeadline.com, 22-04-05. Traduction de Gérard Jugant Au fil des années nous avons constamment mis en garde sur les Gros Mensonges Orwelliens que nous transmettent les médias de masse nationaux et internationaux, possédés, contrôlés, patronnés et financés par les énormes firmes transnationales et les agences de presse métropolitaines. Quiconque rêve encore que les systèmes d’éducation officiels, les procédés de socialisation prédominants et les puissants médias de masse sont là pour informer les citoyens laborieux et asservis sur les véritables événements internationaux, sur la véritable essence historique de la mort du pape et sur le couronnement impérial de son successeur, n’a pas compris grand chose sur le monde particulier dans lequel nous vivons, sur le travail, le capital, les biens de consommation, les profits, le capitalisme, l’impérialisme, le militarisme et la finance, mais pas grand chose non plus sur la révolution, le socialisme dés-aliénation et émancipation. Lors de la récente Parade Impériale Romaine, CNN ou Fox News nous ont-ils informés sur l’aide apportée par le Cardinal Joseph Ratzinger à George W. Bush dans la frauduleuse campagne électorale contre John Kerry, en attaquant ce dernier à cause de ses positions ouvertement favorables, dans certains cas, à l’euthanasie et à l’avortement ? En retour, nous ont-ils informés sur l’aide globale de Bush afin que Benedict XVI puisse l’emporter ? . Et vont-ils nous informer sur les intentions des deux pour l’avenir ? A la vérité, la superstructure idéologique internationale dominante... telle que reflétée par les "nouvelles" et "information" des stations de radio et de télévision, par les journaux les plus vendus et de réputation internationale, par la majorité des sites web, par les mécanismes de contrôle et commerciaux des esprits... avec des méthodes technologiques hautement sophistiquées et des gadgets, est disséminée en permanence, défendant et éternisant les idées de la classe dirigeante, son idéologie et ses intérêts. Information et Nouvelles servent l’ordre du monde, confirment le marché mondial aliénant, militarisé, discrimant, dominant et exploiteur. En ce qui concerne ce qui se passe réellement sur Terre, la plupart d’entre nous n’ont probablement pas la plus confuse notion... pas la moindre idée de l’état réel de santé de la planète, de la nature, de la vie sur Terre. Dans ce contexte, la majorité de la population du monde sait, par la grâce de la libre circulation internationale de l’ "information", très peu de choses sur le Venezuela Afin de cacher la vérité sur la quintessence impérialiste, fasciste de la "Globalisation", une myriade de séries répétitives de gros mensonges et de bobards doivent être constamment fabriqués, semés dans les esprits de la majorité des lecteurs, auditeurs et téléspectateurs, qui sont déjà embobinés, endoctrinés et manipulés depuis le berceau, qui sont le produit social de siècles d’idéologie, de dogmes, doctrines, rites, coutumes et modes de comportement inculqués, que le neuf, l’original, l’authentique ne peuvent éradiquer en une décennie. En tentant sérieusement d’informer réellement et sincèrement le monde sur les réalités du Venezuela actuel, nous devons décrire et expliquer le problème de base gigantesque que rencontre la Révolution Bolivarienne nationalement et internationalement. Cependant, le problème n’est pas isolé, individuel, il s’agit d’un fléau social vieux de milliers d’années ; pour nous, c’est une tâche révolutionnaire immense que d’élaborer des armes philosophiques et théoriques contre un monstrueux Holocauste Intellectuel, qui a déjà atteint les dimensions d’une Propagande Orwellienne globale. Pour vaincre, il nous faut créer les conditions globales transhistoriques, qui font germer un sentier objectif, subjectif et "transjectif" vers l’émancipation mondiale. Nous devons nous transformer radicalement nous-mêmes, dans notre modus vivendi et operandi, dans nos modes d’action et de pensée, dans notre praxis et notre théorie, dans notre rapport à la Nature et à la Société, au Travail et au Capital. Seulement ainsi nous pourrons vivre, jouir et énoncer un "Nouveau Socialisme" pour le Venezuela et pour le monde. Quiconque ne se met pas à cette tâche formidable reste pris par l’idéologie réformiste et ses pratiques dans ce bourbier corporatiste, impérialiste, globalisé, en grande souffrance. Dans cette voie émancipatrice, beaucoup d’entre nous, les vrais camarades, en acte et en parole, en praxis et en théorie, femmes et hommes, luttant dans la Révolution Bolivarienne, comme Heinz Dieterich, Martha Harnecker ou Alan Woods, ont