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Le CCI s'explique (le BIPR concerné)

Anonyme, Sábado, Abril 23, 2005 - 11:03

CCI

Aux donneurs et donneuses de leçons et manipulateurs-manipulatrices issuEs du CCI qui en ont été excluEs et qui hantent certaines sphères de revues montréalaises (comme Notes internationalistes, organe du BIPR Montréal) même s'ils et elles ne sont pas nécessairement viséEs par ces textes.

(Aux donneurs et donneuses de leçons et manipulateurs-manipulatrices issuEs du CCI qui en ont été excluEs et qui hantent certaines sphères de revues montréalaises même s'ils et elles ne sont pas nécessairement viséEs par ce texte.)

Révolution Internationale

Défense de l'organisation
Des menaces de mort contre des militants du CCI

Depuis l'été 2003 (voir Révolution Internationale n° 338, septembre 2003), nous interdisons l'accès de nos réunions publiques et de nos permanences aux membres de la prétendue "Fraction interne du CCI" (FICCI). Cette décision faisait suite au comportement de mouchard adopté par ce groupuscule, composé de quelques anciens membres du CCI que nous avons exclus de notre organisation lors de son 15e congrès (voir Révolution Internationale n° 335, mai 2003). Pour faire respecter cette décision, nous disposons devant le lieu de nos réunions publiques un "piquet anti-mouchards" auquel les éléments de la FICCI adressent insultes et quolibets. En même temps, ils essaient de dissuader nos contacts et sympathisants de participer à nos réunions en dénigrant systématiquement notre organisation dans des tracts truffés de calomnies et en leur disant "méfiez-vous, ce sont des staliniens". Cependant, lors de notre réunion publique du 22 janvier à Paris, un des membres de cette camarilla a franchi un pas de plus dans l'ignominie. En guise "d'argument", l'élément qui se fait appeler "Pédoncule" a dit à un de nos camarades qu'il allait lui "trancher la gorge". Notre camarade a alors interpellé les personnes présentes pour les prendre à témoin de la menace proférée par cet élément. Celui-ci a alors essayé de faire croire que c'est notre camarade qui avait fait une telle menace à son encontre mais d'autres personnes présentes sont intervenues pour lui signifier qu'elles l'avaient entendu et lui faire ravaler son mensonge. Comprenant que son coup avait raté, l'élément Pédoncule n’a pas insisté.

On pourrait évidemment minimiser l'incident en mettant sur le compte de l'excitation les menaces de mort proférées par cet individu. Mais ce serait une erreur :

En premier lieu, parce que c'est très froidement qu'il a proféré sa menace et non sous l'emprise de l'excitation.

En second lieu, parce que les gestes de violence sont coutumiers de cet individu que nous connaissons depuis de longues années. Ainsi, lorsqu'il était membre du CCI (qu'il a quitté au milieu des années 1990), il avait bousculé brutalement une de nos ex-camarades en la projetant contre un mur. Une autre fois, ayant bu plus que de raison, il avait agressé un autre membre de l'organisation et avait tenté de sortir un couteau à cran d'arrêt qu'il portait toujours sur lui. L'organisation avait d'ailleurs été obligée d'exiger de lui qu'il cesse de venir aux réunions avec ce couteau qu'il arborait avec ostentation et qu'il allait même jusqu'à sortir pendant les discussions (en s'en servant comme… cure-ongles).

Par ailleurs, les attitudes de voyou du sieur Pédoncule s'accompagnaient d'une fascination pour les loubards de banlieue qu'il considérait comme l'avant-garde de la révolution parce qu'ils "avaient la haine".

En fait, l'intégration de cet élément par le CCI au cours des années 1970, à une époque où nous étions bien moins rigoureux qu'aujourd'hui, était une véritable "erreur de casting" : non seulement il avait mal assimilé nos positions fondamentales mais il avait une mentalité qui n'a pas sa place dans une organisation communiste. C'est pour cela que lorsqu'il a démissionné du CCI, après que l'ensemble des militants aient découvert les magouilles qu'il avait faites dans leur dos, nous n'avons pas essayé de le retenir. Depuis cette date, il avait développé une véritable haine contre notre organisation et c'est tout naturellement qu'il est entré à la FICCI dont la seule raison d'exister est de tenter de discréditer le CCI, faute d'avoir échoué à le détruire.

