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Notre réaction à l'AppelGCI, Sábado, Abril 16, 2005 - 13:32 (Analyses)
GCI
Notre réaction à l'Appel
GCI - Groupe Communiste Internationaliste Notre présente réaction au texte "Appel"1 sous forme de lettre ouverte est motivée par le besoin d'aviver notre communauté de critique au-delà des frontières entre groupes, entre organisations, de discuter sur une base de confiance que nous revendiquons militante. "D'autres, que nous ne connaissons pas encore, construisent aussi le Parti, ailleurs. Cet appel leur est adressé" (scolie IV)... Si aujourd'hui nous "répondons à l'appel", c'est du fait de nous reconnaître, "vous et nous", comme expression du prolétariat en lutte, et donc nous organisant en parti. Mais une précaution s'impose ici: nous ne nous considérons absolument pas comme des "constructeurs de parti", et d'autant moins au sens où l'Appel définit "le parti", à savoir la "communisation de nos rapports et de nos vies", ici et maintenant dans des lieux investis à cette fin2. Nous nous situons en tout cas en dehors et contre les habitudes sectaires, défensives et protectionnistes qui trop souvent sous-tendent et minent les "discussions entre groupes", comme par exemple la revendication débile de la "propriété" -individuelle ou de groupe- des positions politiques. S'il sera donc ici formellement question de "vous" et "nous", soyons clairs sur le fait que nous entendons lutter ensemble contre toutes les séparations merdiques qui nous atomisent encore davantage, qui nous empêchent de nous reconnaître comme une seule et même classe en lutte contre le capital. *** 1. Sur la globalité de l'Appel. L'Appel part globalement de l'expérience de l'activisme et des "alternatives" affichant une certaine "radicalité" (squats, etc)3, et du besoin qui s'est imposé aux auteurs de rompre avec ces pratiques ou de les dépasser. Nous appuyons cette critique, qui n'est autre qu'une critique de la social-démocratie, une critique de variantes sous lesquelles celle-ci neutralise et enrôle. Là où l'Appel nous a défavorablement surpris, c'est que les perspectives données à ces critiques et ruptures les contredisent, elles en constituent même une négation quasi-intégrale. A l'encontre des besoins réels du prolétariat, du mouvement révolutionnaire aujourd'hui, l'Appel réhabilite les plus idéalistes illusions d'alternative et d'utopie, d'autant plus triomphalement qu'elles avaient l'air d'avoir été balayées dans un premier temps. Voilà pour l'essentiel de notre critique, dont nous donnons plus bas quelques éléments précis afin d'alimenter la discussion. Sur la globalité, nous regrettons le changement de contenu, parfois flou, souvent brutal, de toute une terminologie empruntée à l'histoire du mouvement révolutionnaire: "construire le Parti", se constituer en "force matérielle autonome", "construire un mouvement révolutionnaire victorieux",... Rien que la notion de "sécession" mériterait toute une clarification, car il nous semble qu'il s'agit déjà de déforcer l'amorce de ruptures réelles par les illusions d'une "vie en marge". "Nous ne voulons pas partir à la campagne", protestent par avance les auteurs de l'Appel. Mais la question n'est pas de "partir" ou pas à la campagne (si tant est qu'elle existe encore, ce à quoi Guy Debord répondait par la négative, peut-être pour éviter les visites), la question est le contenu que l'on y met, la pratique que l'on développe. Où que l'on soit, où que l'on aille, prétendre "vivre le communisme" sous le règne du capitalisme a toujours été profondément idéaliste, volontariste, conservateur, et ne peut que mener au moralisme (tôt ou tard aigri, comme tout moralisme) quant aux rapports réellement vécus. Dans le même ordre de généralités, nous sommes très critiques vis-à-vis de tout ce que nous trouvons dans l'Appel comme concessions terribles à un certain post-modernisme4 très à la mode, en dépit d'une profession de foi anti-négriste5: * rejet de toute analyse de classe, de toute critique explicite de l'Etat (il y a seulement "ON" et "NOUS"), de toute place donnée au sujet révolutionnaire réel. Le prolétaire semble se réduire à l'ouvrier industriel du XIX? siècle (piètre cliché marxiste-léniniste), et les luttes actuelles s'évaporer dans le vaste désert d'une sorte de "catastrophe naturelle" ponctuée d'événements "économiques" ("effondrement à l'argentine" et "effondrement de l'URSS" rangés dans le même rayon...). * usage du terme "empire", sans aucune clarification, aussi fréquemment que "capital" ou "capitalisme". * usage du terme de "communisation" pour désigner le processus par lequel on arrive à "vivre le communisme" dans les lieux créés par les "révolutionnaires", c'est-à-dire ceux qui ont "fait sécession" d'avec le système, le tout assorti de formules ésotériques de cet acabit: "Par communisme, nous entendons une certaine discipline de l'attention", ou encore, "le Parti pourrait n'être que cela: la constitution en force d'une sensibilité. Le déploiement d'un archipel de mondes". * tentation de la table rase, de la théorie ex nihilo et de la nouveauté, comme un certain confort nombriliste doublé de la prétention assez courante à mettre au jour -comme jamais ne le fut auparavant- l'ultime clé de compréhension de la société présente, ici notamment l'analyse du "libéralisme existentiel" (scolie II), qui ne nous apprend en fait pas grand-chose en regard de ce que le mouvement révolutionnaire a déjà exprimé contre l'aliénation et l'atomisation. On peut enfin y ajouter un certain étranglement un peu hexagonal des perspectives, qui au manque de prise en considération des luttes actuelles à travers le monde substitue comme une ronronnante "lutte contre la recomposition de la gauche" (parlementaire, extraparlementaire, citoyenne...?) carrément présentée comme un des trois axes qui s'imposeraient aujourd'hui à la lutte révolutionnaire, là où nous parlerions plutôt de lutte permanente contre la social-démocratie et son poids dans toutes les luttes de notre classe. Pour conclure à propos de la globalité, l'Appel décrit énigmatiquement l'époque comme celle d'une "guerre civile mondiale" dont le texte parle comme étant "la situation qui nous est faite" et dans laquelle il nous faut "nous constituer en force matérielle autonome". Sans doute, mais quels sont les protagonistes de cette guerre? Que signifie constituer "une force politique" (proposition V)... une parmi d'autres? Contre quelle(s) autre(s)? En définitive, vous considérez-vous comme membres d'une classe mondiale, exploitée et révolutionnaire ou comme un cercle d'initiés? "A force de voir l'ennemi comme un sujet qui nous fait face - au lieu de l'éprouver comme un rapport qui nous tient"... Le capital est effectivement rapport social, mais ennemi aussi, classe et Etat qui nous fait face! Qu'est-ce qui justifierait aujourd'hui de laisser aux orties les bases de la critique de ce monde dans laquelle se sont reconnus et à laquelle ont contribué les militants révolutionnaires des générations passées6? *** 2. Les ruptures d'avec l'activisme. Voici quelques extraits de l'Appel pour illustrer ce que nous considérons comme son premier volet critique, le terrain des ruptures réelles qui l'ont motivé au départ. Extraits de la "Scolie de la proposition I". "Seattle, Prague, Gênes, la lutte contre les OGM ou le mouvement des chômeurs, nous avons pris notre part, nous avons pris notre parti dans les luttes des dernières années; et certes pas du côté d'Attac ou des Tute Bianche". "Le folklore protestataire a cessé de nous distraire. Dans la dernière décennie, nous avons vu le marxisme-léninisme reprendre son monologue ennuyeux dans des bouches encore lycéennes. Nous avons vu l'anarchisme le plus pur nier aussi ce qu'il ne comprend pas. Extraits de la "Scolie de la proposition III". "Nous avons connu, nous connaissons encore, la tentation de l'activisme. Les contre-sommets, les campagnes contre les expulsions, contre les lois sécuritaires, contre la construction de nouvelles prisons, les occupations, les camps No Border; la succession