commencé à créer cette authentique perspective mondiale, ce créatif, "trans-volutionnaire" chemin vers un monde complètement "tri-fférent", en construisant un foyer humain qui serait vivable, ici sur notre planète Terre, dans notre galaxie. . Dans ce contexte théorique, allons voir du côté d’un de ces criminels agents des guerres de désinformation, de ces effrontés menteurs et porte-paroles fascistes du Terrorisme Mondial des Etats-Unis. Cette fois on ne va pas s’intéresser à CNN, Fox News, au New York Times ou au Washington Post, mais à FrontpageMagazine.com... au Lieutenant-Colonel Gordon Cucullu, un ancien Béret Vert, mais aussi auteur, orateur connu, homme d’affaires et fermier. La description du personnage est suffisante, nous n’allons pas gaspiller plus de temps à l’identification de ce chien de garde patenté du fascisme mondial ; chacun peut visiter ce site et profiter de la "Guerre des idées" de Bush. Dans un sens philosophique... même dans un sens platonicien idéaliste... ce qu’on trouve là publié sur le Venezuela et son cher Président Hugo Chavez Frias, n’a absolument rien à voir avec une quelconque "idée"... Ce n’est rien d’autre que les purs fantasmes fascistes orwelliens, que le "topos ouranios" d’un affairiste impérialiste. . L’article est grossier, indécent et creux, alors on ne va pas se complaire dans ce type de discours, on ne va pas réfuter une connerie pareille. C’est écrit dans l’esprit des tentatives désespérées de fabriquer des prétextes pour envahir le Venezuela, en accord avec d’autres plans, qui vont des accusations de trafic humain, de vente de "Miss Vénézuéliennes" à des harems arabes, de trafic de drogue, d’appui au "terrorisme mondial", à la guérilla en Colombie, de possession d’ armes "conventionnelles", même maintenant d’achat d’ "armes" fabriquées durant la Guerre Froide en Russie Communiste, et la dernière de toutes, selon le Lt Col. Gordon Cucullu, est d’être un "régime voyou émergeant", entretenant des relations amicales avec la Corée du Nord et ressemblant à "une extension de l’Axe du Mal dans l’Emisphère Occidental". Ci-dessous quelques échantillons de ce dernier "Gros Bobard", de ces chimères idéologiques, qui peuvent d’ailleurs être publiées par n’importe quel grand média global de la classe dirigeante de par le monde : "... L’aspirant dictateur du Venezuela, Hugo Chavez, cherche à devenir l’ami des dirigeants de la Corée du Nord. Chavez, depuis longtemps admirateur de Fidel Castro, entraîne rapidement son pays dans les affres d’une dictature marxiste moderne". Très précisément les gadgets des gâchettes endoctrinées internationalement déversent cette diatribe : "dictateur", "dictature", "Chavez", "Fidel Castro" et "Marxiste". Que voulons-nous de plus, nous sommes maintenant bien informés ! . Cela n’est en rien nouveau... aucune nouvelle... rien qu’ une strytchnine mastiquée, ruminée, idéologique ! Comme nous le disions, nous n’entendons pas réfuter cette fumisterie infecte et pourrissante... chaque lecteur de Vheadline.com... ou de tout autre média sérieux d’information indépendant... relèvera la déformation délibérée, le revirement éhonté, l’effacement de sang-froid de la réalité vénézuélienne. Logiquement, le déjà classique Gros Mensonge Orwellien, Fasciste, peut continuer : "Chavez, élu à une époque litigieuse, a délibérément démantelé les institutions démocratiques, cimenté son autorité, et ensuite a commencé à éliminer systématiquement l’opposition". Bien sûr, ici déjà, Chavez est en train d’être confondu avec Bush, avec la réalité électorale nord-américaine frauduleuse. Pire même, comme dans le cas du Massacre Indonésien de probablement un million de communistes... il est comparé à Pedro Carmona Estanga (le Président officiel du Coup d’Etat du 11 avril 2002 au Venezuela, ndt), qui a été aidé et reconnu par Bush, dont le Coup manqué dirigé par la CIA (dans le style caractéristique "escadron de la mort") avait aussi en vue d’ "éliminer" les "hordes de chavistes" communistes. Le mécanisme fasciste, idéologique pour retourner la Vérité, pour fabriquer des réalités virtuelles... du genre "libérer l’Irak"... afin d’y installer une "révolution démocratique globale" (Bush)... dans l’esprit de "La Tyrannie est la Liberté"... de "La Guerre est la Paix"... est soigneusement inclus dans cet article : . Le référendum du 15 août 2004 aurait soit-disant pu permettre de mettre "fin à la tyrannie de Chavez et de revenir à la liberté, à l’honnêteté et au gouvernement ouvert". . Et maintenant l’organe de la CIA vend la mèche de la Boîte de Pandore : "Le soutien l’Amérique et de l’Organisation des Etats