A ce jour, ce triste sire est la seule recrue qu'ait réussi à faire la FICCI. C'est particulièrement significatif de la véritable nature de cette bande : si elle attire quelqu'un qui voue au CCI une haine mortelle, c'est que la haine du CCI est sa seule véritable passion (et sûrement pas la passion révolutionnaire prolétarienne). Si elle séduit et recrute un individu avec des comportements et une mentalité de loubard, c'est que ses membres, déjà au sein du CCI et par la suite, n'ont cessé de se comporter comme des voyous en pratiquant la calomnie, le mensonge éhonté, le chantage, le vol et, pour couronner le tout, le mouchardage.

Sur la base de l'expérience du mouvement ouvrier, nous avons déjà mis en évidence dans notre presse (voir notamment notre article "Réponse aux calomnies honteuses d'une petite association de malfaiteurs" publié sur notre site Internet) que les campagnes actuelles de calomnies de la FICCI contre certains militants de notre organisation (qu'on traite de "flic" ou qu'on compare à Staline) étaient le premier pas d'une démarche qui conduira demain à l'assassinat de ces militants si les circonstances s'y prêtent. Pour une fois, nous prenons au sérieux les paroles du sieur Pédoncule : effectivement, cet individu est prêt, s'il est sûr de son impunité, à "trancher la gorge" de nos camarades, selon ses propres dires. Le lumpen auquel il s'identifie, aussi bien par son idéologie que par ses comportements, constitue la principale base de recrutement des corps-francs, ces troupes de choc de la contre-révolution qui ont massacré des milliers d'ouvriers lors de la révolution allemande de 1919 et qui ont assassiné à coups de crosse une des plus belles figures du communisme, Rosa Luxemburg (qui elle aussi avait fait l'objet de dénigrements infâmes au sein du parti social démocrate par ses "camarades" qui plus tard allaient commanditer son exécution).

Face au milieu prolétarien, nous dénonçons ce nouveau pas franchi dans l'infamie par les membres de la FICCI : après le chantage, les calomnies et le vol, voici maintenant les menaces de mort. Ces gens-là n'ont rien à voir avec la classe ouvrière. La classe dont ils se font les serviteurs de plus en plus clairement, est la classe exploiteuse. C'est très clairement qu'ils annoncent aujourd'hui qu'ils sont prêts à lui rendre le service d'assassiner des militants révolutionnaires.

CCI

Lettre ouverte du CCI
aux militants du BIPR

Paris, le 7 décembre 2004

Camarades,

Depuis le 2 décembre, on a assisté à de discrètes modifications sur le site Internet du BIPR. Tour à tour la version anglaise puis la version espagnole de la « Déclaration du Cercle des Communistes Internationalistes contre la méthodologie nauséabonde du CCI » du 12 octobre qui s’y trouvaient depuis plus d’un mois et demi ont disparu (très curieusement, la version française de cette déclaration est encore présente au moment où nous vous envoyons cette lettre : le BIPR aurait-il une politique différente suivant les pays et suivant les langues ? [1] ). Par ailleurs, sur les pages en Italien de votre site, le chapeau précédant la « Prise de position du Cercle des Communistes Internationalistes sur les faits de Caleta Olivia » a été réduit des trois quarts en perdant le passage suivant : « Récemment, le Noyau Communiste Internationaliste d’Argentine a rompu avec le Courant communiste international, que, depuis longtemps, nous considérons comme une survivance désormais inutile d’une vieille politique indiscutablement non adaptée pour contribuer à la formation du Parti international. L’organisation argentine a également changé de nom en prenant celui de Cercle des Communistes Internationalistes. » (“Recentemente il Nucleo Comunista Internazionalista di Argentina ha rotto con la Corrente Comunista Internazionale, che da tempo indichiamo come ormai inutile sopravvivenza di una vecchia politica sicuramente non adeguata a contribuire alla formazione del Partito internazionale. L'organizzazione argentina ha anche cambiato nome assumendo quello di Circolo di Comunisti Internazionalisti.

Site du CCI
www.internationalism.org


Asunto: 
Problèmes et Réponse du BIPR au CCI
Autor: 
calvaire01
Fecha: 
Mié, 2005-04-27 14:53

Ces textes sont de trop sur ce site. Même si ils questionnent les manipulations en question dans les problèmes du CCI.