de tout cela. La dispersion progressive des collectifs répondant à la dispersion même de l'activité. Courir après les mouvements"7. "N'éprouver au coup par coup sa puissance qu'au prix de retourner chaque fois à une impuissance de fond. Payer chaque campagne au prix fort. La laisser consommer toute l'énergie dont nous disposons. Puis aborder la suivante, chaque fois plus essoufflés, plus épuisés, plus désolés". "Nous désertons l'activisme. Sans oublier ce qui fait sa force: une certaine présence à la situation. Une aisance de mouvement en son sein. Une façon d'appréhender la lutte, non par l'angle moral ou idéologique, mais par l'angle technique, tactique". Enfin, nous prenons dans le bilan -parfois contradictoire- de l'expérience des squats ce qui nous paraît le plus clair, et nous soulignons ce qui aurait dû justement -dans sa portée la plus générale- prémunir l'Appel contre les alternatives qu'il propose plus loin, ces "lieux habitables" qui se présentent comme des squats idéellement épurés de leurs imppasses et contradictions, en opposition flagrante avec les critiques pertinentes énoncées ci-dessous (extrait de la "Scolie de la proposition V"): "Peu à peu, nous avons vu ce qui nous entourait se transformer en milieu et de milieu en scène. Nous avons vu l'édiction d'une morale se substituer à l'élaboration d'une stratégie. Nous avons vu des normes se solidifier, des réputations se construire, des trouvailles se mettre à fonctionner, et tout devenir si prévisible. L'aventure collective s'est muée en morne cohabitation. Une tolérance hostile s'est emparée de tous les rapports. On s'est arrangé. Et nécessairement, à la fin, ce qui se figurait être un contre-monde s'est réduit à n'être plus qu'un reflet du monde dominant: les mêmes jeux de valorisation personnelle sur le terrain du vol, de la bastos', de la correction politique ou de la radicalité, le même libéralisme sordide dans la vie affective, les mêmes soucis de territoire, de mainmise, la même scission entre vie quotidienne et activité politique, les mêmes paranoïas identitaires. Avec, pour les plus chanceux, le luxe de fuir périodiquement sa misère locale en la portant ailleurs, là où elle est encore exotique". Sur la question, mal posée, de "la scission entre vie quotidienne et activité politique", voir notre point suivant. *** 3. Le point de renversement. Comme dit plus haut, le noeud du texte est pour nous la Proposition IV (nous soulignons), la où la critique cède le pas à la dite "stratégie". "Nous situons le point de renversement, Nous sommes bien d'accord que le capital nous piège et nous enchaîne quotidiennement dans des dilemnes morbides: maladie et médecine, ignorance et science, exploitation et syndicats, destruction de la planète et "développement durable", misère affective et "amour libre", bouffe frelatée et racket mystificateur de la "bouffe authentique", besoins toujours plus aliénés et satisfaction toujours plus aliénante,... autant de fausses oppositions ou de non-choix qui révèlent autant d'aspects de notre aliénation fondamentale, de notre préjudice fondamental qui n'est autre que notre condition dans cette société. Nous nous reconnaissons dans le besoin de nous sortir autant que faire se peut de ces pièges, de nous réapproprier des pratiques en-dehors et contre ce qui nous enchaîne, nous détruit et nous isole chaque jour davantage. Nous considérons que cela fait partie de notre communauté de lutte. Mais cette communauté de lutte, communauté de rapports camarades, ne se définit ni par le regroupement géographique, ni par des affinités sur le seul terrain de la démerde (fut-ce un haut perfectionnement -presque aristocratique?