Américains constituait une bonne occasion pour une telle initiative de remettre le Venezuela sur le chemin d’une démocratie légitime. Mais l’opposition, assommée par la déclaration irrationnelle de Carter, est tombée dans le désarroi. Cela a été une tragédie pour le peuple du Venezuela mais aussi pour l’Amérique et les autres pays de l'hémisphère. Avec l’autorisation de Carter dans sa poche, Chavez a alors réprimé encore plus durement l’opposition démocratique, plongeant le Venezuela plus profondément dans un régime autoritaire". A nouveau, en remplaçant les objectifs sociaux révolutionnaires de Chavez par les rêves impériaux de Bush, ainsi en appliquant astucieusement les attributs du mégalomaniaque "culte de la personnalité" hitlériste ou staliniste, à savoir les caractéristiques effets ad hominem de la calomnie assassine, il déclare : "Chavez est un peu mégalomane, ce qui va très bien avec la dictature. Il s’imagine le souverain d’un ‘super-état’ qui traverse l’Amérique latine de l’Atlantique au Pacifique". Quelle putréfaction du journalisme authentique ! Enfin, retournant la vérité, voilant les échecs contre-révolutionnaires de l’ "opposition" et de Washington DC même, le Lt. Col. Gordon Cucullu menace ouvertement le Venezuela : "Comme les tyrans subalternes ont coutume de faire, Chavez a ‘mésestimé’ l’Amérique et le Président Bush. Les Etats-Unis et leurs alliés hémisphériques ont trop d’intérêts en jeu pour permettre à ce cancer de croître sans être réprimé. Envisageons l’ouverture d’un nouveau front dans la guerre à la terreur". Pareilles diatribes fascistes se nourrissent de ce que George Orwell décrivait de manière poignante il y a plus de cinquante ans : "Un monde de peur, de traîtrise et de tourment, un monde où l’on écrase et où l’on est écrasé, un monde toujours PLUS impitoyable dans ses raffinements. Le progrès dans notre monde sera le progrès en direction de plus de douleur... Dans notre monde, il n’y aura pas d’autres émotions que celles de peur, de fureur, de triomphe et d’auto-abaissement. Nous détruirons tout le reste". Franz J.T. Lee fran...@cantv.net **** Estimado Franz, ... Desgraciadamente tenemos en Francia nuestros Cucullus como Alexandre Adler que le gusta tratar el presidente Hugo Chavez de "gorila populista". Agrego el recien articulo de Adler, publicado en "Le Figaro". Una basura completa ! **** Les tentations de Chavez 11 mai 2005, Le Figaro Les inventeurs de la théorie du chaos étaient des poètes, précisément parce qu'ils étaient de grands mathématiciens. On leur doit donc la métaphore devenue enfin célèbre selon laquelle le battement d'ailes d'un papillon dans une partie du monde peut provoquer un ouragan à l'autre bout de la planète. Derrière cette admirable comparaison, il faut comprendre que des causalités complexes sont à l'oeuvre dans la nature, dans lesquelles des objets apparemment négligeables par leur force propre peuvent, s'ils s'insèrent dans des dispositifs foudroyants, avoir des effets sans commune mesure avec leur importance de départ. Les relations internationales sont pleines d'exemples de ce type. Ainsi, par exemple, l'opération, au départ de politique intérieure, menée par le président du Conseil italien, Antonio Giolitti, visant, après le règlement de la question marocaine, à donner à son pays un peu de prestige et une fenêtre au sud de la Méditerranée, autrement dit l'attaque italienne de la Libye en 1911, était au départ une affaire très limitée. Mais la défaite rapide de l'armée ottomane par les Italiens, dans une province totalement périphérique et bien oubliée de Constantinople, a eu pour effet immédiat de rendre manifeste la faiblesse du nouveau régime Jeunes-Turcs issu de la révolution libérale de 1908. Il ne faudra pas un an aux puissances chrétiennes des Balkans pour imiter l'exemple italien, il ne faudra pas deux ans pour que ces mêmes puissances se déchirent à belles dents pour le partage des dépouilles après la chute de Salonique et il ne faudra pas plus de trois ans pour arriver à l'attentat de Sarajevo, conséquence ultime de l'agressivité retrouvée de l'axe russo-serbe et du vide abyssal créé par un effondrement ultime de l'Empire ottoman que des calculs assez anodins de politique intérieure italienne avaient en fait précipité. Nous sommes actuellement en Amérique latine à la veille d'une situation de ce genre, mais on se prend à imaginer des métaphores moins poétiques et plus brutales pour y exprimer la même théorie des catastrophes, par exemple que le claquement brusque d'une mâchoire de primate peut provoquer une éruption volcanique. Le primate ou le gorille, on