Et le peu de crédibilité des accusations/manipulations dans Notes internationalistes du courant dit de la communisation venant d'un ancien du CCI.

Voici une réponse du BIPR au CCI qui expose une partie de leurs problèmes communs :

Réponse aux accusations stupides d’une organisation en voie de désintégration.

Nous avons pris connaissance sur le site du CCI (pages en français) d’un document “Le BIPR pris en otage par des voyous” dans lequel on est avant tout consterné par l’extrême vulgarité du ton. Du début avec le “voyou” donné aux camarades de la FICCI en passant par les “pieds dans la merde”, la “corbeille de mariage” jusqu’aux “femmes de petite vertu” en rapport avec la “blennorragie”, la vulgarité est le trait distinctif de ce document.

Pour cette raison, les six pages du “document” ne mériteraient pas de réponse, si ce n’est pour rappeler deux ou trois petites choses:

1.

Nos contacts avec la FICCI existent et résistent parce que nous voudrions éviter que la énième scission du CCI, avec le départ de dirigeants de la “vieille garde”, n’aboutisse à la naissance d’un nouveau groupe dissident du CCI, qui en revendique l’orthodoxie, comme c’est pratiquement toujours arrivé aussi bien dans le CCI que dans Programme Communiste. Ce que nous discutons avec la FICCI ce sont justement les questions méthodologiques de base qui nous séparent depuis toujours du CCI, pour convaincre ces camarades que c’est justement là que réside la raison de la faiblesse intrinsèque du Courant.
2.

Ce n’est pas au CCI, ni à aucun autre que nous devons rendre compte de notre façon d’agir politique et la prétention du CCI à relancer de présumées traditions de la gauche communiste semble seulement pathétique, comme cette volonté de énième tentative de “remettre en piste” le “camp politique prolétarien” qui serait constitué du CCI des bordiguistes et de nous et que nous avons déjà déclaré ne plus être – si tant est qu’il ne l’aie jamais été – le milieu de formation du parti international du prolétariat.
3.

Nous nous refusons à prendre en considération les “Thèses sur le parasitisme” édité lors d’une autre crise du CCI parce qu’elles sont la manifestation de la faiblesse intrinsèque de celui-ci : alors qu’il se passe tant de choses dans le monde, le CCI ne trouve rien de mieux que d’écrire des “thèses” sur ses querelles internes de nature politico/organisative le tout en appliquant les habituels schémas sortis de la réalité. Ainsi, la faiblesse organisative ne serait pas le produit inévitable d’une situation encore contre-révolutionnaire dans laquelle un “intellectuel” quelconque entouré de quelques sympathisants, se sent le droit de faire son petit groupe, chapardant ici ou là quelques idées et positions, ou une incapacité propre à rester unis avec des camarades, mais serait plutôt un complot de la bourgeoisie contre les forces révolutionnaires utilisant des “groupes parasites”. Nous sommes fatigués de discuter de rien quand nous avons à travailler pour chercher à comprendre ce qui arrive dans le monde.
4.

Nous ne cautionnons aucun “vol” car il n’y a pas eu de vol réel. Si des camarades dirigeant du CCI – qui comme tels disposaient des fichiers d’adresses de leur organisation – rompent avec l’organisation, déclarant de plus vouloir regagner des camarades à la “ justevoie”, gardent le fichier des adresses, il ne s’agit pas d’un vol. Le faux moralisme du CCI pue donc l’hypocrisie quand il lance des accusations de tout genre à qui l’abandonne.
5.

De la même façon, nous rejetons comme ridicule les “mises en garde” de la part d’une organisation qui continûment perd des pans entiers et chaque fois crie au complot de la bourgeoisie et chaque fois récolte des accusations d’opportunisme et de stalinisme sur lesquelles nous n’avons jamais essayé de spéculer.

Au contraire, nous revendiquons comme correcte la méthode qui nous conduit à une lente et sûre agrégation de forces révolutionnaires unies par l’adhésion aux principes et au programme de la révolution communiste qui, une fois devenues homogène sur ce plan, n’ont jamais donné et donneront difficilement prise aux véritables scissions auquel le CCI – et Programme Communiste – est depuis toujours voué par son vide méthodologique et politique.

Le Bipr 15 oct.2004

pour le reste voir le site aussi du BIPR à www.ibrp.org


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