- de la démerde), ni par une utopie autarcique et rurale, ni, plus fondamentalement, par sa capacité à "s'exiler" ou à "construire un monde", non, notre communauté de lutte est au contraire déterminée par la nécessité de destruction insurrectionnelle de ce monde-ci. Nous sommes d'accord avec l'Appel lorsqu'il pointe que la communauté de la marchandise s'est imposée sur la ruine de toute communauté humaine (cf dans la Scolie de la proposition III), nous affirmons quant à nous avec force que notre humanité s'exprime déjà dans la communauté de la lutte actuelle, mais nous insistons aussi sur le fait que la lutte est encore une médiation (l'ultime médiation pour l'abolition de toute société de classes). C'est pourquoi nous dénonçons l'illusion de réaliser la communauté humaine au sein de la communauté de lutte prolétarienne sous le capital ou, a fortiori, dans la création d'"îlots communautaires". De plus, à se voir comme dans l'Appel en surhommes capables de résoudre ici et maintenant, sur un air de fugue, tous les problèmes que nous pose le capitalisme, y compris tous les aspects de notre dépossession, on se condamne d'abord à se faire absorber par une inévitable -et sans doute très séduisante- inflation de problèmes logistiques à résoudre, pour filer ensuite tout droit vers les crispations volontaristes, moralistes, et la débâcle relationnelle qui ne peut qu'accompagner la déception cuisante de ne pas "réellement vivre le communisme" entre soi. Et c'est là que pour nous l'Appel décolle de la réalité matérielle pour replonger dans l'immédiatisme, l'alternativisme et donc l'idéalisme le plus classique. A partir de cette Proposition IV, en effet, tout s'enchaîne pour faire de questions logistiques une question de fond, et plus profondément, pour faire de la perspective ("le communisme") le préalable de toute subversion. Ainsi dans la scolie de la Proposition V: "Notre stratégie est donc la suivante: établir dès maintenant un ensemble de foyers de désertion, de pôles de sécession, de points de ralliement. Pour les fugueurs. Pour ceux qui partent. Un ensemble de lieux où se soustraire à l'empire d'une civilisation qui va au gouffre. II s'agit de se donner les moyens, de trouver l'échelle où peuvent se résoudre l'ensemble des questions qui, posées à chacun séparément, acculent à la dépression". "Que serait, sous l'empire, une force politique qui n'aurait pas ses fermes, ses écoles, ses armes, ses médecines, ses maisons collectives, ses tables de montage, ses imprimeries, ses camions bâchés et ses têtes de pont dans les métropoles? II nous paraît de plus en plus absurde que certains d'entre nous soient encore contraints de travailler pour le Capital -hors de diverses tâches d'infiltration, bien sûr". Franchement, on dirait le Lénine de Que faire? (pour le côté "révolutionnaires professionnels", que l'on trouve certes également chez Bakounine ou Blanqui, et plus caricaturalement chez Netchaïev) transposé dans les micro-utopies libertaires de la fin XIX? - début XX? (pour le côté "bases de repli autonomes et autarciques", très au goût du jour si l'on songe à l'actuel engouement folklorique pour les "Quilombos", les "municipalités libres" du Chiapas et autres "Temporary Autonomous Zones"). Et puis quand même, à se regrouper dans une série de kibboutz, voilà qui facilite un peu trop grossièrement le travail de l'Etat et son insatiable appétit de coups de filet ciblés8! Evidemment, nous ne pouvons nous empêcher de voir dans ces propositions et revendications les "effets collatéraux" habituels des illusions (évoquées plus haut) de la table rase, de la théorisation ex nihilo et de la pseudo-nouveauté, brûlant sur leur passage les leçons et critiques qui ont été tirées historiquement, par le mouvement révolutionnaire, de toutes ces pratiques passées (léninistes comme libertaires)! Tout juste se glisse-t-il une référence censée tirer sa clarté d'elle-même mais c'est loin d'être le cas: "Ce n'est pas une objection contre le communisme que la plus grande expérimentation du partage dans la période récente ait été le fait du mouvement anarchiste espagnol entre 1868 et 1939" (in Prop. VI). Faisons un bond jusqu'à la scolie de la Proposition VI: "Le renversement du capitalisme viendra de ceux qui seront parvenus à créer les conditions d'autres types de rapports". S'il y a renversement ici, c'est plutôt du mouvement révolutionnaire, de sa constitution