l'aura reconnu, c'est l'apprenti dictateur du Venezuela, Chavez ; et l'éruption volcanique, c'est évidemment pour la première fois dans son histoire un affrontement généralisé à tout le continent, dont l'une des conséquences possibles sera une nouvelle tension sur les marchés pétroliers et de matières premières, et l'autre, la préparation la plus complète à une tension géopolitique sans précédent entre la Chine et les Etats-Unis. Nous avons, en effet, trois mouvements contradictoires qui se combinent quelque part dans l'hémicycle Caraïbes, entre Mexico et Caracas, et qui peuvent conduire à la crise majeure : le premier, c'est l'ouverture enfin de la crise de succession cubaine ; le deuxième, c'est le passage par le Mexique du test de l'alternance ; le troisième, c'est la conversion progressive de la stratégie économique chinoise et sa recherche d'une autarcie pétrolière. Agatha Christie aimait à le dire, nos péchés ont de longues ombres. Parce que Cuba était devenu progressivement un élément organique de l'Empire soviétique, les mêmes oppositions s'y sont fait jour en Pologne, Bulgarie ou Allemagne de l'Est : des policiers et militaires réformateurs alliés à un KGB devenu gorbatchevien cherchaient la voie des réformes et l'appareil traditionnel du parti s'y opposait. Mais, loin de Moscou, ce fut le parti et Fidel Castro qui triomphèrent. Par un élargissement géographique prodigieux de cette contradiction, nous retrouvons aujourd'hui, au coeur de l'Amérique australe, les deux tendances en opposition croissante. Grand ami des services secrets cubains épurés par Castro, lesquels assurèrent, après chirurgie esthétique, son retour au pays, l'homme fort du Parti des travailleurs au Brésil, José Dirceu, incarne cette réconciliation avec la modernité libérale qui coûta la vie naguère au général Ochoa à La Havane ; Chavez, au contraire, et ses alliés populistes de l'arc andin, depuis les preneurs d'otages communistes colombiens jusqu'aux narco-émeutiers péruviens, boliviens et maintenant équatoriens, etc., est parfaitement représentatif de la fuite en avant violente des frères Castro entreprise dès 1988. Le Venezuela, inondé de médecins, de flics et de moniteurs sportifs cubains, est ainsi devenu le champ de bataille privilégié de l'aile stalinienne de la dictature castriste. Le gourou argentin et antisémite proclamé, Ceresoles, qui avait inspiré le chavisme à ses débuts, essentiellement proislamiste, est maintenant remplacé par un stalinien allemand du nom de Dietrich qui travaille la main dans la main avec les hommes de La Havane pour étouffer rapidement ce qui reste de démocratie au Venezuela. Or les troubles vénézuéliens ne peuvent pas être circonscrits au seul territoire «bolivarien». La force de propagande de Chavez, telle autrefois celle de Peron, retentit sur un cercle de puissances qui à travers la Colombie et l'Amérique centrale aboutit à Mexico. Partout, la gauche qui est puissante est déjà divisée selon les mêmes lignes idéologiques. En Colombie, c'est le nouveau maire syndicaliste de Bogota, Garzon, contre la direction des Farc insurrectionnelles ; au Nicaragua, c'est la scission intervenue chez les sandinistes, et au Mexique ce sera inévitablement la redéfinition que donnera le leader de la gauche, Lopez Obrador, à sa campagne présidentielle dans un sens ou dans un autre. Pour cette seule raison, l'affaire vénézuélienne a cessé d'être folklorique. La tentation de Chavez de déclencher un conflit armé avec la Colombie voisine afin de reprendre en main l'armée et d'écraser totalement la société civile s'inscrirait parfaitement dans ce projet. C'est ici malheureusement qu'intervient le facteur chinois : tout comme l'Union soviétique de naguère qui concevait son implantation à Cuba comme la réponse adéquate à l'existence de Berlin-Ouest au coeur de son empire, la Chine de demain, en proie manifeste à une fièvre autarcique qui pourrait s'aggraver brutalement avec l'épuisement que l'on peut déjà entrevoir d'un modèle de croissance fondé sur les seules exportations, pourrait décider que Chavez et son Venezuela militarisé seraient la bonne réponse à la stratégie américano-japonaise de renforcement de Taïwan. Déjà Chavez envisage de ne plus vendre de pétrole aux Etats-Unis et de gager toutes ses exportations sur le marché chinois, et la Chine vient d'aider Castro à réévaluer sa monnaie nationale. A un moment donné, ces tensions parties d'horizon et de calculs très différents peuvent se conjoindre. C'est ce qu'on appelle une catastrophe... au sens mathématique du terme, bien entendu. *****
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