matérielle réelle, au profit d'un précepte philosophique! Les "bases de repli" ne sont pas présentées dans l'Appel comme parties prenantes d'un mouvement révolutionnaire plus large, c'est plutôt ici la révolution qui est censée venir au monde -ce désert sans classes- lorsque les conspirateurs "révolutionnaires" sortiront de leur tanière pour l'y insuffler: "Ce dont il s'agira, le moment venu, c'est bien de faire tourner à notre avantage l'écroulement social généralisé, de transformer un affaissement à la manière argentine, ou soviétique, en situation révolutionnaire". Dès que l'on entre dans cette partie du texte, il est difficile de ne pas s'emporter contre les illusions déversées en cascade. Pour lever une ambiguïté possible de notre critique, disons qu'il suffit de lire nos textes (voir notamment sur l'Argentine, références en fin de texte) pour se rendre compte que nous ne portons pas aux nues un mouvement prolétarien épuré de ces contradictions: nous le voyons très fort par moments et par aspects, nous critiquons aussi ses cruelles limites et illusions idéologiques actuelles, nous le voyons aussi menacé par le terrible pourrissement des contradictions sociales, seule perspective qu'offre le capital, avec plus de guerres, de flics et d'occasions de crever dans la merde en s'entre-tuant entre prolos. Nous comptons sur la continuité organisative que les prolétaires devraient pouvoir donner à leur lutte d'aujourd'hui pour renforcer et diriger la prochaine vague de lutte mondiale, mais nous n'attendons rien de "fermes" et d'"écoles" (même doublées de "têtes de pont" urbaines) où ils se seraient repliés en attendant "leur" heure tout en se faisant inévitablement absorber par la gestion de ces dits "lieux habitables". Quant aux axes stratégiques énumérés en conclusion de l'Appel, ils condensent malheureusement davantage ses faiblesses, principalement accumulées après le dit "point de renversement", que les forces de ses ruptures. "C'est ainsi que le Parti se construira, comme une traînée de lieux habitables laissés derrière elle par chacune des situations d'exception que rencontre l'empire". Désolé à nouveau, mais cette notion d'"archipel" (Cf plus haut les formules sur "le parti"), négation de toute nécessité de centralisation politique du mouvement révolutionnaire, est elle aussi épouvantablement à la mode! Il y a aussi beaucoup de choses qui laissent perplexes ou pantois, comme cette curieuse partie intitulée "Porter la sécession dans les sciences", où l'on voit bien que la sécession n'est pas la rupture et que le mot d'ordre du titre contient une surprenante réhabilitation de ce pilier religieux de la société bourgeoise que sont les sciences. "Que les pratiques agricoles non productivistes se développent hors du pré carré des labels bio. (...) Partout des alliances sont possibles!". Quid? Alors... reste-t-il à lancer l'Appel (dans tout son premier volet critique) à l'assaut de l'Appel (dans ses illusions alternativistes)? Il s'agit en tout cas de repartir des ruptures réelles qui l'ont motivé au départ, pour disperser le château de cartes que l'Appel présente comme la continuation conséquente de ces ruptures, celle qui serait censée leur ouvrir des perspectives. Passons ensemble sur le cadavre des vieilles idéologies informalistes et anti-organisatives qui sapent notre lutte! Avec nos salutations camarades, le Groupe Communiste Internationaliste Attention: nouvelle boîte postale!!!! Une bonne partie de nos revues publiées en français, espagnol et anglais disponible sur un CD-Rom (25 euros port compris). *** La discussion peut être alimentée par plusieurs de nos propres textes récents, dans la mesure où ils touchent à des questions abordées dans l'Appel: * A propos de Gênes etc, voir dans Communisme n?52 (2001), Contre les sommets et antisommets. La revue comporte aussi un texte sur la lutte en Algérie à ce moment. 1 L'Appel a été diffusé sous forme de plaquette et se trouve sur le net à plusieurs adresses:
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